Jouer à ” pile ou fesses”…
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, le il y a 2 années et 8 mois.
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Fin de repas…dessert! je suis assise sur ma chaise. Il passe derrière moi, passe ses mains dans mon chemisier et me saisis les seins pour en tirer les pointes. Une décharge électrique m’anime, je cambre les reins et tends mon cul. Il serre, plus fort, jusqu’à ce que je crispe mes lèvres, plisse les yeux et qu’un gémissement sorte de ma gorge.
A quatre pattes sur le lit, 200 coups de ceinture, je tiens ma position.
Cheveux pris, enroulés dans son poing, il me relève le buste et me lèche goulument la gorge, remonte vers ma bouche, passe sa langue sur mon visage. Je grogne, mes yeux roulent, c’est trop… sa salive me recouvre.C’est un peu “dégueulasse” et pourtant je crois que j’aime ça….
Il me colle des petites gifles sur la joue. Je suis furieuse! Je grogne plus fort, serre les dents, le fixe droit dans les yeux, regard franc, tête haute, il gifle plus fort , maintenant ma tête par mes cheveux.
Il me relache abruptement. Comme sa poupée je retombe en position, à genoux sur le lit.
Je sens la ceinture passer autour de mon ventre, bras vers l’arrière, il serre sur mes poignets, me voilà prisonnière. Je sanglote, non pas de tristesse, mais plutôt de détresse. Je grogne encore, me débat, la panique n’est pas loin. Ma tête touche le drap, ma joue tout contre le tissu, je respire bruyamment.
Il me touche le cul, pose son doigt sur mon anus.
Non!non!non stp…ça tourne dans ma tête.
Il me dit de sa voix ferme:
– “je vais te prendre par le cul.”
Ça sort tout seul de ma toute petite voix cette fois :
-“oh non, s’il te plaît…..”
-Il me plaît que tu dises non.
-Sadique!
Il attrape la ceinture qui me maintient, je suis exposée toute offerte et il pénètre en moi d’un coup de rein.
Loin, fort, mouvement imprimé par la tension sur la ceinture qui me guide et qui me fait m’empaler sur son sexe. J’écarte les cuisses, cambre mon cul. Viens!encore!
Trois coups de son vit et mon “non” se transforme en un “oh oui!”
Il se recule et claque mon cul de sa main en prenant de l’élan. Aïe secousse sismique!Ps: cf photos je l’ai attendu côté pile, il a pris le côté fesses
Se révèle être "comme une boule de flipper,qui roule qui roule...".
@line : ” Apprendre à se livrer tout à lui “. Je crois que cela ne s’apprend pas. Cela se vit, des fois, et c’est très intense(c’est pour ça que j’ai aussi eu plaisir à le revivre en le racontant) . Ce moment est issu d’une grande complicité, entre personnes qui se connaissent intimement, profondément. Ces “non” qui se transforment en ‘oui” sont des moments de grande connivence et de plaisir partagé sur les terres du voulu mais de l’inavoué. Dans tous les autres cas il est évident qu’un “Non” est un ” Non”.
Se révèle être "comme une boule de flipper,qui roule qui roule...".
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