Derrière un paravent de toile, elle vient de passer sa chemise par dessus sa tête d”un geste ample et gracieux pour l’enlever. Ses cheveux longs lui tombent dans le dos Elle attend la petite main qui viendra l’habiller. Sur le parquet claquent des chaussures. Une demoiselle passe derrière le paravent. Elle est habillée d’une robe belle et simple. Le décolleté en est corseté, à plat, sans fioritures juste un joli motif dans les tons écrus. La jupe grise est gonflée au niveau de ses fesses, et ce n’est pas du rajout de coussin. Ses cheveux un peu courts sont joliment bouclés et tenus par un ruban.
-J’attends, dépêche toi.
La demande est brève mais efficace.
De ses mains fines et délicates elle se saisit du corset et le pose sur le buste de la dame. Cette dernière se tourne, expose son dos et le “lassage” commence. Du milieu du dos, les cordes jointant le tissu sont tirées. Le souffle est coupé et celà remonte, encore et encore jusqu’à la poitrine. Serrée, aplatie, au carré. Ses seins jaillissent en deux renflements de ce carcan de tissus. Les cordes se serrent alors autour de la taille, puis des reins et enfin sur les hanches.
Elle se cambre, rentre encore plus son ventre, et les derniers points viennent la verouiller.
Elle va alors s’assoir à la coiffeuse, et droite comme un “i” demande à la demoiselle de s’approcher.
-Nous avions un petit compte à régler n’est ce pas?
La demoiselle rouge pivoine, fixe la pointe de ses chaussures vernies.
-Oui Madame.
-Approche..
Alors la demoiselle, comme une petite poupée automate s”approche, un pas, puis l’autre, esquisse une petite révérence et attend.
-Penche toi sur la coiffeuse.
La demoiselle s’execute, se penche sur la coiffeuse.
Une main ferme vient se saisir du tissu de la robe, la remonte en même temps que les jupons, et découvre les fesses nues de la demoiselle.
Ses jupes et jupons remontés sur ses hanches forment comme une corolle de fleur blanche.
La dame se saisit d’une brosse a cheveux en bois, a poils souples, et la laisse s”abattre fermement. Cela tire un soupir a la demoiselle, mais cela n’emeut pas la dame, qui claque sèchement ce fessier offert en sermonant.
Ses rondeurs a en faire pâmer prennent une belle teinte rosée. La demoiselle couine et chouine, se tortille.
Lorsque ses fesses sont rouges, bien rouges, les claques cessent et la brosse est reposée au creux de sa main.
-Bien maintenant coiffe moi.et fais vite. Je suis attendue.
Se révèle être "comme une boule de flipper,qui roule qui roule...".
, le il y a 3 années et 4 mois.
