Jeune fille trop curieuse

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    Anonyme
    Inactif


    Je m’appelle Anne, j’ai 25 ans et je vais vous conter mon histoire.

     

    Chapitre 1

    Quelques années en arrière, dans ma dix-neuvième année, je faisais du baby-sitting pour me faire de l’argent de poche. Ce soir-là, j’avais été sollicitée par un nouveau couple de parents, des amis de personnes dont je gardais déjà habituellement les deux enfants. Il s’agissait d’un couple sensiblement du même âge, 35 ans environ, ayant deux filles.

    Lorsque je suis arrivée à 20 h, les deux filles Prune et Cerise avaient déjà fini de dîner et leurs parents étaient en train de les coucher. Cela me mâchait vraiment le travail, je n’avais plus qu’à assurer une présence jusqu’au retour de leurs parents. Ceux-ci étaient très sympas et m’indiquèrent que la maison était à ma disposition, frigidaire et télé compris. Je les ai laissés partir et, après avoir vérifié que les deux filles étaient bien endormies, je suis allée au salon pour regarder ce qui l’y avait à la télé.

    Après avoir finalement regardé un film en DVD, je décidai d’aller un peu explorer cette belle maison, présentant deux niveaux, avec les pièces de réceptions au rez-de-chaussée et les chambres à l’étage. La maison était décorée avec goût, je jetai un coup d’œil à la chambre des parents, vaste pièce avec un lit qui me parut immense, disposant d’une salle de bain attenante joliment décorée. Je pénétrai dans la salle de bain, mue par une curiosité que je ne saurai pas expliquer, et j’ouvris les différents placards pour en détailler le contenu. Je rentrai ainsi dans l’intimité du couple. Je découvris, cote monsieur, son nécessaire de rasage, du parfum et des lotions. Cote madame, un nombre incalculable de crèmes et flacons, de nombreux parfums, mais aussi des tampons et un paquet que je crus être des serviettes. « Curieuse d’utiliser les deux », me dis-je, mais en regardant de plus près je fus intriguée par la taille de ce paquet. Je découvris que ce n’était pas ce que je croyais. Je fus surprise de constater qu’il s’agissait de couches-culottes pour adultes.

    J’étais habituée aux couches des enfants qu’il m’arrivait d’utiliser lorsque je gardais des enfants qui en portaient, mais je n’avais jamais vu de couches aussi grandes. Je me demandai pourquoi la mère de famille qui s’appelait Laure utilisait ce genre de protections. Le paquet était ouvert et entamé. Je décidai de prendre une couche dans le paquet pour la détailler, fort intriguée. Elle était vraiment semblable aux couches pour enfants, les motifs enfantins en moins. Celle-ci était toute blanche. Je la dépliai et passai ma main dans la garniture qui me semblait très douce. L’enveloppe extérieure était faite d’une pellicule de plastique rendant l’ensemble imperméable. Je me fis la réflexion que cela devait être confortable à porter et, un peu émoustillée, je décidai de l’essayer pour voir quel effet cela faisait.

    En la dépliant complètement, je découvris qu’elle est relativement grande, mais qu’elle devait pouvoir s’ajuster à ma taille en serrant bien les adhésifs. Je ressortis de la salle de bain la couche à la main et je décidai de profiter du lit des parents pour pouvoir la mettre. Je me déchaussai, j’enlevai mon jean, puis ma culotte et je m’allongeai sur la couche que j’avais positionnée et dépliée au centre du lit. Le premier contact de cette couche sur mes fesses me fit une drôle de sensation, marquée par la douceur de cette garniture au touché « coton ». Je rabattis ensuite l’avant de ma couche qui couvrait maintenant mon entrejambe et je n’eus plus qu’à ajuster les deux adhésifs placés de chaque côté.

    La couche en place, je me relevai et fis quelques pas dans la vaste chambre. La large glace de la penderie me renvoya l’image de cette couche sur mes fesses et je me trouvai soudain un peu ridicule, mais je dus avouer que le contact de cette couche était très agréable. Je décidai de la garder, étant persuadée que Laure ne se rendrait pas compte de cet « emprunt ». Je me rhabillai cependant. Je ne pouvais pas remettre ma culotte, car la couche était trop épaisse, et mon jean était juste suffisant pour me permettre de le renfiler. Je redescendis au salon et rangeai ma culotte dans mon sac, afin de ne pas l’oublier dans la maison. La couche était vraiment douce et confortable lorsque je me remis assise dans le canapé du salon. Je zappai sur la télé, un peu fatiguée, sachant que les parents m’avaient informée qu’ils devaient rentrer assez tard.

    À deux heures du matin, je fus réveillée en sursaut par l’ouverture de la porte d’entrée. J’eus juste le temps de reprendre une position « décente » sur le canapé, devant la télé toujours allumée, avant que Laure et son mari ne fassent leur entrée dans le salon. Je portai toujours la couche sur moi sous mon jean et je priai pour qu’ils ne la remarquent pas. Ils ne se rendirent compte apparemment de rien, à mon grand soulagement. Laure me remercia et s’excusa pour leur retour tardif. Elle me paya et son mari me raccompagna en voiture chez moi.

    Je n’étais pas très à l’aise lors du trajet aux côtés de cet homme, de peur qu’il remarque ma couche, même masquée par mon jean. Celle-ci faisait un peu de bruit à chaque mouvement, ce qui m’obligeait à limiter chaque geste dans le silence du trajet en voiture. Lorsque nous fûmes arrivés, je remerciai le mari chaudement pour masquer le bruit de la couche au moment de quitter le véhicule. Je rentrai à la maison un peu honteuse quand même, avec une grosse peur rétroactive.

     

     

    Chapitre 2

    Trois semaines plus tard, je fus à nouveau sollicitée par ce même couple pour garder leurs filles. J’hésitai un peu pour leur répondre positivement, eut égard à ce qui s’était passé, mais je me décidai finalement à leur dire oui, ma curiosité de la dernière fois n’ayant finalement pas eu de conséquences.

    Le samedi suivant, je me rendis chez eux à l’heure dite, un peu plus tôt que la dernière fois. Lorsque j’arrivai, les filles finissaient de dîner avec leur père dans la cuisine. Je leur dis bonsoir, le mari m’indiqua que sa femme terminait de se préparer et qu’elle m’attendait en haut pour me donner les dernières consignes. Je montai à l’étage. J’entendis du bruit dans la salle de bain parentale et je frappai à la porte de leur chambre ouverte.

    – Entre Anne, fit Laure, j’ai fini.

    Je pénétrai dans la vaste chambre et Laure sortit de la salle de bain attenante, prête pour sortir, habillée d’une belle robe du soir et soigneusement maquillée.

    – Dis-moi Anne, j’ai vu l’autre jour que tu portais une protection lorsque nous sommes rentrés. Je ne l’avais pas remarquée à ton arrivée. Tu en as besoin ?

    Je fus désarçonnée par cette question et obligée de répondre que oui. Il m’était impossible de lui dire que c’était pour essayer et qu’en plus il s’agissait d’une couche que j’avais prise dans le placard de sa propre salle de bain. Je devais être rouge comme une pivoine, mais Laure me répondit d’un sourire complice. Elle regarda avec insistance ma jupe, n’y décelant pas de trace de la présence d’une couche.

    – Tu n’en as pas mis ce soir ?

    Je dus répondre par la négative, expliquant que je n’en avais besoin que la nuit, en espérant m’en tirer par cette explication. Laure poursuivit :

    – Je ne suis pas sûre que nous allons rentrer plus tôt que la dernière fois et il se pourrait que tu t’endormes sur le canapé, c’est bien légitime. J’ai dû porter des couches suite à la naissance de Prune, moi aussi. J’ai encore un paquet entamé dans la salle de bain, veux-tu que je t’en passe une ?

    Je n’étais pas beaucoup plus à l’aise, mais la situation me paraissait moins compliquée depuis que Laure m’avait avoué en avoir aussi porté. À la perspective de pouvoir à nouveau porter une couche, je répondis par l’affirmative. Elle repartit dans la salle de bain et revint avec une couche à la main. Je tendis la main pour la prendre, mais Laure me dit :

    – Je vais t’aider à la mettre, ce n’est jamais évident d’ajuster une couche sur soi toute seule.

    Je fus abasourdie par cette proposition qui sonna plus d’ailleurs comme une affirmation. Elle posa la couche au bord du large lit, me prit par les épaules, me dirigea vers le lit et me poussa doucement, mais fermement à m’allonger. La porte de la chambre était restée largement ouverte et le mari de Laure, Luc, l’appela depuis la cuisine pour lui demander si elle est prête.

    – J’arrive, fis Laure, deux minutes !

    Tout s’accéléra alors et la jeune femme retroussa largement ma courte jupe.

    – On va faire vite ma chérie, avant que les filles ne remontent avec Luc. Je dois encore savoir-faire, Prune en portait encore la nuit il y a quelques mois.

    Joignant le geste à la parole, elle repoussa un peu plus ma jupe sur mon ventre pour bien dégager le « terrain ». Elle enleva ensuite mes chaussures, afin de pouvoir m’enlever plus facilement ma culotte qu’elle m’indiqua vouloir ôter, car elle était trop petite pour être remise sur la couche. Je n’osai pas lui dire que j’étais aussi de son avis pour l’avoir expérimenté la dernière fois. Laure m’ayant déshabillé, elle posa ma culotte sur le lit à côté de la couche qu’elle prit. Je levai les fesses afin de lui faciliter le travail et elle glissa la couche en la positionnant de façon très précise, fruit de son expérience maternelle, assurément.

    – Écarte les jambes, ma chérie, que je puisse bien ajuster ta couche à l’entrejambe.

    À contrecœur, j’écartai les jambes que j’avais jusque-là gardées serrées, dévoilant mon intimité aux yeux de cette belle femme. Fort heureusement pour ma pudeur, elle rabattit prestement le devant de la couche. Elle ajusta les adhésifs en serrant bien la couche.

    – Tu es plus fine que moi, Anne, mais en serrant bien la couche elle ne devrait pas bâiller.

    L’opération n’avait pas pris plus que les deux minutes annoncées. Je me relevai prestement, j’ajustai ma robe et je remis mes chaussures. Il était temps, car les filles montèrent accompagnées de leur père l’escalier pour aller se brosser les dents et se coucher. Laure prit prestement ma culotte restée sur le lit et la rangea dans son tiroir avec ses dessous.

    Je rejoignis les filles pour les aider, très inquiète du port de la couche sous une jupe qui, pour une fois, me paraissait bien trop courte, ne découvrant que le bas de mes cuisses, mais remontant plus haut qu’à l’accoutumée du fait de l’épaisseur de la couche par rapport à mes dessous. Bien que très ajustée et pas spécialement bruyante, la couche émettait un petit bruit caractéristique faiblement perceptible, mais qui me paraissait assourdissant lors des mouvements de jambes. J’avais l’impression désagréable de n’entendre que cela, bien que ni les filles ni Luc ne semblent l’avoir perçu.

    Les filles couchées, je descendis avec les parents. Laure me souhaita une bonne soirée et me fit un clin d’œil complice avant de rejoindre son mari qui l’attendait déjà dans la voiture. Mon sentiment était très ambivalent, j’appréciai ce doux contact de la couche sur mes fesses, mais j’étais un peu humiliée d’avoir été mise en couche par cette femme, si charmante soit-elle, comme une adolescente qui ferait encore pipi dans sa culotte. Je dus cependant avouer que je m’étais mise toute seule dans cette situation, victime de ma curiosité. J’étais loin d’avoir envisagé ce qui venait de m’arriver et que Laure, que je connaissais depuis peu, puisse me mettre en couche ainsi comme elle l’avait fait pour ses filles. Mes inquiétudes ne s’arrêtèrent pas là, car assises à présent sur le canapé du salon, je ne pus que constater que dans cette position, ma jupe remontait encore un peu plus et peinait à masquer la couche. Cela ne m’inquiéta pas plus que cela pour l’instant, mais il me fallait envisager le retour dans la voiture de Luc ce soir à ses côtés, et j’avais peur qu’il ne finisse soit par entendre soit par voir la couche que sa femme m’avait mise, s’il ne le savait toutefois pas déjà, informé par son épouse.

    Je passai une soirée un peu particulière, malgré la tranquillité absolue des filles de la famille qui dormaient sans problèmes, ne sachant pas trop si je devais me réjouir du confort apporté par la couche, ou me désoler de cette situation un peu embarrassante. Je me posai vite la question de garder cette couche, car vers 23 heures, une envie pressante se fit sentir. Je n’avais pas spécialement envie de faire pipi dans ma couche, mais je ne savais pas comment réagirait Laure si je ne la portais plus à son retour. Je m’interrogeai encore lorsque le téléphone sonna.

    Je décrochai et c’était Laure que j’avais au bout du fil. Elle me demanda si tout allait bien et m’indiqua qu’ils rentreraient plus tard que prévu. Elle m’indiqua aussi que je pouvais m’allonger sur le canapé ou, mieux, sur leur lit si j’étais fatiguée. Elle poursuivit plus bas, sans doute pour ne pas être entendue :

    – Surtout, garde bien ta couche, je ne voudrais pas que tu t’assoupisses sans protection !

    J’avais la réponse à ma question et, un peu dépitée, je lui répondis par l’affirmative avant qu’elle ne raccroche. La pression de ma vessie se fit de plus en plus présente et je sus que je ne pourrais pas me retenir jusqu’au retour de Luc et Laure. Je décidai de faire pipi dans ma couche progressivement, pour être sûre qu’elle puisse bien absorber toute mon urine. Je portai ma main sur l’avant de la couche pour bien plaquer la garniture sur mon sexe, afin de prévenir une éventuelle fuite. Ma précaution était inutile, car la couche était parfaitement mise, bien mieux que lorsque je l’avais moi-même mise la dernière fois, je dus bien le concéder à Laure. La couche était de qualité, car elle absorba totalement mon flux. Le contact changea, je sentis une légère humidité et une couche plus lourde, mais qui restait confortable à porter.

    Contrairement à la première fois, je restai éveillée jusqu’au retour des parents. À deux heures, la porte d’entrée s’ouvrit sur Laure, seule. Elle me demanda si la soirée s’était bien passée, je répondis que oui. Elle m’indiqua que Luc était resté dans la voiture afin de me raccompagner. Son regard glissa de mon visage vers ma jupe, semblant m’interroger sur l’état de la couche qui se trouvait dessous. Je rougis ce qui amusa Laure. Dans le geste d’une mère à son bébé, elle passa sa main droite sous ma jupe, main qui fut au contact de ma couche.

    – Je vois que la couche a été utile, ce soir.

    Je bredouille que oui et Laure me prit par la main, m’entraînant avec elle à l’étage. Nous entrâmes dans sa chambre.

    – Allonge-toi, ma chérie, je vais m’occuper de toi.

    Je m’allongeai à nouveau sur ce vaste lit, pendant que Laure était dans la salle de bain attenante. Elle revint dans la chambre et posa quelque chose sur le bord du lit, sans que j’eusse le temps de voir ce que c’était. À nouveau, elle retroussa ma jupe pour accéder cette fois-ci non plus à ma culotte, mais à ma couche-culotte. Elle détacha les adhésifs et ouvrit la couche qu’elle rabattit sous mes fesses. Elle prit maintenant une lingette dans la boîte qu’elle avait posée sur le bord du lit et, avec des gestes précis, entreprit de me nettoyer le sexe et le haut des cuisses. Ceci fait, elle retira la couche restée sous mes fesses. Je crus d’abord qu’elle allait me rendre ma culotte et me permettre de me rhabiller, mais il n’en fut rien. C’était maintenant une nouvelle couche qui apparut dans ses mains. Je me mis sur les coudes comme pour me relever, mais elle interrompit mon mouvement en me disant :

    – J’en profite pour te remettre une couche propre, ce sera fait et tu n’auras plus qu’à enfiler ta chemise de nuit à la maison pour aller te coucher.

    Comme le ton était toujours plus affirmatif que suggestif, je me rallongeai, levai mécaniquement les fesses pour qu’elle glisse la couche puis, à sa demande, écartai une nouvelle fois les jambes pour qu’elle ajuste la couche et la ferme. Je pus ensuite me relever, ajuster ma jupe, remettre mes chaussures et redescendre en compagnie de Laure qui m’embrassa, me paya et me remercia avant que je ne rejoigne son mari à sa voiture qui attendait pour me raccompagner.

    Le trajet, bien que court fut encore plus stressant que la dernière fois, car, assise, ma jupe comme je m’en étais aperçue dans le canapé du salon, couvrait difficilement ma couche. Heureusement que Luc regardait la route sinon il n’aurait pas pu ne pas remarquer le devant de ma couche. Ce fut dans la voiture que je réalisai que ma culotte était restée chez eux, heureusement dans le placard de Laure.

    Rentrée à la maison et malgré l’heure tardive, j’eus du mal à dormir. Comme la dernière fois je retirai immédiatement la couche et la mis dans la benne se trouvant devant notre maison. Je me promis que c’était la dernière fois que je faisais du baby-sitting chez Laure et Luc.

    #83449
    Victor
    Participant


    Oh non ! Déjà fini..

    Quel dommage qu’Anne ne veuille plus aller chez Laure et Luc. Cette histoire est diablement sympathique. La gêne est bien relatée. Les sensation d’Anne aussi.

    Le récit pourrait continuer pour encore quelques nuits de baby-sitting. Cela permettrait de décrire un retour en voiture qui tournerait peut être au change d’Anne par Luc ou à un échange très dérangeant entre Luc et Anne.
    Oui je suis (un peu) pas gentil :):)

    Allez ! Please… une suite !

    (éventuellement avec une fessée ;))

    #83517
    Monsieuralex
    Participant


    Délicieux récit plein de petites hontes excitantes… et de sensations très bien décrites . bravo

    Monsieuralex, fesseur nantais

    #83701
    VALMONT1980
    Participant


    J’ai adoré.. Ca ne va pas trop loin, ça reste concentré sur les couches et la honte..

    Du coup ça se démarque bien d’autres récits, parfois trop érotiques.

    Monsieur ne participe pas, d’un côté ça ajoute de la crédibilité.

    #83807
    Anonyme
    Inactif


    Chapitre 3

    Celle-ci me rappela quelques jours plus tard, sollicitant à nouveau ma venue. Je lui répondis que je risquais de ne pas être disponible, mais elle insista, souhaitant garder la même baby-sitter pour ses filles. Elle me glissa également que j’avais une petite-culotte à reprendre, celle que dans la précipitation j’avais oubliée la dernière fois. Je finis par céder et accepter.

    Le samedi suivant, j’étais de retour. Comme la dernière fois, ce fut Luc qui m’accueillit, toujours en cuisine à s’occuper du repas des deux filles, vraiment très sages. Laure m’appela de l’étage et je montai la rejoindre. Elle était habillée pour sortir et déjà prête. Elle m’invita à entrer dans sa chambre et constata sans mal que je ne portais toujours pas de couche sous ma jupe, longue cette fois-ci. Elle me proposa à nouveau de m’en mettre une. Bien décidée à sortir de cette situation, je pris mon courage à deux mains et je lui avouai que je n’en avais pas besoin, mais que j’avais eu la curiosité d’essayer une de ses couches lors de ma première venue ici. Laure me sourit et, à ma grande stupéfaction, me dit :

    – Je dois t’avouer que je l’avais deviné. On voit bien que tu n’as pas l’habitude de porter des couches. Tu es tendue dès que tu as une couche sur les fesses !

    Je fus étonnée et soulagée de ces propos, Laure enchaîna :

    – Je te comprends Anne, c’est une sensation agréable de porter une couche. J’ai eu le même sentiment en en portant moi-même. Mais j’ai une surprise pour toi, je t’ai trouvé un modèle de couche à ta taille qui devrait beaucoup te plaire !

    Ça, c’était une surprise ! Je n’eus pas le temps de réagir, Laure m’indiqua le lit et me dit :

    – Allez, on s’allonge !

    Devant mon hésitation, Laure posa une main sur mon épaule, l’autre sur mon sein droit et me poussa fermement à m’allonger sur le lit. Cherchant à éviter cette main pressant ma poitrine, j’eus un mouvement de recul qui m’amena rapidement à l’horizontale sur le vaste lit. Dans le même mouvement, Laure tira la longue jupe vers ma poitrine, découvrant largement ma culotte de coton rose. Celle-ci fut prestement enlevée, à la suite de mes chaussures posées au pied du lit. Elle rejoignit le tiroir où devait encore se trouver ma culotte oubliée la dernière fois.

    Laure partit en direction de la salle de bain et revint avec une couche à la main. Je levai les yeux vers elle pour apercevoir la couche qui m’était destinée. Elle était très différente des précédentes. Elle n’était pas pliée en deux, mais déjà dépliée et comme déjà en forme de demi-cercle. Elle sembla plus petite, mais surtout plus épaisse, avec une garniture blanche classique et une enveloppe extérieure faite d’un plastique qui semble presque rigide et de couleur rose pâle. J’en étais encore à observer cette curieuse couche, lorsque Laure me fit lever les fesses et positionna le change. Au premier contact je réalisai que la couche était nettement plus épaisse et que son enveloppe était effectivement faite d’un plastique épais, non froissant. Une petite tape sur le haut de la cuisse me rappela que je devais écarter les jambes pour l’ajustement de la couche qui, dès qu’elle fut rabattue, occupa largement mon entrejambe. Je réalisai que cette épaisseur ne me permettrait pas de garder les jambes serrées. Autre particularité, cette couche était dépourvue d’adhésifs classiques au profit de quatre languettes de plastiques crantées, deux de chaque côté. Ces languettes vinrent se loger dans des encoches situées sur la partie arrière latérale de la couche. L’ajustement se fit en tirant sur les languettes une fois que celles-ci sont engagées dans les encoches. Laure les positionna toutes les quatre, puis tira au maximum sur chacune d’elle pour que la couche soit solidement fermée.

    La sensation était étrange, la garniture était très douce et son épaisseur faisait bien tampon avec l’enveloppe extérieure semi-rigide qui présentait la particularité de ne pas émettre ce bruit de plastique froissé caractéristique, mais qui me gênait dans la fluidité des mouvements. Le « timing » était tout aussi serré que la dernière fois et je n’avais pas fini de me rechausser que j’entendis déjà les filles monter l’escalier. J’aidai au brossage des dents et à l’endormissement, avant de rejoindre le rez-de-chaussée. Luc était déjà sorti chercher la voiture, Laure m’attendait sur le seuil de la porte et me souhaita une bonne soirée.

     

    Lorsque la porte se referme derrière Laure et son mari, je n’en mène pas large. Malgré le fait que j’ai avoué à Laure que je n’ai pas besoin de couche, je suis à nouveau langée et cette fois-ci avec une couche étrange dont j’ignorais l’existence jusqu’à ce soir. Je décide d’attendre un peu l’endormissement complet des deux filles pour détailler cette fameuse couche. Au bout d’une demi-heure, je monte à l’étage pour vérifier que les deux filles dorment bien et j’en profite pour aller dans la salle de bain qui dispose d’un large miroir. Je referme la porte de la salle de bain derrière moi et je relève ma jupe pour découvrir la couche que je porte. Ne rien avoir avec une couche normale même plastifiée comme celle de la semaine dernière. Celle-ci a un revêtement plastique plus épais qui ne froisse pas. Il semble d’ailleurs plus épais au centre de la couche et s’affine sur les bords pour terminer par des fronces élastiques au niveau des cuisses et du ventre.

     

     

    La couche est épaisse, car la garniture intérieure doit bien faire plusieurs centimètres d’épaisseur. Ce qui est le plus notable sur cette couche c’est son système de fixation. En lieu et place des traditionnels attachés auto collantes, se trouvent des languettes crantées en plastique rigide fixées  par deux rivets sur le devant du lange, deux de chaque côté. Elles partent vers l’arrière et sont engagées dans des passants elles aussi du même plastique fixe sur l’arrière de la couche. J’ai bien senti que Laure avait passé les languettes dans les encoches avant de tirer une à une les languettes pour parfaitement refermer la couche sur mes fesses. Celle-ci est d’ailleurs particulièrement serrée. Je me dis que Laure n’a pas dû compter les crans des languettes et que je peux certainement desserrer la couche pour le temps de la soirée. Je pousse donc la languette supérieure droite de la couche en sens inverse de l’introduction dans l’encoche pour desserrer la couche. Je n’y arrive pas, la languette ne veut pas ressortir. Je me penche pour mieux l’observer et je découvre que les crans de la languette sont biseautés. Ils peuvent rentrer dans l’encoche, mais on ne peut pas leur faire faire marche arrière. Je constate dépitée que je n’aille pas pouvoir ni desserrer la couche ni plus encore l’enlever.

     

    Paniquant à ce constat je tente une nouvelle fois de défaire la languette, mais sans aucun résultat. Je n’en mène vraiment pas large et je me demande où Laure a pu trouver une telle couche. Cette situation commence réellement à m’échapper, je maudis ma curiosité de l’autre jour à l’origine de cette situation si fâcheuse ce soir. Ayant compris que toute tentative pour enlever la couche serait vaine je me résous à redescendre au salon. Je regarde machinalement la télé non sans penser constamment à cette couche dont je suis prisonnière. N’imaginant pas devoir en reporter ce soir je n’ai même pas pris la précaution d’aller aux toilettes avant de me rendre chez Laure et Luc et j’ai la douloureuse impression que je vais avoir rapidement envie de faire pipi. Comme il n’est pas prévu qu’ils rentrent tôt je vais très certainement devoir faire dans cette couche. La couche est très serrée, épaisse à l’entrejambe et du fait de cette enveloppe plastique impossible de joindre les cuisses comme avec la couche classique de la dernière fois. Impossible de me concentrer sur le film, mes pensées me ramènent à l’étrange situation dans laquelle je me suis mise.

     

     

    Il n’est pas encore 22h00 quand c’est ma vessie qui se rappelle à mon bon souvenir. L’envie se fait vite pressante, mais il n’est pas évident de faire pipi dans une couche, cela n’a rien de très naturel à mon âge. Par sécurité, et parce que c’est la position qui m’est habituelle, je vais aux toilettes, relève ma jupe, m’asseoir puis je me relâche le plus lentement possible. La couche absorbe le pipi au fur et à mesure, aucune trace de fuite au niveau des fronces qui entourent mes cuisses et mon ventre, la couche est parfaitement en place et étanche. En me penchant pour l’observer je constate en tache de couleur bleue qui est apparu sur la couche. Je me relève et décide d’aller inspecter à nouveau ma couche dans le large miroir mural de la salle de bain. Je retire complètement ma jupe afin d’avoir une meilleure vision. L’enveloppe plastique de la couche que je pensais de couleur blanche est en fait translucide, la couleur blanche venant de la garniture du change. La garniture du change doit réagir à l’urine, car la tâche qui est apparue correspond manifestement au large pipi que je viens de faire dans ma couche.

     

     

    Je trouve cela doublement humiliant, d’abord de devoir porter une couche à mon âge, mais en plus que celle-ci laisse ainsi apparaître visiblement que je l’ai mouillée. Je passe ma main sur la couche, celle-ci n’a pas été altérée par mon flux, elle est toujours parfaitement en place et semble prête à absorber à nouveau un pipi identique sans broncher. Aucune évolution par contre sur les languettes qui la maintiennent parfaitement n’en place. La couche remonte également suffisamment sur mon ventre, avec une forme parfaitement anatomique pour que je ne puisse pas, à défaut, la retirer par le bas comme on retire une culotte. Je décide de ne pas subir plus longtemps cette situation et après un moment de panique je me dis qu’il me faut réfléchir, qu’il y a forcément un moyen de retirer cette couche de mes fesses. Si ces languettes ne peuvent pas revenir en arrière dans les encoches, il doit falloir les couper pour ouvrir la couche. Je me maudis de ne pas y avoir pensé plus tôt. Je pars en quête d’une paire de ciseaux que je trouve finalement dans un tiroir de la cuisine. Je remonte prestement à la salle de bain sans faire de bruit pour ne pas réveiller les filles qui heureusement dorment à poing fermé. La distance entre le début de chaque languette et les encoches est faible, quelques centimètres tout au plus et comme Laure a tiré chacune au maximum j’ai déjà du mal à glisser l’une des deux lames du ciseau entre la languette et l’enveloppe de la couche sur le côté gauche cette fois-ci, car je suis droitière.

     

     

    Une fois arrivée à mes fins je tente de couper la languette, mais celle-ci résiste. J’ai eu beau placer le ciseau dans la partie la plus fine entre deux crans biseauté, impossible de couper cette première languette et cette couche en compte quatre! Je retire finalement le ciseau et en observant la languette à l’endroit où je viens d’essayer de la couper je constate une légère entaille. En fait je me rends compte que je n’ai réussi qu’à entailler la surface en plastique, mais qu’en dessous apparaît une matière brillante qui ressemble à du métal. Celui-ci est fin, mais manifestement suffisant résistant pour faire échec aux ciseaux. Cette découverte m’inquiète un peu plus, cette étrange couche est manifestement conçue pour ne pas que l’on puisse la retirer non sans quelque astuce ou accessoire dont manifestent je ne dispose pas.

     

    ” Je vois que contrairement à mes instructions on cherche à enlever sa couche !”

     

    La voix de Laure dans mon dos et se tenant dans l’embrasure de la porte me surprend complètement et me laisse sans voix pour le coup. Tout occuper à essayer de couper cette languette je ne l’ai absolument pas entendu rentrer et cela aurait très bien pu être également l’une de ses filles qui aurait pu se réveiller et le trouver dans cette fâcheuse posture, ayant laissé la porte de la salle de bain cette fois-ci ouverte. Ma première pensée se porte sur Luc me demandant s’il est lui aussi déjà dans la maison et je jette un coup d’œil très inquiet derrière Laure pour voir si son mari ne va pas apparaître dans le couloir de l’étage. Laure le comprend et m’indique tout de suite qu’elle est rentrée seule en taxi sans son mari, s’ennuyant ferme à ce cocktail professionnel. Elle tient son téléphone à la main et je me demande depuis combien de temps elle est tapie à m’observer.

     

     

    Pour toute réponse, elle consulte son portable et m’indique qu’elle n’a pas manqué d’immortaliser ce moment où sa baby-sitter essaie d’enlever la couche qu’elle a largement mouillée si elle en croit la large tâche bleue à mon entrejambe. Rouge de honte, je prends prestement ma jupe restée sur le bord du lavabo et essaie piteusement de cacher cette couche avec cette dernière, mais c’est manifestement un peu tard. Laure, le geste assuré, me reprend ma jupe des mains et la repose sur le lavabo. Elle me prend par le bras et m’entraîne vers la chambre parentale qui se trouve à l’étage, mais à l’opposé de la salle de bain et des chambres des filles. Sans ma jupe rien ne cache la couche que je ne porte ni mon chemisier ni mon gilet bien trop court pour cela. Ayant laissé mes chaussures à l’entrée de la maison, je suis juste en chaussettes courte. Laure avec autorité, me demande de m’asseoir sur le large lit conjugal. Elle allume la large télé qui se trouve en face du lit puis prend une deuxième télécommande et met en route une vidéo. Je découvre que j’ai été filmée mon insu, et cela dès mon premier baby-sitting.

     

     

    Apparemment il y a des caméras dissimulées dans chaque pièce, car Laure a pu suivre tous mes déplacements de pièce en pièce. À ma plus grande honte et avec une qualité vidéo haute définition on me voit et on m’entend fouiller dans la salle de bain, découvrir le paquet de couches de Laure puis en prendre une et aller m’installer sur le lit pour la mettre après avoir relevé ma jupe et enlever ma culotte. La vidéo est très fluide comme si les caméras me suivaient de pièce en pièce. La vidéo se poursuit ou l’on me voit maintenant installée dans le canapé du salon. Laure appuie sur la touche pause, me laissant à l’écran en image fixe.

     

     

    Je tente de m’excuser pour auprès de Laure qui me fixe d’un air sévère. Elle m’arrête très vite en me disant que mon attitude était très puérile, mais que c’était hélas fréquent chez les adolescentes aujourd’hui même celles qui ont déjà 18 ans comme moi. Puis son attitude se radoucit et elle vient s’asseoir à côté de moi. Tu es à un âge charnière Anne, déjà un corps de jeune femme, mais encore très enfant dans ton attitude. On croit pouvoir vous faire confiance, vous traiter en adulte, mais c’est un tort et vous c’est vous mettre trop de responsabilités sur vos frêles épaules. À ton âge on joue à la petite femme sans en mesurer les conséquences, n’ est-ce pas me fait-elle. Je ne sais que lui répondre, sa proximité me gêne je me sens très mal à l’aise. Laure le sentant insiste sur le sujet qui fâche. Je te mets une couche en te demandant de la garder pour la soirée, mais tu n’as de cesse que d’essayer de l’enlever et que tu fasses pipi dedans n’a rien d’extraordinaire puisqu’une couche est faite pour être utilisée. Je trouve l’affirmation un rien déplacée, mais je ne dis mot. Laure poursuit, que faisons-nous de toi jeune fille maintenant, feint-elle de s’interroger. Elle doit lire une certaine panique dans mon regard, mais me pose la main gauche sur mon épaule regarde sa montre et calcule que nous avons une bonne heure et demie avant que Luc ne rentre. Tu ne voudrais pas qu’il te retrouve dans cette tenue me fait-elle. Je bredouille un non-timide qui ravit Laure. On s’est bien compris jeune fille me dit-elle.

     

     

    Laure maintenant sûre de son avantage en vient au fait. J’ai deux choix me dit-elle, soit indiquer à tes parents ce qui s’est passé soit que mon attitude déplacée reste entre nous. Sans me laisser le temps de répondre, elle m’indique que la deuxième option nécessite du coup que je fasse exactement ce qu’elle attend de moi. Je lui demande du coup timidement ce qu’elle attend de ma part. Laure me répond qu’elle me veut comme baby-sitter attitrée de ces filles et que vais devoir dorénavant systématiquement me rendre disponible à chaque demande. Je ne sais pas trop à quoi je m’attendais, mais finalement cette exigence ne me semble pas trop compliquée à assumer. La suite allait me faire vite déchanter. Par contre, poursuit-elle, à chaque baby-sitting tu arriveras langée avec une couche que je t’aurais fournie, tu porteras une couche identique à celle que tu portes en ce moment pendant la durée du baby-sitting et tu repartiras chez toi à nouveau langée d’une couche classique. Reprenant un peu mes esprits je lui demande pour quoi ce port de couches alors qu’elle sait bien que c’était juste de la curiosité mal placée de ma part. Laure me sourit et m’explique que de trop nombreuses de ses amies ont vu leurs maris sortir avec la baby-sitter de leurs enfants, de jeunes adolescentes comme moi qui font tourner la tête de leur quarantenaire de maris. Ne voulant pas craindre de vivre cette situation à son tour, Laure à trouver dans le port de couches par ses babysitters un moyen efficace que celles-ci se tiennent bien à distance de son mari de peur que celui-ci ne découvre les étranges dessous qu’elles portent sous leurs jupes. De plus me dit-elle, avec les couches spéciales qu’elle me fait porter elle est également assurée que je ne ramènerai pas un petit copain chez elle pendant la durée du baby-sitting ni même que je me livrerai seule à de coupables caresses en regardant ou non un film porno à la télé ou sur le net. Enfin, laure achevé son explication en me disant que le port de couches me rappellera utilement que je suis encore qu’un bébé et qu’il conviendra de ne pas l’oublier et de s’en remettre à elle comme à une seconde Maman.

     

     

    La deuxième partie de ses exigences me fait l’effet d’une douche froide, mais ai-je vraiment le choix de dire non? Comme pour achever de me convaincre, Laure remet en route la vidéo où l’on me voit changer par elle à la fin du dernier baby-sitting et ressortir de la chambre avec une couche sur les fesses, me rajustant avant de redescendre rejoindre Luc m’attendant pour me ramener chez moi. Pour ne pas qu’il n’y ait aucune équivoque, Laure me dit qu’elle n’hésiterait pas à diffuser cette vidéo compromettante si je venais à revenir sur mon engagement. Mon silence valant acceptation. Elle m’indique qu’elle va maintenant s’occuper de moi. Elle referme la porte de la chambre pour ne pas que ses filles ne nous entendent et se réveillent, puis elle me demande de me lever. Elle me place face à la glace murale de la chambre puis se place derrière moi. Elle m’indique qu’elle va m’expliquer et me détailler la couche particulière que je porte. Afin que rien n’entrave, sa vision me dit-elle, Laure me retire mon gilet puis mon chemisier. Je ne suis plus vêtue que de mes chaussettes, de mon soutien gorge et de cette fameuse couche. Toujours placée dans mon dos, Laure me demande d’observer dans la glace située à moins d’un mètre face à moi. Elle me fait pivoter légèrement sur le côté gauche pour bien me faire voir les fameuses languettes engagées dans les encoches. Elle reproduit mon geste de tout à l’heure m’expliquant que le biseau empêche toute tentative de retour en arrière de la languette ainsi engagée dans l’encoche comme j’avais déjà pu l’expérimenter. Me ramenant face à la glace, elle passe maintenant sa main droite sur le devant de ma couche et pointe le haut de la tâche bleue trahissant le fait que je l’ai mouillée. Laure m’indique qu’il y a un réactif dans la matière absorbante du change qui transforme l’urine en gel de couleur bleue ce qui permet de savoir immédiatement l’état de la couche et si j’ai besoin d’être changer. Son doigt passe maintenant vers les fronces élastiques autour de ma cuisse droite. Elle glisse celui-ci entre la fronce et la cuisse pour bien me montrer son parfait ajustement assurant l’étanchéité de la couche. Elle fait de même autour de ma taille, la couche étant si serrée que seul son doigt est capable de s’y glisser. Je suis avec attention et également appréhension cette revue de détail très mal à l’aise dans cette situation si embarrassante.

     

    Laure délaisse ma couche pour dégrafer dans mon dos mon soutient gorge. Je relève instinctivement mes bras et pose mes mains sur les bonnets de mon soutien gorge pour ne pas qu’il tombe. Laure me dit qu’il est temps pour moi d’être changée et de prendre une douche et que pour cela garder mon soutient gorge n’était pas approprié. Je descends donc mes mains et laisse Laure me retirer mon soutien-gorge, je baisse la tête pour ne pas voir mon image se refléter dans le miroir. Laure dépose mon soutient gorge sur un fauteuil avec le reste de mes vêtements. Elle me laisse ainsi pour aller chercher quelque chose dans le placard. Elle revient avec une large serviette de bain qu’elle étale sur le lit puis me prenant par les épaules elle me dirige vers le lit et me fait m’allonger sur le dos sur la serviette fraîchement positionnée. Je comprends qu’elle va me retirer la couche et je suis intriguée par ma manière dont elle va s’y prendre. Elle va chercher quelque chose dans le tiroir de son buffet et lorsqu’elle revient vers moi je me redresse sur mes coudes pour l’observer.

     

    Laure me demande de me rallonger et se penche vers moi. Je vais satisfaire ta curiosité ma chère petite me dit elle et elle me montrer l’objet qu’elle tient dans sa main droite. Il s’agit d’une petite pince en acier sorte de ciseau à branches fines. Laure m’indique qu’il s’agit d’une pince spécialement faite dans un acier japonais très résistant permettant de couper les encoches latérales de ma couche et de libérer ainsi les languettes. Joignant le geste à la parole, elle me fait légèrement pivoter vers la droite pour couper les deux encoches gauches puis inversement à gauche pour celles de droites. Je ressens avec soulagement le fait d’être libéré de cette couche si serrée sur mes fesses et mon entrejambe. Laure me fait écarter les jambes puis lever le bassin pour retirer la couche qui garde cette forme incurvée due au plastique semi-rigide. Elle me fait me redresser et je suis assise sur la serviette, cette fois-ci complètement nue. Laure me montre maintenant la couche que je viens de porter. À l’intérieur du change on voit bien la même tâche bleue, en plus large, que celle apparaissant sur l’enveloppe extérieure. La surface intérieure de la couche semble sèche au moins visuellement et la garniture est si épaisse que l’on imagine facilement cette couche capable d’absorber beaucoup d’urine avant d’arriver à saturation. C’est d’ailleurs ce que Laure m’explique manifestement très fière de sa trouvaille. Ceci fait-elle pose la couche au pied du lit et me demande de la suivre dans la salle de bain attenante.

     

     

    Elle me fait couler un bain puis m’invite à y entrer ce que je fais. Je m’attendais à pouvoir disposer de la salle de bain seule, mais Laure douche si je puis dire cet espoir en m’indiquant qu’elle revient d’ici 5 minutes pour me savonner. J’allais esquisser une protestation, mais Laure pose son doit sur ma bouche et me conseillant l’obéissance eu égard à mes écarts de conduite. Je comprends parfaitement le message et me glisse dans le bain que Laure a fait moussante, me soustrayant ainsi au regard de Laure sur mon corps totalement nu. Les 5 minutes évoquées par Laure me paraissent une heure, plein de sentiments se bousculent dans ma tête et je pressens que l’avenir ne va pas manquer de me réserver encore quelques surprises avec cette étrange mère de famille. Laure refait son apparition dans la salle de bain avec une fleur de bain et du savon liquide. Elle me demande de le mettre debout et entreprend de me savonner avec précision sur chaque partie de mon corps. Elle insiste particulièrement pour mon plus grand déplaisir sur mes fesses et mon entrejambe justifiant cela part la zone en contact avec la couche mouillée. Je ne voudrais pas que tu aies des irritations me glisse elle a l’oreille. Âpres se savonnage en règle, elle me rince avec la pomme de douche, vide la baignoire et me fait sortir.

     

    C’est elle qui me sèche dans une large serviette comme si je n’étais pas en capacité de le faire moi-même. Enfin sèche, elle m’entraîne vers la chambre ou la serviette se trouve toujours sur le dessus de lit. À côté une couche “classique”, mais aussi un tube de crème et un pot de talc. Laure me fait allonger sur la serviette et m’explique qu’elle va me mettre en couche “retour” dès à présent pour que je sois prête quand son mari rentrera pour me raccompagner. Une fois allongée, elle me fait lever le bassin pour positionner la couche-culotte sous mes fesses. Avant de la rabattre, je dois largement écarter les jambes pour qu’elle me crème le “minou” selon son expression puis qu’elle me talque largement les fesses et l’entrejambe. J’ai la désagréable impression d’être revenir très longtemps en arrière même si je n’ai pas de souvenir précis d’avoir été ainsi changée, car trop petite pour m’en souvenir.

     

    Laure est appliquée et finalement elle rabat le devant de la couche et la fixe de façon experte avec les adhésifs prévus à cet effet. La couche est serrée même si la sensation est différente de celle ressentie avec la couche à languette. Laure me demande maintenant de le rhabiller et de la rejoindre en bas au salon. Enfin seule je remets avec soulagement mes vêtements même si la couche remplace la culotte assortie à mon soutien gorge que je devrai porter. Je descends au salon selon les instructions de Laure. Elle est assise dans le canapé et me demande de venir vers elle. Une fois en face d’elle elle soulève d’autorité ma jupe pour vérifier le bon positionnement de ma couche, je trouve cela particulièrement humiliant, mais ne pipe mot. D’un geste elle m’invite à m’asseoir dans un fauteuil et m’invite à prendre mon portable pour caler dans mon agenda les futures dates des baby-sittings que je devrai faire pour elle. Elle m’indique 5 dates dans les deux mois à venir plus un week-end complet à la montagne dans 10 jours. En autres circonstances j’aurai été ravie de l’argent de poche que j’aurai ainsi gagné, mais je n’oublie pas l’étrange contrepartie de devoir faire ses baby-sittings enfermé dans une couche et langé avant et après comme une jeune fille pas encore propre.

     

    Laure va d’ailleurs à cet effet me chercher une couche que je devrai porter à mon arrivée dès la semaine prochaine pour leur prochaine sortie. Je la glisse prestement dans mon sac que je referme. Quelques instants plus tard, le bruit d’une voiture dans l’allée de gravier menant à la maison nous indique que Luc est déjà de retour. Je tire instinctivement sur ma jupe pour être sûre qu’elle cache bien la couche que je porte et cela fait sourire Laure qui m’observe. Elle prend son sac à main et me donne l’argent pour ce baby-sitting. Elle compte 15 euros de l’heure ce qui est largement plus que ce que je gagne habituellement en gardant des enfants. C’est cependant une+-+ maigre compensation eu égard à l’étrange scénario qu’elle me fait vivre et qui est parti pour durer. Je n’oublie pas le planning fourni que j’ai accepté. Je prends l’argent en remerciant Laure et le mets dans mon sac que je ferme soigneusement pour ne pas que l’on puisse voir la couche qu’il contient et que Laure m’a confiée pour mon prochain baby-sitting. Luc fait son entrée dans la maison et me découvre au côté de Laure prête à rentrer à la maison. Laure me souhaite dans un sourire une bonne nuit, son regard passant de mon visage à ma jupe comme je ne manque pas de le remarquer. Instinctivement je baisse la tête pour vérifier ma jupe. Luc, fort heureusement ne remarque rien, trop pressé de me raccompagner. Comme la dernière fois, je me force à lui faire la conversation pour ne pas installer un silence trop pesant dans la voiture qui pourrait trahir le bruit de plastique que fait la couche à chaque mouvement. Je suis aidée par un fond de musique de l’autoradio et Luc, comme la dernière fois, ne semble pas remarquer quoi que ce soit. Dès mon retour à la maison, je retire prestement ma couche que je glisse dans un sac plastique. Par sécurité je le déposerai demain sur le chemin de l’école dans une poubelle publique.

    #83827
    Myroir
    Participant


    Très bien écrit mais le souci c’est qu’elle ne semble pas y prendre plaisir. On ne peut même pas dire qu’elle soit consentante. Elle subit juste un chantage.

    Tu es décidément une vilaine fille. Monte dans la chambre et attends-moi.

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