J’ai été fessée devant toute une école pour adultes !!!
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Anonyme, le il y a 2 années et 3 mois.
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- 1 novembre 2022 à 06:59 #82731
PanpanKuku
Participant
(Récit fictif)Hello ! Je m’appelle Diane et je vais vous raconter une histoire qui s’est passée il y a assez longtemps. C’était à l’époque où je commençais ma vie d’adulte. J’avais 25 ans, je sortais de mes études universitaires et je voulais m’inscrire dans une école de tourisme. Après avoir cherché longtemps sur internet, j’ai fini par trouver l’école idéale ! C’était une toute petite structure qui ne comportait que deux ou trois classes selon les années, avec un maximum de 10 élèves par classe, ce qui faisait au plus une trentaine d’élèves pour toute l’école.
Cette école annonçait ni plus ni moins que 100% de réussite. Ce que je n’avais pas vu – ou plutôt j’avais probablement pas voulu le voir ou le comprendre – c’est qu’elle prétendait que ce résultat exceptionnel était dû à des méthodes qui commençaient à devenir elles aussi exceptionnelles, à cette époque. Même quand j’étais allé signer le contrat d’entrée dans l’école, on m’avait demandé si j’avais bien lu toutes les clauses du contrat, surtout celles concernant les méthodes employées. Comme j’étais d’une grande naïveté, j’avais répondu sans réfléchir, que c’était OK pour moi, dans la mesure ou ce qui comptait était surtout la réussite.
En fait la clause que je n’avais pas lue concernait le droit d’utiliser les châtiments corporels, notamment la fessée, déculottée, et devant toute la classe. Bref j’arrivais toute frétillante au premier jour de cette école. Il y avait effectivement un tout petit nombre d’élèves, tous à peu près du même âge que moi… je dirai de 25 à 30 ans. On m’a immédiatement mise au courant de cette fameuse clause, et on en a ri, si bien que je me demande si je n’en ai pas minimisé la gravité, et surtout ses conséquences possibles dramatiques.
Curieusement, d’ailleurs, les enseignants se sont gardés de l’appliquer dès la première semaine. Mais c’était bien entré dans mon cerveau ! Peut-être faut-io préciser que je fantasmais sur la fessée depuis toute petite. Il s’était passé un incident lorsque j’avais 10 ans, à l’école primaire : une camarade avait reçu une fessée devant toute la classe et ça m’avait troublée au pint d’orienter toute ma sexualité enfantine – et ce jusqu’à la l’âge adulte, un peu comme Rousseau le décrit si bien dans ses confessions – autour de la fessée. Donc cette clause m’a évidemment un peu travaillé, sur le moment, mais pas tant que ça après tout.
Bref la suite, je vais vous la donner sous la forme de mon journal, que j’ai tenu à cette époque, et dont je ne recopie que les éléments en rapports avec l’événement dramatique que j’y ai vécu la troisième semaine de cours. Dois-je préciser, avant que vous n’en commenciez la lecture, qu’à cette époque j’étais d’une naïveté et d’une bêtise crasse, et que, aussi incroyable que cela puisse paraître, je n’avais encore aucune expérience sexuelle réelle, à part la masturbation, et que je ressemblais plus à une jeune écervelée de 14 ans qu’à la jeune femme adulte que j’aurais du être alors !…
J’avais peut-être aussi un énorme besoin de reconnaissance, un besoin d’être aimée, qui se traduisait par un besoin d’être admirée… Et pour que l’on comprenne tout le texte, il faut enfin ajouter que je vivais encore chez mes parents, qui appliquaient eux aussi, depuis que j’étais toute enfant, une éducation stricte et sévère fondée sur un usage régulier de la fessée déculottée. Mais quand je dis régulier, il faut reconnaître que je ne la recevais qu’au plus une ou deux fois par an.
Voici donc un extrait de mon journal de cette époque :
Mardi 8 septembre
Aujourd’hui une nouvelle élève est arrivée à l’école. Elle s’appelle Isabelle. Hyper sexy, toujours soit en minijupe extra courte, ou en robe très moulante qui arrive au raz des fesses, ou encore en legging ou jeans mais toujours extrêmement moulant. Immédiatement je me suis dit “Ah elle-là, si elle a pas envie qu’on lui voie tout, c’est à n’y rien comprendre !” Mais j’ai eu une petite idée qui devrait être très marrante. Je te raconterai ça demain, journal, si ça s’est bien passé.
Mercredi 29 septembre
Oh la la, ça a marché !… Je lui soulevé la jupe et on a tous vu sa culotte !!! Ah ha ha ha quel rire. Toute la cour de récréation a trouvé ça hilarant. Maintenant elle est toute honteuse chaque fois qu’on la voit et moi je suis devenu en une fraction de seconde une héroïne. Mais j’ai eu l’idée du siècle : demain je vais faire encore mieux !
Jeudi 30 septembre
Ouaaah c’est incroyable, j’ai osé faire un truc dingue. J’ai refait le coup de la jupe retroussée, mais en plus j’ai attrapé la culotte et je l’ai baissée jusqu’au cuisses ! Mais comme la robe était très moulante, elle est restée en l’air… et pendant les trois ou quatre petites secondes qu’elle a mis pour se rendre compte de ce qui se passait, et redescendre sa robe… on a tout vu !!! TOUT !!!!! Putain, rien que d’y repenser, ça m’excite vraiment grave. Mais aussi ça m’embête. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir inventer la prochaine fois pour grimper encore dans les étages de l’héroïsme ?
Vendredi 1er juillet
Mmmmh changement de ton. J’ai mal aux fesses. Ben oui, j’ose à peine l’écrire, mais la maîtresse a informé ma maman de ce que j’avais fait. Résultat : ma maman m’a donné une de ces fessées dont elle a le secret. Mais ce qu’elle ne se rend pas compte c’est qu’avec le temps j’ai grandi et je résiste mieux aux claques. Je lui ai même dit que j’avais rien senti. Mais ça m’a donné une idée pour Isabelle…
Lundi 4 juillet
J’ai pas trouvé le moment pour faire mon idée… Alors en attendant, pour pas perdre mon statut d’héroine, j’ai trouvé une autre idée. Je fais des photos de culs de garçons et de filles, et même, pour ces dernières, de ce qu’il y a sous leurs jupes … et je les vends. Peut-être demain ? Oh je ne résiste pas au plaisir de dire ce que je vais faire: je vais essayer de lui donner la fessée. Mais une vraie, déculottée, et devant toute la cour de récré. La pour sur je serai plus la reine je serai l’impératrice !!!!!!!
Mardi 5 juillet
Cette fois ÇA Y EST !!! C’est fait !!!!! Ouiiiii !!!!!!!
Oh je ne sais pas si je vais m’en remettre …
Quel rire ! Mais aussi quelle excitation : je crois bien que c’est la première fois que j’ai eu un vrai orgasme !!!!!!!!!!!! Oh pas pendant la fessée, bien que j’étais tout prêt de jouir … mais après, aux WC.
En fait j’ai dû être prudente. Je savais que je ne pourrais jamais le faire dans la cour de récréation. J’ai dû ruser. Mais j’ai eu un coup de génie. On sortait du réfectoire. C’était le soir, au moment où les élèves allaient tous dans une salle qui leur était réservée et qui faisait office de mini-bar et de salle de danse. Les profs ne venaient en général pas trop nous surveiller, ils savaient qu’il n’y aurait pas trop de problèmes. Je crois surtout qu’ils n’aimaient pas la force de la musique… J’y suis allée avec les autres. A un moment donné, je me suis arrangée pour passer tout près d’elle et de la bousculer un peu. Il faut peut-être préciser qu’elle est assez hautaine, qu’elle se moque facilement en riant très fort, et qu’a cause de ça personne ne l’aime à l’école.
Bref j’ai fait semblant que c’était elle qui m’avait bousculé et je me suis renversé mon verre d’eau gazeuse sur moi. C’était tellement bien fait qu’elle-même a pensé qu’elle m’avait vraiment bousculé. Alors je me suis énervée et j’ai rapidement fait monter la sauce, mais seulement jusqu’à un certain point. J’ai fait mine de me calmer et j’ai attendu qu’elle aille vers les WC. Je l’ai suivie et comme il y avait plusieurs filles et garçons qui avaient assisté à la scène de la bousculade, ils m’ont suivi. Ils savaient ce qui allait se passer ! En effet je leur avais annoncé, un peu crânement qu’avant la fin de la journée, je lui aurais flanqué une fessée déculottée carabinée et devant tout le monde. Un ‘<i>Aaaah</i>‘ d’étonnement a accueilli cette déclaration, et je me suis senti soudain devenue la magicienne qui allait réaliser le plus grand tour de l’histoire. Donc on a été la coincer littéralement dans le couloir qui mène aux WC et là je l’ai apostrophée.
J’ai rapidement fait monter la sauce, ils ont réagi exactement comme je l’espérais (je suis une sacrée meneuse d’hommes, je m’étonne moi-même). Il a encore fallu m’assurer qu’elle ne s’échapperait pas. J’ai usé de chantage en lui rappelant une affaire de vol de coca-cola au réfectoire, et en menaçant de la dénoncer. C’était futile et bête mais ça a marché, elle était tellement sidérée de ce qui se passait qu’elle n’a pas vraiment réfléchi. Elle s’est laissée faire. Alors j’ai pris mon courage à deux mains (il m’en fallait, mais j’étais tellement excité… par l’adrénaline je pense), je l’ai traînée vers un banc disposé le long du mur, je m’y suis assisse, je l’ai attirée à moi, et là, j’ai carrément descendu sa jupette courte et plissée de petite fille, ces fameuses jupettes au tissu écossais façon écolière, et j’ai baissé sa culotte. Moi-même j’avais mis une minijupe en jean, et les élèves, quand je me suis assise, ont aussi pu se rincer l’œil de ce que je dévoilais sous celle-ci. Parce que j’ai bien écarté les jambes… j’avais mi une petite culotte en dentelle presque transparente, hi hi hi !
J’ai bien dû lui flanquer au moins 300 claques. Il n’y avait évidemment pas toute l’école, mais bien 6 à 8 élèves, un tout petit peu plus de garçons que de filles. Mais ce sont les filles qui ont eu les meilleures réactions en se mettant à rire nerveusement, comme des folles. Les garçons, eux regardaient, sidérés. J’en ai même vu un qui a mis la main dans son pantalon pour se caresser doucement… moi j’étais au comble de l’excitation. Comme on dit vulgairement, je mouillais énormément.
A la fin de la fessée, je l’ai faite se redresser. Je n’ai jamais vu un visage aussi rouge de honte, presque encore plus rouge que ses fesses elles-mêmes, pourtant déjà presque rouge foncé. Comme elle était perdue dans ses sanglots, ça n’a pas été difficile de la tourner face aux autres, et ils ont encore tout bien vu pendant qu’elle se reculottait. Une très longue salve d’applaudissement m’a remerciée et je suis immédiatement devenue la grande héroïne de l’école !!!
Mercredi 6 juillet
Oooooh j’ai mal ! Et j’ai honte, mais alors, j’ai honte !!! Je sors de chez l’éducatrice de l’école. Ils ont engagé cette dame horriblement sévère et forte qu’ils ont appelée ‘éducatrice’. En fait c’est juste une dame qui applique les sentences de corrections aux élèves, et, principalement, leur donne la fessée. Mais je ne le savais pas. J’ai été envoyée chez elle, et je n’imaginais même pas que ce serait pour cette histoire de fessée à Isabelle. Mais ça a été le moment le plus horrible de toute ma vie.
Quand je suis arrivée à son bureau, elle m’a immédiatement attrapé par les cheveux et m’a traînée vers la salle à l’arrière, où j’ai eu la surprise de trouver Isabelle enfoncée dans une sorte de canapé. Et là elle m’a forcé à m’excuser, elle me claquait les fesses très très fort si je ne le faisais pas bien. Oh ça a bien un moment. A un moment donné, elle m’a même baissé le legging et la culotte devant Isabelle.
J’ai essayé de cacher ma foufoune de mes mains, mais l’éducatrice m’a flanqué une claque encore plus monstrueuse en me criant ‘<i>mains sur la tête !!!</i>’ J’ai dû répéter des phrases du type ‘<i>je m’excuse Isabelle de comment je t’ai maltraité</i>’ et ‘<i>je mérite de recevoir la fessée déculottée devant toi</i>’. Puis elle m’a basculée sur ses genoux et m’a flanqué une fessée … mais alors UNE FESSEE !!! Je croyais que je pourrais résister et faire la fière, comme avec ma maman, mais au bout de seulement dix claques je me suis mise à hurler et à essayer désespérément d’échapper à cette main qui claquait si fort.
La brûlure était insupportable, comme si on me plaçait un fer à repasser chaud sur les fesses à chaque claque. J’ai éclaté en sanglots au bout d’une centaine de claques, je pense, et ça a encore duré de très longues minutes. C’était interminable. Elle a même fini par pendre une brosse large, en bois, et c’était encore plus épouvantable. Je poussais des siclées, comme une gamine, je m’étranglais dans mes hoquets, je remuais dans tous les sens sans plus aucune pudeur en exhibant tout de manière très obscène et complètement non-contrôlée !!!!! A travers mes yeux embués, je voyais Isabelle rire comme une petite fille trop contente d’assister à un tel spectacle.
A la fin j’ai dû encore m’excuser devant elle, toujours déculottée, elle fixait ma foufoune comme si elle n’en voulait jamais effacer l’image de son esprit. Elle s’est encore moquée de moi quand j’ai dû remonter mes culottes devant elle. Elle se réjouissait d’en parler à ses copines. Et ça a été le dernier coup de poignard qui m’a achevé. J’ai pleuré toues les larmes de mon corps.
J’ai très mal aux fesses et j’ai très peur de retourner à l’école demain. Je serai dégradée au rang de pétasse qui a été très honteusement déculottée devant sa copine, qui a pleuré comme une gamine…
Jeudi 7 juillet
Je suis retournée à l’école. Oh la la, c’est bien ce que je craignais, je suis la risée de toute l’école, quoique les réactions soient assez diverses, curieusement.
Il y a ceux qui me regardent sans que je sache trop ce qu’ils pensent. Tout au plus puis-je lire dans leurs yeux une interrogation sur ce que je peux ressentir maintenant. Il y en a d’autres qui me regardent de loin en souriant. J’ai vu deux filles qui se chuchotaient quelque chose. J’ai cru lire sur les lèvres de l’une d’entre elles ‘T<i>u as vu ? C’est celle qui s’est fait baisser les culottes devant Isabelle…</i>’ Et elles ont éclaté d’un rire cristallin que j’ai bien entendu cette fois. Et puis il y a le pire, ceux qui me lancent des quolibets du genre ‘<i>Salut fesses rouges !…</i>’ ou, plus direct : ‘<i>Alors, c’était comment, cette fessée devant Isabelle ?</i>’
Et puis, il y a eu soudain cette rumeur, ce bruit qui a couru que je serai bientôt déculottée devant toute la classe. Je ne sais pas d’où c’est venu, mais j’espère que c’est juste un fantasme. Brrr, devant toute la classe, ce serait vraiment terrible, l’horreur totale. Je les imagine déjà, en train de regarder de tous leurs yeux non seulement mon intimité, exhibée de la façon la plus humiliante qui soit, mais aussi ma honte lorsque je me mettrai à pleurer, comme je l’ai fait devant Isabelle, chez l’éducatrice.
Vendredi 7 juillet
Et voilà, le pire est arrivé. J’en pleure encore, tellement j’ai honte et mal aux fesses. C’était vraiment l’horreur totale, pire que tout ce que j’avais pu imaginer dans mes pires cauchemars. Et ça ne s’est pas passé en classe, mais devant toute l’école, à la grande récréation de dix heures du matin. Ah ils avaient bien préparé leur coup, le directeur, ma maman, l’éducatrice et ma maîtresse principale, madame Graspoulet !…
Au début du cours du matin, la directrice et l’éducatrice sont entrées dans la classe, et ont annoncé que la récréation serait un peu chamboulée ce matin, parce que j’allais recevoir la fessée devant toute l’école pour ce que j’avais fait à Isabelle. J’ai senti comme si on plantait un poignard dans le ventre, je suis immédiatement sentie devenir rouge pivoine mon cœur s’est mis à battre dans ma poitrine à m’en faire mal, et j’ai eu bien du mal à ne pas laisser couler une larme de mes yeux.
La leçon s’est terminée difficilement pour moi. Je voyais mes camarades se retourner régulièrement de mon côté avec un sourire goguenard. Ma voisine s’est plusieurs fois penchée pour me souffler que ce serait bientôt ma fessée, que l’heure approchait. Et effectivement, l’heure est arrivée. Je ne voyais aucun moyen d’échapper à ce qui allait être la pire honte que j’aurais jamais vécue et que j’espère que je ne vivrai plus jamais.
La directrice, ma maman et l’éducatrice sont entrées dans la classe, trois minutes avant la sonnerie de la récréation. Elles ont expliqué que lorsque la sonnerie allait retentir, tous devraient descendre dans la cour, calmement, pour assister à la fessée. Une petite voix a demandé, timidement : ‘<i>Elle sera déculottée, la fessée ?</i>’ Et la directrice elle-même a répondu ‘<i>Évidement</i>’.
Et la cloche a retentit. L’éducatrice m’a attrapée par le bras pour me traîner sans ménagement vers la porte de sortie et jusque dans la cour. Les portes des deux autres classes se sint ouvertes, et les classes sont sorties pour descendre elles aussi dans la cour de récrélation. Il y avait des chuchotements derrière nous. J’entendais certains élèves dire ‘<i>Elle va se faire baisser les culottes</i>’ et aussi ‘<i>Ouaaaah on va tout voir</i>’.
Arrivés à la cour de récréation, après que toute l’école, qui avait été aussi avertie, se soit mise en place en cercle autour de nous, la directrice a rappelé à très haute voix ce que j’avais fait à Isabelle et que j’allais donc recevoir la fessée déculottée devant toute l’école. On a fait venir Isabelle et, alors que personne ne l’aime, elle a été applaudie !
Puis tout s’est accéléré. Il y avait une chaise posée au milieu de la cour, et l’éducatrice s’y est assise. Elle m’a attiré vers elle et elle a entrepris de relever ma robe très moulante et de me baisser la culotte. J’ai entendu des pouffements de rire et je voyais tous les élèves regarder de tous leurs yeux en direction de ma foufoune, soudainement exhibée très obscènement et très honteusement. Les garçons surtout regardaient, sidérés, ce spectacle, d’habitude interdit, mais qu’on leur offrait cette fois très officiellement, et si généreusement. Pour rien au monde ils n’auraient fermé les yeux à ce moment !… Et l’éducatrice m’a basculée sur ces genoux. Cette fois c’était le moment, j’allais revivre l’horreur d’il y a deux jours. Je n’ai pas été déçue, si je puis dire.
Curieusement elle a commencé un peu moins fort que la première fois, quand j’étais juste devant Isabelle. J’ai cru que j’allais bien m’en sortir… enfin… bien… je veux dire que je pourrais résister. Erreur ! Au bout d’une cinquantaine de claques (à la vitesse où elle y allait ça n’a même pas dû durer plus 45 secondes) elle a soudain augmenté très brutalement la force ! Elle devait lever très haut le bras et le rabattre avec une force monstrueuse.
Là j’ai perdu tout contrôle, encore beaucoup plus vite qu’il y avait deux jours. Il faut dire que la brûlure de ces claques, venant deux jours après la fessée précédente, était absolument insupportable. Et encore, quand je dis insupportable, il n’y a pas de mots pour décrire ce feu hallucinant qui m’envahissait les fesses. Et pas moyen de résister, pas moyen de m’échapper, je pouvais juste me tortiller du bas frénétiquement, sans plus aucun contrôle de ce que je montrais impudiquement, et sans doute très obscènement, à tous les élèves, toujours réunis en cercle, mais qui s’étaient rapprochés pour encore mieux voir.
Mais comme ils étaient en rond, moi aussi je les voyais, en tout cas ceux qui étaient face à moi, et qui regardaient soit d’un air sidéré soit en souriant de toutes leurs dents, soit même qui riaient franchement. Les filles se parlaient entre elles en commentant. Et des rires ont commencé à fuser. Très vite aussi j’ai complètement craqué, les larmes ont jailli et je me suis mis à pleurer de manière totalement incontrôlable.
Le spectacle devait être hallucinant, moi dansant, sautant littéralement sur les genoux de l’éducatrice, levant la tête et la rabaissant immédiatement après, roulant sur le côté en montrant mon intimité de plus en plus généreusement, et essayant désespérément d’interposer ma petite main toute tremblotante en m’étranglant dans mes pleurs, en hoquetant, ou encore en poussant des siclées comme on dit chez nous. Et ça a duré au moins sept ou huit minutes. Je crois même me souvenir qu’elle a pris une brosse, et que ça a été encore pire.
Quand elle a enfin arrêté et qu’elle m’a relevé, je me suis mis à sautiller bêtement devant tout le monde, en virevoltant et en me frottant les fesses. De cette façon je montrais bien ma foufoune une dernière fois, sans plus aucune pudeur, et les rires ont augmenté, mais aussi une énorme salve d’applaudissement, interminable (elle a bien dû durer une à deux minutes), a commencé. J’ai finalement dû me reculotter devant tout le monde, puis la maîtresse a dispersé tout le monde. Mais ça a été horrible, épouvantable.
Je ne savais pas où me mettre, tout le monde me regardait, riait, ou même me lançait des quolibets. Moi, j’étais encore tout tremblante et agitée de pleurs qui ne voulaient plus s’arrêter. Même en classe, je respirais encore difficilement, les élèves se retournaient régulièrement pour m’observer, et je reniflais et continuais de sangloter doucement.
Parce que la fessée c’est ça :C’est une terrible angoisse avant, une douleur insupportable pendant … et une humiliation presque encore plus épouvantable après !!!…
Alors voila, je reprends la plume, aujourd’hui. Je précise que je n’ai plus jamais fait de bêtise de ce genre. J’ai fini et réussi ma formation dans cette école. Mais je n’ai jamais pu échapper à cette étiquette que j’avais obtenue après cette spectaculaire fessée, de petite gamine qui se fait déculotter et qui ne pouvais plus se retenir de pleurer même encore assez longtemps après la fessée elle-même.
Mais il y a eu d’autres fessées mémorables, et chacune m’a fait jouir encore plus les unes que les précédentes ! Mais c’est une autre histoire, dont je vous extrairai peut-être plus tard les récits de mon journal, si vous en exprimez l’envie…
1 novembre 2022 à 13:23 #82743BadCristou
ParticipantDes fessées honteuses et de plus en plus impressionnantes ! Merci pour cette jolie histoire 👍
3 novembre 2022 à 07:39 #82769Petite Coccinelle
ParticipantHeu y avait internet avant????
Sinon merci pour ton récit mais pour moi je trouve qque c’est horrible qu’une maman ai laissée faire ça à sa fille……
3 novembre 2022 à 08:52 #82770laurentfrou-ge1
ParticipantC’est fictif PC. Sinon ça tombe sous le coup de la loi. Gros pavé.
3 novembre 2022 à 19:25 #82790PanpanKuku
Participant(Récit fictif)
- Hello ! Je m’appelle Frèderic mais je vais vous rwc9nter une histoirefictive comme si j’étais une jeune femme sppelée Diane.
DONC :
Hello je m’appelle Diane et je vais vous raconter une histoire qui s’est passée il y a assez longtemps. C’était à l’époque où je commençais ma vie d’adulte. J’avais 25 ans, je sortais de mes études universitaires et je voulais m’inscrire dans une école de tourisme. Après avoir cherché longtemps sur internet, j’ai fini par trouver l’école idéale ! C’était une toute petite structure qui ne comportait que deux ou trois classes selon les années, avec un maximum de 10 élèves par classe, ce qui faisait au plus une trentaine d’élèves pour toute l’école. Cette école annonçait ni plus ni moins que 100% de réussite. Ce que je n’avais pas vu – ou plutôt j’avais probablement pas voulu le voir ou le comprendre – c’est qu’elle prétendait que ce résultat exceptionnel était dû à des méthodes qui commençaient à devenir elles aussi exceptionnelles, à cette époque. Même quand j’étais allé signer le contrat d’entrée dans l’école, on m’avait demandé si j’avais bien lu toutes les clauses du contrat, surtout celles concernant les méthodes employées. Comme j’étais d’une grande naïveté, j’avais répondu sans réfléchir, que c’était OK pour moi, dans la mesure ou ce qui comptait était surtout la réussite. En fait la clause que je n’avais pas lue concernait le droit d’utiliser les châtiments corporels, notamment la fessée, déculottée, et devant toute la classe. Bref j’arrivais toute frétillante au premier jour de cette école. Il y avait effectivement un tout petit nombre d’élèves, tous à peu près du même âge que moi… je dirai de 25 à 30 ans. On m’a immédiatement mise au courant de cette fameuse clause, et on en a ri, si bien que je me demande si je n’en ai pas minimisé la gravité, et surtout ses conséquences possibles dramatiques. Curieusement, d’ailleurs, les enseignants se sont gardés de l’appliquer dès la première semaine. Mais c’était bien entré dans mon cerveau ! Peut-être faut-io préciser que je fantasmais sur la fessée depuis toute petite. Il s’était passé un incident lorsque j’avais 10 ans, à l’école primaire : une camarade avait reçu une fessée devant toute la classe et ça m’avait troublée au pint d’orienter toute ma sexualité enfantine – et ce jusqu’à la l’âge adulte, un peu comme Rousseau le décrit si bien dans ses confessions – autour de la fessée. Donc cette clause m’a évidemment un peu travaillé, sur le moment, mais pas tant que ça après tout. Bref la suite, je vais vous la donner sous la forme de mon journal, que j’ai tenu à cette époque, et dont je ne recopie que les éléments en rapports avec l’événement dramatique que j’y ai vécu la troisième semaine de cours. Dois-je préciser, avant que vous n’en commenciez la lecture, qu’à cette époque j’étais d’une naïveté et d’une bêtise crasse, et que, aussi incroyable que cela puisse paraître, je n’avais encore aucune expérience sexuelle réelle, à part la masturbation, et que je ressemblais plus à une jeune écervelée de 14 ans qu’à la jeune femme adulte que j’aurais du être alors !… J’avais peut-être aussi un énorme besoin de reconnaissance, un besoin d’être aimée, qui se traduisait par un besoin d’être admirée… Et pour que l’on comprenne tout le texte, il faut enfin ajouter que je vivais encore chez mes parents, qui appliquaient eux aussi, depuis que j’étais toute enfant, une éducation stricte et sévère fondée sur un usage régulier de la fessée déculottée. Mais quand je dis régulier, il faut reconnaître que je ne la recevais qu’au plus une ou deux fois par an. Voici donc un extrait de mon journal de cette époque : Mardi 8 septembre Aujourd’hui une nouvelle élève est arrivée à l’école. Elle s’appelle Isabelle. Hyper sexy, toujours soit en minijupe extra courte, ou en robe très moulante qui arrive au raz des fesses, ou encore en legging ou jeans mais toujours extrêmement moulant. Immédiatement je me suis dit “Ah elle-là, si elle a pas envie qu’on lui voie tout, c’est à n’y rien comprendre !” Mais j’ai eu une petite idée qui devrait être très marrante. Je te raconterai ça demain, journal, si ça s’est bien passé. Mercredi 29 septembre Oh la la, ça a marché !… Je lui soulevé la jupe et on a tous vu sa culotte !!! Ah ha ha ha quel rire. Toute la cour de récréation a trouvé ça hilarant. Maintenant elle est toute honteuse chaque fois qu’on la voit et moi je suis devenu en une fraction de seconde une héroïne. Mais j’ai eu l’idée du siècle : demain je vais faire encore mieux ! Jeudi 30 septembre Ouaaah c’est incroyable, j’ai osé faire un truc dingue. J’ai refait le coup de la jupe retroussée, mais en plus j’ai attrapé la culotte et je l’ai baissée jusqu’au cuisses ! Mais comme la robe était très moulante, elle est restée en l’air… et pendant les trois ou quatre petites secondes qu’elle a mis pour se rendre compte de ce qui se passait, et redescendre sa robe… on a tout vu !!! TOUT !!!!! Putain, rien que d’y repenser, ça m’excite vraiment grave. Mais aussi ça m’embête. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir inventer la prochaine fois pour grimper encore dans les étages de l’héroïsme ? Vendredi 1er juillet Mmmmh changement de ton. J’ai mal aux fesses. Ben oui, j’ose à peine l’écrire, mais la maîtresse a informé ma maman de ce que j’avais fait. Résultat : ma maman m’a donné une de ces fessées dont elle a le secret. Mais ce qu’elle ne se rend pas compte c’est qu’avec le temps j’ai grandi et je résiste mieux aux claques. Je lui ai même dit que j’avais rien senti. Mais ça m’a donné une idée pour Isabelle… Lundi 4 juillet J’ai pas trouvé le moment pour faire mon idée… Alors en attendant, pour pas perdre mon statut d’héroine, j’ai trouvé une autre idée. Je fais des photos de culs de garçons et de filles, et même, pour ces dernières, de ce qu’il y a sous leurs jupes … et je les vends. Peut-être demain ? Oh je ne résiste pas au plaisir de dire ce que je vais faire: je vais essayer de lui donner la fessée. Mais une vraie, déculottée, et devant toute la cour de récré. La pour sur je serai plus la reine je serai l’impératrice !!!!!!! Mardi 5 juillet Cette fois ÇA Y EST !!! C’est fait !!!!! Ouiiiii !!!!!!! Oh je ne sais pas si je vais m’en remettre … Quel rire ! Mais aussi quelle excitation : je crois bien que c’est la première fois que j’ai eu un vrai orgasme !!!!!!!!!!!! Oh pas pendant la fessée, bien que j’étais tout prêt de jouir … mais après, aux WC. En fait j’ai dû être prudente. Je savais que je ne pourrais jamais le faire dans la cour de récréation. J’ai dû ruser. Mais j’ai eu un coup de génie. On sortait du réfectoire. C’était le soir, au moment où les élèves allaient tous dans une salle qui leur était réservée et qui faisait office de mini-bar et de salle de danse. Les profs ne venaient en général pas trop nous surveiller, ils savaient qu’il n’y aurait pas trop de problèmes. Je crois surtout qu’ils n’aimaient pas la force de la musique… J’y suis allée avec les autres. A un moment donné, je me suis arrangée pour passer tout près d’elle et de la bousculer un peu. Il faut peut-être préciser qu’elle est assez hautaine, qu’elle se moque facilement en riant très fort, et qu’a cause de ça personne ne l’aime à l’école. Bref j’ai fait semblant que c’était elle qui m’avait bousculé et je me suis renversé mon verre d’eau gazeuse sur moi. C’était tellement bien fait qu’elle-même a pensé qu’elle m’avait vraiment bousculé. Alors je me suis énervée et j’ai rapidement fait monter la sauce, mais seulement jusqu’à un certain point. J’ai fait mine de me calmer et j’ai attendu qu’elle aille vers les WC. Je l’ai suivie et comme il y avait plusieurs filles et garçons qui avaient assisté à la scène de la bousculade, ils m’ont suivi. Ils savaient ce qui allait se passer ! En effet je leur avais annoncé, un peu crânement qu’avant la fin de la journée, je lui aurais flanqué une fessée déculottée carabinée et devant tout le monde. Un ‘<i>Aaaah</i>‘ d’étonnement a accueilli cette déclaration, et je me suis senti soudain devenue la magicienne qui allait réaliser le plus grand tour de l’histoire. Donc on a été la coincer littéralement dans le couloir qui mène aux WC et là je l’ai apostrophée. J’ai rapidement fait monter la sauce, ils ont réagi exactement comme je l’espérais (je suis une sacrée meneuse d’hommes, je m’étonne moi-même). Il a encore fallu m’assurer qu’elle ne s’échapperait pas. J’ai usé de chantage en lui rappelant une affaire de vol de coca-cola au réfectoire, et en menaçant de la dénoncer. C’était futile et bête mais ça a marché, elle était tellement sidérée de ce qui se passait qu’elle n’a pas vraiment réfléchi. Elle s’est laissée faire. Alors j’ai pris mon courage à deux mains (il m’en fallait, mais j’étais tellement excité… par l’adrénaline je pense), je l’ai traînée vers un banc disposé le long du mur, je m’y suis assisse, je l’ai attirée à moi, et là, j’ai carrément descendu sa jupette courte et plissée de petite fille, ces fameuses jupettes au tissu écossais façon écolière, et j’ai baissé sa culotte. Moi-même j’avais mis une minijupe en jean, et les élèves, quand je me suis assise, ont aussi pu se rincer l’œil de ce que je dévoilais sous celle-ci. Parce que j’ai bien écarté les jambes… j’avais mi une petite culotte en dentelle presque transparente, hi hi hi ! J’ai bien dû lui flanquer au moins 300 claques. Il n’y avait évidemment pas toute l’école, mais bien 6 à 8 élèves, un tout petit peu plus de garçons que de filles. Mais ce sont les filles qui ont eu les meilleures réactions en se mettant à rire nerveusement, comme des folles. Les garçons, eux regardaient, sidérés. J’en ai même vu un qui a mis la main dans son pantalon pour se caresser doucement… moi j’étais au comble de l’excitation. Comme on dit vulgairement, je mouillais énormément. A la fin de la fessée, je l’ai faite se redresser. Je n’ai jamais vu un visage aussi rouge de honte, presque encore plus rouge que ses fesses elles-mêmes, pourtant déjà presque rouge foncé. Comme elle était perdue dans ses sanglots, ça n’a pas été difficile de la tourner face aux autres, et ils ont encore tout bien vu pendant qu’elle se reculottait. Une très longue salve d’applaudissement m’a remerciée et je suis immédiatement devenue la grande héroïne de l’école !!! Mercredi 6 juillet Oooooh j’ai mal ! Et j’ai honte, mais alors, j’ai honte !!! Je sors de chez l’éducatrice de l’école. Ils ont engagé cette dame horriblement sévère et forte qu’ils ont appelée ‘éducatrice’. En fait c’est juste une dame qui applique les sentences de corrections aux élèves, et, principalement, leur donne la fessée. Mais je ne le savais pas. J’ai été envoyée chez elle, et je n’imaginais même pas que ce serait pour cette histoire de fessée à Isabelle. Mais ça a été le moment le plus horrible de toute ma vie. Quand je suis arrivée à son bureau, elle m’a immédiatement attrapé par les cheveux et m’a traînée vers la salle à l’arrière, où j’ai eu la surprise de trouver Isabelle enfoncée dans une sorte de canapé. Et là elle m’a forcé à m’excuser, elle me claquait les fesses très très fort si je ne le faisais pas bien. Oh ça a bien un moment. A un moment donné, elle m’a même baissé le legging et la culotte devant Isabelle. J’ai essayé de cacher ma foufoune de mes mains, mais l’éducatrice m’a flanqué une claque encore plus monstrueuse en me criant ‘<i>mains sur la tête !!!</i>’ J’ai dû répéter des phrases du type ‘<i>je m’excuse Isabelle de comment je t’ai maltraité</i>’ et ‘<i>je mérite de recevoir la fessée déculottée devant toi</i>’. Puis elle m’a basculée sur ses genoux et m’a flanqué une fessée … mais alors UNE FESSEE !!! Je croyais que je pourrais résister et faire la fière, comme avec ma maman, mais au bout de seulement dix claques je me suis mise à hurler et à essayer désespérément d’échapper à cette main qui claquait si fort. La brûlure était insupportable, comme si on me plaçait un fer à repasser chaud sur les fesses à chaque claque. J’ai éclaté en sanglots au bout d’une centaine de claques, je pense, et ça a encore duré de très longues minutes. C’était interminable. Elle a même fini par pendre une brosse large, en bois, et c’était encore plus épouvantable. Je poussais des siclées, comme une gamine, je m’étranglais dans mes hoquets, je remuais dans tous les sens sans plus aucune pudeur en exhibant tout de manière très obscène et complètement non-contrôlée !!!!! A travers mes yeux embués, je voyais Isabelle rire comme une petite fille trop contente d’assister à un tel spectacle. A la fin j’ai dû encore m’excuser devant elle, toujours déculottée, elle fixait ma foufoune comme si elle n’en voulait jamais effacer l’image de son esprit. Elle s’est encore moquée de moi quand j’ai dû remonter mes culottes devant elle. Elle se réjouissait d’en parler à ses copines. Et ça a été le dernier coup de poignard qui m’a achevé. J’ai pleuré toues les larmes de mon corps. J’ai très mal aux fesses et j’ai très peur de retourner à l’école demain. Je serai dégradée au rang de pétasse qui a été très honteusement déculottée devant sa copine, qui a pleuré comme une gamine… Jeudi 7 juillet Je suis retournée à l’école. Oh la la, c’est bien ce que je craignais, je suis la risée de toute l’école, quoique les réactions soient assez diverses, curieusement. Il y a ceux qui me regardent sans que je sache trop ce qu’ils pensent. Tout au plus puis-je lire dans leurs yeux une interrogation sur ce que je peux ressentir maintenant. Il y en a d’autres qui me regardent de loin en souriant. J’ai vu deux filles qui se chuchotaient quelque chose. J’ai cru lire sur les lèvres de l’une d’entre elles ‘T<i>u as vu ? C’est celle qui s’est fait baisser les culottes devant Isabelle…</i>’ Et elles ont éclaté d’un rire cristallin que j’ai bien entendu cette fois. Et puis il y a le pire, ceux qui me lancent des quolibets du genre ‘<i>Salut fesses rouges !…</i>’ ou, plus direct : ‘<i>Alors, c’était comment, cette fessée devant Isabelle ?</i>’ Et puis, il y a eu soudain cette rumeur, ce bruit qui a couru que je serai bientôt déculottée devant toute la classe. Je ne sais pas d’où c’est venu, mais j’espère que c’est juste un fantasme. Brrr, devant toute la classe, ce serait vraiment terrible, l’horreur totale. Je les imagine déjà, en train de regarder de tous leurs yeux non seulement mon intimité, exhibée de la façon la plus humiliante qui soit, mais aussi ma honte lorsque je me mettrai à pleurer, comme je l’ai fait devant Isabelle, chez l’éducatrice. Vendredi 7 juillet Et voilà, le pire est arrivé. J’en pleure encore, tellement j’ai honte et mal aux fesses. C’était vraiment l’horreur totale, pire que tout ce que j’avais pu imaginer dans mes pires cauchemars. Et ça ne s’est pas passé en classe, mais devant toute l’école, à la grande récréation de dix heures du matin. Ah ils avaient bien préparé leur coup, le directeur, ma maman, l’éducatrice et ma maîtresse principale, madame Graspoulet !… Au début du cours du matin, la directrice et l’éducatrice sont entrées dans la classe, et ont annoncé que la récréation serait un peu chamboulée ce matin, parce que j’allais recevoir la fessée devant toute l’école pour ce que j’avais fait à Isabelle. J’ai senti comme si on plantait un poignard dans le ventre, je suis immédiatement sentie devenir rouge pivoine mon cœur s’est mis à battre dans ma poitrine à m’en faire mal, et j’ai eu bien du mal à ne pas laisser couler une larme de mes yeux. La leçon s’est terminée difficilement pour moi. Je voyais mes camarades se retourner régulièrement de mon côté avec un sourire goguenard. Ma voisine s’est plusieurs fois penchée pour me souffler que ce serait bientôt ma fessée, que l’heure approchait. Et effectivement, l’heure est arrivée. Je ne voyais aucun moyen d’échapper à ce qui allait être la pire honte que j’aurais jamais vécue et que j’espère que je ne vivrai plus jamais. La directrice, ma maman et l’éducatrice sont entrées dans la classe, trois minutes avant la sonnerie de la récréation. Elles ont expliqué que lorsque la sonnerie allait retentir, tous devraient descendre dans la cour, calmement, pour assister à la fessée. Une petite voix a demandé, timidement : ‘<i>Elle sera déculottée, la fessée ?</i>’ Et la directrice elle-même a répondu ‘<i>Évidement</i>’. Et la cloche a retentit. L’éducatrice m’a attrapée par le bras pour me traîner sans ménagement vers la porte de sortie et jusque dans la cour. Les portes des deux autres classes se sint ouvertes, et les classes sont sorties pour descendre elles aussi dans la cour de récrélation. Il y avait des chuchotements derrière nous. J’entendais certains élèves dire ‘<i>Elle va se faire baisser les culottes</i>’ et aussi ‘<i>Ouaaaah on va tout voir</i>’. Arrivés à la cour de récréation, après que toute l’école, qui avait été aussi avertie, se soit mise en place en cercle autour de nous, la directrice a rappelé à très haute voix ce que j’avais fait à Isabelle et que j’allais donc recevoir la fessée déculottée devant toute l’école. On a fait venir Isabelle et, alors que personne ne l’aime, elle a été applaudie ! Puis tout s’est accéléré. Il y avait une chaise posée au milieu de la cour, et l’éducatrice s’y est assise. Elle m’a attiré vers elle et elle a entrepris de relever ma robe très moulante et de me baisser la culotte. J’ai entendu des pouffements de rire et je voyais tous les élèves regarder de tous leurs yeux en direction de ma foufoune, soudainement exhibée très obscènement et très honteusement. Les garçons surtout regardaient, sidérés, ce spectacle, d’habitude interdit, mais qu’on leur offrait cette fois très officiellement, et si généreusement. Pour rien au monde ils n’auraient fermé les yeux à ce moment !… Et l’éducatrice m’a basculée sur ces genoux. Cette fois c’était le moment, j’allais revivre l’horreur d’il y a deux jours. Je n’ai pas été déçue, si je puis dire. Curieusement elle a commencé un peu moins fort que la première fois, quand j’étais juste devant Isabelle. J’ai cru que j’allais bien m’en sortir… enfin… bien… je veux dire que je pourrais résister. Erreur ! Au bout d’une cinquantaine de claques (à la vitesse où elle y allait ça n’a même pas dû durer plus 45 secondes) elle a soudain augmenté très brutalement la force ! Elle devait lever très haut le bras et le rabattre avec une force monstrueuse. Là j’ai perdu tout contrôle, encore beaucoup plus vite qu’il y avait deux jours. Il faut dire que la brûlure de ces claques, venant deux jours après la fessée précédente, était absolument insupportable. Et encore, quand je dis insupportable, il n’y a pas de mots pour décrire ce feu hallucinant qui m’envahissait les fesses. Et pas moyen de résister, pas moyen de m’échapper, je pouvais juste me tortiller du bas frénétiquement, sans plus aucun contrôle de ce que je montrais impudiquement, et sans doute très obscènement, à tous les élèves, toujours réunis en cercle, mais qui s’étaient rapprochés pour encore mieux voir. Mais comme ils étaient en rond, moi aussi je les voyais, en tout cas ceux qui étaient face à moi, et qui regardaient soit d’un air sidéré soit en souriant de toutes leurs dents, soit même qui riaient franchement. Les filles se parlaient entre elles en commentant. Et des rires ont commencé à fuser. Très vite aussi j’ai complètement craqué, les larmes ont jailli et je me suis mis à pleurer de manière totalement incontrôlable. Le spectacle devait être hallucinant, moi dansant, sautant littéralement sur les genoux de l’éducatrice, levant la tête et la rabaissant immédiatement après, roulant sur le côté en montrant mon intimité de plus en plus généreusement, et essayant désespérément d’interposer ma petite main toute tremblotante en m’étranglant dans mes pleurs, en hoquetant, ou encore en poussant des siclées comme on dit chez nous. Et ça a duré au moins sept ou huit minutes. Je crois même me souvenir qu’elle a pris une brosse, et que ça a été encore pire. Quand elle a enfin arrêté et qu’elle m’a relevé, je me suis mis à sautiller bêtement devant tout le monde, en virevoltant et en me frottant les fesses. De cette façon je montrais bien ma foufoune une dernière fois, sans plus aucune pudeur, et les rires ont augmenté, mais aussi une énorme salve d’applaudissement, interminable (elle a bien dû durer une à deux minutes), a commencé. J’ai finalement dû me reculotter devant tout le monde, puis la maîtresse a dispersé tout le monde. Mais ça a été horrible, épouvantable. Je ne savais pas où me mettre, tout le monde me regardait, riait, ou même me lançait des quolibets. Moi, j’étais encore tout tremblante et agitée de pleurs qui ne voulaient plus s’arrêter. Même en classe, je respirais encore difficilement, les élèves se retournaient régulièrement pour m’observer, et je reniflais et continuais de sangloter doucement. Parce que la fessée c’est ça :C’est une terrible angoisse avant, une douleur insupportable pendant … et une humiliation presque encore plus épouvantable après !!!… Alors voila, je reprends la plume, aujourd’hui. Je précise que je n’ai plus jamais fait de bêtise de ce genre. J’ai fini et réussi ma formation dans cette école. Mais je n’ai jamais pu échapper à cette étiquette que j’avais obtenue après cette spectaculaire fessée, de petite gamine qui se fait déculotter et qui ne pouvais plus se retenir de pleurer même encore assez longtemps après la fessée elle-même. Mais il y a eu d’autres fessées mémorables, et chacune m’a fait jouir encore plus les unes que les précédentes ! Mais c’est une autre histoire, dont je vous extrairai peut-être plus tard les récits de mon journal, si vous en exprimez l’envie…
3 novembre 2022 à 23:50 #82795laurentfrou-ge1
ParticipantJ’ai déjà lu ce second récit qq part. 🙄
4 novembre 2022 à 11:57 #82799PanpanKuku
Participant6 novembre 2022 à 18:28 #82828Titi
ParticipantCe récit est en effet bourré d’invraisemblances mais il traite d’un sujet qui me tient à cœur : la fessée en présence de témoins car je trouve qu’être vue la recevoir en démultiplie l’effet à la fois pour celui ou celle qui la donne que celle qui la reçoit. Il faut bien entendu que les témoins soient intéressés par le sujet et majeurs, il va sans dire.
Mains fines pour fesses délicates
7 novembre 2022 à 04:58 #82837Anonyme
InactifQuel récit haletant! De juillet à septembre, tout y est: Diane, Isabelle et les autres… et les rôles inversés! J’aime.
Bravo!
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