Flora au programme

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    Anonyme
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    Ce jour-là, je devais passer prendre un collègue de bureau pour nous rendre au club de tennis. Nous étions devenus amis. Arrivé chez lui, je patientais pendant qu’il préparait quelques affaires. C’est alors que je vis sur la table une sorte de carnet duquel un bout de feuille dépassait. On pouvait y lire : « Flora : achats inconsidérés, mensonges, récidive ». Qui pouvait être Flora et qu’est-ce que tout cela pouvait bien vouloir dire ? Je posai la question. Remarquant que cela m’intriguait beaucoup, mon collègue entreprit son explication.

     

    « Tu sais, certaines femmes manquent d’autodiscipline, ce qui les empêche d’avoir une vie saine et heureuse. Elles souffrent parfois d’une mauvaise hygiène de vie ou se perdent dans leurs mensonges. Il leur est utile d’avoir quelqu’un pour les surveiller et les sanctionner lorsqu’elles retombent dans leurs travers. Souvent, les mots ou les privations ne suffisent pas et le châtiment corporel est nécessaire à leur discipline ».

     

    Flora était-elle sa compagne ? Il poursuivit :

     

    « Avec plusieurs vieilles connaissances, on a toutefois remarqué que la fessée comme méthode de sanction n’avait pas toujours l’effet escompté. Quelques unes de nos fréquentations oubliaient trop vite et recommençaient aussitôt.  On a alors décidé de consacrer un certain soir de la semaine à fesser ces jeunes femmes pour qu’elles se souviennent et prévenir toute rechute. Comme il aurait été difficile de nous rendre toujours disponibles, on a convenu d’un programme collectif. Chaque jeudi, les membres de notre cercle d’amis qui le peuvent se réunissent pour traiter de ces cas délicats. Lorsque c’est possible, chacun corrige une femme qu’il n’a jamais punie. Ca limite la mansuétude. Pour te répondre sur Flora : c’est la demoiselle dont je devrai m’occuper demain. Je n’ai que quelques infos sur elle mais c’est amplement suffisant. Je ne me laisserai pas berner par un visage d’ange. »

     

    Mon collègue conclut son propos en me proposant d’assister à la séance. Il y avait quelques invités chaque semaine, des hommes à qui était donnée la possibilité de regarder et même de donner leurs premières claques sur fessier. La fessée est un art qu’il convient d’apprendre auprès de personnes expérimentées. J’acceptai sa proposition sans savoir où je mettais les pieds.

     

    Le lendemain, « jour de programme » – et quel programme, cinq femmes nous attendaient. J’observais incrédule le spectacle qui commençait. Un profond silence s’installait alors que les filles se déshabillaient. Nues, on leur demanda d’écarter les jambes. Chaque fesseur fit le tour de la femme qui lui était confiée, comme pour en prendre possession. Mon collègue allongea Flora sur ses genoux. Alors que les coups commençaient à pleuvoir, je m’agitais encore plus qu’elle. J’étais toujours à la recherche du meilleur angle, de la meilleure position pour regarder. Chaque millimètre de sa peau était à découvert mais son visage finit par retenir toute mon attention. Je relevai ses longs cheveux pour mieux voir. Je ne voulais manquer aucune de ses expressions, aucun de ses regards. Je n’avais aucune idée de qui était cette femme : peut-être avait-elle de l’argent, du pouvoir. Mais je savais que, face à moi, elle serait toujours petite et que, face à elle, je serais toujours grand. J’étais fasciné. Je réfléchis à ce que mon collègue m’avait dit sur le visage d’ange : il était impensable que la demoiselle allongée se soit rendue coupable d’indiscipline.

     

    Flora fut ensuite allongée sur le dos, les jambes levées et écartées. Avait-elle mérité cette posture humiliante ? Son fesseur rétorqua que ça transformait les femmes irrévérencieuses et rebelles en femmes humbles et modestes, et m’enjoignit de prendre sa place. Etranger à ce type d’exercice, je me laissai rapidement emporter par l’excitation et posai mes mains sur sa généreuse poitrine. Je me remémorai l’inscription du carnet et lui dis que si elle était loin d’agir comme une adulte, elle avait bien le corps d’une femme ! Mon collègue reprit sa place pour conclure la correction.

     

    En fin de séance, les femmes fessées devaient étreindre leurs fesseurs en signe d’amitié. Elles furent conduites au coin en tenue d’Eve, mains sur la tête, pour réfléchir. J’étais avec les autres hommes pour qu’on échange nos impressions. Assurément, si une femme me demandait de veiller sur elle, je rejoindrais le programme !

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