En cette saison estivale, je suis appelée pour faire visiter le monument égyptien à Paris.
Je dois accueillir chaque groupe de six et faire la visite guidée accompagné du bruit des visiteurs, des enfants et des appareils photos.
Je fais ce boulot depuis un an et mon patron n’est pas souple avec les salariés.
Après dix visites, je dis au patron que je fais ma pause, café, cigarette, lecture.
Il vient me trouver et me dit “vous prenez déjà votre pause ? ”
Je réponds que oui et pour me “punir” à sa manière, me mène dans son bureau, m’oblige à enlever mon string et continuer la visite sans.
J’aimerai répondre mais vu sa tête, il n’est pas content.
Je continue mes visites comme si de rien n’était.
Le groupe suivant a un enfant de cinq ou six ans, un de ces enfants mal élevés.
Je l’entends poser La question à sa mère : “maman, la dame elle a une culotte sous sa robe ?”
Je me retiens de rire et continue la visite.
Quelques minutes plus tard, mes visites sont finies pour aujourd’hui.
Je vais prévenir mon patron dans son bureau.
Il me dit “bien, alors comment c’était sans culotte ? ”
Je lui répondis que j’avais honte et j’étais gêné mais ne laissait rien paraître.
Il me déshabilla, alla chercher un ballon de foot et me demanda d’éviter celui-ci quand il le lance.
Je le prit cinq fois au total et il m’avertit que x10 = 50 fessées.
Je lui dis “non, vous avez pas le droit ! “, il me répondit que sinon il me virait.
Pour nourrir les enfants et mon mari, j’avais besoin de ce poste.
Il me mit dix claques sur les fesses, à la main allongée sur ses genoux.
Ensuite dix claques debout avec un martinet puis une règle plate, une ceinture et enfin la dernière à la main, de nouveau couchée sur ses genoux, nue.
Je dus aller au coin cinq minutes et un de mes collègues rentra pour lui parler.
Il m’observa, surpris puis repris sa discussion avec mon chef.
J’avais honte, les fesses rouges, à poil dans son bureau à la vue d’un collègue.
Les minutes passèrent et je pus sortir du coin, il me consola et m’autorisa à me rhabiller après m’avoir mis de l’arnica.
Ce fut ma première fessée publique et malgré tout j’ai aimé ça, mon entrejambe trempé et fus heureuse qu’il n’est ni touché ni regardé cet endroit.