Fessée régressive

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  • Ce sujet contient 3 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 1 année et 3 mois.
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    Anonyme
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    Je m’appelle Alice, j’ai 26 ans et je suis doctorante en mathématique. Nous sommes lundi, il est 18H00 et je me rends au domicile parisien de mon professeur de mathématiques appliqués qui me suit dans mon travail. Laurent Deschamps est homme d’une cinquantaine d’années je dirai, très reconnu dans le milieu universitaire pour ses travaux sur les algorithmes. J’ai eu de la chance qu’il accepte de me suivre mais c’est un homme très exigeant que je redoute un peu je dois dire. Il m’a bien prévenu qu’il acceptait de me suivre selon ses règles et principes qu’il me donnerait au fur et à mesure. Grand, mince, les cheveux grisonnants, style classique, seules ses lunettes bleues marque un soupçon de fantaisie dans une allure assez stricte au demeurant. Cela fait un an que nous collaborons et un peu plus encore. En effet, malgré l’âge et l’expertise qui nous sépare, je suis depuis le début assez fascinée par cet homme, attirée par lui également je dois bien me l’avouer. Aucune ouverture de sa part ne m’a poussé dans cette voie je dois dire et de nature plutôt réservée il ne me viendrait pas à l’idée de faire un quelconque appel du pied. Quelques semaines après le début de notre collaboration, un évènement pour le moins inattendu allait se produire. Alors que j’étais à son domicile pour une cession de travail, Laurent jugea mon travail très en dessous de ses attentes.

    Alice, vous m’avez habituée à bien mieux, il y a du relâchement dans votre travail. Dans d’autres temps les maîtres n’hésitaient pas à punir comme il se doit les élèves fautifs. Je me propose de vous en faire l’expérience, cela vous remettra les idées à l’endroit.

    Sans que je ne le voie venir, Laurent me prend fermement par le bras et m’allonge entre ses jambes, lui assis sur sa chaise de travail. A ma grande stupeur il entreprend de me fesser sur le pantalon de toile que je porte ce jour-là. Je suis surprise et certainement interloquée par la scène mais je n’ose protester de ce traitement. La fessée est sèche, rythmée et assez intense mais elle cesse aussi rapidement qu’elle est venue. Je me relève un peu titubante pendant que Laurent poursuit ses explications sur le sujet que je ne maitrisais pas suffisamment à son goût. Il en sera ainsi plusieurs autres fois dès que la qualité de mon travail n’aura pas trouver grâce aux yeux de mon professeur.

    Le souvenir de la première fessée reste celui d’un trouble profond chez moi, vite associé à une excitation certaine en y repensant. Depuis je dois avouer les apprécier tout en les redoutant, les espérer aussi secrètement. En fonction de l’humeur de mon professeur la fessée peu finir déculottée ce qui ajoute un peu plus à mon trouble. Les exigences de celui-ci se portent sur mon travail mais aussi sur les tenues qu’il me veut voir porter lors de mes visites chez lui. Exit les pantalons ajustés, les basquettes à la mode et les dessous chic. Sous ses exigences, je me transforme en petite fille sage, jupe mi-longue, ballerines bleu marine, chemisiers blanc, pull en v et surtout dessous de coton blanc exclusivement. Le maquillage est proscrit, la coiffure en chignon ou queue de cheval. Moi qui fais déjà moins que mon âge, je me retrouve avec un look d’adolescente.

    C’est donc dans cette tenue que je sonne à la porte de l’appartement du très chic 7eme arrondissement qu’il habite. A ma grande surprise c’est une femme qui m’ouvre. Je regarde le nom sur la sonnette de la porte pensant m’être trompée d’étage ce qui fait sourire cette grande femme blonde, très distinguée qui me fait face.

    Vous devez être Alice, entrez, Laurent vous attends dans son bureau. Cette femme élégante me tend la main :

    Je suis Claire, la femme de Laurent, nous n’avions pas eu l’occasion de nous croiser, enchantée de vous connaître.

    Claire me conduit jusqu’au vaste bureau de Laurent même si j’en connais le trajet depuis le temps que je viens ici.

    Laurent m’accueille un peu bougon et sa femme referme la porte derrière moi pour nous laisser travailler. J’ai le sentiment d’avoir bien avancé dans mon travail que j’ai transmis par mail à Laurent vendredi dernier. Manifestement celui-ci ne partage pas mon enthousiasme et me fait signe de me positionner entre ses jambes. Je reste un peu interdite et pense immédiatement à la présence de Claire dans l’appartement. Je souffle à Laurent :

    Il y a votre femme, elle pourrait nous entendre.

    Laurent nullement inquiet manifestement, réitère son geste impératif ne me laissant pas le choix que d’obtempérer. Les premières claques tombent sur ma jupe puis très vite celle-ci est retroussée et les suivantes frappent la culotte. Le bruit des claques sur mes fesses me parait assourdissant et je n’ai qu’une crainte, qu’il attire la femme de Laurent jusqu’au bureau. Ce dernier ne semble pas partager mes craintes car il me déculotte maintenant pour pouvoir directement atteindre mes fesses de sa main ferme. C’est dans cette position plutôt périlleuse que j’entends la porte du bureau s’ouvrir et je vois bientôt les jambes de Claire apparaitre sous mes yeux dans mon faible champ de vision. Heureusement je ne peux croiser son regard mais je suis très clairement en panique.

    Laurent, il ne sert à rien de martyriser les pauvres fesses d’Alice. Si elle ne te donne pas satisfaction c’est avant tout une question de maturité selon moi.

    Claire s’accroupi à côté de ma tête qu’elle caresse de sa main.

    C’est encore une enfant et tu as des exigences d’adulte avec elle, elle est trop jeune dans sa tête, elle ne te mérite pas mon chéri.

    Laurent a interrompu sa fessée. Sa femme me contourne et se sens qu’elle fait glisser ma culotte du bas de mes cuisses vers mes chevilles puis elle la retire.

    Une enfant je suis encore optimiste, un bébé tout au plus mon cher. Amène la dans la chambre d’amis, nous allons la mettre au niveau qui est le sien.

    Claire quitte le bureau, Laurent me fait me relever et c’est cul nu sous ma jupe qu’il me prends par le bras et m’entraine dans une partie de l’appartement que je ne connais pas. Nous prenons un couloir puis la première porte sur la droite et rentrons dans une vaste chambre. Laurent me fait allonger sur le lit puis s’assoit à mes côtés sans un mot. J’entends et j’aperçois Claire entrer à son tour dans la chambre accompagnée d’un bruit de roulettes sur le parquet de la pièce. Je me redresse sur mes coudes pour voir ce qu’elle fait mais Laurent me prend les deux poignets et me force à me rallonger. J’ai eu le temps d’apercevoir une sorte de table basse ou desserte que Claire à mise près du lit. Claire se positionne au pied du lit et se penche tout sourire. Elle me demande de lever les fesses et rabat largement ma jupe sur le haut de mon ventre, exposant mon entrejambe à sa vue et à celle de Laurent aux premières loges. Je dois réitérer la manœuvre pour qu’elle me glisse une large serviette éponge sous les fesses qu’elle a prise sur la desserte. Ayant un peu repris mes esprits je m’apprête à protester de ce traitement mais Claire m’enfourne une sucette de bébé dans la bouche et passe l’élastique dont elle est pourvue autour de ma nuque.

    Alice, un bébé cela ne parle pas, cela gazouille tout au plus.

    Toujours penchée sur moi elle ajoute :

    Ta petite culotte m’est apparu un peu humide mon bébé, signe que la propreté n’est pas encore acquise. On va nettoyer cette minouchette.

    Elle prend une lingette et entreprend de me nettoyer consciencieusement le sexe et l’entrejambe. Pour cela elle me fait largement écarter les jambes m’offrant à ses soins. Deux lingettes plus tard, elle semble satisfaite de son œuvre. C’est maintenant une crème froide qui me fait frissonner.

    Je veux prévenir toute irritation ma puce, me précise-t-elle.

    Une forte odeur de crème pour bébé me remonte aux narines, vite accompagnée de celle caractéristique du talc dont Claire me soupoudre largement l’entrejambe et les fesses.

    C’est maintenant le bruit particulier d’une couche que l’on déplie que j’entends. Malgré tout ce travail préparatoire, je n’ai pas voulu réaliser ce qui arrive maintenant, cette femme à l’intention de me mettre une couche. J’ai m’impression que le temps est comme suspendu, je ne réalise vraiment pas ce qui m’arrive et ne prête plus attention aux paroles de Claire. Une petite tape sur le haut de ma cuisse me ramène à la réalité.

    On lève les fesses mon bébé pour que je puisse te mettre ta couche.

    Mécaniquement je m’exécute et je sens une large et épaisse couche glissée sous mes fesses. Mes poignets sont toujours tenus par Laurent m’empêchant de me soustraire à cette infamante mise en couche. Déjà avec des gestes rapides et précis, Claire rabat cette couche que je sens garnie de couches droites supplémentaires puis fixe les adhésifs de façon très ajustée. Tout mon entrejambe et mes fesses sont pris dans ces épaisseurs de ouate ne me permettant plus de serrer les jambes. La couche mise, Laurent m’aide à m’asseoir sur le lit, dans une position d’un équilibre précaire. La couche force mes jambes à rester écartées et presse mon ventre dans cette position assise. Il se place dans mon dos et me retire mon pull puis mon chemisier, déjà il dégrafe mon soutient gorge qui rejoint le reste de mes vêtements au pied du lit. Pendant ce temps je vois Claire se saisir d’une grenouillère en fine éponge rose. Elle m’enfile la grenouillère par le cou, y glisse mes bras. Je découvre que les manches se terminent par des moufles intégrés. J’ai à peine le temps de m’en rendre compte que je suis à nouveau allongée et le couple me fait lever et piler une jambe, puis l’autre pour enfiler les jambes de la grenouillère se terminant elles par des chaussons. Déjà je bascule sur le ventre et Claire tire sur les côtés de la grenouillère pour en fermer le dos par des boutons, elle fait de même sur ceux couvrant mes fesses. Une petite tape de cette dernière sur des fesses bien rebondies vient clôturer cette scène surréaliste.

    Laurent m’aide à m’asseoir sur le bord du lit et je fais face à la glace murale qui me renvoit l’image saisissante qui est la mienne. Une fille en grenouillère, une sucette dans la bouche et la bosse caractéristique à mon entrejambe de la couche de bébé que je porte.

    Voila une tenue plus adaptée mon bébé me fait Claire, suis-moi au salon je t’y ai installé de quoi jouer.

    Je m’apprête à poser un pied au sol mais le chausson de mon pied gauche glisse immédiatement sur le parquet. Laurent me glisse à l’oreille que je ne sais pas encore marcher, il faut que je quatre pattes comme je sais si bien le faire. Je réalise que la semelle du chausson est pourvue de fines billes rendant la station debout très aléatoire. C’est donc bien à quatre pattes que je suis Claire au salon, Laurent fermant la marche. Dans cette vaste pièce, au pied d’un large canapé se trouvent des cousins, des peluches et divers jeux d’éveil en bois pour bébé. Je m’assois au milieu de ce décors, incrédule. Claire revient ensuite de la cuisine avec un biberon à la main, je vais boire le calice jusqu’à la lie.

    Laurent, peux tu donner un biberon de jus à Alice, elle a les joues rouges, je pense qu’elle a soif.

    Laurent me prend sous les bras et m’assois sur ses genoux sur le canapé. Il retire la sucette de ma bouche qui pend du coup à mon cou et, prenant le biberon des mains de sa femme, il me met d’autorité la tétine dans la bouche. Voyant mon manque d’enthousiasme, Claire pose sa main sur ma gorge me forçant par ce geste à déglutir. Je bois du coup le biberon sans enthousiasme, je le trouve peu rafraichissant, le jus d’orange étant trop sucré à mon goût. Le biberon fini, la sucette est remise dans ma bouche et je suis à nouveau sur le tapis au milieu des jeux. Claire demande à Laurent de garder un œil sur moi pendant qu’elle passe quelques coups de fils dans la cuisine qui donne sur ce vaste double salon. Laurent, lui, prend le Monde du jour posé sur la table basse et semble en poursuivre la lecture dans les pages intérieurs. Bref plus personne ne semble s’intéresser à mon sort, ni à la situation incongrue qui est la mienne. Je tente de reprendre un peu mes esprits, je pense qu’il s’est passé moins de 30 minutes depuis mon entrée dans l’appartement. Je me rends à ce rendez-vous de travail habituel dans une tenue certes un peu « old school » mais cohérente par rapport à mon âge et me voici transformée en bébé de quelques mois si j’en juge à mon incapacité à me tenir debout. Certes, je dois avouer qu’il n’est sans doute pas courant qu’une étudiante puisse être fessée par son professeur, quoique cela a du l’être bien plus souvent par le passé que de nos jours. Je suis très troublée par ce qui m’arrive et comme j’intellectualise beaucoup de choses dans ma vie, je me rassure en remettant mes idées et mon cerveau en mode actif, il y a forcément une explication rationnelle que je dois trouver. Comme Claire et Laurent ne semblent pas pressés de revenir vers moi, j’en profite pour revenir très en amont de ma situation actuelle.

    Il y a un peu plus d’un an, j’étais euphorique quand Laurent Deschamps annonça que j’étais choisie comme l’unique étudiante qu’il comptait suivre pour sa thèse cette année. C’était clairement mon premier choix mais il y avait bien d’autres étudiants en lice. Nous étions 10 postulants à minima qui avions sollicité ce professeur si réputé. Je savais qu’il était de ceux qui prennent souvent des filles ce qui n’est pas forcément le cas de nombre de ses confrères mêmes s’ils s’en défendent. Cette règle ne l’empêche nullement de prendre un garçon et du toutes façons il n’a que l’embarra du choix. Le sujet de ma thèse, je l’ai spécialement choisi pour avoir une chance de l’intéresser même si je sais que le sujet est ardu. Quelques bruits de couloirs, certainement entretenus par des confrères jaloux, se sont interrogés sur cette propension à choisir des étudiantes dans un milieu très masculin. Cependant, ni les avis de ces précédentes doctorantes, ni sont attitude à la fac n’ont semble-t-il jamais laissé planer le moindre doute sur son attitude vis-à-vis de ses étudiantes. Il en fu de même pour moi dans les premières semaines de notre collaboration jusqu’à la première fessée reçue. J’aurai normalement dû en être outrée mais je ne peux pas nier être tombée sous le charme de cet homme au caractère fort et à l’intelligence si vive. J’ai parfois espéré, je dois bien l’avouer, que sa main glisse de mes fesses vers mon entrejambe, qu’il puisse constater l’effet produit par ses fessées sur l’état de mon sexe par cette action physique accompagnant les effets psychologiques si exacerbés chez moi. Je dois avouer que je suis très cérébrale et que certaines images suffisent à me mettre en émoi, parfois pour ma plus grande honte. J’aimerai être plus maitresse des réactions de mon corps, une poitrine qui se tend sous un chemisier un peu fin, un sexe qui s’humidifie au point de coller ma culotte à ma vulve inconfortablement dans certaines situations.

    En arrivant tout a l’heure dans l’appartement c’est exactement cet état qui était le mien. Je sais pertinemment, même si c’est loin d’être systématique que je peux être déculotté et fessée. Pour autant, j’assume cette excitation en espérant secrètement que Laurent la partage et aille un peu plus loin que la fessée qu’il m’administre avec fermeté et conviction. Au lieu de cela c’est sa femme qui n’a certainement pas manqué de constater l’état de ma culotte. Mes pensées reviennent vers Claire que j’entends au téléphone dans la cuisine. Dans le silence du salon, seuls le bruit des pages du journal ou le bruissement de plastique de ma couche à chaque mouvement viennent perturber le silence de cathédrale de la pièce. J’entends du coup assez distinctement les échos de la conversation de Claire. Cette dernière parle manifestement à une amie du programme d’un week-end à venir dans leur maison de campagne. Je reviens sur l’analyse de la situation et force est de constaté que je n’ai rien vu venir ou, en tout cas, que je n’ai pas déceler le moindre signe avant-coureur pouvant expliquer ce qui vient de se passer. Seules les exigences vestimentaires de Laurent ont pu me paraitre étonnantes dans un premier temps mais, comme il reçoit à son domicile et que c’est un homme marié, on peut comprendre que la tenue de certaines étudiantes puisse le gêner et qu’il les trouve inappropriées dans un contexte de travail. Je suis toujours plongée dans mes réflexions et je me dis que quitte à ce que les choses évoluent au-delà de la fessée, j’aurai volontiers souscrit à des jeux plus adultes. La présence de Claire m’intimide presque plus que celle de son mari, je me demande qu’elle est la nature exacte des relations qu’ils entretiennent autour de la pratique de la fessée par Laurent. Il est indéniable que Claire doit être parfaitement au courant, car Laurent n’aurait sans doute pas pris le risque de me fesser en présence de sa femme dans l’appartement. De même, celle-ci n’a paru ni surprise, ni choquée de me retrouver cul nu en travers des jambes de son mari. J’ai été tellement surprise de cet enchainement fessée mise en couche que je n’ai pas vraiment pu vivre la situation autrement que par une gêne et une honte absolue de m’être retrouvée ainsi, dans cette position à la fois si impudique et si humiliante. J’aurai préféré très certainement vivre un moment sexuel avec ce couple même si je ne saurai en décrire la moindre scène plutôt que de me voir traitée comme un bébé de quelques mois. Quelque part cela me rassurerait très certainement, cela me paraitrait plus dans l’ordre des choses si je puis dire. Je ne saurai dire si cela m’aurait plu mais a la seule pensée de cette possibilité le niveau d’excitation qui était le mien à mon arrivée dans l’appartement puis, surtout, au moment de la fessée, ressurgit. Cette réaction de mon corps me rassure aussi je dois dire, comme si j’avais besoin de me prouver que je suis bien femme, avec cette féminité qui transpire par mon visage, par ma bouche, par mes seins, par cet entrejambe où se love un sexe chaud, humide, par un clitoris tendu et sensible. Je ferme les yeux pour m’isoler de mon environnement immédiat et je me laisse glisser à ces douces pensées, ma production de cyprine s’accélère, quelques gouttes de sueur perlent sous mes bras et j’ai chaud dans cette couche, je me sens moite. Je réouvre les yeux pour constater que Laurent est toujours plongé dans la lecture de son journal et que des bruits de conversations plus étouffés me parviennent de la cuisine, Claire est toujours en ligne. La pendule du salon indique maintenant 19H30. Cela fait une bonne heure que je suis assise sur ce tapis au milieu des jouets et des peluches. J’avise un seau avec des kapla, ces petits morceaux de bois permettant de faire des formes ou des constructions. Avec les moufles qui entravent mes mains, mes gestes sont gauches et maladroits. Je renverse le seau et commence maladroitement à dessiner un point d’interrogation sur le tapis en disposant les kapla. A genou pour cet exercice, je suis dos au canapé de Laurent et à la cuisine où se trouve Claire. Celle-ci revient dans le salon au moment où j’achève mon « œuvre » espérant interpeller le couple sur mon sort.

    Laurent, regarde comme Alice est vive, elle fait déjà des formes avec ses kapla.

    Effectivement ma chérie, mais les bébés sont déjà doués d’une grande intelligence, dès leur plus jeune âge, c’est l’expérience et la maturité physique qui leur fait défaut, je l’ai toujours dit.

    Je m’écarte un peu pour que Claire et Laurent puisse bien voir le point d’interrogation que j’ai dessiné sur le tapis. Il est un peu approximatif et irrégulier mais assez explicite selon moi. Cela ne semble pas l’avis du couple qui ne me confirme pas avoir compris le sens de ma disposition de kapla. Je fais signe de ma main droite en montrant ma sucette que je souhaite leur parler tout en tentant de le faire malgré la sucette. C’est plus un borborygme qui sort de ma bouche de que des mots intelligibles. Laurent interprète mon geste comme le fait que j’ai soif. Ce n’est pas faux même si ce n’était pas le sens de ma demande.

    Claire regagne la cuisine et revient avec un nouveau biberon remplit d’un liquide que je ne sais identifier. Elle s’assoit en tailleur avec souplesse sur le tapis et m’attire à elle pour me faire boire le biberon. Comme tout à l’heure, Laurent me retire la sucette et immédiatement sa femme me plante la tétine dans la bouche ne me permettant pas d’émettre la moindre parole. J’ai effectivement soif, le jus d’orange sucré associé à la succion de la sucette m’a laissé la gorge sèche. Le liquide que je n’identifiais pas est un thé vert glacé, un peu amer à mon goût mais nettement plus rafraichissant que le jus d’orange. A mi biberon j’ai assez bu mais Claire insiste pour que je continue.

    Mon bébé, il faut finir le biberon, sinon tu vas le redemander dans mon d’une heure car tu auras encore soif.

    J’essais de m’y opposer de mes mains couvertes par les moufles mais Claire les écarte d’autorité et me demande d’être sage et obéissante même si c’est difficile à mon âge.

    Le biberon bu la sucette regagne ma bouche. Je suis de plus en plus désappointée par cette situation. Soit il s’agit d’un jeu sexuel auquel s’adonne ce couple auquel cas, ils sont d’excellent comédiens, soit ils me considèrent réellement comme une enfant et c’est une situation que je ne peux envisager. J’essaie de convoquer tous mes souvenirs de pratiques sexuelles particulières pour savoir à quelle sauce je vais être mangée et qui pourraient commencer par la situation qui est la mienne actuellement. Je ne suis pas experte en la matière mais j’ai pas mal lu de romans, certains érotiques et il m’est aussi arriver je l’avoue d’aller voir certaines vidéos sur des sites dédiés. C’est cependant plus sur les sites internet et des forums de discussions que l’on se cultive je trouve, en la matière. Moi-même troublée par les fessées reçues de la part de Laurent, j’ai découvert sur le net un site dédié à cette pratique : déculottées, dont le titre est très explicite. Je sais que cette pratique est variée, que certains fesseurs, à l’instar de laurent, aiment associer cette pratique à des relations prof élèves et dans cette veine, aller vers de la régression, de l’ageplay, adolescente, petite fille, voir bébé.

    Ce souvenir de quelques échanges avec une membre, elle aussi adepte de régression, me rassure même si j’ai souvenir de l’avoir trouvé bien étrange d’aimer revivre ces moments enfantins avec son partenaire.

    Ce sont bien des raisons très terre à terre qui me tirent de mes rêveries. La couche droite au contact de mon sexe dans mon change-complet se colle désagréablement à ma vulve. Je ne sais pas si c’est l’effet de la crème ou de la cyprine que je sens très présente dans mon vagin mais le constat est là et désagréable. Par reflexe, je tente de ma moufle droite de tirer sur le tissu de la grenouillère comme on peut tirer sur une petite culotte qui vous rentre dans le minou ou la raie des fesses. Avec la maigre prise que m’autorise le moufle mon action est veine et c’est la couche qu’il me faudrait décoller de mon sexe et non pas la grenouillère. Mon geste n’a pas échappé cependant à Laurent qui m’indique qu’il ne faut pas toucher à sa couche.

    Sa voix est neutre, le ton est sinon condescendant, a minima paternel et j’enrage qu’il joue ainsi avec moi. Laurent fait part de mon agacement perceptible à Claire qui revient vers moi.

    Si la couche te gêne Alice, c’est normal et même bon signe je dirai, cela veut dire que tu as conscience qu’il faut grandir et devenir propre pour avoir le droit de porter des culottes de grandes en toute sécurité. Cependant, cela me parait bien trop tôt ma puce, crois en mon expérience, tu es encore loin des culottes d’apprentissage puis des culottes petit bateau que tu porteras quand tu iras à l’école. Je vais te préparer ton dîner, tu dois avoir faim.

    Sur ces paroles, elle tourne les talons. Je regarde la pendule, il est 20H00, l’heure à laquelle j’aurai du prendre congé de Laurent. Je me dis que le couple joue avec mes nerfs, qu’ils veulent me donner une leçon pour une raison que j’ignore ou bien qu’ils ont d’autres projets de jeux adultes avec moi et qu’il s’agit de préliminaires pour le moins particuliers. Je me raccroche à cette dernière idée qui me parait la plus probable. En même temps, moi qui parlais de féminité, la vision que j’ai eu de moi dans le miroir tout a l’heure est assez loin des standards couramment admis du sex appeal. J’ai une sucette qui me barre la bouche, mon corps est couvert par une grenouillère rose bonbon informe qui ne souligne même pas ma silhouette ou ma poitrine. Le seul élément saillant c’est la forme de la couche qui se dessine sous mes fesses et à mon entrejambe, on a connu plus sexy !

    A 20H15, Claire indique à Laurent que mon repas est prêt. Celui-ci quitte le canapé, sa lecture de toute façon achevée et me demande de le suivre vers la salle à manger. Je le suis à quatre pattes la station debout exclue par les chaussons glissant et l’absence de prise avec les moufles pour me tenir à quoi que se soit. Il m’aide à me hisser sur une chaise devant la table. Un seul couvert est dressé, une assiette en plastique de bébé avec des motifs enfantins, une cuillère en silicone, un biberon d’eau. Claire arrive de la cuisine avec un petit pot en verre poulet épinards carotte chauffé au bain marie dans une casserole d’eau. Elle pose la casserole et met le petit pot au centre de mon assiette. Laurent, dans mon dos m’attache une bavette autour du coup et déjà Claire assise à côté de moi prépare la première cuillère. Dans un parfait synchronisme Laurent retire ma sucette et Claire après avoir soufflé sur la cuillère m’enfourne celle-ci dans la bouche. Le goût n’est pas fameux mais je comprends qu’il n’est pas question de ne pas enchainer car la première cuillère à peine déglutie, c’est une seconde qui est déjà au bord de mes lèvres. Je devrais profiter de l’absence de la sucette dans ma bouche pour crier au secours pour le moins ou tenter de raisonner Claire et Laurent mais ils affichent une décontraction, une force tranquille qui me déstabilisent complètement je dois dire. Tout est fluide pour eux, étonnamment naturel, j’ai le sentiment que ce n’est pas la première fois qu’ils font ces gestes, qu’ils en ont une grande habitude. Je les sais parents de trois filles dont les photos sont présentes dans un cadre de l’entrée de l’appartement, ce qui pourrait expliquer leur aisance. Cependant leurs filles sont grandes maintenant et ils ne semblent pas encore être grands parents.

    Le petit pot est rapidement fini, et c’est Laurent qui me fait boire le biberon d’eau pendant que Claire regagne la cuisine. Elle revient avec un bol d’une sorte de semoule au lait. Avant même d’y goûter je sens que cette semoule sans doute sucrée est parfumée à la fleur d’oranger, parfum que je n’aime pas trop. Le biberon d’eau achevée, Claire me fait manger toujours à la cuillère la semoule assez sucrée elle aussi. Le bol est grand et la ration de semoule généreuse. A la moitié du plat je me serai volontiers arrêtée mais Claire m’indique que bébé doit tout finir pour bien grandir. Impossible pour moi de relever cette réflexion humiliante pour une jeune femme de 26 ans. C’est avec peine que je termine les dernières cuillères non sans avoir détourné la tête plusieurs fois pour marquer ma saturation. C’est moi qui pointe du coup le biberon d’eau pour marquer ma soif après ce bol de semoule bien dense. Laurent me faire boire au biberon et remet ensuite la sucette dans la bouche. J’ai toujours ce goût de fleur d’oranger dans la bouche, je donnerai bien cher pour une brosse à dent et du dentifrice pour me rafraichir le gosier.

    Le repas achevé, je suis ramenée au point de départ sur le tapis du salon au pied de la table basse. Claire et Laurent sont installés dans le canapé et regardent un reportage sur Arte. Un peu avant 21H00 on sonne à la porte. Claire indique à Laurent que ce sont certainement les plats qu’elle à commandé qui sont livrés et Laurent va ouvrir au livreur. J’entends quelques bribes de conversations en provenance de l’entrée couvertes par le son de la télé. Laurent dépose un plateau de sushi sur la table de la salle à manger et invite Claire à le rejoindre pour dîner. La salle à manger est une pièce en enfilade du double séjour, je me retrouve à plus d’une quinzaine de mètres je dirai du couple qui s’apprête à diner. J’entends le bruit caractéristique d’une bouteille de vin que l’on débouchonne pendant que je reste assise au milieu des jouets et des kapla étalés un peu partout. Je suis assez déboussolée je dois bien me l’avouer. J’espère un signe, une faille, un indice de ce que Laurent et Claire ont en tête, il est déjà 21H30 quand le couple achève son dîner. Pendant ce temps, je suis en proie à un autre soucis, ma vessie qui m’indique depuis une bonne heure déjà qu’elle me verrait bien aller aux toilettes pour se libérer. Me raccrochant à l’idée que je suis actrice bien malgré moi d’un jeu sexuel piloté par ce couple, je me dis qu’il est temps de les interpeller et par un quelconque moyen de leur signifier que j’y suis prête et consentante. Si cela peut m’épargner la honte de devoir faire pipi dans ma couche se sera aussi appréciable.

    A quatre pattes je traverse le salon et rejoint la salle à manger. Claire et Laurent sont encore assis à table, devant un café me semble-t-il. Claire est proche de moi, Laurent de l’autre côté de la table.

    Laurent, tu vois on a un bébé assez mobile et agile pour son âge, elle est capable de se déplacer dans tout l’appartement dorénavant.

    Claire dans un geste profondément humiliant à mes yeux me caresse la tête à portée de sa main droite.

    Je recule un peu, pour échapper déjà à cette main condescendante mais aussi pour me mettre assise et, jambes écartées, montrer mon entrejambe de ma moufle droite tout en hochant de la tête, espérant leur faire comprendre que le petit jeu a assez duré et que je suis prête à des jeux d’adultes si tel est leur désir.

    Je ne sais pas ce que Claire a compris de mon geste mais elle se lève de sa chaise et s’accroupi devant moi. Elle me faire mettre sur les genoux, jambes écartées puis elle tâte ma couche au travers de la grenouillère.

    Tu as peut être faire un petit pipi dans ta couche mon bébé mais rien de sérieux sinon ta couche serait plus lourde et moins ajustée. Tu peux continuer à jouer un peu, je revérifierai ta couche avant d’aller au dodo.

    Je suis désarçonnée. Aucun trouble dans la voix de Claire, aucun sourire en coin ou la moindre marque de mépris ou de suffisance, juste le constat posé d’une situation très ordinaire à ses yeux. J’ai le sentiment extrêmement dérangeant d’être juste sa petite fille, tout simplement, avec des besoins de bébé auxquels elle fait face avec expertise et chaleur. J’ai aussi bien entendu que j’allais faire dodo et donc probablement ici, ce qui signifie que je ne vais pas à ce stade pouvoir regagner mon domicile ce soir. Claire et Laurent ne se soucient pas plus longtemps de mes états d’âmes et débarrassent ensemble la table du dîner. L’excès bien involontaire de boissons depuis mon arrivée me met au supplice, je suis à nouveau focalisée sur une vessie franchement douloureuse, sachant en plus que j’ai du mal à me retenir en pareil cas. Je suis totalement bloquée sur le fait de faire pipi dans ma couche mais je cherche désespérément un moyen que cette horrible éventualité n’arrive. Plus de fioriture, j’essaie de retirer la sucette de ma bouche malgré les moufles qui limitent l’agilité de mes mains. J’essaie de parler malgré ma sucette, essayant de trouver le moyen que mes propos soient un peu plus intelligibles que mes grognements initiaux.

    Claire et Laurent reviennent de la cuisine. Claire interpelle son mari :

    Quand on se trémousse comme cela et que bébé est ainsi grognon c’est qu’il y a toujours quelque chose qui ne va pas. Plusieurs possibilités :

    Bébé à faim, mais comme on vient de finir son dîner c’est peu probable.

    Bébé à froid, mais cela serait étonnant

    Bébé à trop chaud, c’est possible mais peu probable également

    Bébé à sommeil : il va bientôt être l’heure d’aller se coucher mais je retarde le dodo car j’aimerai maintenant que tu fasses des nuits complètes.

    Dernière possibilité : bébé à fait dans sa couche. On attendra d’aller au dodo mon bébé pour changer tes petites fesses car j’aimerai ensuite que tu puisses passer une nuit sereine dans une couche propre.

    Claire m’invite ensuite à regagner le salon où elle me suit pour m’avoir manifestement sous les yeux. Elle demande à Laurent d’aller préparer ma chambre. Plus de doute, Claire et Laurent ont bien l’intention de me garder pour la nuit. Claire, son téléphone portable en main, réponds à ses messages manifestement. La télé est éteinte mais elle à mis de la musique classique sur la chaine audio. Le fond musical me sauve momentanément d’un des moments les plus honteux de ma vie. Je viens, à bout de forces, de faire un large pipi dans ma couche. Ma sucette m’aide aussi à étouffer le petit cri qui m’aurait échapper sans elle. J’entends et je ressens mon flux tendu et intense se déverser dans ma couche. Je porte instinctivement mes mains sur le devant de la couche comme s’il était nécessaire que je la plaque sur mon sexe pour être sûre que celle-ci allait bien pouvoir absorber toute mon urine. Le geste est inutile car la couche est parfaitement plaquée et serrée sur mon sexe mais il trahi ma situation à Claire à qui ce mouvement n’a pas échappé. Son visage reste impassible, tout est toujours normal manifestement à ses yeux. Laurent revient vers le salon et indique que ma chambre est prête.

    Il est temps d’aller au dodo mon bébé, me fait Claire qui se lève de son fauteuil et me fait face.

    Je suis pétrifiée, j’ai fait pipi dans ma couche, je suis aux mains d’un couple qui me traite comme son bébé et je vais devoir dormir chez eux, certainement dans la tenue grotesque qui est la mienne depuis le début de soirée. Je suis assise et je croise les bras bien décidée à ne pas bouger et  définitivement marquer qu’il est temps de mettre fin à ce jeu pervers.

    Ne boude pas ainsi ma chérie, me fait Claire, j’ai juste eu raison de te protéger d’une couche et tu es dans un âge qui le nécessite, c’est le contraire qui serait incongrue. Dois-je te rappeler l’état de ta culotte quand tu es arrivée tout à l’heure ?

    Je ne bouge toujours pas mais sans même se concerter, Laurent et Claire m’attrapent chacun par un bras et me traine littéralement sur le parquet malgré mes battements de jambes dans le vide. Nous prenons le même couloir qui m’a mené tout à l’heure dans la chambre ou j’ai été mis en couche mais nous entrons dans la porte opposée au début du couloir sur la gauche. Malgré ma position sur le dos au ras du sol, je découvre une chambre de bébé. Cela pourrait être l’ancienne chambre d’une de leurs filles conservée dans la décoration d’un nouveau-né mais ce qui me trouble dans ce que je découvre c’est une chambre moderne, décorée comme une chambre d’enfant premier âge. Au centre de cette vaste chambre, un lit à barreau mais a taille adulte dont les montants latéraux sont abaissés.

    Claire et Laurent me hissent dans ce lit et Laurent s’y assoit à mes côtés comme tout à l’heure pour m’y maintenir allongée. Claire côté opposé me bascule sur le côté pour avoir accès aux boutons de la grenouillère aux niveaux de mes fesses qu’elle détache tout en laissant les boutons le long de mon dos en place. A nouveau sur le dos, Laurent l’aide à me désenfiler une à une les jambes de la grenouillère. Celles-ci sont posées sur mon ventre et ainsi Claire à accès à ma couche. Comme elle me l’avait annoncé, ma couche largement mouillée est plus lourde et a le mérite de moins presser mon sexe et mon entrejambe en général. Je suis humiliée de devoir me présenter à nouveau jambes écartées avec une couche trempée mais toujours bien étanche aux yeux de ce couple. Claire avec la dextérité que je lui connais maintenant détache déjà les adhésifs de la couche et l’ouvre. Une lingette à la main elle procède à un premier nettoyage de mon entrejambe puis elle retire la large couche et l’évacue semble t il dans une poubelle qu’elle a positionné au pied du lit. Une deuxième puis une troisième lingette sont nécessaires à ses yeux pour parfaitement me nettoyer. Mon sexe est sensible non pas d’une quelconque irritation mais bien d’une excitation qui ne m’a pas quittée depuis mon arrivée. Le frottement de la couche a sensiblement entretenu la tension qui est celle de mon clitoris. Mes ardeurs sont quelques peu douchées par la froideur de la crème que Claire m’applique maintenant généreusement sur la vulve. Le tac fini cette séance de soin infantile. Claire se détourne de moi et va préparer manifestement la couche qu’elle me destine. Toujours maintenue par Laurent je réalise ce qui semble inéluctable et dans un sursaut je bas à nouveau des jambes pour tenter d’empêcher Claire d’achever son œuvre. Celle-ci à mes côtés tient en main le change-complet et les couches droites de garniture qu’elle a préparées. Elle me laisse me fatiguer avant de m’assener une claque sur la fesse gauche qui me sidère.

    Mon bébé quand on mouille sa couche comme tu viens de le faire, il n’y a aucun sujet sur le fait que tu as besoin d’être largement protégée pour passer une nuit sereine. Je ne voudrai pas inaugurer notre collaboration par une fessée jambes levées. Tu lèves les fesses et tu cesses tout de suite ces caprices.

    Profitant du moment de flottement qui suit elle me glisse la couche sous les fesses, la rabat et la fixe dans la foulée. La couche me semble plus épaisse encore que celle déjà majuscule que je viens de quitter. Claire me confirme l’information.

    Mon bébé, je t’ai mis une couche de nuit pour que tu sois pleinement en confiance pour faire un gros dodo. J’ai bien vu que tu avais eu du mal à faire ton pipi dans la couche et pourtant tu as vu que tu n’as pas eu de fuites. Avec moi tu peux sereinement faire confiance à ta couche.

    Déjà Laurent et Claire me renfilent les jambes de la grenouillère et referment les boutons sur mes fesses. Dans un parfait synchronisme ils remontent chacun les barrières latérales du lit et les fixent avec des loquets. Laurent quitte la chambre me laissant seule dans ce lit prison avec Claire restée à mes côtés.

    Celle-ci tient dans sa main ma petite culotte et me la montre ostensiblement.

    Alice, je vais laver cette petite culotte dès demain même si je pense que tu ne pourras pas la reporter avant quelques semaines, ou quelques mois en fonction de l’avancer de ta propreté. Bonne nuit mon bébé.

    #82470
    Dumuzid
    Participant


    C’était une lecture intéressante. Fort bien écrite, aussi.

    #86208
    SanDydi
    Participant


    Superbe histoire, ça donne envie d’avoir la suite

    #88680
    Anonyme
    Inactif


    Jolie texte. J’aurais aimé avoir la bonne pour écrire ce genre de texte

4 sujets de 1 à 4 (sur un total de 4)
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