Fessée et parentalité
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- Ce sujet contient 30 réponses, 16 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 6 années et 11 mois.
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8 septembre 2017 à 10:03 #11480AnonymeInactif
Beaucoup trop de femmes développent, à mon avis, un sens du sacrifice hors de proportion à l’arrivée d’un enfant, comme si être femme, amante, n’était plus compatible avec la maternité ou devenait une tâche trop lourde à gérer. C’est oublier qu’un enfant a besoin de parents bien dans leur peau pour s’épanouir correctement, qu’il ressent très bien leurs frustrations (y compris in utero).
Ne pensez pas qu’un enfant comblera non plus tous vos besoins , c’est mettre beaucoup trop de responsabilités sur ses frêles épaules. Votre sexualité fait partie intégrante de vos besoins vitaux.
Avoir un enfant, c’est en effet déjà un choix, mais il n’a pas a devenir binaire, d’autant qu’après une grossesse on a grand besoin de se sentir à nouveau belle et désirable dans les yeux d’un homme même un amant fesseur.
Par contre, si votre choix est de reprendre une vie monogame pour redonner un sens à votre vie de couple par exemple (pas de jugement de ma part hein ), inutile d’utiliser votre enfant comme prétexte 😉 …
8 septembre 2017 à 10:26 #11481AnonymeInactif
Je pense qu’on ne doit pas oublier comment l’on pouvait penser et se projeter avant d’avoir nos enfants. J’ai le souvenir d’une jeune femme pleines de ” c’est comme çi et pas autrement ” Et puis bah j’ai eu des enfants . Moi je regarde les propos de ”jeunes”/ futurs mamans ou qui y pensent avec beaucoup de bienveillance
Après je comprends aussi, que la grossesse dans un couple et jouer à côté en portant l’enfant de son amoureux , ça peut être aussi délicat. Ou même les premiers mois. Un enfant , dans le meilleur des cas se fait et s’aime à deux. Un projet de vie à deux. Donc je peux comprendre qu’on puisse mettre entre parenthèses ses désirs de jeu au nom d’un projet en commun avec celui qui partage notre vie. C’est pas selon moi pour l’enfant véritablement , ou pour son amoureux, mais pour un projet qui apportera d’autres choses à une femme. Ce n’est donc pas un sacrifice, mais porter son attention et son énergie sur ” quelque chose ” qui va complètement changer une vie.
Faut pas s’emcombrer de culpabilité quoi, si culpabilité il y a , déjà que c’est livré avec le bout de chou … Rires8 septembre 2017 à 12:45 #11484AnonymeInactif
@ellajenesaisquoi, vous avez l’air bien éclairée sur le sujet… Auriez-vous des témoignages à nous faire part de la manière dont vous avez vécu ces situations ? (Car j’imagine qu’il y a du vécu dans vos propos…)
Beaucoup trop de femmes développent, à mon avis, un sens du sacrifice hors de proportion à l’arrivée d’un enfant, comme si être femme, amante, n’était plus compatible avec la maternité ou devenait une tâche trop lourde à gérer.
C’est possible, mais je ne suis pas certaine que mettre de côté une liaison extra-conjugale pour accueillir son enfant soit un sacrifice “hors de proportion”… Pas de mon point de vue en tout cas, mais bon, tout est relatif… ? Être femme est une chose, être amante en est une autre… Je me cite, pour ne pas me répéter (?) : “je pense qu’il me faudra probablement faire une pause, sans pour autant mettre de côté ma féminité, mais plutôt la consacrer à ma famille.”
J’ai cru comprendre, de par de mon entourage, que concevoir un enfant, l’accueillir pendant les premiers mois et surtout lorsqu’il s’agit du premier, cela demande énormément d’énergie pour les deux parents, pouvant parfois mettre à mal le couple. Donc je suis d’accord sur le fait qu’il ne faut pas oublier d’être femme, mais ceci en prenant soin de l’homme qui nous aime, partage notre vie, et qui est le père de notre enfant, il le vaut bien après tout… Il faut aussi pouvoir protéger son couple, au delà de la famille…
Je vous invite tout de même à bien relire ce que j’ai écris plus haut, car j’ai l’impression que mes propos sont déformés ou mal interprétés et je ne m’engagerai pas plus dans un dialogue de sourds… Et puis, au final, je pense que nous sommes d’accord sur beaucoup de choses. ?
@eilinel, il est vrai que ma conception à ce sujet n’est alimentée que par des projections et non par un vécu de la situation. J’en ai bien conscience et ma façon de voir les choses changera peut-être à l’avenir. C’est pour cela aussi que je répondais “très personnellement“. J’aime beaucoup l’idée de “projet” que tu décris. ? Bon après pour la culpabilité, ça c’est propre à chacun, je sais que j’ai un gros travail à faire là dessus en ce qui me concerne… rires
8 septembre 2017 à 13:45 #11485ChristalMaître des clés
Chaque maman sur ce site te racontera une histoire différente en fonction de son vécu. Moi, j’étais persuadée que je serai une mère exclusive dans les premiers mois de vie de mes enfants. Une louve protectrice pour les protéger de tout. En fait, presque pas. À leur naissance j’ai compris qu’ils ne m’appartenaient pas et que l’instinct maternel, c’était des conneries. Il faut faire connaissance et de respecter en tant que femme pour être une bonne mère.
J’avoue néanmoins que le retour à une vie sexuelle incluant bien évidemment les fessées a été compliqué. Il faut savoir se faire un peu violence et accepter de ne pas réussir à être au top tout le temps.
Et dernier point, le rôle de l’homme, de l’amant, du papa qu’il soit tout à la fois ou non est primordial.Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.
8 septembre 2017 à 14:55 #11487AnonymeInactif
À leur naissance j’ai compris […] et que l’instinct maternel, c’était des conneries
Ah ! Merci ! Je reste tellement persuadée que l’instinct maternel est un parti pris idéologique qui n’apporte que de la culpabilité. Aimer un enfant, ça s’apprend. Quand il débarque, une femme à beau l’avoir porté, il n’en reste pas moins un inconnu ce bébé. Il faut forcement faire connaissance avec lui. Bon, ce que je pense n’a pas de poids, je n’en ai pas.
C’est rare quand je le dis (et je compte bien faire une capture d’écran pour l’occasion) mais c’est difficile, pour moi, de ne pas être d’accord avec un peu près tout. Je crois que ce qu’il y avait à retenir du message de Liberty, ce que j’ai retenu en tout cas, c’est le prix émotionnel de ce genre de relation et l’acceptation de ce prix selon ce qu’on désire réellement, selon nos projets de vie. Certaines connaissent ce coût ici, c’est un choix à faire. Un choix où on estime que ce prix, il le vaut ou pas par rapport à nos attentes. Dans une relation amoureuse et extra-conjugale, indirectement, il arrive que le conjoint le paye aussi ce coût. Il me semble alors qu’un enfant peut également en pâtir.
Il existe ici, peut-être, une femme incroyable, même si presque pas humaine, qui arrive à gérer plusieurs relations amoureuses ? Attention, plusieurs avec une harmonie incroyable (sur la durée). Une fille qui arrive tellement bien à gérer qu’elle est toujours terriblement bien dans sa peau tout en arrivant à se concentrer sur tous les pans de sa vie, sereinement, sans interférence aucune… qu’elle se dénonce et vienne en parler ici. 🙂
8 septembre 2017 à 16:05 #11494AnonymeInactif
Je me dénonce !!!
😀 je plaisante. mon fantasme journalier s’est déjà mis de coté pendant des études très prenantes. Ensuite : Boulot > Chéri > bébés > maison …. Tagada tagada de 6h30 à 21h30 tous les jours de semaine. Rhaaaaaaaaa ! Une petite pensée avant de s’endormir, peut être … Et puis un jour, on peut se dire qu il faudrait peut être que … Mais si ce n’est pas dans son couple qu’on a la chance de pratiquer et si, comme pour moi, il faut un investissement sérieux avec son partenaire, ce n’est pas évident. C’est faisable, pourtant. Mais honnêtement souvent en levant un peu le pied sur un des “postes”.
8 septembre 2017 à 18:26 #11495AnonymeInactif
Ah ! Merci ! Je reste tellement persuadée que l’instinct maternel est un parti pris idéologique qui n’apporte que de la culpabilité. Aimer un enfant, ça s’apprend. Quand il débarque, une femme à beau l’avoir porté, il n’en reste pas moins un inconnu ce bébé. Il faut forcement faire connaissance avec lui.
A vrai dire, ça aussi c’est un parti pris idéologique. 😉
Tout comme le discours de la femme, qui ne doit pas être que mère et qui devrait retrouver une sexualité débordante et au top dès les premières semaines après l’accouchement qu’on retrouve ça et là dans moult magazines féminins et cie…
Ne peut-on pas simplement admettre une fois pour toute que chaque personne est une individualité propre avec ses besoins, ses désirs, son histoire ?
Non l’instinct maternel n’est pas présent pour tout le monde, mais moi il est arrivé à partir du moment où j’ai vu le deuxième trait sur le test. Pas besoin d’apprendre à l’aimer ou faire connaissance.
Et non, je n’ai pas ressenti le fait de faire une grande pose comme un sacrifice. Quand on n’a juste pas envie d’autre chose que d’être avec son enfant, ce n’est pas très biba correct, mais on a le droit.Pour ma part, je trouve que c’est déjà extrêmement compliqué à gérer sans enfant. Quand bien même nous ne faisons [pas] que “jouer”, quand bien même il ne s’agit [pas] que d’une liaison extra-conjugale, en ce qui me concerne, outre l’organisation, l’investissement affectif est indéniable… Je ne sais pas “papillonner” à droite et à gauche en toute légèreté comme certains le font (même si j’aimerais bien). Dans ces jeux, comme beaucoup ici j’imagine, j’aime la cérébralité, l’exclusivité, la complicité; parfois j’aime tout court… Mais c’est très coûteux, émotionnellement.
Et ça sera sûrement pareil quand tu auras des enfants… après c’est comme tout… faut savoir ce que l’on veut, le prix qu’on est prêt à payer, et gérer comme on peut 😉
9 septembre 2017 à 03:20 #11506AnonymeInactif
L’idéologie communément admise c’est qu’une femme a l’instinct maternel et qu’elle est faite pour être mère… tu sais un peu de ce que j’en pense, pas du bien. Le rôle de l’homme et de la femme est et restera interchangeable pour moi, mon sexe ne me détermine pas ou ne devrait pas me déterminer à être parent, pas plus qu’un homme à le devenir. C’est un peu évident que, pour moi, le concept de l’instinct maternel est une aliénation (la surprise de dingue venant de ma part ;D) je le pensais déjà à 15 ans, je le pense encore plus fort aujourd’hui. Je crois que je différencie l’amour qu’on peut ressentir directement parce qu’on a un vrai désir d’enfant (bien que cette émotion peut fluctuer entre l’avant fécondation, la grossesse et la naissance et que ça reste difficilement admissible), de ce qu’on appelle l’instinct maternel qui, dans l’inconscient collectif, joue un rôle que je trouve nocif.
Mais c’est parce que j’ai une histoire, des désirs, parce que j’ai mon propre processus intime sur la question que je le pense et ne remets pas en question l’individualité de chacun(e), bien au contraire.
Pour le reste, se concentrer sur une seule personne demande déjà une disponibilité intérieure qu’on a pas toujours dans des conditions pourtant optimum… alors plusieurs relations (amoureuses il s’entend, parce que les autres types de relations ne demandent pas une énorme disponibilité) si on ne souhaite en délaisser aucun(e), en ayant des enfants ? Plus tout le reste d’ailleurs ? Si quelqu’un me dit qu’il n’a aucun soucis, s’il ne se repose évidemment pas intensément sur sa ou son conjoint(e) pour s’occuper des kids… qu’il ou elle m’envoie un message. Je suis super curieuse de discuter avec cette personne.
@charmanteelvire
Tagada tagada de 6h30 à 21h30 tous les jours de semaine
T’es déjà une warrior en soit, avec ou sans rencontre.?
9 septembre 2017 à 10:21 #11508AnonymeInactif
Le rôle de l’homme et de la femme est et restera interchangeable pour moi, mon sexe ne me détermine pas ou ne devrait pas me déterminer à être parent, pas plus qu’un homme à le devenir. C’est un peu évident que, pour moi, le concept de l’instinct maternel est une aliénation
Au lieu de se battre pour nier l’instinct maternel (qu’on a ou pas, je le répète), peut-être faudrait-il commencer à reconnaitre son pendant… l’instinct paternel, que de nombreux hommes ont aussi 😉
9 septembre 2017 à 11:13 #11510ChristalMaître des clés
J’ai bataillé près de 3 ans pour avoir ma fille autant pour mon fils. J’ai vécu les déceptions, la peur que tout s’arrête avant de les mettre au monde. Durant ma grossesse, j’étais déjà mère, sûre que je ferai les bons choix pour mon enfant. Lorsque de l’accouchement et les premiers jours de sa naissance, j’étais également mère et sans doute aucun. Mais, elle avait laissé un vide dans mon ventre qui m’a bouleversé. J’ai dû la partager avec son papa et je me suis rendue compte qu’il l’apaisait parfois mieux que moi. On a appris à se découvrir à trois et même si je ne savais pas d’écrire tous ses pleurs, je me suis toujours sentie mère.
Pour mon fils, tout à été différent, plus naturel (même si je pense que l’instinct n’a rien avoir la dedans, mais c’est très personnel).
Et pour revenir au sujet de base, cela a donc influé sur les périodes fessées. En me laissant libre d’être mère comme je le souhaitais et non comme dans les livres, je me suis permise de redevenir femme plus vite après mon deuxième qu’après ma fille.
Quant à mon mari, j’ai eu la chance qu’il m’accompagne aussi bien dans notre rôle de parents que d’amants.Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.
9 septembre 2017 à 12:09 #11516anatoleParticipant
Allez je me lance, avec une grosse connerie comme d’habitude….comme père de famille, ça ne m’a jamais gêné d’aller fesser…ailleurs….Plus sérieusement, tout de même, et étant non seulement père de famille, mais également médecin, il ne faut tout de même pas oublier un détail concernant la grossesse. Comme tout un chacun sait, ou presque, tout ce que peut ressentir la mère pendant sa grossesse est transmis immédiatement au foetus. Alors, si vous faire fesser pendant votre grossesse ne vous apporte que des sentiments et des sensations voluptueuses, allez y, sans vous poser de question, l’enfant à venir n’en ressentira que du bien être et même s’il est proche de vos fesses, non seulement ne ressentira aucune douleur, l’uterus étant là pour amortir, mais il ne verra rien( à quand un interrupteur dans l’uterus pour y voir plus clair?)…si ce jeu devait s’avérer douloureux et mal vécu par la mère, je vous laisse imaginer le stress de l’enfant…et allez hop, 20 ans de psychothérapie derrière (façon de parler….).
Ensuite, bon ben oui, forcément, une fois qu’ils sont là les garnements, c’est plus compliqué de s’organiser…Mais que ce soit pour se recevoir ou flanquer une rouste, ou aller faire les courses à carrefour (ou Leclerc, je ne suis pas sectaire), on sait bien que l’organisation d’une journée de mère de famille est compliquée….Merci aux grands parents de garder les enfants très vite pour qu’un couple puisse aller s’éclater le week end dans un super hôtel, surtout en dehors du gîte familial pour ne pas voir la tonne de repassage qui traîne, ou le vélo à réparer. Si c’est hors couple, pas beaucoup plus d’aléa qu’avant je trouve…juste, comme avant, trouver le bon moment…et ne pas se faire surprendre par une arrivée trop précoce du gamin sortant de l’école plus tôt parce que cette saleté de maîtresse, ben elle était malade….agaçant…j’ai déjà donné!!Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser
9 septembre 2017 à 14:13 #11520AnonymeInactif
@siah
On parle d’instinct paternel aujourd’hui pour dire que les hommes qui s’investissent connaissent une chute de testostérone. Quand dans l’idée, une femme atteint sa féminité, son statut de femme en ayant des enfants, un homme lui perd de sa virilité. Je n’entends pas parler de l’instinct paternel… Tu trouves que l’instinct paternel est une notion répandue, acceptée, mise en avant comme l’est celle de l’instinct maternel ? Moi Je ne trouve pas… L’instinct paternel ne me semble pas être le pendant de l’instinct maternel et l’importance du père est souvent ignorée, la mère, elle, est perçue comme capitale.Ne réduis pas ce que je dis à se battre ou ne pas se battre… Ce n’est pas quelque chose que je trouve juste, ce ne sont pas des images que je perçois comme légitimes et je le dis. Je ne t’enlève pas ton droit d’y croire. Je précise, pour moi. Et, pour moi, devenir mère ou devenir père, c’est un processus intime que l’on fait ou pas afin d’accueillir un enfant mais qui ne relève pas de l’instinct. C’est une somme d’éléments, du désir d’être parent à l’implication de son rôle en passant par tout un tas de choses qui fait qu’on se sent être mère, père ou pas. On se base sur l’instinct animal et sur des éléments hormonaux quand on parle de ces notions mais l’être humain à une conscience, une volonté, un libre-arbitre qu’on choisit de mettre de côté en invoquant ces notions… alors qu’elles me paraissent fondamentales.
@anatoleenfer
J’ai lu pas mal de choses en ce qui concerne l’importance de continuer à avoir des orgasmes pendant sa grossesse et de la sensation de bien-être que ça pouvait délivrer à l’enfant, dans le cadre d’une grossesse normale, mais comme on déconseille à une femme de prendre la voiture pour éviter les secousses au bout d’un moment, par exemple, j’ai assimilé la fessée comme pouvant être quelque chose de dangereux pendant une grossesse. Pour vous, ce ne serait pas le cas ?9 septembre 2017 à 23:17 #11568AnonymeInactif
@marypoppins On ne sera pas d’accord là-dessus parce qu’on ne parle pas de la même chose, et qu’on n’a pas le même vécu sur le sujet. Et je n’ai jamais entendu parlé ni constaté cette prétendue baisse de testostérone (et pourtant Dieu sait qu’à certains moment j’aurais aimé ^^).
Enfin pour conclure mes interventions sur le sujet… même avec des enfants et un instinct maternel (:D) hypertrophié, si on veut… on peut :), c’est juste plus compliqué…
10 septembre 2017 à 04:19 #11574AnonymeInactif
En attendant… quand certaines n’ont pas eu la compassion de me laisser dans l’ignorance de chacune des étapes et évolutions de l’après fécondation, toi, tu m’as laissé dans l’ignorance des différentes colorations de caca de bébé ces 10 dernières années et je prends ça pour une vraie preuve d’amitié…
même avec des enfants et un instinct maternel (:D)
…alors j’ignorerai quand dans les 15 prochains jours, je me boufferai soudainement du “c’est mon instinct maternel” dans nos convers, que j’attiserai également de mon côté en te faisant miamer du “c’est mon libre arbitre“. Ne pas être d’accord n’empêche de toute évidence pas d’avoir un fonctionnement similaire, j’adore, uh uh.
On ne sera pas d’accord là-dessus
Mais si, on est déjà presque d’accord, on a juste pas encore trouvé les mots pour le devenir. Ton instinct maternel et ma volonté (;D) sauront les trouver… ou s’en ficher, oui. 🙂
11 septembre 2017 à 07:32 #11619anatoleParticipant
Pour répondre à Mary, il en est de la fessée comme de la voiture, et de beaucoup de choses dans la vie…Le tout est de ne pas faire n’importe quoi…On n’a jamais interdit à une femme enceinte de prendre sa voiture pour aller bosser (ou aller chez son amant se faire fesser) à condition de ne pas voyager 3 heures dans un vieux 4×4 sur des routes pourries et bourrées de nids de poule. Comme dans toutes choses, agir avec modération. Rappelons juste un détail, jusqu’à preuve du contraire, la grossesse n’est pas une maladie!
Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser
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