Fessée aux orties, testostérone et facteurs psychologiques

[fessee21]

Mais qui sont ces fadas qui s’adonnent à ce genre de jeux ? Explications:

Pas de jeux sexuels sans excitation sexuelle partagée: évident !

L’excitation sexuelle trouve son origine dans le système limbique de notre cerveau qui contrôle l’envie: des substances neurochimiques comme la testostérone (y compris chez la femme) provoquent et stimulent l’excitation sexuelle. La production de testostérone qui engendre la montée du désir sexuel est liée à l’état émotionnel de la “punie”, état influencé par des facteurs psychologiques.

Dans le cas de ma “petite chérie” le facteur psychologique déterminant est l’image d’elle même dans laquelle elle aime se plonger: celle d’une “épouse désobéissante” qui s’apprête à être punie comme une petite fille. Le changement psychologique qui la fait passer pour son plus grand plaisir de la femme “libérée” du patriarcat à l’épouse à punir est très subtil. L’excitation est avant tout mentale.

Quand elle s’apprête  à être fessée aux orties, son état émotionnel est à son comble: une indicible peur, le stress, l’image d’elle par anticipation qu’elle perçoit, tordant ses fesses sous les insupportables piqures de la fouettée, tout contribue à une extraordinaire montée d’adrénaline et de testostérone: son excitation sexuelle est alors au beau fixe.

Si ma petite épouse trouve du plaisir à être fouettée aux orties, ce qui peut paraître bien étrange pour ne pas dire tordu, c’est parce qu’elle aime retrouver ces sensations sexuelles tout à fait hors de l’ordinaire qui mêlent peur, douleur, plaisir (un savant mélange) mais aussi et surtout parce que nos jeux se déroulent dans un climat de confiance et de respect mutuel, cadre indispensable dans lequel elle se sent en sécurité pour vivre ses désirs les plus intimes. Les piqures d’ orties ont également un rôle “physique” particulier sur la peau et la libido mais c’est un autre sujet.

Quant au polaroid en pièce jointe, il a figé un moment qu’on n’oublie pas. Dans une vie d’épouse désobéissante (de jeux désirés ou consentis), il y en a des fessées qu’on oublie (peu de fait) et d’autres qui restent gravées. Les fessées aux orties font parties de celles-ci. Evidemment parce que c’est la fessée XXL difficilement supportable mais aussi parce que la charge émotionnelle des moments qui la précède est des plus intenses en terme d’angoisse et d’excitation sexuelle. Elle n’a pas oublié cette extraordinaire fessée: moi non plus.

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