Fessée au local de location de DVD

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  • #98480
    PanpanKuku
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    Hello !

    Voici un nouveau récit fictif, à la première personne du singulier, mais cette fois vu par les yeux et la plume d’un homme. Ce n’est pas entièrement auto-biographique, bien que certains élément le soient… Je le fais pour satisfaire une demande de quelqu’un sur ce site.

    En fait je reprends un scénario que j’avais déjà publié sur ce site, sous mon ancien pseudo Frédéric. Le texte original semble voir disparu avec mon ancien pseudo.

    Alors voilà le nouveau texte :

    Bonjour. Je m’appelle Alexandre, mais tout le monde m’appelle Alex, même les clients. J’ai 42 ans, je suis assez grand, baraqué, le cheveux court mais pas à raz, sagement coiffé avec une raie sur le côté droit. Je travaille dans un petit local qui loue des DVD. Les clients peuvent les garder une semaine et doivent les rendre, faute de quoi il leur est appliqué une amende selon un tarif qui augmente en fonction du nombre de jours ou de semaines de retard. C’est du style 2 francs par jours de retard jusqu’à une semaine puis on applique systématiquement le tarif de 5 francs par semaine de retard, même si la semaine n’a pas été achevée au moment du retard. Bref ce n’est pas très important pour l’histoire.

    Un jour, une jeune japonaise est arrivée avec 2 semaines et 3 jours de retard. Je lui ai fait payer donc 15 francs (comme si elle avait eu 3 semaines complètes de retard). Elle a eu l’air assez ennuyée, mais elle a payé. Elle avait l’air sympa, elle m’a demandé des conseils pour les DVD qu’elle pourrait voir. Quand elle a fait inscrire la date du retour exigé, je lui ai dit :

    «Et tâchez de le ramener à temps, cette fois !…»

    Elle a répondu, avec un large sourire :

    «Oui oui, ne vous en faites pas !»

    Elle avait un petit accent qui la rendait extrêmement charmante. Et – je ne sais pas ce qui m’a pris – je me suis soudain entendu lui répliquer :

    «Sinon fessée !!!»

    Elle a mis sa main à sa bouche et a éclaté d’un rire enfantin :

    «Ooooh hi hi hi !»

    Et elle m’a regardé d’un air mutin et interrogateur. J’ai hoché la tête de l’air de faire «Oui oui», à la fois sérieusement, mais tout en montrant bien qu c’était une plaisanterie. Et elle, avec un sourire ravageur, m’a lancé :

    «Ooooh … chiche que vous n’oseriez pas…»

    Et j’ai répondu :

    «Bah essayez et vous verrez !…»

    On a rigolé tous les deux et elle partie. Mais depuis ce jour, je n’ai pas cessé de repenser à cette très courte conversation. Je me disais sans arrêt «Mais si elle revient en retard, qu’est-ce que je vais faire ? Est-ce que je vais oser aller jusqu’au bout de cette vraie fausse plaisanterie ?…» Vous l’aurez compris, je fantasme sur la fessée mais je n’ai jamais oser essayer de réaliser mon fantasme. mon fantasme. Et là j’avais une occasion en or de le réaliser ! Mais en même temps aussi je prenais un risque énorme. Comment savoir si elle serait d’accord ? Si elle n’allait pas porter plainte ?… Et alors je serai dans de beaux draps !…

    Et puis tout à coup j’ai su ce que je devais faire. Je ne devais pas précipiter les choses, simplement revenir sur la question, toujours de manière ambiguë pour la tester. Et ce, évidemment, si elle ramenait le livre en retard… c’était là une condition absolue pour réaliser le fantasme, mon fantasme. Mais sur ce point, j’ai eu de la chance, elle est arrivée largement en retard, ce qui m’a, au passage, donné largement du temps pour préparer mes répliques, et, en même temps me masturber très souvent jusqu’à l’orgasme en imaginant la fessée qu je lui donnerais ! Je me demande même si je n’étais pas déjà en train de tomber amoureux d’elle…

    Bref elle est entrée environ une semaine et deux jours après. Je l’ai regardée arriver. Au moment de son entrée, nous étions seuls dans le local, il n’y avait aucun autre client. Elle s’est approchée. Était-ce mon imagination, ou elle me paraissait nerveuse ? Je l’ai regardée s’approcher, en prenant mon air faussement fâché. Lorsqu’elle a été contre le desk derrière lequel je me tenais, elle a sorti les DVD et elle a souri. J’ai commencé par lui lancer prudemment :

    «Eh bien quel retard!…»

    Elle a répondu d’un air qu’elle essayait d’être détaché :

    «Euh … oui oui …»

    Alors, comme je l’avais décidé en mon fort intérieur, je n’ai pas été plus loin. Je lui ai fait payer son amende. Puis elle est partie, cette fois toute seule, chercher d’autres DVD. Lorsqu’elle est revenue faire timbrer ses choix, c’est elle même qui a dit, d’un ton qu’elle essayait de rendre détaché comme la dernière fois :

    «Et j’essaierai de ne pas les ramener en retard, cette fois… hi hi hi !…»

    C’est là que j’ai sauté sur l’occasion :

    «Oh oui sinon, cette fois ce sera … mmmh … ?»

    Elle a mis sa main devant sa bouche dans un éclat de rire cristallin :

    «Hi hi hi hi hi !…»

    Comme elle avait l’air de suivre, j’ai relancé :

    «Ce sera la fessée !»

    Elle a remis sa main devant sa bouche dans un éclat de rire cristallin :

    «Hiiii hi hi hi hi hi hi hi hi hi hi hi…»

    On s’est regardé. Et miracle, c’est elle qui a prononcé le mot :

    «Oh ouiiiii, déculottée ! Hi hi hi hi hi !»

    Et là j’ai encore osé ajouter, pour être sûr de finaliser le projet :

    «Mais… ce n’est pas une plaisanterie, je le ferai… vraiment !»

    Là elle s’est arrêtée de rire. Elle m’a regardé, d’un air soudain interrogateur et moins sûr qu’avant :

    «Vraiment ?»

    «Oui… vraiment !»

    «Déculottée ?»

    «Oh oui, culottes baissées… ici même… vous l’aurez méritée, cette fessée, vous ne croyez pas ?»

    Elle m’a regardé quelques secondes. Puis elle a soudain souri :

    «Oh Ok ! Mais je pense que vous n’oserez pas en fait…»

    Et moi de répondre :

    «Essayez et vous verrez…»

    Et elle est sortie avec un large sourire en me faisant un petit signe de la main et en lançant de loin :

    «Vous n’oserez pas !»

    C’était malin. Je n’avais toujours pas de certitude qu’elle accepterait, la prochaine fois. On imagine dans quel état j’étais pendant la semaine qui a suivi. J’espérais de tout mon cœur que je pourrai lui donner la fessée. Mais j’étais terrorisé à l’idée qu’elle ne réagisse pas bien… La seule chose qui m’a redonné espoir, c’est quelle est arrivée deux jours après le délai. Pourquoi si vite ? Était-elle pressée de réaliser le fantasme ?

    Donc elle est apparue. Mon cœur s’est mis à battre fort dans ma poitrine. Et mon sexe a commencé à se durcir. Soudain je me suis rendu compte que je n’allais pas avoir un seul problème pour l’amener à accepter la fessée publique (bien qu’à ce moment précis, il n’y eut pas encore de client dans le local). Un autre difficulté allait être tout aussi problématique à gérer : mon plaisir serait visible, à cause de mon érection, et j’aurais préféré, pour la vraisemblance du jeu, qu’il ne le fût pas de manière aussi évidente…

    Mais bref, elle s’est approchée du desk, comme on dit, et elle m’a tendu ses DVD. J’ai hésité. Je ne savais pas comment interpréter son allure plus nerveuse que la fois d’avant. Mais comme il fallait absolument que sache j’ai commencé prudemment :

    «Et voilà … vous avez deux jours de retard …»

    Elle m’a regardé de l’air de se demander si c’était du lard ou du cochon. Elle a eu un petit rire, cette fois ce fameux petit rire un peut convenu, presque culturel chez les japonaises.

    «Hi hi hi !…»

    Et elle a ajouté :

    «Oui … et ? …»

    À quoi elle jouait, là ? Elle ne se souvenait vraiment plus ? Ou elle me poussait à bout pour voir si j’oserais aller jusqu’au bout ?… Mais je ne sais pas pourquoi, j’ai su que je devais garder ma ligne et essayer d’aller jusqu’au bout. Pour le moment on n’en était qu’au début, et je ne risquais encore pas grand chose.

    «Vous vous souvenez de ce que je vous avais dit qu’il pourrait se passer, si ça se reproduisait que vous rendiez un DVD en retard ?»

    Elle a eu l’air interloquée. Mais en même temps j’étais presque sûr qu’elle jouait un jeu. Alors je me suis lancé. J’aurais trop regretté de n’avoir pas au moins essayé…

    «La fessée… et vous avez vous-même demandé si elle serait déculottée … et j’ai répondu oui … et vous avez rigolé en disant chiche que je n’oserais pas …»

    Plus je continuais plus je la voyais se décomposer. Et je me suis demandé si je ne devais pas vite faire un pas en arrière et repartir d’un grand éclat de rire, comme si je plaisantais toujours. Mais un signe discret m’a redonné du courage pour continuer. Oh un signe vraiment très discret. Heureusement que je l’ai aperçu, il était si fugitif !… Son regard s’est troublé et elle s’est mordue la langue, comme le font les gens qui sont envahis d’un désir très intense… C’était juste le petit encouragement dont j’avais besoin ! Alors j’ai foncé :

    «Ah ça vous revient, maintenant ? Eh bien vous allez voir que je ne me dégonflerai pas !…»

    Bingo ! Son regard se trouble encore in peu plus. Elle me regarde, et … ah encore ce petit rire, mais cette fois de plus en plus gênée :

    «Hi hi hi !»

    «Alors vous voyez, je vais oser le faire !»

    «Mais … des gens pourraient entrer et tout voir ?…»

    «Oh oui ! Et il auraient tort de fermer les yeux !»

    Je m’enhardissais de plus en plus. Je voyais son visage se décomposer de plus en plus. Toutefois j’hésitais encore. J’ai cru bon de lui donner encore un échappatoire possible …

    «Alors vous venez ? C’est vous qui vous dégonflez, à présent ?»

    Et là, le miracle ! Elle m’a regardé, avec toujours ce sourire qui ferait chavirer n’importe quel cœur, mais ce sourire de composition, maintenant je le savais. Sa bouche s’est ouverte, elle a essayer d’articuler un son, un rire, mais c’est juste une sorte de tout petit râle qui en est sorti. Mais elle a eu un très petit hochement de tête. Et moi, j’ai été assez fou pour croire que c’était un signe d’acquiescement … Alors je me suis levé d’un air décidé. J’ai juste encore essayé de la pousser à bout :

    «Bien… Ça va faire mal, vous savez ? Ce sera une vraie fessée… Vous allez vous dégonfler j’en suis sûr»

    Mais là, elle m’a regardé et m’a dit, d’une voix à la fois sûre d’elle et submergée de terreur de ce qui allait se passer :

    «Je ne me dégonfle jamais.»

    «Chiche ?»

    «Chiche !… »

    Alors j”ai contourné le desk pour venir jusqu’à elle et l’attraper par le bras. Elle commençait à trembler. Mais elle a laissé échapper un petit gémissement :

    «Oh non, monsieur, pas la fessée !… Pas déculottée, pas ici, des gens pourraient entrer…»

    Ici, il faut que je vous explique. Le desk est comme ceux que l’on trouve dans les bistrots et les bars. D’ailleurs le local était un ancien bar transformé en site de location de DVD. Donc je me suis approché d’elle, je l’ai attrapée par le bras, et me suis hissé sur un des tabourets de bar. C’est là que mon érection est venu tout gâcher. Elle allait voir, ou surtout sentir, surtout si je la hissais en travers de mes genoux. Alors j’ai choisi de laisser ma jambe droite tendue, pied au sol, et j’ai plié le genou gauche en posant le pied sur un rayonnage horizontal du tabouret de bar. Ma cuisse gauche était à l’horizontale.

    J’observais minutieusement chacune de ses réactions. Pas une seule fois, alors que j’accomplissais tous ces petits gestes préparatoires, elle n’a eu ni une parole de renoncement, ni un geste qui aurait pu me signifier qu’elle ne voulait pas. Elle a juste gémis doucement en articulant un petit «Ooooh…» de petite fille qui commençait à avoir terriblement honte.

    Alors qu’elle était encore debout devant moi, j’ai relevé sa mini-jupe en jean bleu ciel, assez classique, mais très courte. Je n’ai pas eu besoin de lever beaucoup la jupette pour faire apparaître une petite culotte banche de petite fille. Mmmmh … elle s’était donc préparée ! Cette vision m’a subjugué. J’ai été parcouru d’un frisson. J’ai pris deux secondes pour admirer. Et je l’ai regardée dans les yeux : toujours aucune réaction négative, aucune tentative de me repousser, à part une sorte de terreur qui, cette fois, était évidente.

    Alors j’ai attrapé la culotte et je l’ai baissée. Son sexe m’est apparu. Elle était encore tout habillée, à part la portion entre le bas du ventre et le haut des cuisses où la culotte était à présent enroulée. J’ai eu le temps de regarder ce sexe pendant à peine une demi-seconde. J’ai vu son visage s’empourprer, et dans un geste de pudeur, elle a placé ses deux petites mains sur ce sexe pour tenter ridiculement de le cacher. Cette fois elle ne riait plus du tout, elle souriait encore très vaguement, le visage rouge pivoine, avec un regard qui ne trompait pas sur la honte qu’elle ressentait à ce moment …

    Alors je l’ai à nouveau attrapée et l’ai basculée relativement sèchement sur mon genou horizontal. Elle s’est laissée faire. C’est à ce moment qu’un couple est entré dans le local. Minaya (c’est le nom de la jeune femme que je m’aprétais à fesser) a tourné la tête et les a vus. Ils ouvraient des yeux comme des soucoupes en voyant le spectacle que nous formions, Minaya et moi-même.

    «Oh non pas devant eux ! Oooooh … c’est trop honteux !»

    Le couple a fait mine de vouloir repartir. Mais, comme Minaya ne s’était finalement pas relevée, je leur ai lancé :

    «Non non, je vous en prie restez ! Cette jeune femme a toujours du retard pour me ramener les DVD, et je lui avais promis un fessée déculottée si ça se reproduirait… Restez, cette honte supplémentaire lui fera une encore plus dure leçon !»

    Ils se sont regardés, se sont souri, puis, avec une certaine excitation dans les yeux, ils ont décidé de rester et de regarder. La fessée pouvait commencer. J’ai levé la main droite et j’ai commencé à claquer ce derrière de Minaya que je voyais à 20 cm de mes yeux. Le spectacle que j’avais était à couper le souffle ! En fait je voyais son derrière en contre-plongée, si je puis employer cette expression du domaine photographique.

    En quelques claques j’ai fit ainsi apparaître quelques rougeurs sur la peau blanche de Minaya. En même temps, il y avait un miroir placé sur le côté, et, miraculeusement, j’étais placé de sorte que je nous voyais dans le miroir, Minaya et moi ! C’était à en tomber. Mon sexe durcissait de seconde en seconde, et je pensais que Minaya allait finir par le sentir. Mais tant pis, je cédais à mon plaisir. Et je claquais de plus en plus vite et fort.

    Minaya avait déjà reçu plusieurs dizaines de claques qu’elle a commencé à gémir de plus en plus fort. En fait elle poussait de petits cris, qui se sont ensuite transformé en une sorte de hurlement continu. Comme elle avait les pieds au sol, elle s’est aussi mise à sautiller, lever une jambe puis l’autre. Elle se tortillait à droite, à gauche, et elle essayait aussi désespérément d’interposer sa petite main tremblotante.

    «Voilà ce que reçoivent les petites filles qui be respectent pas les délais !!!»

    «Non ! Noooon !! Aïïïïïïïïe !!!…»

    Elle criait de plus en plus. Soudain elle a craqué et s’est mise à pleurer. Elle ne sautillait presque plus, mais pleurait avec des sanglots de plus en plus déchirants. Devant nous, le couple regardait d’un air de plus en plus excité. Minaya agitait la tête et ses longs cheveux noirs étaient totalement en désordre. Je voyais dans le miroir que son sexe était très visible à l’entrecuisse. Et à ma grande surprise, il s’ouvrait de plus en plus de plaisir. Elle jouissait !!!

    Je me suis penché pour essayer d’apercevoir son visage, au gré de ses tortillonnades. Elle avait la bouche ouverte et elle grinçait désespérément des dents, ce qui lui donnait ce genre de sourire crispé que les asiatiques ont si souvent pendant la fessée (je suis un grand afficionnados des vidéos de fessée). A un moment je l’ai rapprochée de moi pour enrouler mon bras autour de sa taille et la serrer de sorte qu’elle ne puisse plus s’échapper du tout. Et je lui ai flanqué les plus fortes claques que je pouvais.

    Ses pleurs sont devenus hystériques. Elle poussait des cris à réveiller un mort, elle s’étranglait dans ses hoquets, elle avait cette fois la bouche tordue de douleur, la lèvre inférieure très molle, comme on dit parfois. Elle essayait encore d’interposer sa main, mais maladroitement, et surtout ridiculement. Ça faisait comme si elle voulait montrer au coupe ses fesse, et que c’était bien là qu’était le spectacle… Le couple s’était à présent mis à rire de bon cœur. En même temps la dame commençait à se caresser par dessus sa jupe mi-longue beige… Elle murmurait à son compagnon :

    «Ouaaaaah quelle honte !»

    A un moment j’ai senti un liquide me couler sur la main droite au gré des claques. Minaya mouillait grave. Et soudain – comment ai-je fait pour le savoir, aujourd’hui encore je ne le sais pas – Minaya a joui d’un orgasme qui devait être d’une intensité hallucinante !!! Mais je n’ai pas arrêté la fessée immédiatement. J’ai encore continué trente petites secondes … et j’ai arrêté la fessée. J’ai attrapé Minaya pour la relever. Je me suis aussi levé, et je me suis tourné de côté par rapport au couple spectateur, en tournant Minaya face au couple.

    La robe ne retombait pas et restait enroulée autour du ventre. Le sexe de Minaya était offert en spectacle de façon très honteuse. Le couple avait les yeux rivés sur cette foufoune, obscènement exhibée. Minaya s’en est aperçue, mais elle était encore tellement secouée de sanglots qu’elle ne pensait même plus à cacher son intimité. Elle essayait juste de se recomposer une posture, en se passant maladroitement sa main dans ses cheveux. Les larmes avaient coulé et ruisselaient encore sur son visage bouffi. Sa poitrine se soulevait et se refermait avec difficulté, tant sa respiration était encore liée à ses sanglots, qui semblaient ne jamais devoir s’arrêter.

    «Voilà. Cette fois vous l’avez voulue, et vous l’avez reçue, votre fessée. Méritée ! Vous ne rapporterez plus les DVD en retard ?»

    Et dans un sanglot incompréhensible elle a répondu que oui, elle ne le ferait plus jamais … ensuite de quoi, sur mon ordre, elle a dû remonter sa culotte et redescendre sa minijupe. On aurait vraiment dit qu’elle n’était plus qu’une petite fille brisée, qui venait de vivre la honte de sa vie. Son sexe exhibé, encore très ouvert et surtout toujours plein de sa mouillure de jouissance, avait juste rappelé, quelques secondes plus tôt, qu’elle venait de jouir.

     

    #98488
    PanpanKuku
    Participant


    Celui-la j’en suis fier ! C’était un défi de raconter un texte avec la bouche d’un homme …

    Je m’identifie assez au personnage qui raconte, je ressens ses sentiments!

    #98492
    Camille 92
    Participant


    Très excitant ! Je me suis imaginée à la place de la coquine Minaya. Et je me suis demandée si elle avait une toison naturelle comme beaucoup d’asiatiques ou pas.

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