Faire mal
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- Ce sujet contient 38 réponses, 28 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Pierre, le il y a 4 années et 12 mois.
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- 12 mars 2020 à 17:52 #43647
FrenchTouch
ParticipantUne partenaire de jeu, alors que je lui promettais une punition plus sévère que d’habitude, m’a posé un jour cette question d’une toute petite voix : « tu veux me faire mal ? »
J’ai décelé plusieurs choses dans sa question : un peu d’appréhension, une dose difficile à quantifier d’attirance pour la douleur évoquée, un rien de provocation, et une interrogation sincère, un étonnement presque. Elle savait que je l’aimais, alors comment pouvais-je vouloir lui faire mal ?
La réponse que je lui ai faite ce jour-là fut « oui, un peu ». Combien ? Difficile à dire : je ne veux jamais faire *très* mal, je ne veux pas que la douleur soit l’aspect prédominant d’une session (avec elle encore moins qu’avec d’autres). Mais quand même, un peu. Qu’elle sente la chose passer, qu’elle soit un peu bousculée physiquement, que ce ne soit pas une expérience purement cérébrale mais clairement physique, aussi.
Je m’interroge : quel est votre rapport à la douleur que vous infligez (si vous en infligez) ? Quelle aurait été votre réponse à sa question ?
Compte tenu du tropisme de ce forum, cette question s’adresse en premier lieu aux fesseurs de la communauté, mais j’encourage évidemment les fessées à partager leur ressenti sur ce sujet, aussi.
Amitiés,
FTPS : pardon si ce sujet est traité ailleurs, je ne l’ai pas vu, mais je n’ai pas tout lu
12 mars 2020 à 19:46 #43650lunapower
ParticipantQuestion intéressante! Personnellement ce n’est pas recherche principale de faire mal, une bonne fessée ça doit piquer mais pas plus. Cependant il arrive que certaines vilaines aient parfois envie d’avoir une fessée plus appuyée, dans ce cas là je les laisse plus ou moins guider 🙂
A la question “tu veux me faire mal?” j’aurais sans doute répondu “Tu veux que je te fasse mal?” et en cas de réponse positive j’aurais élaboré un “plan” afin que la demoiselle ait mal sans pour autant aller trop loin 🙂
https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/
12 mars 2020 à 20:41 #43651Anonyme
InactifNon une fessée plus appuyée a une spankee confirmée ne pourrai que lui apporter plus de sensations cachées
12 mars 2020 à 20:54 #43652Ô.Céane
ParticipantDisons que la douleur ou du moins l’acceptation de la douleur ne doit pas casser le trouble…Si la douleur est trop intense, par rapport à ce que l’on a envie de supporter, l’esprit risque de se focaliser dessus et en fait on va attendre que cela s’arrête… C’est comme tout, ce doit être approprié, consenti, concerté, il doit y avoir de l’écoute et de la confiance…
On peut avoir un seuil de douleur différent d’une fois à l’autre…."Et mes fesses, tu les aimes mes fesses"
Mes récits ne sont pas forcément le reflet de ce que je recherche...juste une inspiration...13 mars 2020 à 00:06 #43655FrenchTouch
ParticipantMerci à tous les trois pour vos avis éclairés.
Je précise un peu, à toutes fins utiles : il est évident qu’on est dans un cadre consenti et respectueux des limites de la partenaire (a la fois sa tolérance à la douleur, et le souhait qu’elle peut avoir ou non d’en faire l’expérience dans ce cadre, qui sont deux choses un peu différentes pour moi puisqu’on peut être endurant mais préférer des fessees « soft »).
Mon interrogation portait essentiellement sur l’envie, ou l’intention de faire (plus ou moins) mal à l’intérieur de ce cadre. L’impulsion, que l’on peut choisir de suivre ou non.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 5 années et 4 mois par
FrenchTouch.
13 mars 2020 à 06:40 #43662Christal
Maitre des clés &
La femme de l'ombreElle est difficile cette question. Ça dépend de tous un tas de petits détails… Vous lui promettez une fessée plus sévère, ça signifie que vous voulez la marquer de manière différente des autres fois alors qu’elle a sûrement sa petite routine et ses répères avec vous donc là vous la destabilisez un peu et peut être qu’à ce moment précis, elle ne voulait pas dépasser ces limites et être dans une fessée confort ? (genre j’ai les capacités de faire un marathon mais je vais me contenter d’un semi) ou bien elle sait qu’elle ne vous connait pas encore sous le jour ” de la rigueur et de l’intransigeance” et elle se dit que c’est pour maintenant, et elle est à la fois excitée et pleine d’appréhension même si l’envie prime évidemment. Et si la punition ne s’avère finalement pas si différente des autres fois, alors elle peut se sentir déçue.
D’ailleurs, si c’était une autre partenaire qui vous avait posé la question, ça aurait été quoi votre réponse, @frenchtouch ?
Je ne veux pas qu’on m’aime quand on me punit ou du moins je ne veux pas ressentir le fait que cette affection pour moi empêche mon partenaire d’être sévère voir très sévère avec moi.
Donc si je transpose cette question dans mon petit monde personnel, je veux que la réponse soit oui.Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.
13 mars 2020 à 09:38 #43665FrenchTouch
ParticipantConcernant cette jeune femme et ce moment précis : je ne pense pas qu’elle s’attendait à autre chose qu’une correction plus sévère. Elle l’avait méritée et je crois, la voulait. Elle avait sans doute de l’appréhension mais nous nous connaissions déjà très bien. Ce n’était donc pas totalement un saut dans l’inconnu.
Pour vous répondre, avec une autre partenaire, la réponse serait sans doute toujours « oui », parce que mes fessées mordent. Mais cette réponse englobe des niveaux d’intensité variables (je m’adapte à mes partenaires, mais encore une fois j’aime qu’elles se souviennent un moment de leur fessée).
Quant au fait d’aimer, ce n’est pas un frein (pour un sadique comme moi du moins ?). L’affection n’empêche pas la sévérité, et je n’ai pas de mal à mettre de côté la tendresse quand je punis (ni à y revenir après la punition). Disons que pour elle, qui a découvert la fessée après quelques mois de relation avec moi, se savoir aimée la rassurait. Si elle avait eu l’impression de ne pas être aimée, même dans ce moment, elle l’aurait sans doute beaucoup plus vécu comme une forme de violence.
14 mars 2020 à 13:42 #43694ALAIN ELOGE
ParticipantC’est bien spur “LA” question ….
COmment pouvons nous (les fesseurs) avoir autant envie /besoin de “faire mal” alors qe nous aimons et ne voulons que le bien de nos “victimes” Et comment peuvent-elles avoir autant envie/besoin que …nous leur faisions mal ….14 mars 2020 à 13:55 #43696Anonyme
Inactifje suis d’accord sur le sujet ont peut avoir du respect et avoir de l’infection de la partenaire mais ceci n’empêche pas que le fesseur se montre sévère quand il le faut et la corrige comme il faut sinon elle va être déçu .c’est mon avis mais tous le monde peut pensé autrement
15 mars 2020 à 16:42 #43738Amarante
ParticipantJe partage très largement tout ce qui a été dit ici, et j’ai l’impression que la question se résume à la différence entre “faire mal” – ça c’est tout à fait possible,quand cela correspond aux besoins et aux limites de la punie – et “faire du mal” – ce qui est hors de question.
De plus, la sensation de “mal” est vraiment très personnelle, il faut donc bien se connaître.
En somme, c’est “faire mal” avec attention, voire avec amour dans certain cas, “faire mal” sans excès, “faire mal” pour lui faire du bien, surtout…15 mars 2020 à 23:00 #43752Anonyme
Inactiffaire mal plusieurs définition mais dans le cadre de la fessée une fessée punitives doit faire mal pour que la punie comprenne mais sans sans brutalité et avec des limites ne pas faire mal pour vraiment la blessée
16 mars 2020 à 17:19 #43792Anonyme
Inactifs’il est vrai qu’une bonne féssée est sensée faire mal pour qu’elle sois vrai cela reste aussi à l’appréciation de la partenaire et de sa complicitée
16 mars 2020 à 18:47 #43794Anonyme
InactifBonjour,
Je suis certainement completement dans le deni, mais la douleur ( le terme), me fait un peu peur… j’aime donner des fessées, j’aime le protocole, j’aime aussi évidement claquer le popotin de ces dames…. mais le but n’est pas de leur faire mal bien sûr… même si ça fait parti du jeu…18 mars 2020 à 00:31 #43859Liza
ParticipantPour celle qui aime etre fessee, le mal est un plaisir jusqu’a un certain point. C’est cette limite qui va encadrer la relation de complicite. Au dela, on n’est plus dans le consentement. Cette limite est differente pour chaque personne et un fesseur devrait effectivement etre pret a aller aussi loin que cette limite au risque sinon de decevoir mais aussi sans porter atteinte a l’integrite de sa partenaire.
La vie est un songe.
18 mars 2020 à 19:31 #43877Provocation
ParticipantBonjour,
Personnellement j’aime avoir mal, j’aime également sentir qu’il veut me faire mal.
J’ai déjà demandé tu veux me faire mal? Et j’attends probablement une réponse positive qui me fera vibrer dans un mélange d’appréhension et de désir.
Ça a un côté excitant. J’aime bien qu’on me rappelle la douleur que je suis en train de ressentir, celle que j’ai cherché, demander, provoquer. Mais c’est personnel et à la place des fesseurs je me dis toujours que c’est un savant dosage à maîtriser. 😉 -
Cette réponse a été modifiée le il y a 5 années et 4 mois par
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