Exclue de l’internat

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  • #64502
    CaroB
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    Je n’étais pas fière. Je peux l’avouer, je me sentais honteuse. Honteuse et surtout furieuse. Quelle gourde !
    Depuis près de 3 dans que je fréquentais cet internat, j’avais fait un parcours sans faute ! Prix d’excellence, félicitations dans toutes les matières ! Il avait fallu que je me fasse chopper entrain de fumer à 3 mois de de la fin de l’année !
    La sanction avait été sans appel : Exclusion temporaire. Les paroles de madame Lebrun la directrice résonnent encore en moi !
    J’ai pleuré. A 18 ans et demi, j’ai pleuré en recevant ma sanction. Sophie, mon amie et co-fautive aussi avait sangloté. Il faut dire que nous avions prévu de partir en vacances toutes les deux après le bac, mais là c’est sur, jamais papa ne m’y autoriserait après cette écart.
    J’étais la benjamine de la fratrie, tous mes frères et sœurs avaient été exemplaires. Il avait fallu que je me fasse prendre si près du but.
    Adieu mes premières vacances sans les parents.
    Les parents de Sophie étaient venus la chercher.
    Ils étaient plutôt modernes et indulgents, contrairement aux miens qui étaient stricts et vieux-jeu.
    Mes parents justement, étaient actuellement en voyage au Kenya pour leurs 30 ans de mariage.
    Comme ils étaient injoignables, la directrice avait contacté Philippe, un vieil ami de mon père afin qu’il vienne me chercher et me prenne en charge durant ma semaine d’exclusion.
    J’aimais bien Philippe même si je ne l’avais pas vu depuis des années, j’en gardais un bon souvenir.
    Il avait été marié à ma tante, la sœur de ma mère dont il était divorcé depuis quelques années. Il était resté ami avec mon père, et j’avais eu peu d’occasions de le revoir depuis.
    Assise devant le perron de l’internat, la valise à mes pieds et perdue dans mes pensée, je ne l’avais pas entendu approcher.
    -Alors comment va ma nièce préférée ! lança-t-il en riant ! Tu n’as pas trouvé d’autre prétexte pour me revoir !
    Malgré cet éloignement, il me considérait toujours comme sa nièce.
    -Bonjour mon oncle; répondis-je en séchant mes larmes. Je commençais à me détendre sous l’effet de sa bonne humeur.
    -Je suis vraiment navrée de vous causer tant de dérangements !
    -Ne t’inquiète pas, je suis plutôt disponible en ce moment, et ça nous donnera l’opportunité de passer un peu de temps ensemble, n’est-ce pas ?
    Le trajet jusqu’à chez lui fut assez détendu, nous parlâmes de vies respectives, de mes études et de nos projets d’avenir.
    Mon oncle avait toujours été strict mais étrangement, il ne semblait pas faire cas de mon petit écart de conduite, il en riait même.
    Arrivé chez lui, il me montra ma chambre et pendant que je m’installais, il prépara le diner.
    A la fin du repas je tentais le tout pour le tout, je commençais à entrevoir l’espoir de partir en vacances.
    -Mon, Oncle ? osais-je.
    -Oui Caroline.
    -Pensez-vous que cette petite erreur de parcours pourrait rester entre nous ?
    -Comment ça entre nous ?
    -Oui, vous savez, je suis plutôt bonne élève et je ne fume pas. Là j’ai juste voulu essayer pour faire comme les copines…
    -Je ne vois pas où tu veux en venir Caroline.
    -Et bien, peut-être que nous pourrions ne rien dire à Papa ?
    -C’est délicat ce que tu me demandes, je ne suis pas responsable de ton éducation.
    -S’il vous a désigné comme tuteur légal en son absence, c’est qu’il vous fait confiance. Et puis, il risquerait de m’interdire de partir en vacances. Imaginez mon oncle, des vacances qui tombent à l’eau à cause d’une si petite bourde !
    -Mais Caroline, tu as commis une grave erreur en fumant, il ne s’agit pas que d’une simple cigarette, tu as enfreint un règlement.
    Il est donc normal que tu sois punie. Tu es une adulte maintenant, tu dois assumer la responsabilité de tes actes.
    C’est mort pensais-je. Adieu les vacances avec Sophie.
    Ou alors, continua-t-il, en tant que tuteur provisoire, je me charge de t’infliger une punition.
    L’espoir revint !
    -Oh ! merci mon Oncle. Je ferai ce que vous voudrez. Je peux faire le ménage tous les jours, ou préparer les repas, je sais cuisiner vous savez ! Ou les deux. Demandez moi ce que vous voulez !!
    -Mais Caroline, tu ne comptes pas t’en sortir avec quelques tâches ménagères ! Tu t’es conduite comme une gamine, tu seras punie comme une gamine.
    -Je ne comprends pas.
    Mais où voulait-il en venir ?
    -Tu ne comprends pas, vraiment ? Comment tes parents te punissaient ils quand tu étais enfant et que tu commettais des bêtises ?
    -Ils me fessaient répondis-je aussi tôt.
    Je compris en prononçant ces mots. J’étais interloquée.
    -Mais mon oncle, j’ai 18 ans, j’ai passé l’âge pour ce genre de choses.
    -Très bien, comme tu voudras. On verra ce qu’en pense ton père. Je vais travailler dans mon bureau, j’ai quelques dossiers en retard. Si tu changes d’avis ma porte est ouverte, sinon, on se verra demain.
    Il m’embrasse sur le front avant de quitter la pièce et me laissa les bras ballants au milieu du salon.
    Stupéfaite et bouche-bée, je ne savais que faire.
    Merde ! pensais-je. Je ne voulais pas renoncer à mes vacances mais me faire fesser à mon âge ! Hors de question !
    Je fulminais ! Aucune des deux issues ne me semblait séduisante.
    Peut-être que cela ne serait qu’un mauvais moment à passer, vite fait, vite oublié.
    Tant pis pour ma fierté. Ces vacances j’en ai tant rêvé !
    Ma décision était prise. Je me rendis d’un pas décidé jusqu’au bureau de Philippe et frappais à la porte.
    -Entre.
    La main sur la poignée de la porte que je m’apprêtais à pousser, ma confiance vacilla, cette situation était tellement irréelle.
    -Alors, tu rentres ou non ?
    -Oui mon Oncle.
    -Que veux tu ? Me demanda-t-il sans lever les yeux de son dossier.
    -Vous savez ce que vous m’avez proposé tout à l’heure ? balbutiais-je..
    -Que veux tu ? Répéta-t-il fermement.
    Je commençais à trembler. Où était l’oncle cool qui était venu me chercher à l’internat ?
    -Je voulais dire… que peut-être, heu…, je serais d’accord pour la punition.
    -Sois plus claire !
    -Mais vous savez, vous m’avez dit tout à l’heure murmurais-je les yeux baissés en me trémoussant.
    -Ecoute Caroline, je n’ai pas de temps à perdre avec tes enfantillages ! Soit tu me dis clairement ce que tu es venue chercher, soit tu me laisses travailler, est-ce clair ?
    -Oui mon oncle.
    -Alors j’écoute ! Que veux tu ?
    On y était.
    -Je voudrais que vous me fessiez murmurais-je.
    Jamais je n’aurais pensé prononcer cette phrase un jour.
    -Comment ? Parle plus fort, je n’ai pas entendu !
    Il le faisait exprès ou quoi !
    -Je voudrais que vous me fessiez répétais-je un peu plus fort.
    -On dirait que tu as perdu tes bonnes manières répondit-il.
    Quel calvaire, dans quoi m’étais-je encore fourrée.
    -Je voudrais que vous me fessiez, s’il vous plait mon Oncle.
    -Et pourquoi ferais-je une chose pareil ? répondit-il feignant la surprise.
    Putain, il prenait plaisir à me torturer. Mais trop tard, je ne pouvais plus faire marche arrière.
    -Parce que je dois être punie pour la faute que j’ai commise.
    Il s’était levé et faisait les cent pas autour de moi en me toisant du regard.
    -Tu veux donc que je te fesse n’est-ce pas ?
    -Oui mon Oncle, s’il vous plait.
    -Et tu penses mériter cette punition ?
    -Oui mon Oncle.
    -Alors dis-le !
    J’étais incapable de répondre.
    -Alors ? J’attends !
    -Je mérite d’être punie, je mérite d’être fessée comme une gamine car je me suis conduite comme telle.
    Il jubilait. Je mourrais de honte.
    -Très bien dit-il en s’installant au milieu du canapé. Approche toi.
    Je m’exécutais. Je ne contrôlais plus mes mouvements. J’étais comme envoutée par sa voix.
    Il m’attira à lui et sans même m’en rendre compte, j’étais couchée sur ses genoux.
    -Tu vas recevoir ta punition annonça-t-il.
    Sans blague !
    Elle débutera par 40 claques.
    -Oui mon Oncle.
    -Tu mérites cette punition n’est-ce pas ?
    -Oui mon Oncle.
    Les premières claques tombèrent. Je ne m’attendais pas à ce qu’elles soient si fortes.
    Les coups pleuvaient sur mes fesses. Je gesticulais pour tenter des les éviter mais il visait juste le malin. Un coup à gauche, un coup à droite !
    Mes fesses brulaient, j’en oubliais ma honte tant la douleur était piquante, je dansais sur ses genoux.
    Enfin il s’arrêta. Je n’en pouvais plus.
    Mes joues étaient baignées de larmes, je ne m’étais même pas aperçue que j’avais pleuré.
    -C’est bien Caroline, tu as été courageuse dit-il en me caressant les fesses. Ses mains étaient apaisantes et atténuaient un peu la douleur.
    -Merci mon Oncle répondis-je en tentant de me relever.
    Son bras entrava ma tentative d’évasion.
    -Mais, enfin Caroline, la punition n’est pas finie.
    J’étais sidérée.
    -Ah ? répondis-je.
    Il m’aida à me relever.
    -Retire ton pantalon! ordonna-t-il.
    Je commençais à comprendre ce qui m’attendait.
    -Non s’il vous plait suppliais-je pour la forme.
    -Retire ton pantalon répéta-t-il.
    Tel un pantin, je m’exécutais.
    Debout, les bras le long du corps et les yeux baissés, en culotte devant cet homme que je ne reconnaissais plus, j’attendais la directive suivante.
    J’avais honte.
    A nouveau il m’attira à lui et m’allongea sur ses genoux.
    Il posa une main sur une de mes fesses et recommença ses caresses.
    Comme c’était agréable après la pluie de fessées que j’avais reçue.
    -Tu vas recevoir 20 claques sur ta culotte Caroline, tu comprends.
    -Oui mon Oncle.
    -Tu sais que je fais ça pour ton bien n’est-ce pas.
    -Oui mon Oncle.
    Et à nouveau sa main s’affaira, et à nouveau je dansais sur ses genoux.
    Elle n’en finirait jamais cette fessée.
    Certaines claques tombaient à côté de ma culotte, où aucune étoffe ne pouvait les atténuer, alors  je ne pouvais alors m’empêcher de crier.
    Il continuait, insensible à mes cris et mes gémissements.
    Je le soupçonnais même d’aimer ça, tant il semblait s’appliquer.
    A nouveau la fessée s’arrêta, aussi brutalement qu’elle avait commencé.
    Cette fois, pas de pause, pas de caresse apaisante, il glissa la main dans l’élastique de ma culotte et l’abaissa brutalement.
    Avant même que je ne m’en aperçoive, j’étais déculottée!
    -Non, s’il vous plait mon oncle ! Pas ça ! sanglotais-je en essayant d’attraper ma culotte. Mais trop tard, elle était déjà loin.
    Par réflexe, je tentais de dissimuler mes fesses nues avec mes mains, qu’il écarta aussi tôt.
    Jamais je n’avais eu si honte, et pourtant, ce n’était rien comparé à ce qui m’attendait.
    Délicatement, il me poussa légèrement et me fit basculer vers l’avant.
    Pour ne pas perdre l’équilibre, je fus forcée de poser un pied sur le sol.
    J’étais donc allongée sur mon Oncle, nue, une jambe reposant sur le canapé, l’autre inclinée vers le sol, les jambes écartées.
    C’était sûr, il voyait tout de mon intimité.
    C’est alors que consciente du spectacle que j’offrais, mon corps m’abandonna et me trahit : je sentie une vague de chaleur m’envahir et mon entre jambe devenir humide et luisant.
    Plus j’avais honte, plus je me sentais excitée.
    Je n’osais plus bouger. J’étais pétrifiée.
    Il savait c’était sûr.
    -Tu es prête à recevoir la fin de ta punition Caroline ? demanda mon Oncle d’une voix rauque.
    -Oui mon Oncle, répondis-je.
    La fessée se poursuivit. Etrangement, elle n’était plus douloureuse. Chaque claque déclenchait une vague de vibrations qui m’irradiait.
    A certains moments, son genoux effleurait m’on entre-jambes, l’arrachant quelques gémissements que je ne pouvais contenir.
    J’étais plongée dans un état second lorsque la fessée cessa.
    Je fus presque déçue qu’elle se termine.
    -Je pense que tu as été punie comme tu le méritais, annonçât-t-il, il est temps d’aller te coucher.
    -Oui mon Oncle.
    Il m’aida à me relever, me retira mon t-shirt, et mon soutien-gorge.
    J’étais désormais complètement nue devant lui, sans même que cela me dérange.
    Il me prit la main et me conduisit jusqu’à mon lit ou il m’allongea sur le ventre.
    Il attrapa alors la ceinture du peignoir suspendu à la patère de la porte et me noua les mains dans le dos.
    -C’était une punition méritée, pas question que cela dévie en partie de plaisir jeune fille !
    C’est ainsi qu’il m’abandonna à mon sort, nue, couchée sur le ventre, excitée comme jamais, les mains nouées dans le dos.
    Je tentais de m’endormir, en vain, mon excitation était trop forte.
    Parfois à l’internat quand mon entre-jambe me chatouillais je rejoignais Sophie dans son lit et elle savait comment m’apaiser, parfois aussi je me caressais mais c’était moins bien.
    Mais là, Sophie n’était pas là et mes mains étaient inaccessibles.
    Comment apaiser mon trouble ?
    Contemplant ma chambre dans la pénombre, à la recherche d’un objet salvateur, j’aperçus dans un coin de la pièce un vieux fauteuil en bois sculpté.
    Je me leva et m’assis à califourchon sur l’un des bras du fauteuil avant de me frotter sur les aspérités du bois sculpté.
    Je repensais aux événements imprévisibles auxquels je venais de participer, mon excitation était à son paroxysme, et rapidement, je sentis des vagues de plaisir monter.
    Je ne parvenais pas à retenir mes gémissements que je tentais malgré tout d’étouffer. Si mon Oncle me surprenait dans une telle position, il serait furieux.
    Cette pensée m’avait à peine traversé l’esprit que je le vis, là, dans l’embrasure de la porte. Il m’observait, stupéfait, certainement alerté par les gémissements que je n’étais pas parvenue à étouffer.
    Il m’observait et moi je continuait de me frotter contre cet accoudoir en bois, incapable de m’arrêter tant mon plaisir était intense.
    Soudain, alors que je prenais conscience du spectacle indécent que j’offrais, nue, gémissant, les mains dans le dos et la poitrine dressée vers mon visiteur nocturne je m’effondrais dans un dernier cri.
    Mon oncle approcha, et m’aida à rejoindre mon lit où épuisée je m’étendit.
    -Je t’avais interdit de te donner du plaisir, mais nous en reparlerons demain !  Menaça-t-il avant de quitter la pièce.
    La journée du lendemain s’annonçait cuisante…

    #64509
    LF
    Participant


    • Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 4 mois par LF.
    • Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 4 mois par LF.
    #64523
    Anonyme
    Inactif


    Très beau texte

    #64524
    Monsieuralex
    Participant


    Magnifique ! Progression, acceptation, déshabillage peu à peu, honte et excitation

    un déroulement idéal bravo

    Monsieuralex, fesseur nantais

    #65060
    Victor
    Participant


    Jolie punition : la semaine s’annonce rude pour cette demoiselle.

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