étude en double aveugle

Accueil Forums Discussions générales Récits étude en double aveugle

  • Ce sujet contient 4 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 3 années et 4 mois.
5 sujets de 1 à 5 (sur un total de 5)
  • Auteur
    Messages
  • #45832
    anatole
    Participant


    En ces temps difficiles, c’est le moment d’expliquer clairement certaines choses que le grand public a parfois du mal à comprendre. Par exemple : qu’est ce réellement que l’ étude en double aveugle dont on nous abreuve pratiquement tous les jours ? En fait c’est très simple.
    On prend une cohorte de personnes, la moitié réputés être « normaux », et l’autre malades. On prend deux gros tas de pilules, la moitié du pipi de chat, c’est à dire placébo, l’autre contenant un vrai médicament à tester . On file au hasard des personnes recrutées soit le bon médoc, soit le rien du tout. La personne qui réalise l’étude ne sait pas qui est vraiment malade ou pas ni s’il donne le médoc ou le placébo, d’où le terme double aveugle. A la fin on fait le tri et on ramasse les morts…
    Bon c’est un peu simpliste et excessif, mais c’est comme ça que ça se passe.
    Mais me direz vous, qu’est ce qu’il a celui là à nous emmerder à ramener sa science médicale dont on n’a résolument rien à secouer ? J’entends bien…Nonobstant, cela me rappelle un vieux souvenir que je vais incessamment commencer à vous narrer.
    Le mentor de ma grande copine de jeux de l’époque était de passage à Paris. Je l’avais déjà croisé à quelques occasions pour échanger quelques chopines, tout en papotant de choses diverses et variées, mais surtout de nos avis et histoires sur la copine en question. C’était un Monsieur d’un certain âge, fort cultivé, et qui avait (presque) tout appris des joies de la fessée et autres châtiments à cette charmante dame. Il m’avait adoubé en temps qu’ami fidèle et accepté voire encouragé à m’occuper d’elle pendant ses longues absences, et je ne manquai jamais une occasion de lui adresser régulièrement des nouvelles et surtout des témoignages des châtiments imposés afin de parfaire si besoin son éducation (à elle…pas à lui ! Il n’en avait nul besoin!).
    Quelques jours avant son arrivée parisienne, nous avions peaufiné les détails de cette aventure.
    J’avais prévenu mon amie que, pour des raisons professionnelles, je ne pourrais croiser Monsieur et que je le regrettais sincèrement, la chargeant de lui transmettre toutes amitiés lorsqu’ils se verraient. N’étant pas d’un naturel jaloux, et forcément, encore moins concernant ce brave homme, je savais qu’il allait la recevoir pour un petit douze/quatorze afin de se rappeler au bon souvenir de ses miches. C’est une heure ou je suis souvent pris par mon travail, et, tout en le regrettant, elle accepta cette excuse d’absence et me promit de transmettre…nanana…tout ça.
    Vers midi huit ou neuf, assis confortablement dans ma voiture, je composai le numéro du mentor de Madame.
    « -C’est bon, tu peux monter, elle est prête ! ».
    Et juste avant de raccrocher, je l’entendis ajouter d’une voix forte, à l’attention de…
    « -Oui, je ne vous l’avais pas dit, mais j’ai un vieil ami qui va venir me prêter main forte, ce sera une bonne manière de parfaire votre éducation, alors venez là que je vous bande les yeux… ».
    Oui, lorsqu’ils jouaient ensemble, le vouvoiement était de rigueur.
    Trois minutes plus tard, je sonnai à la porte et …allez appelons le W, ce sera plus facile, W vint m’ouvrir.
    « -Salut l’ami…Entre…elle est prête et nous attend. Oh merci…. ».
    Le merci s’adressait à la jolie de bouteille de Jura 18 ans d’âge que j’avais pris le soin d’apporter, au cas où on se serait ennuyé…ce qui ne fut pas le cas, même si le niveau de la bouteille descendit quelque peu dans les deux heures suivantes…. !
    Bien entendu, le jeu consistait à ce qu’aucun son ne sorte de ma bouche, et W et moi conversions par gestes ou par petits mots griffonnés sur un calepin.
    Je pénétrai donc dans l’appartement et, dans le salon, Madame attendait sagement, courbée en deux sur une large table de bois. W, en homme sachant vivre, avait disposé sous son ventre quelques coussins moelleux, et attaché ses poignets à l’autre bout de la table. La position était fort élégante, puisqu’elle avait revêtu une très jolie mais fort courte robe d’été qui dévoilait jusqu’au plus haut de ses cuisses. Elle avait gardé ses fins escarpins et ses jambes étaient encore à ce moment libres de se déplacer quelque peu. Un grand foulard de laine noué sur sa nuque obstruait son regard.
    Nous nous posâmes W et moi chacun dans un grand fauteuil face à la table sur laquelle elle reposait sagement, et entamèrent la bouteille de Jura, matant et dégustant autant le scotch que la vision offerte si élégamment.
    Pendant quelques minutes, il n’y eu aucun autre bruit que le glouglou du liquide remplissant nos verres et le gentil commentaire de W concernant la qualité du breuvage. Elle, elle était aux aguets, et le léger dandinement de ses pieds au sol parlait de son impatience, et peut être aussi de sa crainte.
    Enfin, W parla :
    « -Alors voilà, il y a longtemps que mon ami rêvait de faire votre connaissance, et, eu égard à vos âneries et manquements des dernières semaines, qui vous ont amenés à vous retrouver ici pour que je vous punisse, je me suis dit que ce serait une excellente manière de vous obliger à reprendre le droit chemin, que je vous châtie devant lui….Qu’en pensez vous ?
    -Je n’ai rien à en penser…si c’est votre bon vouloir, Monsieur !
    -Bien…alors je vais commencer… ! ».
    W a posé son verre sur le guéridon et se lève lentement, s’approchant de la femme qui attend.
    « -Veux tu que je remonte sa robe ? »
    J’acquiesce d’un hochement de tête. Ses doigts n’ont pas un long parcours à effectuer pour remonter la robe légère et courte et dévoiler la jolie petite culotte rose à froufrous qui masque encore son cul. Ses jambes sont jointes au niveau des chevilles et elle trépigne à peine. Il se recule un peu, pour me faire admirer le sujet, puis doucement retrousse sur les hanches la culotte rose pour libérer un peu plus ses fesses. J’admire son savoir faire, tout en douceur mais fermeté. Chaque tressaillement de la femme allongée sur la table est rétabli par une pression juste un peu plus ferme de la main, sur le haut de la hanche, ou le bas du dos. Sur le ressenti d’un doigt fureteur juste en haut d’une cuisse, la donzelle se cabre…W se fâche…gentiment…une petite claque…juste pour prendre connaissance, mais….ses bras ne sont pas suffisamment entravés, puisqu’elle peut se relever. Lentement il fait le tour de la table et resserre fortement l’emprise des cordes sur ses poignets, l’étirant totalement à plat ventre sur la table de bois. Malgré les coussins gentiment apposés sous son ventre, elle râle un peu sous la contrainte.
    « -Il suffit…calmez vous… ! ».
    Et pour la calmer, devinez quoi…il claque ce cul partiellement offert sous la culotte rose encore présente sur ses fesses…Il claque et reclaque encore…elle gémit…et je me délecte…surtout lorsque d’un geste calme mais ferme, il abaisse la culotte sur le bas de ses chevilles. Les fesses sont déj bien rougies… moi qui la punit, la fesse, la fouette si souvent….en fait je me rends compte que je ne prends jamais le temps d’admirer la progression…de la rougeur sur ce cul tellement chéri….
    Maintenant il la fesse correctement, savamment, presque professionnellement…et d’un mouvement de tête il me demande de prendre une vidéo…je m’exécute…alors qu’il ….exécute les fesses de notre bien aimée amie commune…Elle geint et se plaint, mais ses mains sont fermes et n’ont que foutre des mouvements répétés de ses jambes qui se plient sous les claques….je dois l’avouer…jamais…quoique…c’est un autre souvenir …je n’avais vu mon amie de jeux être punie ainsi par quelqu’un d’autre que moi….mais là, c’est son Mentor…je le laisse faire et progresser tel qu’il le souhaite…
    Elle se débat trop…j’en ai conscience et W aussi…
    « -Vous m’agacez…je vais vous immobiliser… ».
    Hum….En quelques tours de main, il a posé sur ses chevilles des liens de cuir, écartant ses jambes contre les pieds de la table….soyons honnêtes…elle n’a pas regimbé, se laissant faire entre les mains de W, lui vouant une confiance absolue….Se rend elle compte qu’ainsi attachée, alors qu’un improbable inconnu assis dans un fauteuil reluque allègrement la totalité de ses jambes dénudées jusqu’à plus haut que ce ne soit possible, c’est à dire qu’il a une vision directe sur son cul rouge pivoine, mais aussi sur les lèvres de son sexe que la position a largement laissées paraître et plus qu’entrevoir, dans leur humidité tellement signifiante… ?
    Sur un signe de W, je prends quelques photos de cette intimité obligatoirement dévoilée….
    W s’éclipse quelques instants, me recommandant un chuttt d’un doigt collé en travers de ses lèvres…Je le laisse partir et en profite pour me lever en silence absolu…Je m’approche de ma si tendre amie ainsi punie..juste pour commencer…Que se passe t il dans sa tête. Le secret a été bien gardé et elle ne sait vraiment pas qui…qui est cette personne….cette personne qui d’un seul coup vient claquer ses fesses de nouveau…Elle se cabre et se tend dans les liens qui entrave ses mains et ses chevilles et mes claques sont dures sur ce cul déjà fortement puni….Oui….ainsi elle est capable de se laisser fesser même par un inconnu ami de son Mentor…sans refuser… voire même d’accepter la fessée supplémentaire que je lui inflige….Aurait elle reconnu qu’il ne s’agit « que » de moi…je suis sûr que non…Pas question de dévoiler la supercherie maintenant…la laisser aller au bout de son trip….trop passionnant….
    W revient. Il a façonné dans sa cuisine un petit simili de god sur une racine de gingembre…Je me retire et le laisse faire…
    « -Ma chère, je crois que je vais vous mettre une racine de gingembre dans le cul, parce que vous semblez bien trop impudente…
    -Oh non…non…hum….noooonnn… ».
    Certes, il la vouvoit systématiquement dans leurs jeux, mais il sait être ferme lorsqu’il le faut. De nouveau, j’admire ses mains expertes…D’abord, il remonte sa robe si légère sur le haut de ses épaules pendant que la pauvrette jérémiade encore, expliquant qu’elle n’aime pas ça, et qu’elle ne la pas mérité et que …nooonnn….s’il vous plait….noooonnnn….Les mains fermes de W ont écarté les rotondités de ses fesses et sans plus de précaution enfoncent la tige ferme et luisante du gingembre frais qu’il vient de préparer dans l’anus de la pauvre pénitente qui se plaint derechef et maugrée comme elle le peut…j’avoue, méchamment…mais en toute jouissance, je me délecte de ce moment…
    W est en pleine forme, se recule de quelques pas et se saisit d’une belle badine de bois sec qu’il a récupéré je ne sais d’où….et commence à en flageller le cul de ma pauvre amie qui en reçoit….bien plus que je n ‘aurais osé jamais le faire….hum…prendrais je une leçon ? Allons..je l’ai déjà fouettée tellement souvent auparavant…mais tout de même….
    W me regarde de temps en temps, pendant qu’il badine…(badiner…quel joli terme!) allégrement voire plus le cul de notre si charmante et pauvre amie commune.
    Ravi de ce qu’il vient d’accomplir, d’un regard, il me demande de photographier le cul et les cuisses de la pénitente, recouvertes des sublimes traces rouges qu’il vient de leur infliger, puis écartant de ses deux mains les fesses de Madame, de prendre en gros plan la racine de gingembre profondément enfoncée dans son cul….Je me soumets à cette obligation…mais il est temps maintenant que je reprenne la main…voire les deux…
    D’un regard, je demande à W de se poser dans le fauteuil, puis lui sers un longue rasade de Jura…A mon tour de lui montrer..non pas qui est le maître…surtout pas….Mais de ce que je suis capable de faire….Je suis tout contre les jambes nues et écartées de ma si tendre amie de jeu….Une seconde, je persiste à me poser la question…Aurait elle deviné qui est l’intrus ?
    Fait chier bordel..mes mains se font bien rudes et sauvages sur son cul déjà tellement frappé, avant que je ne me saisisse du superbe martinet que W nous a gentiment fabriqué, gravé à nos initiales, à elle et moi, comme quoi il accepte que je m’occupe d’elle en son absence…somptueux cadeau…et je frappe et refrappe…Elle crie, hurle, se contorsionne dans ses liens …W regarde…il semble trouver ça bien…
    Il est temps de stopper le jeu…quoique…mes doigts s’introduisent dans son sexe totalement trempé et le le fouille longuement, générant quelques râles dont je ne saurais imaginer ce qu’ils représentent…voire accepter, comme de plaisir….
    J’enfonce mes doigts encore plus profondément, et taquine son clitoris…j’avoue je n’ai pas jeté un regard vers W à ce moment..je ne sais pas ce qu’il en pense…je m’en fous …j’ai le bras assez long pour arracher le bandeau qui obture ses yeux et tirer sa tête en arrière par les cheveux…toujours mes doigts dans son sexe…
    « -Alors comme ça, tu sera prêtes à jouir avec les doigts d’un inconnu dans ta chatte ???? ».
    Elle me regarde, héberluée….
    J’ôte ma main de l’endroit où elle se cachait et l’embrasse doucement…caressant ses épaules des mes doigts gluants….
    Un long moment plus tard, elle était enfin totalement nue assise sur mes genoux, et je caressai doucement le bas de ses reins et son cul encore tellement brûlant.W préparait un petit repas dans la ciusine…moi je devais partir bosser…après un long baiser, je les laissai…tous les deux..je suis dès le lendemain, grâce à W qu’elle fut sévèrement punie dans l’après midi…pour quelle raison ? Je n’en ai aucune idée et je m’en fous…
    Donc , juste une étude..pardon…une fessée… en unique aveugle, car ce fut la seule à ne pas profiter de la vision…

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #45842
    Anonyme
    Inactif


    Hmmm… Superbe récit…. Troublant.

    #45859
    Saul
    Participant


    J’adore… ca fait penser au test des yaourts ou des lessives façon déculottées

    Suite sans doute à mon post récent, je reçois des sollicitations de fesseurs. donc pour éviter ses importuns avec lesquels je ne me connecterais je précise immédiatement que je suis HETERO, donc messieurs passez votre chemin MERCI

    #45913
    Ô.Céane
    Participant


    Très inspirant en effet….

    "Et mes fesses, tu les aimes mes fesses"
    Mes récits ne sont pas forcément le reflet de ce que je recherche...juste une inspiration...

    #46504
    Anonyme
    Inactif


    Troublant!

5 sujets de 1 à 5 (sur un total de 5)
  • Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.
PHP Code Snippets Powered By : XYZScripts.com