Étienne & Eléonore Chapitre 2
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Étiqueté : Récits
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- 6 novembre 2024 à 11:16 #98916Mlle EleonoreParticipant
Chapitre 2 : Un amour silencieux
Cela faisait une semaine jour pour jour qu’Eleonore avait reçu sa véritable première fessée. Elle avait attendu impatiemment de revoir l’homme qui avait fait chavirer son cœur : Étienne, le beau et grand manager de l’entreprise. Pour ne pas avoir à supporter les commérages des autres employés, tout le monde ignorait leur liaison. Tout le monde ou presque… Seule Anaïs, leur collègue et amie, était dans la confidence.
Nos deux amants ne s’étaient pas vu depuis, Etienne avait eu une mission ailleurs. Notre jeune amie allait enfin le retrouver et se réjouissait de découvrir son univers car elle n’avait encore jamais été chez lui.
Eleonore passa un long moment à se préparer dans la salle de bain, voulant être parfaite. Elle enfila sa petite culotte rose pastel, mit un jean moulant et un pull près du corps mettant ses formes en valeurs. Rien de bien extraordinaire, mais c’était un petit effort qu’elle avait envie de faire pour lui. Ce que son sac contenait en revanche était tout autre. Une jupe à carreaux écossaise, plissée comme celle des étudiantes ainsi qu’une chemisette courte dont la cravate reprenait les même motifs que la jupe. Sans oublier une jolie paire de chaussettes blanche montante au dessus du genoux ornée de petits noeuds satinés. Les chaussures étaient simple, noire ouverte sur le dessus. Un uniforme typique de jeune étudiante qui ferait à coup sûr chavirer notre homme.
Il était onze heure et demie quand Eleonore prit sa voiture fraichement sortit du garage. Sur la route, elle s’imaginait tous les scénarios possible. Comment allait-il la recevoir-sa promise-, et comment allait-elle la recevoir -sa fessée-. Allaient-ils aller plus loin que la fessée? Passeraient-il un moment romantique ensemble? Avait-il prévu quelque chose de particulier, une surprise peut-être? La jeune femme était déjà arrivée. Elle se gara dans une ruelle en pierre, marcha quelques mètres et vit au loin le manager arroser les quelques plantes qui décoraient une petite cour ouverte devant sa maison.
Ravie, notre amie accéléra le pas et lui sauta au cou.
-Je suis tellement contente de te voir !
-Moi aussi, j’avais hâte.
Ils s’embrassèrent langoureusement puis Etienne remarqua l’effort de sa promise.
-Mais où son passé les trous de ton baggy informe?
La jeune femme sourit :
-Et encore t’as pas vu le reste !
Elle fit un clin d’oeil au bel homme qui arbora un sourire malicieux.
-Entre, je te fais visiter.
Le gentleman lui ouvrit la porte. Une délicieuse odeur s’échappait de la cocote sur le feu. Étienne avait aussi des talents culinaires à en croire le parfum qui enveloppait la pièce. La musique donnait le tempo à bas volume, animant tranquillement la maisonnette. Une ambiance détendue, posée. Eléonore en était presque étonnée. Elle qui l’avait vu à l’oeuvre pendant le voyage avait perçu un homme plutôt autoritaire, parfois strict et presque abrupt, dû se rendre à l’évidence. Son univers était doux, serein et harmonieux. Tout était mieux encore que dans son imagination… La jeune femme en était enchantée.
Etienne lui montra le salon, la salle de bain et la chambre. La décoration d’une sobriété et d’une élégance lui ressemblait bien. Lorsque le repas fut prêt, ils mangèrent ensemble le plat délicieux en se remémoreront avec joie leur voyage. Étienne proposa ensuite une petite balade et les deux amants passèrent l’après-midi à marcher le long des champs. Lui était aux anges, il regardait Eléonore cueillir quelques fleurs lorsqu’il se risqua :
-Tu sais, je te mettrai bien une fessée ici… c’est bucolique…
-Je te savais pas si romantique !
-Il y a un tas de choses que tu ignore encore de moi…
-Je dis non à la fessée pleine air ! La dernière fois c’était déjà bien assez !
-Humm… tant pis, on ira dans la chambre alors…
-Le problème c’est que je n’ai pas fait de bêtise cette fois…
-Et tu pense que c’est un problème?
-Bin c’est censé être une punition non?
– Je peux te mettre une fessée pour te récompenser alors…
-Ah oui?
-Bien sur ! D’ailleurs, je serai toi je m’abstiendrai de faire exprès de me provoquer pour en recevoir une, sinon tu risquerai d’avoir droit à quelque chose de sévère…
-Comme la dernière fois?
-Ahahaha ! La dernière fois ce n’était qu’un préambule…
-Un préambule ? J’ai eu mal pendant trois jours !
-Pour une première je n’y suis pas allé de main morte c’est vrai. Mais si tu fais exprès, c’est ce genre de choses qui pourraient t’arriver, en bien pire… Sois-en consciente…
Eleonore dégluti, pire que la semaine passée, était-ce vraiment possible? Soudain certaines images qu’elle avait pu voir sur quelques sites lui revinrent en tête. Elle se déconfit et se promit de ne jamais le provoquer « pour de vrai » avant de se rassurer :
-Alors tout à l’heure j’aurai droit à une gentille fessée ?
-Oui… Mais ne t’inquiète pas, tu vas l’adorer celle là aussi…
Notre amie rougit de plus belle. Cela lui était étrange d’en parler sans tabou au beau milieu de la nature. Puis une question la tarauda :
-Mais comment savoir si je mérite l’une ou l’autre? Y a que toi qui choisit? Imaginons, on n’est pas d’accord sur le fond d’un problème…
-Eh, détends-toi Eleonore, déjà c’est toi qui fixe tes limites. Ton consentement d’abord, ton plaisir ensuite. Tu commence à peine à découvrir ce monde là, t’as le temps, te préoccupe pas de tout ça…
-Je voudrai bien comprendre quand même…
-Tu insistes souvent comme ça?
-A peu près, toujours…
-Ahahaha, bon… Eh bien disons que ça dépend… Généralement on en parle à l’avance, on défini certaine règles, certains points, on aborde le sujet, tout dépend du jeu auquel tu veux jouer et de la relation dans laquelle tu veux te lancer… Mais je te le répète, on à le temps, ça va se faire naturellement. Fais moi confiance…
-Si je te faisais pas confiance je t’aurai pas tendu ma paire de fesse.
-Tu es infernale toi… Je crois finalement que tu as raison, une bonne fessée ne pourra que te faire du bien, oublie la récompense, allez on rentre.
-Non, mais je plaisantais ! S’exclama la jolie brune prise d’inquiétude.
-Moi je ne plaisante pas, tu voulais savoir, je vais te montrer !
Etait-ce un de ces jeux dont-il parlait? Allait-elle recevoir une fessée pour la punir, pour une si petite phrase? Elle ne le permettrait pas ! Et si dans le fond elle en avait quand même envie? Et s’il ne voulait pas arrêter si elle avait trop mal? Une foule de question tournait dans l’esprit de notre amie qui voyait la porte de la maison se rapprocher. Etienne avait posé une main sur son épaule et l’encourageait à avancer. La jeune femme avait peur mais elle se laissa faire, se remémorant les propos du gentleman «Ton consentement d’abord, ton plaisir ensuite. » Quoi qu’il en soit, il joue parfaitement la comédie ! L’homme ouvrit la porte et la referma à clé lorsqu’ils furent tous deux entrés.
-Alors comme ça tu veux tout savoir tout de suite, très bien…
-Non mais c’était pas de la provocation c’est juste que…
-…Tais-toi ! Maintenant je vais t’expliquer ce qu’il va se passer.
Eleonore sentit en elle une tension délectable. Jamais elle n’aurai imaginé que les choses prennent cette tournure mais n’en étant pas mécontente elle joua le jeu en l’écoutant attentivement.
-Tu va aller prendre une douche, en prenant ton temps, mais n’exagère pas non plus. Ensuite tu mettra la tenue que tu avais prévu, et quand tu sera prête tu me rejoindra ici, dans le salon. Avez-vous bien comprit mademoiselle?
-Oui monsieur…
La jeune femme se sentit toute chose, elle prit son sac, alla dans la salle de bain, fit ce qu’il lui avait demandé et sortit quelques instants plus tard avec l’uniforme qu’elle avait soigneusement préparé. En se regardant dans le miroir, notre amie eut une hésitation. Et s’il allait se moquer d’elle comme ça? Ce n’était pas du tout conventionnel même si l’habit la mettait en valeur. Il était quatre heure de l’après-midi et elle était accoutré comme une écolière s’apprêtant à recevoir une fessée par son manager… Tout était si étrange… Eleonore prit son courage à deux mains et marcha le long du couloir, s’annonça avec peine d’une petite voix étouffée et entra dans la pièce.
-Je… Je suis prête.
Etienne était assis sur une chaise de la cuisine et se leva pour accueillir sa belle ainsi vêtu. Il sentit soudain une grosseur incontrôlable dans son pantalon et se rassit aussitôt.
-Venez ici. Déclara-t-il d’un ton solennel.
Eleonore se sentit rougir et avança d’un pas incertain face à son bourreau.
-Assied-toi.
Elle obéit.
-L’uniforme vous va à ravir mademoiselle…
-Merci monsieur…
-Interrogation surprise.
Surprise, en effet, notre amie l’était. Quelle tournure prenait le jeu? Elle voulait recevoir une fessée pas faire un véritable travail scolaire !
Il lui tendit néanmoins une feuille blanche avec un stylo et expliqua :
-Première question, notez. Quel est le champ lexical de la fessée qui m’excite le plus.
Eleonore regarda Etienne incompréhensive et répondit déconcerté :
-Comment je peux savoir?
-Tu te moque de moi?
-Non mais comment je peux savoir ce qui t’excite?
– Ce sont des questions qui te concernent… Qui va recevoir une fessée, c’est moi?
-Non…
-Alors c’est qui?
-C’est moi…
-Toi quoi?
-C’est moi qui vais recevoir une fessée…
-Monsieur !
-C’est moi qui vais recevoir une fessée monsieur…
-Donc vous répondrez évidemment à la première personne. C’est indignant cette manie de devoir tout expliquer ! Je fais bien de vous recevoir vous en avez grandement besoin ! Question numéro deux : Quelle est la position que je préfère pour une fessée, méritée. Ecrivez méritée en majuscule. Et gare aux fautes je les sanctionnerais.
La jeune femme commença à comprendre ou il voulait en venir, et trouva le jeu pertinent. Elle nota avec sa plus belle écriture bien qu’elle tremblait légèrement, l’orthographe n’étant pas sa grande qualité.
-Troisième question : voici une liste d’instruments, notez : Badine, canne, ceinture, fouet, martinet, paddle, brosse à cheveux, cravache, cuillère en bois. Vous écrirez par ordre décroissant la crainte que vous en avez…
La jolie brune sentait la panique la gagner à la vue de cette liste. Mais dans cette inquiétude elle sentit un dangereux engouement naître en elle. Eleonore ne fit rien paraitre mais ses tremblements reflétaient déjà ses intimes réflexions.
-Quatrième question : Quelle est ma limite de temps passée au coin? Cinquième question : J’aime être humiliée, un peu, beaucoup, énormément?
Sixième question :
La mise en scène me convient-elle? Je vous laisse y répondre tranquillement, je vais me préparer. Quand vous aurez fini, Vous monterez à la chambre, frapperez et attendrez que je vous ouvre. Comprit?
-Oui monsieur. Et oui aussi pour la dernière question…
Le manager sourit complice et partit en direction de la salle de bain laissant la jeune femme à ses réponses. Il prit une douche et maîtrisa sa virilité pour ne pas écourté le petit jeu qu’il avait lancé avec fierté. Une mise en condition avant d’administrer une fessée était toujours appréciable… Lorsqu’il sortit de la douche le corps ruisselant de gouttelettes, il décida de s’habiller en conséquence : Une belle chemise blanche dont il retroussa les manches, un pantalon en drap de laine foncé et des derbies en cuir noir. Notre homme fit l’impasse sur la cravate. Il se dirigea vers une commode et sortit une ceinture de cuir assez large qu’il glissa lentement dans les passants du bas de son costume. L’image de la retirer vivement avant de fesser la demoiselle attachée nue sur le lit se fraya un chemin dans son esprit. Mais le pervers se reprit. Il était encore trop tôt pour tout cela… Etienne tira le dernier tiroir et regarda avec délectation le fouet, le puddle, la cravache et le martinet . Il attrapa ce dernier et caressa les lanières de cuir avec langueur. Il était satisfait de son choix et posa l’instrument sur sa table de nuit à côté d’un bandeau.
-Toc toc toc…
Enfin, elle était là. Etienne s’avança vers la porte et ouvrit. Lentement.
-Vous avez enfin terminé?
-Oui monsieur…
Comme il avait fière allure, pensait notre amie en découvrant le bourreau dans cette tenue. Mais elle n’eu pas le temps de s’imaginer quoi que ce soit, que l’homme lui somma de s’assoir sur le lit, ce qu’elle fit sans attendre.
-Lisez vos réponses maintenant de manière intelligible.
Eléonore fut gênée, elle pensait lui tendre la feuille tout simplement sans avoir à avouer tout haut ce qu’elle venait de coucher sur papier. Il y eut un bref silence durant lequel Étienne planta son regard dans celui de « l’étudiante » qui baissa immédiatement les yeux sur les réponses et récita avec appréhension :
-Le champ lexical que je préfère est.. heu… Fessée, forcément…
-… Pas de commentaire superflu. Reprenez.
Le ton du « professeur » était tranchant. La jeune femme bégaya et continua :
-Heu… punition, déculottée, leçon ou correction, vilaine, sévère et les menaces ou réprimandes en général.
-C’est bien… Continuez.
-La position que je préfère pour recevoir une fessée méritée, est sur les genoux…
-Parfait, la suite?
-Heu, il y a des instruments que je ne connais pas donc…
-J’ai dit pas de commentaire superflu, répondez c’est tout, sauf si vous préférez passer à une bonne déculottée sans attendre…
Eleonore déglutit et reprit :
-De la peur la plus petite à la plus grande c’est d’abord le martinet, la cravache, la brosse, la ceinture, la cuillère, la canne et la badine… Mais j’ai quand même très peur de tout ça…
-Je ne vous ai rien demandé. Cela fait trois fois que je vous dis d’arrêter vos commentaires, vous venez de gagner 10 coups de martinet.
Horrifiée, la jeune femme failli se justifier et préféra finalement se taire.
-La suite… Fit Etienne en regardant ce qu’il y avait écrit sur la feuille. Il arracha alors le papier des mains de la jeune femme et s’exclama effaré :
-J’aime pas aller au coin ? C’est ça ta réponse?
-Bin oui je.. j’aime pas attendre devant…
-…Silence ! Tu n’es absolument pas disciplinée ! Je suis consterné, vous venez de gagner 10 coups de ceintures !
-Pitié non pas la ceinture…
-Et 10 coups de martinet en plus.
-…
-La suite…
Notre amie craignait la réponse suivante, mais savait qu’elle n’y échapperai pas sous peine de représailles.
-J’attends.
-J’aime bien être humiliée oui…
-Ce n’est pas ça la question. Faites un effort.
-S’il te plaît Étienne je…
L’homme fronça les sourcils et la coupa tranchant comme une lame :
-On arrête le jeu alors?
-Non s’il te plait…
-Alors répondez !
-J’aime… beaucoup être humiliée !
Les mots étaient sortis ! Enfin ! Eléonore était rouge de honte les yeux sur ses petits escarpins.
-C’est bien ce qu’il me semblait, en revanche vous avez encore gagné 10 coups de martinet, cela nous fera donc 30 coups de martinet et 10 de ceinture. Beau programme ! En plus de cela vingt minutes au coin. avant et après une sévère correction ! Debout maintenant !
La jeune femme se sentit alors déboussolée, presque déçue, elle haïssait le coin et le jeu commençait à être vraiment effrayant. Le professeur tira alors son élève par le bras l’emmenant face à un angle de mur et murmura :
-Répondez à la dernière question s’il vous plait…
-La mise en scène me plait, sauf le coin…
-Combien de temps maximum alors?
-Cinq minutes devraient suffire monsieur…
-Très bien, alors ce sera 5 minutes parce que vous avez été très vilaine.
Eleonore était soulagée malgré la honte qui la consumait. Elle mit ses mains derrière la tête comme il lui avait apprit la semaine passée et resta là, attendant un signe de son bourreau qui s’approcha finalement pour lui mettre le bandeau sur les yeux. Il attrapa ensuite le martinet et claqua fort contre la commode. La jeune femme tressaillit. La peur l’avait submergée. Elle regrettait maintenant de n’avoir demandé que 5 minutes et pria pour qu’il ne soit pas trop sévère. Elle entendit un nouveau claquement, plus proche cette fois. Notre amie tremblait de tous ses membres. Les minutes défilaient et cette fois, Étienne claqua les lanières sur le mur juste à côté de sa promise.
-Penchez vous en avant les mains contre le mur.
Sans attendre, Eleonore obéit et serra les dents. Sa jupe épaisse allait amortir les chocs. Elle l’avait choisit exprès… La demoiselle sentit alors le cuir courir avec douceur sur son dos, ses cuisses, ses chevilles. Une sensations exquise qui la décontracta.
-Je veux que vous comptiez, on commence avec dix.
Elle attendit entre désir, appréhension et crainte puis le premier coup s’abattit soudain.
-Ah ! Un…
Plus de peur que de mal, Etienne dosait gentiment. Le bandeau sur les yeux, la demoiselle était très attentive à ce qu’elle ressentait.
-Clac !
-Deux…
C’était agréable de sentir toutes ces lanières lui balayer les fesses…
-Clac!
-Trois…
Presque un peu trop doux à son goût finalement…
-Claac !
-Ahh ! Quatre…
Comme s’il lisait dans son esprit, le dangereux gentleman avait frappé plus fort.
-Claaac !
-Ahhhh ! … Cinq…
Le martinet commençait à faire effet, la force des coups suivant ne cessèrent d’augmenter…
-CLAC !
-Aoutchh !! SIX !
-CLAAC !!
-Seeeept !!
L’insolente haletait, cette douleur naissante l’enveloppait et son désir grandissait. Étienne claqua les trois derniers si fort que notre amie fut soulagée de compter enfin le dixième…
Elle avait adoré ce premier contact avec le martinet.
-Allongez-vous sur le lit à plat ventre maintenant.
Etienne l’aida à trouver son chemin et retroussa la jupe lorsqu’elle fut installée. La jeune femme se frotta les fesses et sentit le cuir lui caresser les mains. Elle les retira et sentit à présent la matière sur ses jambes. Elle profita de l’exquise sensation quand le bourreau expliqua :
-On reprend le décompte à zéro.
L’homme leva sa main et laissa les lanières mordre le fessier recouvert de la légère culotte rose pale.
-Aïe ! Un…
C’était bien plus douloureux sans la jupe, mais toujours… Les 9 autres coups s’enchaînèrent comme promit. Comptés comme convenu.
-Aïe aïe aïe… Dix !
-Je vous félicite mademoiselle… Maintenant je vais vous punir pour votre comportement de tout à l’heure. La déculotté commence… Vous réfléchirez à deux fois avant d’ignorer mes consignes à l’avenir.
Notre amie sentit alors sa culotte glisser avec une lenteur indécente. Elle referma ses jambes consciente qu’il avait une vue sur son intimité inondée. L’homme sourit et posa une main fraiche sur sa cuisse et tira légèrement pour que les jambes de la punie s’écarte un peu. Eleonore enfoui la tête dans ses mains honteuse et révélée. Elle sentit alors que le « professeur » plaça un coussin épais sous son ventre, montrant plus encore les finesse de son entrejambe. Elle ne savait plus ou se mettre à présent. L’acte était devenu plus qu’une simple fessée… C’est à cet instant qu’elle entendit la voix de son bourreau :
-Allez encore dix comme ça et tu sera à moitié pardonnée. Il ne manquera plus que la ceinture, tu es prête?
La jeune femme appréhendait la suite des évènements. Elle avait pourtant répondu préférer être sur les genoux…
Mais avant d’avoir fini son débat intérieur une belle claque lui cingla les fesses.
-Oui monsieur !
-Je ne sais pas si tu le fais exprès mais je vais devoir être un peu plus sévère…
-Pardon monsieur…
-CLAC !
-AAH ! Aïïïe…. Un…
-CLAC !
-Deuuux !
-CLAC !
-ffff….fff… Trois…
-Enlevez-vos mains immédiatement ! Scanda l’homme qui la voyait se protéger. L’arrogance à un coût mademoiselle !
-CLAAAC !
Aïe !!!! Quatre… Pitié, je vous en supplie monsieur moins fort… moins fort…
Etienne se reprit, il avait oublié un instant que ce n’était que la deuxième fessée qu’elle recevait. Il caressa alors sa peau déjà rouge et la laissa reprendre son souffle.
-On continue?
-Oui monsieur…
-Allez plus que six…
Et comme promit les six coups suivant étaient plus tendre mais non moins douloureux pour les fesses de notre jeune amie qui étaient à présent en feu.
Eléonore savait qu’elle aurai droit à la ceinture et pria pour avoir un peu de répit avant cela. Elle tremblait de désir et de terreur à la fois. Étienne qui était homme de parole défit l’instrument qu’il portait autour de la taille et l’enleva lentement sous les cliquetis du ceinturon. Un bruit que notre novice ne connaissait pas encore très bien mais la troublait déjà. L’homme laissa la bande de cuir découvrir le corps de sa proie en la baladant gentiment de la tête au pied. Eléonore profita de cet instant pour se masser les fesses. Elle n’eut aucune objection et lorsque la ceinture arriva à ce niveau elle les enleva d’elle même.
-Allez, courage, la ceinture c’est encore autre chose…
L’étudiante déglutit et se crispa légèrement avant le premier coup :
-Shlack !
-AOUCH ! Un…
-Shlack !
-AHHH ! …Deux !
-Shlack !!!
-Aïeeeee !! Tr… Trois…
La douleur était intense et pourtant le gentleman y allait avec beaucoup de prudence. Il se demanda un instant s’il ne devait pas édulcorer la sentence et décida de lui laisser le choix après le quatrième coup.
-Slack !
-QUAAATRE !!!
-shlack !
-… c…cinq…
La limite approchait dangereusement mieux valait arrêter là. Tant pis pour la sévérité, après tout Eléonore n’était encore qu’à ses débuts…
-J’ai une proposition à vous faire mademoiselle… Préférez-vous 5 coups de ceinture supplémentaire ou 5 minutes au coin?
-Le coin ! Rétorqua vivement la jeune femme éperdument reconnaissante de cet arrangement qu’elle savait exceptionnel.
-Bien… Vous pouvez vous relever.
La jeune femme s’exécuta et sentit que l’homme lui enleva le bandeau des yeux. La lumière tamisée était encore un peu trop forte et elle s’avança vers le coin quand sa culotte glissa jusqu’à ses chevilles, entravant son mouvement. Eléonore se reprit et allait mettre ses mains derrière la tête lorsqu’Etienne l’arrêta dans son élan.
-Cette fois vous allez vous agenouiller, écarter les jambes et lever vos fesses. Votre tête contre le sol. Je suis gentil vous avez droit à un coussin.
Eléonore, effaré se demandait s’il plaisantait. Mais vu le ton employé, Étienne avait l’air parfaitement sérieux. Elle prit le coussin qu’il lui tendit, et s’installa dans cette position tout à fait indécente. Notre amie regretta presque les cinq coups de ceinture et resta là en essayant de ne pas bouger pendant les cinq longues minutes. Au moins elle aurai goûté à une belle punition et comprenait alors les propos qu’il lui avait tenu plus tôt dans la journée… Sévère avait à présent une toute autre signification… Elle se garderait de ne jamais plus le provoquer ni à tester ses limites… Le bourreau s’amusait à effleurer les parties intimes de sa captive avec le ceinturon métallique et lui demanda de ne pas bouger. Il prit ensuite le martinet et donna de très léger coups sur l’intimité dévoilée et ruisselante.
-Je ne vous félicite pas mademoiselle pour votre comportement. Et cette position est une honte ! Quelle déconvenue !
Eleonore restait silencieuse et ne pouvait cacher que la mise en scène l’excitait plus qu’elle n’aurait cru.
Étienne se sentait à l’étroit dans son pantalon et tenta pendant ce temps de calmer son membre durcit au plus haut point. Il avait envie de prendre la jeune femme ainsi offerte et démunie. Plus il admirait son intimité luisante et ses fesses bien roses, plus l’envie le submergeait. Accepterait-elle seulement de s’offrir à lui plus encore?
Les cinq minutes passèrent et il convia la jeune femme à se relever. Elle évita soigneusement de le regarder dans les yeux et ne prononça plus un mot.
Étienne était conquis. Il s’assit sur le lit et lui somma de s’allonger en travers de ses genoux. Eléonore, sans un bruit, obéit. Rien ne pouvait être pire à présent. Il venait de l’observer sous toutes les coutures. Elle s’installa mécaniquement. Plus de peur, ni d’anxiété. Une marionnette, un pantin rongée par la honte qui voulait se terrer pour ne plus voir le jour… L’homme caressa alors ses rondeurs endoloris et commença des petite tapes affectueuses. De son humiliation, la jeune femme ne pu résister à cette sensation… Elle venait de s’abandonner totalement, absolument. Étienne se retint de pénétrer son intimité qu’il épiait avec désir. Il claquait avec une telle douceur que la jeune femme avait des râles de plaisir. Il continua ainsi un moment en expliquant :
-Tu as goûté à ma sévérité, je vais maintenant te montrer comment je réconforte les gentilles demoiselles bien sage. Parce que tu as été très courageuse et que tu mérites toute ma douceur. Voilà ce que c’est une fessée récompense.
Les claques s’intensifièrent légèrement et allaient de droite à gauche comme des caresses musclées, sans jamais dépasser un certain seuil. Étienne lisait le corps de sa promise et agissait en conséquence. La fessée dura longtemps entre jusqu’à ce que notre amie demande avec une timidité somptueuse :
-Un peu plus fort s’il te plaît…
L’homme capitula émerveillé. Quel aveu spectaculaire ! Il déposa sa large main avec un peu plus de force cherchant le point désirée par sa captive et claqua sous les cris et râles de plaisir. De temps à autres un petit coups venait s’abattre sur le haut des cuisses et faisait gémir la demoiselle qui cambrait ses reins pour tendre sa croupe magnifique. La fessée continua lorsqu’Eléonore sentit la grosseur d’Etienne enfler dans son pantalon. Comme pour se venger, ce dernier claqua plus fort la fesse droite puis la gauche arrachant un cris à la demoiselle ébranlée de désir. Elle esquissa un mouvement et parvint à caresser la virilité de son fesseur qui l’arrêta d’une main ferme. Il claqua la dernière salve avec force puis stoppa net la punition. Étienne se contenait sentant tout le désir de la demoiselle répandue sur son genoux. Notre homme caressa la cuisse de la jeune femme, remontant délicatement vers son entrejambe et demanda d’une voix douce :
-Eléonore, je peux?
-S’il te plaît oui… répondit la jeune femme haletante.
Etienne laissa les doigts de sa main gauche se diriger vers l’intimité de la jolie brune qui retenait à présent son souffle. Il en effleura le contours se délectant des frissons de la demoiselle s’ouvrant progressivement. L’index curieux de notre homme s’introduit lentement découvrant l’intérieur luisant de notre amie qui ne pouvait plus retenir ses soupirs exaltés. De la main droite, Etienne caressait la chevelure de sa belle puis vint claquer ses fesses. Avec la gauche il faisait des allé retour délicieux. L’homme, à l’aide de sa jambe, écarta les cuisses de la demoiselle et introduit un deuxième doigts dans ce triangle tout offert. Il continua à claquer gentiment mais sûrement le fessier qui ne ressentait plus la douleur tant le plaisir l’avait dépassé. Les deux sphères étaient rouges, et l’entrejambes trempé à souhait. Etienne retira la main gauche et laissa son index aller, en quête du petit bouton magique de sa promise : le clitoris. Lorsqu’il fut dessus, il le caressa rapidement sans s’arrêter, tout en continuant de claquer son fessier de plus en plus vite. Les respirations de sa protégée étaient saccadées, ses petits cris étouffés, ses mouvements inexistant comme si elle avait quitté son corps pour vivre cette expérience de manière plus intense.
Eléonore sentit alors une boule ardente au fond d’elle même, un boule qui montait inexorablement, dans tout son être. Toute son excitation concentrée en un seul et même point. Les douces claques pleuvaient, son petit bouton s’était durcit, laissant une étrange brulure intérieure se frayer un chemin. Le gentleman sentait la belle venir tout doucement. Il continuait les mêmes mouvements au même rythme sans jamais ciller. Puis, toutes ces sensations mélangées, contenues et contractées dans ce petit corps se déployèrent inévitablement, débordant comme la lave d’un volcan en pleine éruption. Etienne sentait la jeune femme jouir sur ses genoux, enfin ! Il arrêta les claques et continua tant qu’il pouvait de frictionner l’intime bouton de sa belle la laissant aller au firmament de son plaisir. Puis la voyant se tortiller, il retira sa main et la laissa reprendre ses esprits. Quand il la vit revenir à elle, il la releva lentement et elle lui sauta au cou. Cette expression gravée sur son visage était succulente. Elle rayonnait de bonheur. Il la prit longuement dans ses bras et ils s’embrassèrent fougueusement. Contre toute attente il décida de la laisser sur ce petit nuage sans lui faire l’amour, laissant sa propre tension monter plus encore… Il lui proposa de lui passer une crème sur son fessier endoloris, ce qu’Eléonore accepta avec joie. La douleur avait été ignorée grâce à l’adrénaline, mais maintenant qu’elle avait libéré tout ce désir, notre jeune amie sentait ses fesses brûler à vif… Etienne sortit quelques instant et revint de la salle de bain avec un baume qu’il appliqua avec soin, pendant un long moment. Une fessée extraordinaire gravée pour toujours dans l’esprit de nos deux amis, plus complice que jamais.
Quand la tension fut redescendue, il était déjà l’heure de manger, ce n’est qu’après un autre bon repas accompagné d’un verre de vin, que nos amants se retrouvèrent pour une nuit d’amour sans précédant.
Etienne et Eleonore, les yeux dans les yeux étaient suspendu dans un moment intemporel. Ils songeaient à un profond je t’aime, que ni l’un ni l’autre ne désira prononcer. L’intensité de cet instant fut ainsi préservé dans la sagesse délicieuse d’un silence infini.
Fin du chapitre 2.
6 novembre 2024 à 12:30 #98918Erwan Festif31ParticipantMagnifique ! On s’y croirait…
à quand la suite ?
Erwan Festif31
6 novembre 2024 à 13:03 #98920Mlle EleonoreParticipantMagnifique ! On s’y croirait… à quand la suite ?
Merci !
Il faudra être un peu patient mais je l’écrirais 😉7 novembre 2024 à 14:53 #98948SnakeyeParticipantGénial ! Vraiment un super récit très détaillé 😀
Vivement la suite des aventures des deux amoureux.
Plaisir d'offrir, joie de recevoir
7 novembre 2024 à 15:40 #98952PaulparisParticipantGénial ! Vraiment un super récit très détaillé 😀 Vivement la suite des aventures des deux amoureux.
Deux amoureux…mais trois personnages principaux…. Et qui sais si la troisième ne va pas devenir adepte de la fessée elle aussi ! On attend avec impatience car c’est un très beau récit
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