Je répond ici à “l’appel” de @christal sur le chat ce matin : Je déclare le week-end de toutes les envies… Ouvert. C’est le moment idéal pour mettre sur papier l’inavouable
Ces envies inavouables qui m’obsèdent et me submergent depuis notre dernière rencontre.
Envie d’avoir de vos nouvelles, envie de votre intérêt pour ma personne, envie de faire cesser cet interminable silence que vous m’imposez, peut-être indéfiniment…
Je ne le supporte plus, je sais cela ne fait que quelques jours, à peine plus d’une semaine de notre entrevue… cela me parait une éternité.
Envies puissantes, multiples et contradictoires, envie folle que vous me penchiez en travers de vos genoux, que vous me grondiez de votre voix calme et commenciez à me fesser sur ma robe dans un premier temps pour en arriver très vite à me déculotter, Si fort… j’en frémi de douleur rien que d’y penser…
Que vous m’envoyiez au coin réfléchir à mes incohérences, que juste derrière moi vous empoigniez mes seins en ponctuant votre sermon, vous éloigniez puis vous approchiez de nouveau caressant la peau rougie de mes globes, que vous les écartiez pour enfiler ce rosebud qui ne doit pas tomber…
C’eût été dommage de ne pas coucher sur le papier ces merveilleuses envies inavouables, ces zones d’ombre si lumineuses, que je trouve très émouvantes.
Merci Sombrelle. C’eût été dommage de ne pas coucher sur le papier ces merveilleuses envies inavouables, ces zones d’ombre si lumineuses, que je trouve très émouvantes. J’aime beaucoup ce style si suggestif. Bravo.
Et qu’immanquablement vous saisissiez ce traite et mon bras pour de nouveau m’installez sur vos genoux pour une fessée plus forte encore, plus forte que je ne saurais la supporter par ce que c’est vous…
Peut-être jusqu’à en pleurer, peut-être jusqu’à regretter de l’avoir tant voulu. Surtout jusqu’à vous donner envie de plus.
Ce paddle de cuir noir que je n’aime pas ? soit !
Votre cravache si mordante, claquante, pénétrante… Oui ! Même si, pour ce dernier point je préfèrerai, comme je l’ai fort désiré la dernière fois, votre sexe… Envie plus inavouable encore cette sodomie qui ne souffre aucune discussion dont vous m’avez parlée, que je n’eus l’heur de connaitre.
Que je ne connaitrais sans doute jamais de votre part même si vous ne m’aviez pas déjà oubliée !
Votre fouet ? Ouiiiii ! si troublant, si RHHHHHHH… c’est physique, c’est mental, c’est … inexprimable.
Merci, mille merci pour ce merveilleux cadeau !
D’ailleurs j’aurais dû l’accepter et comprendre que c’était un adieu…Je ne voulais pas le comprendre, et quel intérêt sans votre main pour l’abattre ? Aucun !
Merci, Sombrelle pour ces textes, pleins de ressentis, pleins d’émotions, il y a de l’envie, de l’attente, il y a surtout …la peur d’une réalité……votre texte m’a fait revivre …deux mois en arrière, le jour ou ma Petite Little m’a fait comprendre quelle faisait une pose…..tout compte fait vous poser des mots …très bien exprimer qui rappel à ceux qui sont passer par là…. ba oui ” que cela fait très mal ” quand on y repense…. merci pour ce partage. Vous êtes vrais…merci. Amicalement.
Merci Sombrelle pour cette deuxième partie tout aussi inavouable que la première et pleine de rebondissements que je n’aurais pas pu imaginer.
Vous m’avez embarqué dans votre monde si particulier et délicieux à la fois, et j’aurais eu mauvaise grâce à vouloir résister à ce plaisir teinté d’une forme de voyeurisme, je dois l’avouer.
Merci à vous @daddy-phil33 pour votre commentaire qui m’émeut. Oui parfois “ça fait mal”, très, voir plus…
Après on à le choix : on se morfond, on enfouit, on écrit (pour vivre sa douleur et pouvoir la laisser partir), on lutte (en vain), on se fait une raison ou pire on s’endurcit et se forge une armure invisible (et infranchissable) dont on finira par oublier l’existence mais qui sera toujours présente nous isolant ou encore on en tire une/des leçon/s