Eléa, jeune étudiante
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flateric, le il y a 1 année et 5 mois.
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- 19 août 2023 à 10:07 #89306
Fesseurpourdames83
ParticipantIl y a quelques années, j’habitais Nice à cette époque, ville universitaire, et je « surveillais » la scolarité de quelques étudiantes. Sans aller jusqu’à prétendre que j’étais connu, ma réputation de mentor s’était propagée dans les différentes facultés.
Un jour, je reçois un message d’un jeune homme me demandant de l’appeler.
Etant hétérosexuel convaincu, j’ai bien failli envoyer ce mail à la poubelle mais, comme, en homme courtois, je réponds systématiquement aux messages, fût-ce pour décliner, j’ai décroché mon téléphone. Je m’apprêtais à expliquer à ce charmant garçon que je ne m’occupais que des jeunes femmes lorsqu’il m’a interrompu :
« Non non, ne vous méprenez pas. Je n’ai aucun problème et mes notes sont excellentes. En revanche, pour ma copine, Eléa, c’est très préoccupant. J’en ai discuté avec elle : je ne me sens pas de jouer le rôle d’éducateur et de la punir. Ce n’est pas mon style et, comme nous avons le même âge, ça ne ferait pas sérieux. Cà lui fait bien sûr peur mais elle serait d’accord pour qu’un homme mûr se charge de la discipliner »
Rendez-vous fut pris pour le samedi suivant.
Un petit appartement, non loin de la fac, modeste, bien entendu mais bien tenu et assez plaisant. M’y attendaient Nicolas, le jeune homme qui m’avait contacté, et Eléa : petite, (1m 60 environ), des formes mais loin d’être grosse, cheveux châtains avec des reflets roux coupés au carré, une petite bouille juvénile. Elle portait une robe noire assez courte, à bretelles, sur un sweat blanc. Ils semblaient l’un et l’autre assez tendus, notamment Eléa, naturellement.
Au salon, un vieux canapé cuir plus que râpé. Sur une table basse, la bouteille de whisky était neuve. A ce détail, plus la tenue d’Eléa, j’ai compris que ma venue avait été soigneusement préparée. J’ai pris place sur le canapé. Eléa et Nicolas se sont assis sur des chaises. Nous nous sommes, Nicolas et moi, mis à parler de la scolarité d’Eléa. Elle se taisait, le regard fixé au sol, avec un air penaud.
« Dis-moi, Eléa, tu sais pourquoi je suis là ? »
« Oui »
J’ai été rassuré. J’avais envisagé que Nicolas ait pris seul l’initiative de cette rencontre. Je n’ai jamais fessé quelqu’un de non consentant.
« On dit « Oui Monsieur » ! »
« Oui Monsieur »
Elle murmurait plus qu’elle ne parlait.
« Je pense que Nicolas a raison et que tu ne peux continuer sur cette pente descendante. Je pense que tu ne travailles pas assez »
« C’est vrai, Monsieur »
« Tu souhaiterais que je te prenne en charge et que je gère ton travail ? »
« Oui Monsieur »
« Je suppose que Nicolas t’a fait part de mes pratiques ? Elles ne sont pas dans le moule habituel »
« Oui Monsieur »
« Je t’écoute »
Je tenais à ce qu’elle verbalise ce à quoi elle devait s’attendre. Après tout, depuis que j’étais arrivé, tout était dans les sous-entendus et le mot fessée n’avait jamais été prononcé.
Sa voix n’était plus qu’un filet. Murmure évanescent.
« Si je ne travaille pas comme il faut, vous me donnerez la fessée »
« Exactement ! Et jusqu’à présent, tu as travaillé comme il faut ? »
« Pas vraiment, Monsieur »
« Donc … »
J’ai laissé un long blanc.
« Viens ici »
Vu la façon dont elle s’était habillée, je me doutais bien qu’elle s’attendait à recevoir sa première fessée, mais elle s’est lancée dans un héroïque baroud :
« Oh, s’il vous plait, pas tout de suite. Et puis, pas devant Nico »
De toute évidence, la présence de son compagnon l’humiliait profondément, même si elle savait que c’était lui qui était à l’origine de tout çà.
« J’ai dit : « viens ici » »
Mon ton de voix, ma stature imposante, tout à fait pour qu’elle comprenne qu’il n’y avait qu’une issue envisageable : l’obéissance.
Elle s’est levée et, à pas menus, est venue se planter devant moi. Je prenais tout mon temps, sachant que l’attente est fort mortifiante.
J’ai plongé les mains sous sa robe et j’ai fait glisser sa culotte aux genoux. C’était une horrible petite culotte à fleurs.
Je l’ai fait culbuter en travers de mes cuisses. La robe, courte, lui arrivait au bas des fesses et je n’ai pas eu grand-chose à trousser.
Elle avait un derrière bien rond.
Je n’avais pas pris de martinet pour cette première rencontre, mais je sais me servir de mes mains, larges et puissantes.
J’ai commencé à claquer. Eléa gigotait un peu, battait des jambes mais, globalement, subissait docilement.
Le derrière virait au rouge vif. Nicolas semblait impressionné.
Tout à coup, Eléa s’est mise à pleurer. Nicolas a eu un geste qui semblait vouloir dire stop, mais je lui ai fait une mimique signifiant « ne t’en fais pas, j’ai l’expérience »
J’ai continué la fessée pendant un bon moment, puis j’ai aidé Eléa à se relever.
« Et maintenant, tu files au piquet, nez au mur, robe troussée, mains sur la tête »
Comprenant que la fessée était terminée, elle ne se l’est pas fait dire deux fois.
J’ai fini mon whisky puis j’ai appelé Eléa :
« Viens ici »
Et est revenue vers moi, toujours mains sur la tête, entravée par sa culotte. Elle devait craindre que la punition reprenne.
« Je pense que tu as compris ce qui t’attend si tes résultats ne s’améliorent pas très rapidement »
« Oui Monsieur »
« Retourne au piquet »
Nicolas m’a raccompagné. Dans le couloir, il m’a dit :
« C’était sévère mais le pense que c’est ce dont elle a besoin. Je serais bien incapable de m’en charger. Merci »
19 août 2023 à 10:45 #89308Anonyme
InactifBeau récit
19 août 2023 à 20:05 #89312flateric
ParticipantAvec de l’imagination (beaucoup) on pourrait presque …..
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