66 ans, 1m92, 105 kg. Vivant seul dans une grande propriété du Haut-Var
Ecce Homo (quoique définitivement hétéro).
Depuis maintenant plus de cinquante ans, j’apprécie que l’on m’obéisse et je sais pertinemment comment parvenir à mes fins. A l’école primaire, déjà, je gratifiais mes petites camarades de cuisantes fessées.
Aujourd’hui, je suis toujours un fervent adepte de la fessée (entre adultes consentants, çà va de soi). Etrangement (paradoxalement ?), je suis opposé à toute forme de violence non consentie. Je hais, en vrac et dans le désordre les maris violents, les violeurs, les pédophiles, les militaires … J’ai un côté « peace and love », John Lennon.
En revanche, je pense que « l’éducation anglaise » a d’incontestables vertus formatrices. Oscillant entre mentor et Pygmalion, je me flatte d’avoir obtenu des résultats plus que satisfaisants tant chez les femmes mûres ( perte de poids, arrêt du tabac, « rabaissage de caquet ») que chez les très jeunes femmes ( une de mes « élèves » a obtenu son Master avec mention bien grâce – en grande partie du moins – à mes méthodes « cuisantes »).
La période victorienne où les femmes, y compris adultes, étaient soumises aux châtiments corporels à la moindre incartade et la vie des servantes russes de la fin du XIX<sup>ème</sup> siècle, traitées de façon similaire, m’intéressent beaucoup et on sans doute dicté bien de mes comportements.
Outre la fessée à proprement parler, je pense que pour une femme mûre le fait de se retrouver au piquet, mains sur la tête, robe troussée et donc fesses cramoisies bien exposées, pleurnichant est excessivement formateur et dissuasif.