Heureuses qui, comme mes cuisses, ont fait un beau voyage,
Ou comme celles qui, n’entendent jamais raison,
Près du mur ont mis leurs nez, avec soumission
À compter les secondes, jusqu’à devenir sage
Quand reverrai-je, hélas, près de mon derrière volage,
Sonner le noisetier, et en quelle saison,
Reverrai-je cette ceinture, s’abattre dans un frisson
Qui m’est un refuge et beaucoup davantage ?
Plus me plaît le séjour sur vos genoux chaleureux
Que la nuit infinie, me laissant seule et meurtrie,
Plus que le marbre dur, me plaît cette badine,
Plus son air courtois, quand il s’empare de mes reins,
Plus la morsure divine, que cette attente sans fin,
Et plus que l’air glacé, la douceur des mains fines
Pardon pour le plagiat
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Ce sujet a été modifié le il y a 3 mois et 1 semaine par
Lou.
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