De surprise en surprise

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  • #44911
    Jim
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    Nous nous sommes rencontrés l’été dernier avec Jimmy. Comme je n’aime pas trop me déplacer et que je vis encore chez ma mère avec ma sœur, il faisait la route pour nos rencontres « fessée » et nous allions où nous pouvions pour être le plus tranquilles possible à part dans un hôtel car je n’aurais pas supporté le regard entendu du personnel alors qu’en réalité ce n’était pas du tout ce qu’ils avaient pris pour acquis qui se passerait dans la chambre.
    Sous ses airs un peu patauds, Jimmy est un vrai gentleman qui annonce ce qu’il fait et exécute toujours ce qu’il a dit. Ça manquerait peut-être un peu de fantaisie pour certaines mais pour mes premières fessées, c’est exactement ce que je cherchais : Eviter les surprises pour ne pas être déçue, blessée ou même simplement désemparée.
    Il me semble qu’aussi loin que je me souvienne, j’avais toujours fantasmé sur le sujet et les mots punitions, châtiments voire même discipline résonnaient à mon oreille d’une façon toujours un peu particulière.
    Aujourd’hui j’ai 26 ans et je suis professeure d’anglais agrégée. L’année scolaire venait de se terminer ; c’était ma troisième déjà ; que le temps passe vite ! Cette année avait été un peu différente des deux précédentes car dans ma classe de Terminale, j’ai eu un frère et une sœur, de faux jumeaux donc que j’avais gardés pendant mes années de lycée et je savais pour y avoir assisté que leur mère les fessait à cuillère de bois quand ils n’avaient pas de bons résultats en classe. Du coup j’ai fait en sorte de relever l’une au l’autre note afin qu’ils aient toujours la moyenne même si j’étais bien consciente que c’est totalement contraire à la déontologie de notre profession et à mes principes.
    Jusque-là les fessées que j’avais reçues m’avaient pleinement satisfaites mais la semaine précédente bien qu’il nous semblait que nous avions été prudents en nous enfonçant assez profondément dans la forêt, nous avons été surpris alors que j’avais les mains appuyées sur l’écorce d’un arbre sans doute centenaire, et surtout le short et la culotte à terre, par deux randonneuses qui venaient dans cette trouée épancher un besoin bien naturel. Pris dans notre action et le bruit des claques ayant sûrement couvert celui de leurs pas, elles nous ont surpris en pleine action. Jimmy a été d’un naturel déconcertant, leur demandant après leur avoir dit bonjour si cela ne les dérangeait pas que nous finissions ce que nous avions commencé afin de ne pas laisser refroidir l’ouvrage– c’était ses mots – puisque comme le dit la sagesse populaire, il faut battre le fer pendant qu’il est chaud. Elles ont acquiescé dans un sourire, se sont déculottées à leur tour pour satisfaire un besoin aussi pressant que le mien bien qu’assez différent.
    Bien décidée à ne pas connaître pareille mésaventure, je fus soulagée quand la semaine suivante, Jimmy m’annonça triomphalement qu’une de ses amies étant partie en vacances lui laissait les clés de sa maison pour trois semaines afin qu’il vienne de temps en temps y faire un tour pour arroser le jardin et les plantes qui souffraient d’un été particulièrement sec et chaud. Et c’est le cœur léger que je montais dans sa voiture puisqu’il avait proposé de passer me chercher. Néanmoins, au fur et à mesure que nous nous rapprochions de notre destination, le chemin me rappelait celui que j’empruntais il y a quelques années quand je faisais du babysitting. Je décidais de ne rien dire et je contenus avec brio d’actrice un jappement quand effectivement, je dus me rendre à l’évidence : Cette maison où j’allais être fessée était bien celle des jumeaux que j’ai gardés et à qui j’avais donné cours cette année ! Le monde est un village pensais-je mais je n’étais pas encore au bout de mes surprises car en ouvrant le garage nous vîmes une voiture capot ouvert, les fesses de la mère plongée dans le moteur et pestant sur la mauvaise fiabilité de sa voiture avec à côté ses deux enfants dépités qui ne pipaient mot.
    Même Jimmy qui est d’un naturel placide ne put réprimer un signe d’étonnement. Tandis que j’étouffais dans un chuchotement « Il ne faut pas qu’ils me voient, arrange-toi pour qu’ils ne me reconnaissent pas », la mère s’était retournée, son visage accueillant l’arrivée de Jimmy comme celle du messie. Seulement Jimmy est une vraie bille en mécanique et il fallu rapidement se rendre à l’évidence : Point de salut sans un dépanneur professionnel.
    Entre temps les enfants m’avaient bien évidemment reconnue et me pressaient de questions : « Comment je connaissais Tonton Jim » comme ils l’appellent affectueusement, « Combien de temps cela faisait », « Si j’étais sa petite amie », etc. Enfin tout y passait sauf peut-être notre différence d’âge heureusement.
    C’était un weekend de grands départs et les services de dépannage étant submergés, il y avait un délai d’attente assez long et en tous des cas suffisant pour venir à bout de notre résistance, de nos petits mensonges et de nos réponses évasives tandis que nous sirotions une orangeade dans la fraîcheur du salon dont les volets mi-clos nous entouraient d’une délicieuse pénombre propice aux confidences et au laisser-aller.
    Nous finîmes donc par leurs avouer que nous nous étions rencontrés sur un site de fessée et que Jimmy avait pour intention de m’en donner une aujourd’hui même.
    Tous les trois nous regardaient d’un regard goguenard et presque incrédule mais le temps passait et j’avais promis à ma sœur d’être rentrée à temps pour lui dire au revoir car elle partait toute à l’heure pour trois semaines au Canada. Je finis par m’ouvrir de cette contrainte horaire et là quelle ne fut pas mon étonnement quand la mère suggéra que Jimmy me donnât la fessée dans le salon sur le champ. Elle proposa même de lui prêter sa fameuse cuillère de bois. Les enfants s’esclaffèrent : « Oh oui Mademoiselle, c’est à votre tour aujourd’hui et puis si en plus vous aimez ça, ne vous faites pas prier ! ». Je ne savais plus où me mettre. J’étais terriblement gênée et en même temps je ne peux pas nier que la situation n’engendrait pas dans tout mon ventre un certain émoi et même un émoi certain dans la région du bassin.
    Jimmy était incrédule mais il prit rapidement les choses en main, m’ordonna de me mettre debout, de me redresser et de croiser mes mains sur ma tête. Je m’exécutais sans vraiment réfléchir. Puis il demanda à la jeune fille de me dégrafer mon short. J’étais en petite culotte devant deux anciens élèves et leur mère. Quelle incongruité !
    Mon cœur battait si fort dans ma poitrine que je n’entendis pas Jimmy demander au fils de venir me déculotter. Je sentis juste ses deux doigts se glisser entre l’élastique de ma petite culotte et la peau de mes cuisses et rapidement le dernier rempart de ma pudeur glissait, inexorablement attiré vers le bas, d’abord avec une certaine résistance puis de plus en plus vite à mesure que le périmètre de mes jambes se rétrécissait pour finir piètrement à mes pieds là où avait atterri mon short quelques instants auparavant.
    J’étais exposée devant quatre personnes que je connaissais et qui me connaissaient. Je n’en revenais toujours pas quand Jimmy déjà s’était levé et commençait à me donner une bonne fessée. Elle me sembla durer une éternité même si je n’avais plus aucune notion du temps. Je voyageais dans mes pensées, me concentrant sur ma respiration qui était au bord de l’hyperventilation et des battements de mon cœur qui me semblait proche de la rupture.
    Soudain la sonnette tinta. C’était un carillon très doux mais il annonçait sûrement l’arrivée du service de dépannage.
    Mlle X.

    #44963
    Anonyme
    Inactif


    Joli récit!

    #45108
    Jim
    Participant


    Merci Sombrelle

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