Dans une salle de classe !
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Fessochix, le il y a 2 semaines.
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- 4 mai 2025 à 09:01 #104223
Fessochix
ParticipantMa cousine et moi, du même âge, presque trente ans, sommes toutes deux branchées fessée. Et ce depuis notre jeunesse. Nous n’en avions jamais reçu dans l’enfance mais avions pu assister à quelques unes. Parfois séparément, et celle qui l’avait vue la racontait à l’autre, avec tous les détails. Parfois ensemble et celle, bien honteuse et bien vigoureuse, reçue par les deux voisins d’une propriété que nos parents louaient pendant les vacances d’été nous avait, je dois l’avouer, bien plu. La maman les avait corrigés sur le seuil de la maison. Les arbustes devant former une haie n’avaient pas fini de pousser et, jouant dans le jardin, nous avions eu droit au spectacle. D’abord le garçon, d’environ dix ans, pendant que sa grande sœur, de notre âge, attendait son tour.
Nous avions aussi lu, comme beaucoup d’enfants, la comtesse de Ségur. Et dans des éditions illustrées. Même sans être explicites les dessins laissaient bien comprendre comment étaient administrées les fessées : à nu. Au lycée, dans deux classes différentes, nous avions étudié le fameux texte des Confessions de Jean-Jacques Rousseau. Et vu au ciné-club « la Madriguera », film de Carlos Saura. Geraldine Chaplin y reçoit une fessée à la règle plate, en bois. Jupe retroussée et sur la culotte. Un jeu, avec son mari, jeu du papa et de la vilaine fille.
Mais sans attendre d’être au lycée nous nous étions livrées, entre nous, à des expériences de fessée. Il fallait bien savoir ce que cela faisait ! Chez l’une ou chez l’autre, et bien sûr quand il n’ y avait personne d’autre dans la maison. Jeu de la vilaine fille et la maman, en inversant les rôles. Plutôt pudique je ressentais ce trouble étrange, bien connu, en me faisant déculotter : grosse honte associée au plaisir exhibitionniste de montrer ses fesses. Ma cousine, surtout pour les premières fessées, commençait plutôt doucement. J’appréciais le picotement puis, quand elle se décidait à y aller plus franchement, la sensation forte d’une caresse bien appuyée. Je me trémoussais en riant d’abord franchement, puis de façon plus nerveuse. J’y passais toujours la première. Je restais après ma fessée un moment en travers de ses genoux puis je me levai, remontai et réajustai mes vêtements, et c’était à son tour. Je lui rendais les plaisirs qu’elle venait de me donner. Et j’aimais bien voir ses jolies fesses rougir sous ma paume. Le soir dans mon lit, en repensant à la séance, je me donnai du plaisir. Je suppose que ma cousine en faisait autant, mais si nous parlions librement de fessées nous restions plus réservées sur le reste. Vers nos seize ans nous avions commencé à avoir des amoureux, mais sans pratiquer la fessée avec eux : et il n’en était même pas question. Nous continuions de nous la donner, mais plus rarement et faute de mieux. Par un homme, nous savions que ce serait autre chose, et bien meilleur. Et entre cousines, sans être de l’inceste, cela restait en famille. Ma cousine seraensuite quelques années en couple : mais le monsieur n’était pas du tout intéressé. Et elle aurait eu l’impression de le tromper en se faisant déculotter par quelqu’un d’autre, même par moi. Je cherchais pour ma part des rencontres, sur différents sites et forums. De nature plutôt méfiante je repoussais les apprentis don Juan du genre « m’as-tu vu quand je fesse », en large majorité sur les annonces et discussions. Considèrent comme un droit absolu de fesser qui ils veulent, sans aucune approche, sans avoir auparavant discuté. Pas étonnant qu’ils ne trouvent pas de complice !
Mais tous les hommes ne sont pas les mêmes ! Je finis par me lier avec un directeur d’école de la grande couronne parisienne : et qui aime donner la fessée ! À des adultes, bien sûr. À des femmes adultes. Sait aussi échanger sur d’autres sujets.Son école est récente mais a gardé sur le terrain et un peu à l’écart un préfabriqué qui n’accueille plus d’élèves. Sont restés le tableau, le bureau, les pupitres d’élèves. Il sert de temps à autre à des réunions : et à des séances de fessée scolaire ! Il connaît un couple qui aime bien y assister et il recrute de temps à autres des élèves femmes prêtes à recevoir une bonne déculottée. Ma cousine était en instance de séparation : c’était l’occasion rêvée, pour moi et je le supposais pour elle. L’une devant l’autre, voilà qui mettait du piment à l’affaire. Et devant deux témoins ! Nous avions bien pris plaisir, dans la maison de vacances, à assister à la correction des deux voisins. Nous allions à notre tour, quinze ans après, recevoir la fessée devant du monde ! Et leur faire plaisir, en plus de celui qui nous attendait. Ma cousine fut enthousiaste, et me remercia chaleureusement. Il ne restait plus qu’à prendre rendez-vous, elle me fit confiance pour ce qui est de la probité de notre fesseur.
Venant de Normandie, nous sommes restées dans la même ville, et pour aller à l’ouest de Paris nous en avions pour environ une heure trente de trajet. Fessées le samedi en début de soirée, l’école étant fermée pour le week-end. Je l’appelle sur son portable une fois arrivées sur le parking municipal. Nous y laisserons la voiture, c’est plus discret. Il vient nous ouvrir le portillon : un grand et bel homme de près de cinquante ans. Il inspire le respect et doit facilement se faire obéir, même sans fessées, des élèves. Le couple amateur de fessées à regarder n’étant pas encore arrivé il nous invite dans son logement de fonction à boire un café ou un rafraîchissement. Il y a bien sûr des toilettes : c’est plus prudent de prendre ses précautions ! Le couple arrive ! Même procédé, appel sur portable et le directeur, notre fesseur va leur ouvrir. Ils se présentent à nous par leur prénom, et nous faisons de même.
« Des nouvelles ! Vous avez déjà reçu la fessée ?
-Eh non.
-Seulement vu des fessées.
-Et quand nous étions jeunes, tout juste ados. »
Nous n’avons pas cru bon d’indiquer que nous nous l’étions réciproquement donnée.
« Vous êtes de la même famille ?
-Oui, cousines.
-Elles sont motivées, précise notre fesseur. Nous allons sans plus tarder passer dans la classe. Je vais vous faire faire à tous les quatre une dictée. Nos deux nouvelles vont bien sûr faire plein de fautes ! Et bavarder entre elles, se dissiper. »
Il faut y aller ! La fessée approche : les fessées ! Impossible de désormais renoncer : de quoi aurions -nous l’air ? Je ressens de nouveau ce trouble à l’idée de me faire déculotter : et par un homme, cette fois, et de confiance. Devant ma cousine, qui connaissait mes fesses mais qui ne les a pas revues depuis environ dix ans, depuis nos jeux d’adolescentes. Et devant un couple d’inconnus ! Si ils sont habitués c’est qu’ils ont la confiance du directeur, de notre fesseur. Et ils ne connaissent pas nos noms.
Salle de classe ! Toujours les mêmes, depuis l’école élémentaire, depuis le collège, le lycée, les salles de travaux dirigés de la fac. Mais pour la première fois pour nous deux, salle de classe où on reçoit la fessée ! Nous savions que cela se faisait, autrefois, jusqu’aux années soixante et même soixante-dix. Fessées interdites dans les textes mais tolérées dans les faits. Les pauvres punis, et punies, devaient ressentir de terribles émotions, et la classe apprécier le spectacle. Nous étions prêtes ma cousine et moi à assumer ces émotions, et à faire plaisir au couple voyeur : n’ayons pas peur des mots.
Le maître nous distribue des des feuilles de copie et des stylos à bille. Et commence la dictée, du niveau CM2 ex-classes de fin d’étude. Pas de celle de Prosper Mérimée ou même de Bernard Pivot. C’est ainsi plus facile d’y faire des fautes, volontaires. Et de plus l’idée de bientôt recevoir la fessée nous perturbe. Nous nous regardons en ricanant, le maître nous rappelle à l’ordre. Puis je demande à ma cousine l’orthographe d’usage d’un mot. J’ai des difficultés avec les consonnes, doubles ou non : et je voudrais être sûre de me tromper. Elle n’en sait pas plus que moi mais elle croit reconnaître l’auteur du texte et entreprend une conversation à ce sujet.
« Mesdames les cousines, vous êtes insupportables. Je corrigerai ces dictées à peine terminées. Note sur 20 : moins 4 pour les fautes de grammaire, moins 2 pour les fautes d’usage, moins 1 pour les accents. Au-dessous de 8 sur20 et vu votre comportement ce sera la fessée. »
Nous redevenons ou plutôt devenons sérieuses : inutile d’en rajouter ! Notre compte est bon. Pendant la correction des dictées, et elle fut rapide, nous avons le droit de discuter librement, sans cependant faire trop de bruit.
« Mesdames les cousines, vous avez 4 et 2 sur 20. Veuillez vous approcher du bureau. Laquelle de vous deux est la plus jeune ? »
C’est moi, de trois mois. Ce qui va me valoir selon une certaine tradition et comme lors de nos jeux d’ados d’être corrigée en premier. Ma cousine reçoit l’ordre de reculer de quelques pas et de placer ses mains sur la tête.
Je l’ai voulue, cette fessée qui va, je dirais « enfin », m’être administrée par un homme ! À vingt-sept ans, j’ai l’impression de l’avoir longtemps attendue. Les jeux avec ma cousine ont dû cesser vers nos dix-huit, à notre majorité. Je suis heureuse qu’elle puisse me regarder la recevoir. Face au bureau et tournant le dos à ces trois personnes je sens leurs regards rivés sur moi. J’ai déjà la honte, mais elle fait partie du plaisir.
« Mademoiselle ( je ne suis plus une dame ) allez vers le tableau et veuillez ( il continue de me vouvoyer) déboutonner votre pantalon. Je vais vous donner la fessée comme à une petite fille mais je n’aime pas tout faire : vous allez participer !
-C’est que j’ai une ceinture.
-Eh bien débouclez-la ! Il faut tout vous dire ? »
J’entends rire, discrètement, ma cousine. Elle est en jupe, ce sera plus simple pour elle. J’obéis, je déboucle et déboutonne. Il vient se placer face à moi.
« Les petites filles, je les prends sous un bras. »
Il est bien plus grand que moi, du genre 1m 85. Et j’ai une taille plutôt moyenne. Me voici en position ! Courbée et les fesses vers la classe, vers le public. Trois personnes seulement, mais ça compte déjà ! De sa main libre il retrousse mon chandail et s’applique à baisser mon pantalon. Pas trop serré, il descend assez facilement. Jusqu’aux genoux, comme je peux le constater, je n’ai pas fermé les yeux. J’ai une culotte de coupe large, en tissu blanc et assez épais, une culotte tout ce qu’il y a de plus classique. La honte est montée d’un cran, à ainsi exposer ce sous-vêtement, et dans cette position ridicule.
« Une bonne fessée, c’est complètement déculottée, pas seulement à moitié. »
C’était prévisible ! L’annonce renforce le sentiment de honte. J’ai dû devenir toute rouge. Du visage, pas encore des fesses. J’ai vu la culotte rejoindre le pantalon, puis j’ai fermé les yeux. Pour mieux me concentrer sur la gestion de la douleur. Ça allait certainement faire mal. Plus que par ma cousine, qui n’y allait pourtant pas de main morte. La première claque m’a fait pousser un gémissement. Contrairement à celles ma cousine c’était une fessée sans échauffement. Mes fesses m’ont vite brûlé mais j’ai tenu bon. Et cette brûlure faisait monter en moi une belle excitation. En bon fesseur il a dû s’en apercevoir et m’a asséné quelques dernières claques encore plus fortes. J’ai lâché prise et j’ai sangloté.Il m’ a laissé quelque temps encore déculottée et dans la position. Puis m’ a relâchée et autorisée à remonter mes vêtements. Ce que je me suis empressée de faire, même sans bien réajuster mon pantalon.
« Après une fessée la punie va généralement au coin. Mais je suppose que vous avez envie de regarder celle de votre cousine.
-Oui, bien sût. Debout ?
-Vous auriez très mal aux fesses, assise. Les mains dans le dos. Sur la tête c’est avant la fessée. »
Échanges des places. Nous nous lançons, brièvement, deux regards complices. Elle pour me faire comprendre qu’elle a été contente d’assister à ma fessée, moi que je me réjouis de bientôt assister à la sienne. Et qui veulent aussi dire félicitations pour moi, qui ai encaissé le plus dignement que je le pouvais, et encouragements pour elle.
Elle est plus grande que moi, elle tiendrait plus difficilement sous le bras. Le maître installe sa chaise de bureau devant le tableau, et de côté. Ça va être la fessée sur les genoux. Elle a compris et s’approche de lui. Il est de profil par rapport à nous et elle nous tourne le dos.
« Baissez votre culotte, Mademoiselle. » Ce sera là sa participation ! Elle remonte un peu sa jupe, passe ses mains en dessous, et fait descendre sa jolie petite culotte. Rose, avec des motifs de fleurs. En position debout, elle tombe sur les chevilles. Si ma cousine agite bien les jambes, les chaussures ne suffiront pas à la retenir. Elle n’attend pas de recevoir l’ordre de se mettre en position et se couche spontanément en travers des genoux.
« C’est bien, de l’initiative. Maintenant je vais retrousser votre jupe et la fixer dans l’élastique. Si malgré tout elle retombait je la descendrais comme un pantalon. »
Elle a toujours d’aussi jolies fesses, et elle le sait. Ça doit partiellement la réconforter de se retrouver ainsi le derrière nu. Le couple auquel je peux maintenant jeter des regards est lui aussi admiratif. La jupe est bien fixée, les premières claques dégringolent et arrachent à ma cousine de petits cris plaintifs. Ma fessée n’avait je pense pas été bien longue. Celle-là sera de la même durée. Devenue observatrice et même sans compter précisément les claques il y a dû en avoir dans les quarante : qui ont suffi à ma cousine ! Ses petits cris sont devenus des lamentations qui devaient la soulager et qui exprimaient aussi quelque chose de profond, de sensuel. Ses fesses étaient d’un beau rouge, presque uniforme. Comme c’était à prévoir la culotte jonchait le sol. Le maître a remis la jupe en place. Ma cousine a demandé si je pouvais lui ramasser sa culotte, elle ne se sentait pas en état de le faire. Ce fut accepté. Je mis le sous-vêtement dans la poche de mon pantalon et elle l’enfilerait plus tard. Elle se releva et nous retournâmes au logement. Le maître avait préparé des gâteaux et l’autre monsieur alla chercher dans sa voiture une bouteille de cidre restée au frais dans une glacière.
Nous fûmes complimentées pour notre façon de recevoir la fessée. Puis nous parlâmes de choses et d’autres.Il était évident que nous reviendrions, cela se déroulait trois ou quatre fois par an. Avec peut-être un public plus nombreux ? Tout en maintenant la discrétion…
On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...
4 mai 2025 à 09:03 #104224Fessochix
ParticipantMa cousine et moi, du même âge, presque trente ans, sommes toutes deux branchées fessée. Et ce depuis notre jeunesse. Nous n’en avions jamais reçu dans l’enfance mais avions pu assister à quelques unes. Parfois séparément, et celle qui l’avait vue la racontait à l’autre, avec tous les détails. Parfois ensemble et celle, bien honteuse et bien vigoureuse, reçue par les deux voisins d’une propriété que nos parents louaient pendant les vacances d’été nous avait, je dois l’avouer, bien plu. La maman les avait corrigés sur le seuil de la maison. Les arbustes devant former une haie n’avaient pas fini de pousser et, jouant dans le jardin, nous avions eu droit au spectacle. D’abord le garçon, d’environ dix ans, pendant que sa grande sœur, de notre âge, attendait son tour.
Nous avions aussi lu, comme beaucoup d’enfants, la comtesse de Ségur. Et dans des éditions illustrées. Même sans être explicites les dessins laissaient bien comprendre comment étaient administrées les fessées : à nu.
Au lycée, dans deux classes différentes, nous avions étudié le fameux texte des Confessions de Jean-Jacques Rousseau. Et vu au ciné-club « la Madriguera », film de Carlos Saura. Geraldine Chaplin y reçoit une fessée à la règle plate, en bois. Jupe retroussée et sur la culotte. Un jeu, avec son mari, jeu du papa et de la vilaine fille.
Mais sans attendre d’être au lycée nous nous étions livrées, entre nous, à des expériences de fessée. Il fallait bien savoir ce que cela faisait ! Chez l’une ou chez l’autre, et bien sûr quand il n’ y avait personne d’autre dans la maison. Jeu de la vilaine fille et la maman, en inversant les rôles.
Plutôt pudique je ressentais ce trouble étrange, bien connu, en me faisant déculotter : grosse honte associée au plaisir exhibitionniste de montrer ses fesses. Ma cousine, surtout pour les premières fessées, commençait plutôt doucement. J’appréciais le picotement puis, quand elle se décidait à y aller plus franchement, la sensation forte d’une caresse bien appuyée. Je me trémoussais en riant d’abord franchement, puis de façon plus nerveuse.
J’y passais toujours la première. Je restais après ma fessée un moment en travers de ses genoux puis je me levai, remontai et réajustai mes vêtements, et c’était à son tour. Je lui rendais les plaisirs qu’elle venait de me donner. Et j’aimais bien voir ses jolies fesses rougir sous ma paume.
Le soir dans mon lit, en repensant à la séance, je me donnai du plaisir. Je suppose que ma cousine en faisait autant, mais si nous parlions librement de fessées nous restions plus réservées sur le reste.
Vers nos seize ans nous avions commencé à avoir des amoureux, mais sans pratiquer la fessée avec eux : et il n’en était même pas question. Nous continuions de nous la donner, mais plus rarement et faute de mieux. Par un homme, nous savions que ce serait autre chose, et bien meilleur. Et entre cousines, sans être de l’inceste, cela restait en famille.
Ma cousine resta ensuite quelques années en couple : mais le monsieur n’était pas du tout intéressé. Et elle aurait eu l’impression de le tromper en se faisant déculotter par quelqu’un d’autre, même par moi. Je cherchais pour ma part des rencontres, sur différents sites et forums. De nature plutôt méfiante je repoussais les apprentis don Juan du genre « m’as-tu vu quand je fesse », en large majorité sur les annonces et discussions. Considèrent comme un droit absolu de fesser qui ils veulent, sans aucune approche, sans avoir auparavant discuté. Pas étonnant qu’ils ne trouvent pas de complice !
Mais tous les hommes ne sont pas les mêmes ! Je finis par me lier avec un directeur d’école de la grande couronne parisienne : et qui aime donner la fessée ! À des adultes, bien sûr. À des femmes adultes. Sait aussi échanger sur d’autres sujets.Son école est récente mais a gardé sur le terrain et un peu à l’écart un préfabriqué qui n’accueille plus d’élèves. Sont restés le tableau, le bureau, les pupitres d’élèves. Il sert de temps à autre à des réunions : et à des séances de fessée scolaire ! Il connaît un couple qui aime bien y assister et il recrute de temps à autres des élèves femmes prêtes à recevoir une bonne déculottée.
Ma cousine était en instance de séparation : c’était l’occasion rêvée, pour moi et je le supposais pour elle. L’une devant l’autre, voilà qui mettait du piment à l’affaire. Et devant deux témoins ! Nous avions bien pris plaisir, dans la maison de vacances, à assister à la correction des deux voisins. Nous allions à notre tour, quinze ans après, recevoir la fessée devant du monde ! Et leur faire plaisir, en plus de celui qui nous attendait. Ma cousine fut enthousiaste, et me remercia chaleureusement. Il ne restait plus qu’à prendre rendez-vous, elle me fit confiance pour ce qui est de la probité de notre fesseur.
Venant de Normandie, nous sommes restées dans la même ville, et pour aller à l’ouest de Paris nous en avions pour environ une heure trente de trajet. Fessées le samedi en début de soirée, l’école étant fermée pour le week-end.
Je l’appelle sur son portable une fois arrivées sur le parking municipal. Nous y laisserons la voiture, c’est plus discret. Il vient nous ouvrir le portillon : un grand et bel homme de près de cinquante ans. Il inspire le respect et doit facilement se faire obéir, même sans fessées, des élèves.
Le couple amateur de fessées à regarder n’étant pas encore arrivé il nous invite dans son logement de fonction à boire un café ou un rafraîchissement. Il y a bien sûr des toilettes : c’est plus prudent de prendre ses précautions !
Le couple arrive ! Même procédé, appel sur portable et le directeur, notre fesseur va leur ouvrir.
Ils se présentent à nous par leur prénom, et nous faisons de même.
« Des nouvelles ! Vous avez déjà reçu la fessée ?
-Eh non.
-Seulement vu des fessées.
-Et quand nous étions jeunes, tout juste ados. »
Nous n’avons pas cru bon d’indiquer que nous nous l’étions réciproquement donnée.
« Vous êtes de la même famille ?
-Oui, cousines.
-Elles sont motivées, précise notre fesseur. Nous allons sans plus tarder passer dans la classe. Je vais vous faire faire à tous les quatre une dictée. Nos deux nouvelles vont bien sûr faire plein de fautes ! Et bavarder entre elles, se dissiper. »
Il faut y aller ! La fessée approche : les fessées ! Impossible de désormais renoncer : de quoi aurions -nous l’air ? Je ressens de nouveau ce trouble à l’idée de me faire déculotter : et par un homme, cette fois, et de confiance. Devant ma cousine, qui connaissait mes fesses mais qui ne les a pas revues depuis environ dix ans, depuis nos jeux d’adolescentes. Et devant un couple d’inconnus ! Si ils sont habitués c’est qu’ils ont la confiance du directeur, de notre fesseur. Et ils ne connaissent pas nos noms.
Salle de classe ! Toujours les mêmes, depuis l’école élémentaire, depuis le collège, le lycée, les salles de travaux dirigés de la fac. Mais pour la première fois pour nous deux, salle de classe où on reçoit la fessée ! Nous savions que cela se faisait, autrefois, jusqu’aux années soixante et même soixante-dix. Fessées interdites dans les textes mais tolérées dans les faits. Les pauvres punis, et punies, devaient ressentir de terribles émotions, et la classe apprécier le spectacle. Nous étions prêtes ma cousine et moi à assumer ces émotions, et à faire plaisir au couple voyeur : n’ayons pas peur des mots.
Le maître nous distribue des des feuilles de copie et des stylos à bille. Et commence la dictée, du niveau CM2 ex-classes de fin d’étude. Pas de celle de Prosper Mérimée ou même de Bernard Pivot. C’est ainsi plus facile d’y faire des fautes, volontaires. Et de plus l’idée de bientôt recevoir la fessée nous perturbe. Nous nous regardons en ricanant, le maître nous rappelle à l’ordre.
Puis je demande à ma cousine l’orthographe d’usage d’un mot. J’ai des difficultés avec les consonnes, doubles ou non : et je voudrais être sûre de me tromper. Elle n’en sait pas plus que moi mais elle croit reconnaître l’auteur du texte et entreprend une conversation à ce sujet.
« Mesdames les cousines, vous êtes insupportables. Je corrigerai ces dictées à peine terminées. Note sur 20 : moins 4 pour les fautes de grammaire, moins 2 pour les fautes d’usage, moins 1 pour les accents. Au-dessous de 8 sur20 et vu votre comportement ce sera la fessée. »
Nous redevenons ou plutôt devenons sérieuses : inutile d’en rajouter ! Notre compte est bon.
Pendant la correction des dictées, et elle fut rapide, nous avons le droit de discuter librement, sans cependant faire trop de bruit.
« Mesdames les cousines, vous avez 4 et 2 sur 20. Veuillez vous approcher du bureau. Laquelle de vous deux est la plus jeune ? »
C’est moi, de trois mois. Ce qui va me valoir selon une certaine tradition et comme lors de nos jeux d’ados d’être corrigée en premier. Ma cousine reçoit l’ordre de reculer de quelques pas et de placer ses mains sur la tête.
Je l’ai voulue, cette fessée qui va, je dirais « enfin », m’être administrée par un homme ! À vingt-sept ans, j’ai l’impression de l’avoir longtemps attendue. Les jeux avec ma cousine ont dû cesser vers nos dix-huit, à notre majorité. Je suis heureuse qu’elle puisse me regarder la recevoir. Face au bureau et tournant le dos à ces trois personnes je sens leurs regards rivés sur moi. J’ai déjà la honte, mais elle fait partie du plaisir.
« Mademoiselle ( je ne suis plus une dame ) allez vers le tableau et veuillez ( il continue de me vouvoyer) déboutonner votre pantalon. Je vais vous donner la fessée comme à une petite fille mais je n’aime pas tout faire : vous allez participer !
-C’est que j’ai une ceinture.
-Eh bien débouclez-la ! Il faut tout vous dire ? »
J’entends rire, discrètement, ma cousine. Elle est en jupe, ce sera plus simple pour elle. J’obéis, je déboucle et déboutonne. Il vient se placer face à moi.
« Les petites filles, je les prends sous un bras. »
Il est bien plus grand que moi, du genre 1m 85. Et j’ai une taille plutôt moyenne. Me voici en position ! Courbée et les fesses vers la classe, vers le public. Trois personnes seulement, mais ça compte déjà ! De sa main libre il retrousse mon chandail et s’applique à baisser mon pantalon. Pas trop serré, il descend assez facilement. Jusqu’aux genoux, comme je peux le constater, je n’ai pas fermé les yeux. J’ai une culotte de coupe large, en tissu blanc et assez épais, une culotte tout ce qu’il y a de plus classique. La honte est montée d’un cran, à ainsi exposer ce sous-vêtement, et dans cette position ridicule.
« Une bonne fessée, c’est complètement déculottée, pas seulement à moitié. »
C’était prévisible ! L’annonce renforce le sentiment de honte. J’ai dû devenir toute rouge. Du visage, pas encore des fesses. J’ai vu la culotte rejoindre le pantalon, puis j’ai fermé les yeux. Pour mieux me concentrer sur la gestion de la douleur. Ça allait certainement faire mal. Plus que par ma cousine, qui n’y allait pourtant pas de main morte. La première claque m’a fait pousser un gémissement. Contrairement à celles ma cousine c’était une fessée sans échauffement. Mes fesses m’ont vite brûlé mais j’ai tenu bon. Et cette brûlure faisait monter en moi une belle excitation. En bon fesseur il a dû s’en apercevoir et m’a asséné quelques dernières claques encore plus fortes. J’ai lâché prise et j’ai sangloté.Il m’ a laissé quelque temps encore déculottée et dans la position. Puis m’ a relâchée et autorisée à remonter mes vêtements. Ce que je me suis empressée de faire, même sans bien réajuster mon pantalon.
« Après une fessée la punie va généralement au coin. Mais je suppose que vous avez envie de regarder celle de votre cousine.
-Oui, bien sût. Debout ?
-Vous auriez mal, assise. Les mains dans le dos. Sur la tête c’est avant la fessée. »
Échanges des places. Nous nous lançons, brièvement, deux regards complices. Elle pour me faire comprendre qu’elle a été contente d’assister à ma fessée, moi que je me réjouis de bientôt assister à la sienne. Et qui veulent aussi dire félicitations pour moi, qui ai encaissé le plus dignement que je le pouvais, et encouragements pour elle.
Elle est plus grande que moi, elle tiendrait plus difficilement sous le bras. Le maître installe sa chaise de bureau devant le tableau, et de côté. Ça va être la fessée sur les genoux. Elle a compris et s’approche de lui. Il est de profil par rapport à nous et elle nous tourne le dos.
« Baissez votre culotte, Mademoiselle. » Ce sera là sa participation ! Elle remonte un peu sa jupe, passe ses mains en dessous, et fait descendre sa jolie petite culotte. Rose, avec des motifs de fleurs. En position debout, elle tombe sur les chevilles. Si ma cousine agite bien les jambes, les chaussures ne suffiront pas à la retenir. Elle n’attend pas de recevoir l’ordre de se mettre en position et se couche spontanément en travers des genoux.
« C’est bien, de l’initiative. Maintenant je vais retrousser votre jupe et la fixer dans l’élastique. Si malgré tout elle retombait je la descendrais comme un pantalon. »
Elle a toujours d’aussi jolies fesses, et elle le sait. Ça doit partiellement la réconforter de se retrouver ainsi le derrière nu. Le couple auquel je peux maintenant jeter des regards est lui aussi admiratif. La jupe est bien fixée, les premières claques dégringolent et arrachent à ma cousine de petits cris plaintifs. Ma fessée n’avait je pense pas été bien longue. Celle-là sera de la même durée. Devenue observatrice et même sans compter précisément les claques il y a dû en avoir dans les quarante : qui ont suffi à ma cousine ! Ses petits cris sont devenus des lamentations qui devaient la soulager et qui exprimaient aussi quelque chose de profond, de sensuel. Ses fesses étaient d’un beau rouge, presque uniforme. Comme c’était à prévoir la culotte jonchait le sol. Le maître a remis la jupe en place. Ma cousine a demandé si je pouvais lui ramasser sa culotte, elle ne se sentait pas en état de le faire. Ce fut accepté. Je mis le sous-vêtement dans la poche de mon pantalon et elle l’enfilerait plus tard. Elle se releva et nous retournâmes au logement. Le maître avait préparé des gâteaux et l’autre monsieur alla chercher dans sa voiture une bouteille de cidre restée au frais dans une glacière.
Nous fûmes complimentées pour notre façon de recevoir la fessée. Puis nous parlâmes de choses et d’autres.Il était évident que nous reviendrions, cela se déroulait trois ou quatre fois par an. Avec peut-être un public plus nombreux ? Tout en maintenant la discrétion…
On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...
4 mai 2025 à 15:37 #104227Karima
ParticipantJoli récit.
Un moyen de découvrir la fessée qui n’est pas sans me rappeler des souvenirs.
Quant aux salles de classes c’est toujours bien d’avoir des contacts profs 🤭 (non moi je n’ai pas le moyen de rentrer discrètement dans mon établissement, pas la peine de me contacter 🤪).
4 mai 2025 à 16:26 #104228Fessochix
ParticipantLes établissements scolaires sont Karima ( et tu le sais ) de plus en plus sous alarme en dehors des heures de classe. Et il devient même difficile aux enseignants de venir y travailler en dehors des jours de cours. C’est ici un cas de figure idéal, mais qui disparaît. Le directeur, sauf accord avec un conseil municipal intelligent, et ça existe, ne loge plus forcément sur place. Et il n’y a pas dans toutes les écoles d’anciennes classes désaffectées et avec le décor intact, tableau, bureau, pupitres. J’en avais connu une, que la mairie prêtait, et j’y avais participé à un atelier d’écriture. C’est qu’en élémentaire (et contrairement au collège et lycée ) une classe est aussi un lieu de vie. les élèves n’en changent pas pour chaque cours, et y ont leur place. Il serait gênant de s’y installer pour d’autres activités : surtout pour y pratiquer la fessée.
On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...
4 mai 2025 à 17:16 #104230Chelonia
Partcipant &
Ambiance ChatJe suis sur que K a une salle de classe caché dans son sous-sol…
Avec tout ce qu’il faut!
Une estrade, un bonnet d âne, des règles en bois plate et carré… etc…
D ailleurs étrange qu il n y est pas eu d attente à genoux sur une putain de règle carrée…?
4 mai 2025 à 17:22 #104231Gentilhomme
ParticipantComme quoi, le rouge reste la couleur de la correction…
4 mai 2025 à 17:29 #104232Gentilhomme
Participant« Genius sur règle carrée »…
J’ai malheureusement assisté à ce genre de pratiques lorsque j’étais en classe de CP. L’instit faisait subir ça à un pauvre gamin. Du haut de mes 6 ans, je souffrais pour lui. 🙁4 mai 2025 à 17:44 #104233Gentilhomme
ParticipantJe voulais dire « genoux » et non Genius. Mille excuses. Saleté de correcteur… 😉
4 mai 2025 à 20:25 #104237Fessochix
ParticipantÀ genoux sur une règle carrée : pas vraiment érotique. Si c’est en attendant la fessée, celle-ci doit paraître encore meilleure.
On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...
4 mai 2025 à 23:56 #104240Sombrelle
ParticipantMerci @fessochix pour ce récit dont l’ambiance et le décor m’enchantent!
https://sombressensuelle.blogspot.com/
5 mai 2025 à 15:16 #104242Fessochix
ParticipantEt merci @Sombrelle pour ce retour, pour cette appréciation positive. C’est encourageant.
On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...
5 mai 2025 à 15:21 #104243Fessochix
ParticipantJe voulais dire « genoux » et non Genius. Mille excuses. Saleté de correcteur… 😉
On peut @Gentilhomme et comme sur Facebook modifier un écrit, sur ce forum. Et si c’est fait rapidement personne ne saura qu’on avait commis une erreur : avantage !
On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...
5 mai 2025 à 19:45 #104245Gentilhomme
ParticipantMerci beaucoup @Fessochix 🙂
Oui, je viens de voir cette possibilité en me connectant avec un PC. Malheureusement, et sauf erreur, la fonctionnalité “modifier” ne semble pas disponible depuis un smartphone.
6 mai 2025 à 12:46 #104253fesseur4455
ParticipantBonjour pour les grandes écolières j’ai une mini salle de classe
Pièces jointes:
Vous devez être connecté pour voir les fichiers attachés6 mai 2025 à 15:15 #104255Homfc78
ParticipantTrès joli récit, peut on espérer qu’il soit vrai ?
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