Conversion tardive
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Gentilhomme, le il y a 1 semaine et 4 jours.
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- 9 mai 2025 à 17:47 #104303
Gentilhomme
ParticipantJe crois pouvoir dire que, pendant des décennies, l’idée d’administrer une fessée ne m’a pas enflammé l’imaginaire plus que ça. C’était simplement une pratique à laquelle je ne pensais pas. Certes, j’avais parfois marqué de l’empreinte de mes mains le fessier de certaines partenaires mais toujours à l’occasion de levrettes débridées et éventuellement assorties de dirty talks. Mais jamais je n’avais même imaginé intimer à une de mes partenaires l’ordre de se positionner sur mes genoux dans l’objectif de lui chauffer les fesses.
Jusqu’à ce jour de l’été 2021.
J’avais fait la connaissance d’une femme via un site dédié aux rencontres entre « personnes de plus de cinquante ans ». J’ignore comment mais elle était parvenue à créer un profil sans photo. Son texte de présentation revendiquait la recherche d’une relation à long terme et la tournure était plutôt romantique. Étant moi-même à la recherche de quelque chose de sérieux, je passais outre l’absence d’éléments visuels et amorçait le contact. Après quelques échanges de sms, Maud, mon interlocutrice, proposa de me faire parvenir une photo et ainsi, quelques instants plus tard et avec grand plaisir, je découvris sur l’écran de mon téléphone une femme vraiment belle et d’allure distinguée.
Une semaine plus tard, et après une heure de train pour ce qui me concerne, nous nous sommes retrouvés pour partager un déjeuner. À l’issue de celui-ci, et après m’avoir un peu fait découvrir sa ville, ma jolie guide me proposa de passer prendre un café à son appartement. J’étais bien entendu ravi mais très impressionné par cette femme et, une fois chez elle, je me retrouvais dans un état de fébrilité que je n’avais pas connu depuis mon adolescence.
Alors qu’elle me tournait le dos pour amorcer les expressos, mon regard capté par ses fesses rondes et visiblement fermes moulées dans un jean’s blanc, mon bas-ventre en éruption, je tentais de garder mon calme. Cette femme me plaisait tellement que je ne voulais pas me précipiter, tétanisé par un mélange de trouille et de désir proche du volcanique (probablement un minimum pour des événements situés en Auvergne). Une fois nos cafés consommés, Maud proposa à nouveau une promenade en attendant l’heure de mon train. J’acceptais, entre déception et soulagement. D’un côté j’avais terriblement envie d’elle et, de l’autre, j’étais totalement incapable d’agir et fuir l’intimité de son appartement me sauvait un peu la mise. La promenade suivante fut un peu surréaliste : je tentais désespérément de cacher mon trouble et je pense qu’elle s’en amusait.
Nous nous sommes séparés en programmant de nous revoir sous huitaine.
Pendant le laps de temps qui suivit nous échangeâmes principalement par sms et je décidais d’être un poil plus audacieux et de flirter un peu. Mais, non seulement Maud jouait bien le jeu mais elle prit rapidement le lead et commença à me poser des questions un peu inattendues. J’avoue que je ne m’attendais pas à l’évocation de certaines pratiques mais que ça ne fit qu’accentuer l’état dans lequel le simple fait de penser à Maud me mettait. A ce stade, je précise que la fessée n’avait pas été évoquée mais des questions sur ma capacité « à faire mal » m’avaient été soumises, questions auxquelles j’étais bien en peine de répondre.
Je vous laisse imaginer mon impatience en attendant de revoir Maud.
Le jour venu, Maud m’attend à la gare, dans une jolie robe qui met en valeur sa poitrine, serre sa taille et s’évase jusqu’au dessous des genoux.
Je m’approche d’elle, la prend dans mes bras et nous échangeons un baiser un peu maladroit, un peu bâclé mais ses yeux brillent et probablement que les miens aussi.
Nous arrivons à l’appartement de Maud. Elle propose que nous nous installions dans son salon pour prendre un café.
Je suis assis dans un immense canapé. Maud me fait face dans un petit fauteuil. Je la regarde et lui sourit un peu bêtement quand, sans crier gare mais en me fixant, Maud remonte sa robe sur ses cuisses, la redescend puis la remonte à plusieurs reprises. Finalement, les genoux de Maud s’écartent et je devine sa culotte. Je suis aussi surpris que ravi du spectacle. Je reste sans voix de peur de rompre le charme. Je me mords la lèvre inférieure. Ne peux faire que ça. À défaut, je risquerais d’avoir la langue qui pend. Je sens aussi mon pantalon devenir très étroit. Maud avance un peu son bassin pour se poser au bord du fauteuil, la robe remonte complètement révélant la culotte en coton blanc, modèle fille sage, et permettant à ses jambes de s’écarter un peu plus. La pièce de coton est parfaitement plaquée contre la vulve de Maud et, bien qu’à un peu plus d’un mètre, je peux constater que mon hôtesse mouille déjà beaucoup.
Je me lève, m’avance et me penche. Ma bouche trouve celle de Maud. Ma main droite cherche son salut entre la peau douce des cuisses, la chaleur moite du coton et la promesse sensuelle des seins encore contraints dans le bustier de la robe.
Quelques minutes délicieuses s’écoulent pour toujours. Je suis aux anges. Je ne sais pourtant rien de ce qui m’attend.
Je romps le silence pour dire à Maud qu’elle est magnifique, très excitante et que j’adore ce moment.
Maud propose que nous regagnons sa chambre. « Ce sera plus confortable » précise-t-elle.
Arrivé dans la chambre, nous échangeons quelques baisers, débouts. J’ôte la robe de Maud, dégrafe et retire son soutien-gorge. Elle se retrouve en culotte – cette culotte en coton très sage – et, alors, que j’entreprends de me déshabiller, elle s’asseoit sur le petit canapé qui fait face à son lit. Elle se tient comme pour dissimuler sa nudité et me regarde « par en-dessous ». Sur le coup, je ne fais pas trop attention à sa posture et je décide de la taquiner.
– « Tu sais que tu vas devoir la retirer cette culotte?… lui dis-je feignant d’être goguenard.
– Nan, je veux pas l’enlever… »
La voix de Maud n’est plus celle de la femme que je connais. C’est celle d’une gamine qui fait un caprice.
Je suis décontenancé.
L’idée qu’elle garde sa culotte ne me déplaisait pas outre mesure. C’est un accessoire avec lequel on peut beaucoup s’amuser. Mais, là, ce n’est pas le sujet. Je me retrouve embarqué dans un jeu de rôles que je n’ai pas vu venir.
Je trouve ça hyper excitant mais je suis un peu pris de court.
J’essaye de gagner un peu de temps en improvisant sur un ton de réprimande. Pas facile quand on se retrouve habillé seulement d’un caleçon un brin tendu vers l’avant et sans aucun doute possible humidifié par l’émoi de son propriétaire. Je voudrais bien vous y voir. Enfin, non, c’est une façon de parler. Oubliez.
Bref, comme on dit à la télé, je tente de reprendre la situation en main sans trop savoir où je vais.
Je m’assois sur le lit, face à Maud.
« Tu veux que je te la retire, c’est ça? » tenté-je.
Un non de la tête et une mine boudeuse sont les seules réponses que j’obtiens alors.
Je tente de garder une contenance dans ce rôle de composition.
« Tu vas faire la vilaine comme ça longtemps?… »
En prononçant ces mots, j’ai l’impression d’ouvrir une porte de sortie.
Vilaine, caprice, remontrance, punition…
Je décide de me lancer sur cette voie. Piste noire, piste rouge?… Je verrai bien…
« Tu sais que c’est très mal de soulever sa robe devant un inconnu? »
Maud me regarde sans rien dire, soutenant son regard de sale gosse prise en défaut.
« Tu le sais, hein?… Et tu sais aussi ce qu’on fait aux vilaines gamines qui montrent leur culotte? »
Je m’enhardis.
« Lève-toi et approche; que je te montre ce qu’on fait aux vilaines comme toi. »
Maud ne bouge pas d’un pouce, me défiant du regard.
Je viens alors m’asseoir sur le petit canapé, prends la main de Maud et l’entraîne doucement de sorte que son buste glisse sur mes genoux. Elle ne résiste pas. Mieux, elle se laisse guider, pose son ventre sur mes cuisses, tend ses jambes, pieds posés au sol, les fesses désormais surélevées.
Sans un mot, je commence à déposer alternativement des petites claques sur chacune des fesses de Maud qui ne dit rien mais semblait n’attendre que ça.
J’accentue un peu le rythme, portant une vingtaine de claques de part et d’autre du postérieur de ma partenaire de jeu.
Sans aucune expérience de la pratique, je me laisse guider par mon envie. Je caresse les fesses de Maud, glissant mes doigts sous le tissu de coton et dérapant un peu hors de la « zone d’impact ». En glissant vers l’entrejambe de Maud je constate qu’elle mouille fort. Ça m’excite terriblement et désormais convaincu que cette fessée plaît à cette vilaine, je décider de poursuivre.
Je baisse un peu la culotte, dégageant complètement les fesses et reprend la série de tapes au rythme que j’avais adopté précédemment. J’alterne avec quelques caresses, parfois je laisse doucement glisser mes ongles sur la peau qui commence à rosir.
De plus en plus pris au jeu, je joins la parole à l’action, rappelant à Maud quelle vilaine petite vicieuse exhibitionniste elle est et comme elle va être punie à la hauteur de ses écarts.
De plus en plus excité, je m’adresse à Maud d’une manière de plus en plus autoritaire. Je n’en reviens pas. J’ai l’impression de découvrir un autre moi.
J’ordonne à Maud de se mettre debout, de baisser sa culotte à mi-cuisse et de se remettre en position sur mes genoux. Elle s’exécute et la fessée reprend de plus belle. Les fesses en ont pour leur argent et le haut des cuisses désormais libéré, je m’y attarde un peu. Maud sursaute et je sens qu’elle déguste. Je décide alors de passer en mode caresse apaisante et ma partenaire semble apprécier. Cependant et très vite, la zone voisine, la chatte de Maud, m’attire comme un aimant. Mes doigts y glissent et s’y attardent tant que le corps de Maud, le souffle de Maud, les mains de Maud qui s’agrippent maintenant à mes chevilles, ne laissent aucun doute sur l’effet que produit la punition sur la vilaine.
Ma main s’active maintenant, totalement dédiée au plaisir de la soumise. Maud mouille terriblement. Je joue avec le bouton de Maud, mon pouce glisse hors de sa chatte et vient frôler l’anus de la belle. J’en profite pour m’y attarder un peu.
« Oui. Oui, là. Vas-y… »
Je n’ai pas entendu la voix de Maud depuis qu’elle m’a proposé de quitter le salon. Je comprends qu’elle m’invite à visiter son petit trou. Je ne me fais pas prier. Elle s’ouvre avec une facilité étonnante. Mon pouce est englouti facilement, les autres doigts branlant le clitoris de Maud. Je me mets à lui parler très crûment. Visiblement, elle apprécie et j’essaye de garder le rythme tant manuellement que verbalement.
Maud commence à geindre et se tend, serre les cuisses si fort que ma main est prisonnière tout le temps de son orgasme.
Je la laisse reprendre ses esprits en la cajolant.
Au bout de quelques minutes, elle se redresse, s’asseoit près de moi, sa culotte toujours à mi-cuisse. Elle dépose un baiser chaste sur mes lèvres, me regarde en souriant et d’une voix de femme affirmée me dit :
« Maintenant, branle-toi. Branle-toi pour moi ».
9 mai 2025 à 19:26 #104306Chelonia
Partcipant &
Ambiance ChatHummm une très belle rencontre et première fois!
De belle émotion et excitation !
Merci!
9 mai 2025 à 21:04 #104308Gentilhomme
ParticipantOui. Une rencontre marquante et décisive. 🙂
Merci pour cet agréable commentaire @Chelonia10 mai 2025 à 02:53 #104311Sombrelle
ParticipantMagnifique récit !
https://sombressensuelle.blogspot.com/
10 mai 2025 à 06:21 #104313Gentilhomme
ParticipantMerci @Sombrelle pour ce commentaire très bienveillant.
À la relecture, je trouve une ou deux fautes que je corrigerai quand je pourrai accéder à l’interface via mon PC.
10 mai 2025 à 14:37 #104323Paulparis
ParticipantBelle rencontre qui, je l’espère pour vous, fut suivie de beaucoup d’autres avec cette jeune femme qui semble aimer ça !
10 mai 2025 à 18:12 #104324Gentilhomme
ParticipantEffectivement, elle aimait (et aime encore, j’imagine) beaucoup de choses et de pratiques visiblement découvertes après quarante ans. Comme disaient les pubs, autrefois : « Des années d’expérience feront toujours la différence ». 😉
11 mai 2025 à 02:34 #104332Sombrelle
ParticipantMerci @Sombrelle pour ce commentaire très bienveillant. À la relecture, je trouve une ou deux fautes que je corrigerai quand je pourrai accéder à l’interface via mon PC.
Contente de voir quelqu’un qui se soucis de l’orthographe. 😉
Mon commentaire ne concernait pas l’orthographe, il n’est pas particulièrement bienveillant, c’est juste représentatif du plaisir pris lors de ma lecture.https://sombressensuelle.blogspot.com/
11 mai 2025 à 05:11 #104333Gentilhomme
ParticipantJ’accorde tellement d’importance à l’orthographe que lorsque je constate avoir commis une faute, je suis très contrarié. Et pour rester (un peu) dans le thème, je crois que dans ces circonstances je pourrais m’autoflageller. 😉
Je suis par ailleurs ravi et flatté si le plaisir était au rendez-vous. 🙂 J’avoue que, en ce qui me concerne, reconvoquer ces souvenirs et tenter d’en faire un récit fut un exercice nouveau, troublant et très plaisant à bien des égards.
Merci, encore.
11 mai 2025 à 17:10 #104342Theo
ParticipantTrès beau récit! On voit souvent les récits des premières fessée reçus mais plus rarement administré excellent.
11 mai 2025 à 17:46 #104344Gentilhomme
ParticipantMerci, @Theo
Le rôle m’est un peu tombé dessus sans prévenir.
Ceci dit, et si j’ai bien compris, le contraire aurait été hors sujet sur ce site. 😉12 mai 2025 à 14:36 #104362couleur fuchsia
ParticipantUn vrai délice que cette lecture d’une première fois qui semble avoir été autant délicieuse à vivre, qu’à écrire, ou à lire, merci encore
12 mai 2025 à 15:34 #104363Gentilhomme
ParticipantMerci à vous @Couleurfuschia.
Comme écrit un peu plus haut dans ce fil, l’exercice de mise en écrit de ce souvenir a été plus que plaisant. Je réalise maintenant que l’excitation ressentie en mettant cette histoire en mots doit relever d’une forme d’exhibitionnisme que je ne me connaissais pas.
Les commentaires approbatifs comme le vôtre et ceux qui précèdent n’en sont que plus délicieux à lire. - AuteurMessages
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