complicités perverses
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Anonyme, le il y a 3 années et 3 mois.
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17 juin 2020 à 18:19 #49454
Baccardi
Participant
C’était un jeudi après midi. En l’été. Dehors la canicule. Chaleur accablante. Crissements métalliques des cigales.
Fraîcheur derrière les volets clos propice aux langueurs et aux jeux à deux dans le huis clos de notre complicité.
. Violette brise le silence de sa voix cristalline, enfantine.
– Et si on jouait à la petite voleuse?
Nos jeux du jeudi après midi étaient multiples et variés. On jouait à l’école, au docteur, à la petite voleuse. Malgré les apparences c’étaient des jeux d’adultes, beaucoup trop sérieux pour concerner les enfants.
– La petite voleuse. Oui j’aime bien.
Violette a sauté du canapé.
– Super!
Le scénario est rôdé. Je tiens une parfumerie et une cliente me dérobe tubes de rouge à lèvres, flacons de vernis à ongles… Au moment de passer à la caisse, je la surprends. Elle proteste de son innocence. Je lui laisse le choix: ou j’appelle les gendarmes ou elle accepte que je la fouille moi-même. Elle obtempère. La voici dans mon bureau: fouille du sac à main, palption à travers les vêtements. Puis à mesure que je découvre les objets volés, la fouille se fait plus complète., face au mur, les mains à plat, en culotte et soutien-gorge. Une fouille au corps un peu poussée qui fait monter l’adrénaline.
La petite voleuse peut se rhabiller. Et là encore doit faire un choix: ou je dépose plainte, ou elle reconnait son larcin et accepte un châtiment exemplaire. Elle signe pour la deuxième proposition. La voici prête à être punie ( photo)
La voici au pilori, exposée dans la boutique devant des clientes (imaginaires). Espiègle comme toujours, Violette profite que j’ai le dos tourné pour me tirer la langue (c’est sa spécialité). Mais je la vois dans le reflet du miroir.
Je la saisis par le lobe de l’oreille et la tire ainsi jusqu’à une table sur laquelle je l’installe à plat ventre. Sa jupe est si courte qu’elle remonte jusqu’aux reins, exposant une culotte de coton blanc. Violette porte en permanence une culotte Petit Bateau qui lui rappelle au quotidien qu’elle est encore et toujours soumise au régime fessée, comme la vilaine gamine qu’elle est. C’est une de mes exigences.
– Les mains au dos!
J’ajuste méticuleusement sa culotte pour qu’elle épouse bien les rondeurs joufflues de son derrière. Mes doigts glissent sous l’élastique la faisant frissonner. J’échancre un peu la culotte et je palpe ses fesses à travers le coton. Je prends mon temps. La fessée ça se déguste comme un vin rare. Je prend possession de ses fesses. Je veux qu’elle sente qu’à présent son derrière m’appartient. Elle se crispe un peu. J’appuie au creux de ses reins pour faire bomber le derrière. Puis je commence à la fesser méthodiquement sur le portion nue de ses fesses découverte par l’échancrure de la culotte. Violette se mord les lèvres. Elle met un point d’hinneur à ne pas gémir. A ne pas supplier. Mais à mesure que les claques crépitent, elle laisse échapper de petits cris.
– Voilà comment on doit corriger les petites voleuses.Elle supplie pour la forme, promet de ne jamais recommencer.
– Une bonne fessée se fait déculottée.
Je fais glisser l’épais sous-vêtement, dévoilant des fesses déjà bien rouges. Je passe les doigts sur sa peau enflammée. Elle est brûlante. Violette est matée. Sans résistance quand d’une pichenette je l’oblige à écarter les cuisses. Je la découvre toute mouillée. Mes doigts s’insinuent oar en dessous à l’orée de sa vulvre. Clapotent dans sa mouille. Je trouve la perle dressée de son clitoris que je titille doucement, la faisant soupirer de plaisir. Elle s’ouvre davantage, m’invitant à aller plus loin. Mais je me retire lui arrachant un sanglot de frustration:
– Ta punition n’est pas terminée Violette. Maintenant que tes fesses sont bien rouges, elle vont goutter de la brosse. Je tapote la chair a vif puis je claque de plus en plus fort. Cette fois elle crie et se tortille sur la table. Je la maintiens fermement plaquée en appuyant ma main au creux de ses reins. Je reste imperturbable. Je la connais, elle m’en voudrait que je cède trop tôt à ses suppliques. Elle encaisse jusqu’au bout la cuisante correction. Je la laisse ainsi un bon moment avec la brosse sur les reins, exposant ses feses vramoisies au coin… Puis le pardon. Le câlin. Elle s’assied sur les genoux, ses bras autour de mon cou. J’écarte les jambes et son joli petit cul tout rouge est à nouveau à ma portée. Je le caresse par en dessous. Frôlement de mes doigts comme des pattes de mouche. Peau ecarlete hérissée de chair d epoule. Mes doigts glissent dans la moiteur de sa raie . Elle adore le frôlement de mes doigts sur ses lèvres que la position évase. Je la découvre trempée. Son petit nez vient se nicher au creux de mon cou. Déjà sa respiration s’accélère pendant que « pour la forme » je la sermone tout en la caressant.17 juin 2020 à 21:06 #49466Baccardi
Participant
17 juin 2020 à 21:09 #49468Baccardi
Participant
17 juin 2020 à 21:10 #49469Baccardi
Participant
17 juin 2020 à 21:11 #49470Baccardi
Participant
17 juin 2020 à 21:13 #49471Baccardi
Participant
Quelque photos pour la petite voleuse
18 juin 2020 à 12:52 #49491salamboflaubert75
Participant
J’aime beaucoup ce récit et la complicité que l’on ressent à travers les mots…
Sal
18 juin 2020 à 13:30 #49492Badine79
Participant
J adore ce recit merci pour le pour le partage
18 juin 2020 à 14:16 #49493salamboflaubert75
Participant
J’adore sincèrement ce récit et la complicité que l’on ressent à travers les mots…
Sal
18 juin 2020 à 14:20 #49494salamboflaubert75
Participant
J’adore sincèrement ce récit et la complicité que l’on ressent à travers les mots…
Très jolies photos
Sal
19 juin 2020 à 00:32 #49516Anonyme
Inactif
sympathiques ces jeux du jeudi après midi, j’espère que vous nous en ferez découvrir d’autres.
J’aime beaucoup celui-ci déjà, on si croirait. Merci -
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