Même si j’ai le sentiment que nous sommes plus nombreux que ce qu’il n’y paraît, rencontrer des partenaires avec le même intérêt pour la fessée que nous n’est pas toujours simple.
Il est vrai que nous avons ce merveilleux forum pour nous aider dans cette quête mais les rencontres dans la vie “normale” c’est évidemment chouette aussi..
Mais bon, personne ne se balade dans la rue avec une pancarte “J’ai été insolente hier, je mérite d’être punie” ou “Ma main me démange”.
Tout de même, n’y aurait-il pas un moyen de se reconnaitre entre nous ?
Non pas grâce à un bijou ou autre élément que l’on pourrait porter(quoique ca pourrait être l’idée d’un nouveau sujet) mais par des traits de caractère que l’on aurait en commun ? 🙂
En effet, j’ai déjà lu plusieurs fois sur internet que les personnes étant attirées par le BDSM aiment souvent les sensations fortes de manières générales (Montagne russes, saut en parachute, manger épicé, …)
Et je ne trouve pas cette association si bête! Cela fonctionne chez moi personellement…
Je note également 2 autres traits de caractères que j’ai retrouvé chez moi et mon ex avec qui je partageais cet attirance pour la fessée :
1) Etre extraverti.
2) Une empathie plus fortes que la moyenne. Etre tourné vers les autres et vouloir les comprendre.
Alors bien sûr, je ne crois pas que l’on pourrait prendre tout ceci comme une généralité, mais je pense que, quand même, certains “traits” peuvent revenir plus souvent que d’autres.
(Et vous savez bien que tous les extravertis n’aiment pas forcément la fessée et vice versa)
Je vous attends, partagez-vous ce même sentiment que moi? Avez-vous remarquer d’autres traits de personnalité que vous partagiez avec vos partenaires ? Décrivez-vous ! 😀
J’ai très hate de vous lire, j’avais cette idée de sujet en tête depuis un moment.
Bonjour M. Sam, c’est une question très intéressante car en effet c’est très excitant de faire des rencontres fortuites. Généralement les femmes qui aimaient la fessée que j’ai rencontrées étaient plus intelligentes que la moyenne (parfois beaucoup plus même), souvent gentilles, empathiques, pas imbues d’elles-mêmes, jouant des rôles importants dans la société (cercles professionnels, amicales et familiales), curieuses et ouvertes à la nouveauté et parfois timides mais toujours courageuses et sachant ce qu’elles veulent.
Personnellement je suis adepte de la menace lancée sur un ton un peu humoristique et les réactions sont parfois “surprenantes”
Sinon je rejoins en grande partie l’analyse de @titi les personnes que j’ai pu croiser, rencontrer dans le milieu de la fessée avaient en général un esprit plus curieux, une certaine sensibilité, un passé assez riche (parfois pas évident), une certaine pudeur parfois masqué par un côté extraverti. En général des gens intéressants dont certains sont devenus de bons amis. Je parle là des gens qui ont ça en eux vraiment pas de ceux pour qui la fessée est un prétexte ou une compensation…
Me concernant, le goût du risque ne s’associe pas forcément avec le goût pour la fessée.
En revanche le côté extraverti oui… l’empathie ça se discute …. ça dépend avec qui
Suite sans doute à mon post récent, je reçois des sollicitations de fesseurs. donc pour éviter ses importuns avec lesquels je ne me connecterais je précise immédiatement que je suis HETERO, donc messieurs passez votre chemin MERCI
De même que je n’aime pas les scénarios pré établis à l’avance, je n’aime pas les étiquettes qu’on colle de manière générale. Il y a dans notre petite planète rose des crétins et des gens brillants, des timides et des super extravertis… Trop difficile de faire des généralité pour espérer reconnaître un ou une aficionados de la fessée !
Je trouve ça extrêmement pédant de catégoriser les spankee et les spanker dans la catégorie des gens « super intelligents » et « super sensible », je suis persuadé que beaucoup le sont évidemment, mais ce serait se lancer des fleurs que de dire que l’intégralité le sont.
Sinon pour répondre à ta question : la menace quand l’occasion si prêtes pour souvent faire dériver d’la conversation sur ce sujet et voir si les gens y sont réceptifs, sinon simplement parler des fantasmes, l’un des avantages de 2023 est la déculpabilisation des fantasmes dit « non commun », quand je parle de mon fantasme de la fessée les gens sont surtout curieux et intéressé que dégoûté.
Mais je reconnais que ces pas forcément évident d’oser en parler (l’alcool aide si besoin ????)
Personnellement, je ne me considère pas comme quelqu’un de particulièrement intelligent et encore moins hypersensible.
Je suis un primaire instinctif efficace.
On me menace: je flingue. On me manque de respect: je fesse !
Le monde est en danger: je le sauve. Une petite est dans un caprice: je l’exfiltre !
j’ai une approche pavlovienne de la chose et mon cerveau reptilien hypertrophié percute aussi vite que ma ceinture ou mon walther PPK.
En ce qui me concerne et comme certains ici apparemment, je suis adepte des phrases codées : « tu mérites une fessée» et « tu vas finir au coin » sont dans le Top2, j’ai pas le temps de faire dans la dentelle avec le Spectre aux basques.
Mon Dieu, cette phrase dites en public :”tu mérites une fessée” j’ai envie de vous la mettre en boule comme je froisserais une feuille de papier et l’introduirais sans douceur dans votre petite bouche, messieurs! Vous êtes vilains et choisissez toujours le mauvais moment pour la sortir. Vous privilégiez l’instant où nous ne sommes pas seuls et qu’une dame âgée ou une personne coincée passe pour la prononcer à voix haute. Elle se retourne et nous dévisage. Un petit sourire peut s’étendre aux coins de ses lèvres. Nous ressemblons à des poissons rouges sans cerveaux à rester bouche bée à sortir un “bah, euh, mais vous avez vu la Vierge en 3D, Monsieur?!” Alors que le cerveau et l’entre-jambe nous insultent de faux cul. Oui, forcément, nous ne dirions pas non et aimons l’entendre en privé, mais là, nous devons jouer les fausses outrées par votre faute! ( je dis nous pour ne pas me sentir seule)
Sinon pour revenir au sujet, je ne sais pas vraiment si nous avons des points communs qui ressortent. Je dirais que l’attitude de la personne se ressent. inconsciemment. Il m’est souvent arrivée d’être “démasquée ” sur mon côté soumise par des inconnus même dans un lieu aussi banal que le métro. Comment ? Je n’en sais rien. Peut-être mon regard. Je ne regarde pas les gens de la même manière. J’ai tendance à fuir le contact avec les hommes naturellement dominants.
Pour ma part les sensations fortes en générale fonctionnent. L’envie de se dépasser aussi. Cela dit, je ne suis pas sûr que se soit des trait commun pour tout le monde, mon ex partenaire ne partageant pas du tout ces traits là. (Peut être aussi que le rôle dans le jeu y serait pour quelque chose?)
Par contre, je partage l’idée de l’empathie, d’être tourné vers les autres et l’envie de comprendre.
A mon sens le côté emphatique est primordial et le côté observateur aussi. Surtout pour la personne active.
Je trouve extrêmement compliqué d’avoir ce rôle actif sans ces traits de caractère. De mon côté je serais absolument incapable de jouer avec un partenaire qui se force ou qui n’apprécie pas particulièrement le moment. A mon sens il faut également être tourné vers les autres et très observateur pour pouvoir jouer de façon saine et sécurisée. Sans ces traits de caractère, je trouve le jeux bien compliqué et limite dangereux.
Pour se qui est de se reconnaître mise à part un bijoux ça me paraît compliqué. J’ai souvent tendance à voir les colliers avec un cercle comme des colliers de soumission mais je suis bien conscient que c’est seulement mon œil coquin qui prend le dessus. Au final c’est un travail de fond et de complicité qui se construit petit à petit. Je pense que c’est plus une question de confiance avec le partenaire qui amènera une acceptation d’essayer de nouvelles choses ou pas. Il y a certainement un bon nombre de personnes susceptible d’apprécier certains jeux sans forcément s’en imaginer capable. D’où le besoin du côté bienveillant et observateur une fois de plus.
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Maitre des clés & fouetteuse en talons hauts et bas résilles
Il y a toujours eu des signes de rassemblent entre membres de certaines communautés (religieuses, ésotériques, etc.) et ce n’est pas une question insignifiante.
Néanmoins, il faudrait créer un signe ou le port d’un objet qui soit « lisible » par tous.
Et je ne suis pas sûre que notre communauté (je parle évidemment de l’ensemble des intéressés par la fessée et pas exclusivement des membres de ce forum) soit suffisamment organisée pour établir ce signe et en proposer la lecture.
Cette réponse a été modifiée le il y a 1 année et 8 mois par Nush.
Chère Prunille, était-ce vous, cette femme à Budapest ?
Dans la rame qui me menait à la station Oktogon , je fixais avec insistance son parapluie qui ressemblait à s’y méprendre au modèle FX des services bulgares. Je remontais lentement des yeux sa boutonnière jusqu’à son charmant minois juvénile. Sa lèvre inférieure était martyrisée par ses incisives et ses yeux fuyaient tout contact.
(James, cette fille n’a pas l’air d’être sereine…)
La fille avait l’air un peu perdue, ses petits pieds en dedans me faisaient penser aux geishas de Kyoto mais sa jupe ajustée révélait un fessier puissant et animal.
Je m’approchais.
Son pépin n’était pas un parapluie bulgare, le pare-terre était trop fin et court pour abriter le fameux canon à seringue du modèle FX du Komitet.
Sans le savoir, elle venait de gagner au moins 50 ans d’espérance de vie mais évitait pourtant de me regarder alors je lui ai lancé : “j’adore votre parapluie, il ressemble de loin au fameux parapluie Bulgare !”
Comme, elle m’ignorait toujours, j’ajoutais avec un air enjoué: ” C’est ainsi la politesse Hongroise ? on parle pas aux inconnus ? A Londres vous seriez corrigée pour moins que ça ! Mais vous avez surement besoin d’une fessée, très chère.”
Elle se mit à rougir comme une pivoine et finit par ouvrir la bouche mais ses mots étaient coincés dans sa gorge. Pourtant ses yeux qui balayaient la rame avec un air coupable hurlaient en silence qu’elle la méritait cette fessée.
Elle finit par me faire oui de la tête en croisant mon regard pendant une fraction de seconde.
A Oktogon, je lui glissais dans l’oreille avant de descendre de la rame : “J’ai une suite au Palais Gresham. Ce soir 19h30. Demandez Bond! Soyez à l’heure, Demain ne fesse jamais.
Vous porterez une jolie robe et une culotte en coton.
Une petite qui prend des fessées ne fait pas sa belle…