clermont

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    stéphane
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    je ne suis ni un participant ni un lecteur tres assidu de ce site/forum mais très récemment “Littlebrat ” a demandé à m’ajouter a ces amis… j’ai donc pris ce prétexte pour parcourir un peu les derniers sujets publié et j’ai plutôt apprécié ce que j’y ai lu. Je me “lance” donc et partage avec vous une histoire que j’ai écris ces dernières semaines :

    Je m’appelle Stéphane j’ai aujourd’hui 45ans, mais l’histoire que je tiens à vous raconter c’est déroulée il y a de cela 3 ans. J’avais alors 42 ans et souffrait d’une sérieuse crise de la quarantaine. Mon couple battais de l’aile, mon travail bien que passionnant ne m’intéressait plus, je buvais trop et avait échangé mes jogging dans les bois contre des apéros à répétitions. Bref mon corps et mon esprit n’était pas au mieux.

    Cherchant à me changer les idées et a échappée à ma condition, je pris prétexte d’un weekend entre amis d’enfance pour prolonger ces retrouvailles et passer une semaine chez Fabrice et Marielle à Clermont Ferrand. En effet, depuis une dizaine d’année nous étions 6 garçons, amis de lycée, à nous retrouver une fois par an pour renouer avec notre ancienne passion des jeux de rôle et refaire vivre (sans femmes ni enfants) nos nuit d’adolescent autour de la table de jeu. Tous reparti au quatre coin de la France, voir du monde, nous nous étions longtemps réuni chez moi en Isle de France, mais Fabrice ayant depuis peu acheté une maison au centre du pays ; nous avions décidé cette année de délocaliser notre partie en auvergne.

    J’arrivais donc 24h avant les autres convives, heureux de retrouver mon ami et sa compagne. Fabrice est un homme râblé, rouquin, et a depuis peu échangé des lunettes en culot de bouteille contre des lentilles qui lui font tout de même des yeux globuleux. Bien qu’il ne soit pas petit (ni grand d’ailleurs) on l’a longtemps comparé, à cause de sa corpulence, à un nain d’heroic-fantaisie. Néanmoins ce physique peu avantageux est largement compensé par un esprit brillant, et une gentillesse à toute épreuve.

    Sa moitié, Marielle, ne rentre pas non plus dans les canons de beautés : plutôt grande, elle est munie de long cheveux blond qui lui recouvre le dos jusqu’au bassin sans arrivée à dissimuler un derrière plus qu’imposant. Elle a ce type de physique que l’on qualifie de bouteille d’Orangina. Elle partage avec son homme une myopie hyper-développée qui l’oblige à cacher de jolis yeux derrière de grosses lunettes. Pour ne rien arranger, elle possède également une dentition « chevaline », laissant apparaitre incisives et gencives à chaque sourire. Contrairement, à son homme elle n’est pas particulièrement éveillée et possède un caractère bien trempé bien que nimbé d’indolence. Bref, dans notre groupe, personne n’a jamais vraiment compris ce que Fabrice trouvait à Marielle, mais tout le monde c’est toujours incliné devant le fait que notre ami, longtemps malheureux en amour, était enfin épanouie et heureux.

    J’arrivais donc un vendredi soir et découvrais, en exclusivité sur mes camarades, les récents aménagements de la nouvelle maison du couple sans enfants. Le soir même, nous dinions avec deux autres couples, amis locaux et collègues de mes amis. La soirée se déroulait bon enfant, et je finissais même par trouver un certain charme au Châteauguay, vin local qui mérite d’être redécouvert, quand la soirée pris pour moi une drôle de tournure et m’apporta d’autres découvertes…

    Alors que les hommes étaient réunis autour du BBQ dans le jardin, j’aidais en cuisine associé à Solange, préparatrice en pharmacie et collègue de Marielle. Nous remplissions le lave-vaisselle quand Marielle entra dans cette espace exiguë pour attraper le dessert. A ma grande surprise elle profita que Solange soit courbée au-dessus des assiettes et des fourchettes pour lui décocher une magistrale claque sur les fesses. Il faut dire que la cible était facile car Solange comme Marielle était bien pourvue de ce côté… Le bruit retentissant fut accompagné d’un « mais pousse un peu ce gros popotin ». Si le geste et les mots firent rire Solange et Marielle, ils me plongèrent dans un univers beaucoup plus érotique et à ce moment j’aurais donné cher pour claquer également ce gros derrière joufflu. Les filles se rendirent certainement compte que j’approchais de la crise d’apoplexie, puisqu’elles m’expliquèrent que ces claques bien placées étaient une tradition bonne enfant de leur pharmacie sans aucune arrière-pensée… Et joignant le geste à la parole Solange tapota a son tours le derrière généreux de Marielle quand cette dernière repartie chargé du dessert. Je fis un effort surhumain pour afficher un sourire sur mon visage et mimer l’indifférence, mais mon cerveau dégénéré, se repassait en boucle les quelques secondes de l’impact de la main de Marielle sur les fesses de Solange.

    Il faut vous avouez cher lecteur(s) que depuis mes 12 ans et un rêve érotique qui marqua mon entré dans le monde du désir, j’ai toujours fantasmé sur la fessée : la donnée, la recevoir la voir l’entendre etc…  Bref cette microscopique étincelle, embrasa pour longtemps l’herbe sèche de ma libido et une fois les invités repartis et seul dans mon lit, j’imaginais à n’en plus finir les fesses de Solange et de Marielle rougir sous mes mains. La nuit fut courte, la pharmacie clermontoise de mon hôte transformée dans mon esprit en décor de mauvais film porno des années 80, m’occupait jusqu’aux petites heures du jour…

    Malheureusement mon corps n’est plus capable de récupérer les heures de sommeil perdu lors d’une grasse matinée, c’est donc vers 9h et handicapé par ma petite nuit que je me levais pour me joindre au petit déjeuner de mes hôtes. Fabrice avait tout préparé : le café fumait, les tartines étaient grillées à souhait et le fruit de mes désirs nocturnes se levait en même temps que moi, habillé d’un pyjama d’homme moulant, laissant apparaitre son embonpoint et ces bourles nombreux… A la vue de ces formes « boteriennes » je me fis la réflexion que le désir est une bien étrange chose et qu’en toutes autres circonstances jamais Marielle ne m’aurait attiré… Nous nous installâmes, moi plutôt de bonne humeur, mais Marielle n’était visiblement pas du matin. En effet, elle cria presque sur Fabrice quand celui-ci lui apporta son thé, qui visiblement n’était pas assez chaud, et lui balança un « si c’est pour faire ça c’est pas la peine ! ». Fabrice penaud reparti en cuisine refaire un thé, me laissant tout d’abord bouche bée, puis moqueur « c’est vrai ca Fabrice si c’est pour faire ça ! Ça ne vaut pas la peine » rajoutais je goguenard. Je repenserais plus tard à cet incident me disant qu’il aurait dû me mettre la puce à l’oreille…

    Le reste de la matinée fut rythmé par l’arrivé des autres participants et le weekend commença vraiment avec la partie de jeu de rôle que nous débutâmes vers midi. Etant maitre du jeu, je distribue les rôles, organise et rythme la partie, et je dois confesser avoir tout le weekend recherché à agacer et provoquer Marielle, essayant d’installer entre nous une relation que je dominerais mais cette dernière ne se laissait pas faire…

    Le dimanche soir, la partie était finie et les convives retournèrent dans leurs pénates me laissant l’horizon d’une petite semaine à partager avec Fabrice et Marielle. Fabrice ingénieur de recherche à la faculté de Clermont commençait bien plus tôt que Marielle, qui elle travaillait en horaire décalé à la pharmacie. Je me levais donc ce lundi matin en caleçon et T-shirt avec l’excitante perspective d’avoir à passer quelques heures seul avec Marielle. Elle se leva comme à son habitude en pyjama masculin et de mauvaise humeur, me gratifia d’un bonjour grincheux et partie dans la cuisine faire chauffer l’eau de son thé. Prétextant l’absence de beurre sur la table je la rejoignis une minute plus tard dans cette pièce exiguë ou sa présence m’empêchait d’atteindre le frigo. Là pris d’une audace folle j’abattis ma main sur ces grosses fesses créant une exquise ondulation et réveillant subitement la maitresse de maison. J’accompagnais mon geste d’un « mais pousse un peu ce gros popotin », qui me sembla sur le moment une justification suffisante. Marielle peu réactive à cette heure et surprise ne me gratifia que d’une « hé ho ! ».

    Tout en serait resté là et j’aurai pu assouvir partiellement mon fantasme sous couvert d’un geste innocent si mon corps ne m’avait trahi et que mon caleçon ne c’était instantanément transformé en chapiteau de cirque. Me rendant vite compte de la situation au visage d’Marielle, j’essayais tant bien que mal de cacher mon trouble me retournant vers le frigo, puis battant en retraite dans le salon et cachant ma vigueur sous la table. Ce petit déjeuner fut pour moi un véritable supplice ! Marielle ne fit aucun commentaire mais mon érection était persistante et m’interdisait de me lever. Plusieurs fois néanmoins Marielle me demanda de lui passer divers ustensiles, m’obligeant à me décoller de ma chaise, et à effectuer diverses pirouettes plus ou moins habiles afin de dissimuler mon état à son regard inquisiteur. Je doutais peu que mon hôte s’amusait de ma situation… Finalement Marielle quitta le salon pour la salle de bain, me gratifiant d’un « je te laisse débarrasser, ça te calmera » qui finit de me mortifier.

    Dépiter par la situation j’évitais Marielle le reste de la matinée. Elle m’abandonna vers 11h et j’occupais le reste de la journée à visiter la cité de Michelin.

    Le soir venu, nous passions une première soirée à trois assez calme, nous remettant lentement des excès du weekend, quand j’eus l’impression que Marielle cherchait à me provoquer. Au cours de la soirée, alors que nous étions tous trois installé sur les deux canapés du salon à papoter, elle se pencha ostensiblement en me tournant le dos, me mettant son arrière train imposant juste sous le visage. Elle profita même d’une absence de Fabrice partit nous faire chauffer de l’eau, pour se pencher au-dessus de mes genoux. J’eus alors l’impression qu’elle feignit la maladresse, sans pouvoir en être totalement sur, et s’affala, en travers de mes cuisses, ces fesses en position idéale pour une fessée.

    J’en étais vitrifié, à la fois fou de désir et pétrifier. Ne changeant, pas de position elle tourna alors son visage vers le mien me souris et ondula ses fesses de gauche à droite me provocant ouvertement. Mon cortex reptilien pris alors le dessus et j’abattis une main ferme sur son derrière trémoussant. Elle releva ces sourcils comme pour me faire comprendre qu’elle avait compris et se dégagea au moment où Fabrice revenait avec des boites de tisanes nous demandant quel parfum nous voulions. Je passais la suite de la soirée dans un état second, et prétextait la fatigue pour m’isoler rapidement dans ma chambre…

    Le lendemain matin je me levais en ayant prudemment enfilé un boxer sous mon caleçon afin de dissimuler d’éventuels transports incontrôlés. J’attendis sagement dans le salon, le nez dans mon café que ma Venus Hottentote s’extirpe du sommeil, ce qu’elle daigna faire comme à son habitude vêtue de son épais pyjama. Elle me semblait plus joyeuse et éveillé que la veille et me salua d’un sourire avant de remplir sa tasse de thé. Rien ne c’était passé aucun mot n’avait été échanger, mais mon désir s’exprimais déjà fortement et mon cerveau me repassais en boucle le regard de marielle après que je lui ai claqué la croupe la soirée précédente. Lentement, elle se leva puis se dirigea vers la cuisine ou elle disparut. Raid comme un robot je la suivi à quelques secondes d’intervalle et la trouvais, comme la veille, penchée sur le lave-vaisselle son imposant fessier tourné vers moi comme offert. Je m’approchais silencieusement et me figeais à portée de l’objet du désir. Le temps s’arrêta, jusqu’à ce que Marielle ondule du fessier, presque imperceptiblement comme une fleur carnivore faisant de l’œil à l’insecte qui s’approche trop près. Pris d’un soudain élan, J’encerclais ses hanches de mon bras gauche et tapotais doucement ces fesses rebondit de ma main droite. Le contact de son derrière m’électrisa et je commençais à claquer alternativement chacune de ces masses qui s’entrechoquaient et rebondissaient. J’étais fou de désir et Marielle se laissait sagement faire, sans rien dire… je poussais mon avantage et pelotais, fessais sans vergogne pendant plusieurs minutes maltraitant la surface du pyjama épais. Alors que je glissais mes doigts sous l’élastique de ce dernier rempart, Marielle me sortit de ma transe se redressa et un « suffit !» claqua. « C’est comme ça qu’on traite les jeunes filles par chez toi ? Tu as entendu parlé du consentement. Tu te prends pour qui ? » Ces mots fusaient alors que mon esprit était encore concentré sur les secondes qui venais de s’écouler et je ne réagis qu’a la deuxième salve de cette mitraille. « tu penses qu’il en pensera quoi fabrice quand je vais lui en parler ». Pour rien au monde je ne voulais gâcher une amitié de plus de 20 ans pour une bêtise pareille et répondit « écoute Marielle je suis désolé ne dit rien à Fabrice je ne sais pas ce qui m’a pris ; je te pris de m’excuser ».

    « C’est un peu facile de s’excuser après ton comportement de pervers.  Non c’est décidément trop facile et si tu veux que cela reste entre nous je vais te faire gouter de ta médecine » !.

    A ces mots elle disparut au salon me laissant coi.

    Une minute s’écoula sans que je ne bouge avant qu’un « vient ici » ne me pousse à la rejoindre. Marielle était assis sur une chaise qu’elle avait placée au milieu de la pièce et me fit signe en tapotant ces genoux de m’approcher. Comme hypnotisé, je vins me placer à sa droite, ce qui ne lui plus pas, et elle attrapa ma main pour me faire comprendre de me mettre de l’autre côté, puis tira mon bras vers elle pour m’allonger sur ses genoux.

    J’étais dans la position incongru, d’un enfant recevant une fessée sur les genoux de sa mère. J’étais à la fois au comble de la honte et de l’excitation.

    « Alors comme ça, on aime donner la fessée au jeune fille, t’es vraiment qu’un sale pervers ! ».

    Une première claque vin ponctué sa phrase, me sortant doucement de ma torpeur, une seconde attrapa sans attendre mon autre fesse, suivit d’une troisième en plein milieu. Marielle ne tapait pas vraiment fort, tout avait ici les atours d’une prise de pouvoir symbolique. Elle multiplia les claques sur toute la surface de mon postérieur, j’ondulais sous chacune d’elle regrettant qu’elle ne soit pas plus vigoureuse.

    Puis elle commença à claquer mes cuisses nues, le bruit et la douleur me prirent au dépourvue et je laissais échapper un petit cri. Cet aveu de douleur eu pour effet de stimuler Marielle qui de toute évidence fut heureuse de l’effet provoqué et redoubla ses efforts et la puissance des claques. Mes cuisses, rougissaient et je commençais à ne plus me tortiller de plaisir mais de douleur.

    Ma tortionnaire releva alors le bas de la jambe de mon caleçon et découvrit le boxer qu’il recouvrait. « Mais tu as une double couche ! » s’écria-t-elle « c’est pas du jeu ».

    « Tu vas voir on va remettre les pendules à l’heure !».

    Je ne comprenais pas très bien de quels pendules elle pouvait parler mais à ces mots elle me fit tomber de ces genoux et m’ordonna de me relever. Je cru un instant et avec un immense désespoir que la fessée s’arrêtait mais je fus vite détrompé quand claqua un « met tes mains sur ta tête et ne bouge plus ».

    Marielle plongea son regard dans le mien et avec une lenteur infinie plaça ces deux mains sous mon T-shirt le remonta légèrement en insinuant ses doigts sous les élastiques conjugués de mon caleçon et de mon boxer.

    Toujours lentement, toujours son regard plongé dans le mien, et alors que j’étais en apnées, elle commença à tirer vers le bas mes deux sous-vetements. Elle passa d’abord la barrière de mes fesses, puis tira un coup sec sur l’avant. Mon sexe lui jaillis alors presque au visage, tendu et fier, mais sans détourner les yeux elle continua son mouvement descendant coinçant l’inutile barrière de textile au creux de mes genoux. J’étais nue de la taille au genoux, mains sur la tête, tout à sa disposition et Marielle savourait visiblement sa victoire… Son regard descendit doucement vers mon sexe, elle sourit de ce « garde à vous » incontrôlable, commentant :

    « Je vois qu’inverser les rôles n’est pas pour te déplaire… ».

    Elle me replaça alors sur ces genoux, et pris pleinement possession de mes fesses. Ces mains, plotaient sans vergogne, malaxant, écartant, caressant, et s’insinuant… j’eus droit à des commentaires flatteurs sur cette partie de mon anatomie, qui il est vrai n’est pas mon point faible : « mais c’est que tu as un joli petit cul, je vais me régaler à le rougir ».

    Elle m’entoura alors de son bras droit, emprisonnant mes hanches, et plaça sa main gauche au milieu de mes fesses. Le temps, s’arrêta quelques secondes, puis je crois que c’est de toutes ces forces qu’elle souleva sont bras et abattit sa paume. Le son de la peau qui claque, puis immédiatement après la fulgurance de la douleur déchirèrent mon calme. D’un coup un violent orage s’abattait sur mon postérieur et une pluie de claques désordonnées me forçait à me tortiller sous les impacts cherchant vainement à fuir.  Marielle visiblement déchainé, était parti dans un sprint assassin et me fessait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Après moins d’une minute de ce traitement mes fesses étaient en feu et je commençais à crier et à la supplié d’arrêter. Les « ails », précédèrent « ça fait mal » puis les « arrêtes ! » suivis des « pitié », « je m’excuses »…

    Mes supplications n’avaient malheureusement pas l’effet escompté et Marielle s’appliquait visiblement à colorer l’intégralité de mon postérieur. Difficile de dire combien de temps dura, ce supplice mais à ma grande surprise malgré la douleur aigue l’excitation était toujours présente et mes tortillements était au tant le fruit d’une réaction d’esquive qu’un moyen de frotter mon sexe sur les cuisses d’Marielle… Régulièrement, les claques s’arrêtaient et la main Marielle caressait mes deux globes, calmant la chaleur, et me poussant aux bords de l’extase, ces caresses étaient un délicieux intermède entre deux séances de fessées et j’étais à deux doigt d’exploser sur ces cuisses.

    C’est alors que la main droite de ma douce tortionnaire qui jusque-là emprisonnais mes hanches se glissa sous mon bassin à la recherche de mon sexe. Ces doigts effleurèrent ma hampe alors que je me cambrais pour mieux lui ouvrir le passage.  Du bout de ces phalanges elle se promenais le long de mon sexe le couvrant de caresses presque imperceptibles.

    « Déciment tu as l’air de grandement apprécier ce que je te fais ? ».

    « Oui j’adore », il faut dire que les circonstances empêchaient tout dénis. « Continue s’il te plait ». « Mais bien sur » me répondit Marielle « ça n’est que le début ».

    Sa main descendit alors entre mes jambes et flatta mes testicules. J’étais fou de désir et repris un mouvement de vas et viens sur les cuisses de Marielle, a la recherche d’une délivrance imminente. Mais cette délivrance n’était pas au programme de ma tourmenteuse, qui d’un coup sera dans sa paume mes testicules et les vrilla m’arrachant un cri de douleur et transformant mon languissant plaisir en décharge de souffrance.

    « Maintenant, tu vas arrêter de te frotter sur moi et je vais te punir comme tu le mérite », sa main se desserra alors très légèrement, emprisonnant toujours mes gonades de façon douloureuse mais supportable. Mais le danger ne venait plus de cette main-là, puisque pendant ce temps l’autre avait saisi une brosse en bois qui inopinément trainais sur la table du salon…

    Lorsque la brosse s’abattit sur mon postérieur je compris que la douleur pouvait supplanter le plaisir même lorsqu’il s’agit de fessées. Marielle s’appliquât à abattre cet instrument de torture lentement méthodiquement sur ma fesse gauche puis sur ma fesse droite m’obligeant à serrer les dents pour ne pas crier. Tel un métronome, la brosse tombait en cadence sur l’intégralité de mon arrière train, la douleur envahissait peu à peu mon cerveau et mon corps se courbait à chaque coup.

    Bien que coincé par le bras d’Marielle autour de mes hanches et sa main sur mes parties génitales, mes jambes libres battaient en tous sens, mimant la panique qui commençait à s’emparer de mon esprit. Marielle compris à mes réactions que mon état d’esprit changeait, et commenta d’un :

    «  tu m’as l’air moins excité maintenant, tu vas voir je vais te faire craquer tu vas abandonner toute résistance… ».

    A ces mots Marielle plaça sa jambe gauche au niveau de mes genoux emprisonnant mes jambes entre les siennes et empêchant définitivement tous mes mouvements… J’étais complètement à sa merci… Elle posa alors sa brosse sur le haut de mon dos et caressa mes fesses de sa main, le contact froid de la paume de mon bourreau me sortit d’une apnée de plusieurs minutes et me revigora partiellement.

    « Maintenant me dit elle, je vais te faire comprendre qui commande ici, et comment tu dois te comporter envers moi »

    J’approuvais hypocritement d’un « tous ce que tu voudras ».

    Elle tapota alors mes cuisses et mes fesses presque délicatement, probablement pour se détendre les phalanges, après tout mon mal de fesse devait aussi se transmettre un peu à sa main… Malheureusement ne voulant pas prendre le risque de souffrir, elle reprit la brosse, et cette fois c’est dans un rythme complétement désordonné et visant aléatoirement n’importe quel parti de mon cul et de mes cuisses que la fessée repris. On était au paroxysme de l’intensité et je ne pouvais plus empêcher mes cris d’emplir la pièce, la brosse s’imprimait sur chaque parcelle, de mon arrière train déjà bien abimé par les sessions précédentes. Puis lentement, je me senti abandonné la lutte, de toute façon complétement vaine, j’étais comme brisé, mes muscles se détendirent et mes cris cessèrent.

    Je serais les dents à chaque coup essayant de respirer quand le bras de Marielle montait dans les airs. Doucement, l’intensité des claques diminua puis, la fessée cessa complétement. J’étais tel un pantin désarticulé et sans forces.

    Marielle me fit descendre de ces genoux, enleva complétement les restes de mes sous-vêtements descendu sur mes chevilles et m’emmena devant la porte fenêtre du salon. Elle me fit mettre face à la vitre, finit de me déshabiller en enlevant mon T-shirt. Et me dit « à genoux mains sur la tête !».

    Je m’exécutais lentement, presque heureux. Elle disparut dans mon dos. J’entendit un bruit de bouilloire, des bruits de cuillères dans une tasse. Après quelques minutes elle me dit :

    « Écarte les genoux !».

    La position était évidemment plus inconfortable mais j’obtempérais. Tout le temps que dura son petit déjeuner elle renouvela régulièrement son control sur moi. M’ordonnant successivement de me tenir droit, de faire moins de bruit en respirant de monter mes coudes. Elle commenta le carmin de mes fesses, me faisant remarquer que je n’étais définitivement qu’un « sale pervers » qui méritait tout ce qui lui arrivait…

    Etrangement ces ordres et ces invectives ressuscitèrent le désir en moi et quand à la fin de son petit déjeuner Marielle me dit :

    « viens ici ! » mon sexe était de nouveau à l’horizontal.

    « Non viens ici à genoux !» ce que je fis évidement… Elle avait les yeux rivés sur ma « vigueur » puis quand je fus proche d’elle, son pied se posa sur mon torse et m’arrêta. Main sur la tête, nu, a quelque centimètre de marielle s’essuyant le bouche et feignant l’indifférence, j’étais immobile et subjugué.

    Ma tortionnaire me caressa le torse de sa plante de pied, puis le visage et dans un grand sourire m’ordonna de le lécher ; ce que je fis.

    Elle descendit ensuite sur mon ventre, puis sur mon sexe utilisant ces orteils pour attraper et tirer mes poils pubiens. J’écartais alors les genoux à sa demande, et elle plaça le haut de ces doigts de pied sous les bourses. Elle me dit de ne pas bouger et me donna plusieurs petits coups pour tester ma résistance. Mon immobilité et la persistance de mon érection la firent rire. Apparemment mon obéissance la contenta également puisque j’eus le droit à un « c’est bien, tu es à moi maintenant, tu as le droit de te frotter sur mon pied mais fait vite ».

    Comme un chien en chaleur, je frottais mon chibre sur ce pied, et sans l’aide de mes mains je vins jouir sur sa cheville dans une extase fulgurante qui me fit presque perdre connaissance. J’entendit dans un état second les mots de Marielle qui me dit « je dois aller me préparer et partir travailler mais demain matin quand je me lève je veux que mon petit déjeuner soit prêt et que tu sois dans cette tenue et cette position, évidement tu me rangera tout ce bordel… »

    #67494
    salamboflaubert75
    Participant


    Bonjour votre récit est sympathique mais en lisant la charte vous vous apercevrez que ce site est consacré entièrement et seulement au fessées données aux femmes!

    Sal

    #67524
    stéphane
    Participant


    Voyons les vignerons boivent bien du vin 😊

    #67525
    Christal
    Maître des clés


    Vous êtes inscrit ici, mais vous n’êtes ni un participant, ni un lecteur ??? Quel est votre intention alors 🤔.

    Vous arrivez donc sur un site sans savoir de quoi, il retourne ? Même si Salambo, vous là gentiment fait remarquer. Je vais vous le redire : Site consacrée à la fessée administrée aux femmes ! 

    Nous n’avons aucun soucis avec le fait que vous aimiez recevoir la fessée mais ce n’est pas l’orientation de ce forum. Donc merci de vous conformer à la Charte.

    Rien n'est jamais acquis. Tout est fragile.

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