Claire la dépensière

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  • #63958
    Parisspanking
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    Bonsoir voici un petit récit dont la situation est fictive, je ne dis pas récit fictif car la fessée en elle même est tirée de faits réels mais pas le contexte global.

     

    Claire était ma compagne depuis bientôt 3 ans, nous vivions dans une petite maison dans laquelle nous faisions pas mal de travaux. Claire et moi nous étions rencontrés sur un forum dédié à la fessée, il n’était pas vraiment prévu que nous finissions en couple car nous avions commencé notre relation pour un suivit disciplinaire, mais le destin avait fait le reste et un amour était né au milieu de notre univers « disciplinaire ».
    Quand nous avions commencé à nous voir Claire avait énormément de travers à corriger : elle fumait et voulait arrêter et il faut dire que je l’ai bien aidé. Elle était souvent en retard tout le contraire de moi. Elle arrangeait parfois la vérité un peu à sa sauce. Et surtout elle était très dépensière et n’utilisait pas son argent qu’à bon escient, elle achetait beaucoup de vêtement alors qu’elle en avait des tonnes et si seulement il n’y avait que les vêtements. Quand nous avons parlé d’aménager ensemble j’avais été ferme sur la chose : les dépenses futiles c’est finit la maison sera un gouffre et nos forces financières devront être tourner dans la même direction.
    Les premiers mois de l’emménagement je n’ai vu que quelques colis arrivés qui ne pouvait pas la ruiner et certain était pour l’aménagement de la maison.
    Mais arriva un mois de mars, la banque me notifia que l’échéance du prêt ne pu pas être prélevée, de mon côté j’avais versé ma part sur le compte dédié mais n’avait pas vérifié si elle l’avait fait.
    Le soir dés mon arrivée je lui dis« hey dis donc tu as oublié d’approvisionner le compte pour le paiement des traites » à l’énonciation de ces mots je la vu blêmir comme jamais…. je compris vite que ce que j’allais apprendre allait me mettre dans une colère folle.
    Elle me regardait figée elle voyait bien que j’étais en attente de réponse et pourtant rien ne venait. « vas y Claire dis moi, qu’y a t il? » , elle prit son courage à deux mains «  heu j’ai pas oublié….. »
    « si si je confirme tu n’as rien versé »
    «  je n’ai en faite pas pu…… »
    « quoi tu as pas pu ta paie est tombée il y à 15 jours »
    Elle se terrait de nouveau dans le silence……..
    J’approchais d’elle, j’étais fou furieux « mais comment ça tu n’as pas pu….. expliques toi , expliques toi »
    Elle était dans ses petits souliers « ça fait 4 mois que mon salaire ne sert presque que à renfloué les découverts des mois précédents, et la seulement….. ba ….. voilà …… quoi…….. »
    Quand j’entendis ces explications si improbables alors que nous ne menions pas grande vie, une colère noir monta en moi et je la gifla, elle encaissa sans rien dire sachant au fond d’elle qu’elle en méritait plein d’autres et que ça n’allait pas être la seule punition de la soirée.
    A partir de ce moment la je ne voulais même pas savoir dans quoi avait elle dilapidé tous l’argent, je l’invectivais « t’es qu’une égoïste, nous sommes deux dans ce bateau et toi tu le saborde, moi je me prive et toi tu brule l’argent tu te fous bien de moi » elle se morfondait en excuse si je lui laissant une brèche entre deux phrases pour parler « c’est pas ça c’est pas ça mais j’ai pas bien gérer en effet je le reconnais »
    « Tu sais Claire que tu ne vas pas t’en tirer comme ça? » elle baissa la tête elle savait qu’elle serait punie pour une telle faute et surement très sévèrement.
    « je vais te flanquer une raclée tu vas en oublier ton code de carte bleue » Elle savait que si je disais raclée et pas fessée c’était un mauvais présage, que ça voulais dire beaucoup de souffrance et du temps avant de pouvoir être assise confortablement.
    « tu montes dans notre chambre et tu va me chercher le martinet, le noir celui en cuir dur, il va t’apprendre à compter lui fait moi confiance. « le noir non pas celui la il est trop sévère »
    « Claire t’es pas en position de discuter tu obéis et vite sinon la joue gauche va aussi être rouge si tu discutes » elle montât la mort dans l’âme chercher ce martinet avec des lanières qu’elle savait si durs, pénétrantes dans la chaire profondément, je l’avait d’ailleurs que peu utilisé et uniquement pour des fautes que j’avais trouver impardonnable comme la fois où elle m’avait juré ne plus fumer alors qu’elle « m’enfumait » sur le propos.
    Elle descendit tête basse les escaliers tenant par son manche en bois le dit martinet. Elle s’approcha et me le tendit sans me regarder.
    Avec deux doigts je releva son menton pour qu’elle ne puisse pas fuir mon regard noir « je suis écoeuré et déçu de ton comportement, tu vas mener notre couple à la perte si tu continues à agir ainsi et pour une telle faute tu ne mérites même pas de fessée manuelle ce sera le martinet directement » je soutenais toujours son menton et je pu voir ses yeux se gorger d’eau à l’annonce du martinet d’entrée de jeux.
    « Aller tu connais la position pour le martinet, penches toi sur l’accoudoir du canapé » elle s’exécuta sans dire mot elle était résignée elle savait que toutes protestations seraient vaines et ne feraient qu’alourdir son châtiment.
    Elle était ce jour en robe à fleurs que je ne semblais pas connaitre, je comprenais alors mieux où était passer l’argent pour le crédit. Je retroussis sa robe par déçu son dos laissant apparaitre une culotte bleu.
    Je posa les lanière du martinet sur le petit bout de tissus.
    « Claire nous sommes d’accord que tu mérites la correction que je m’apprête à te donner? »
    Elle mit quelques secondes à répondre mais elle lâcha un « oui » timide, elle s’estimait déjà heureuse que je commence par dessus sa culotte même si elle ne se faisait pas d’idée et qu’elle savait que celle-ci lui serait baissée en cours de correction.
    Le martinet s’envola pour venir cinglé une première fois lourdement ses deux fesses, le « Tcchhhhlaaakkk » qu’il fit était typique de ces martinets bien fournit en lanières dures et carrées. dés le premier coup Claire se contracta de tous son corps et elle su que ça allait être dur……
    les coups se répétaient pour son plus grand malheur, elle semblait déjà avoir du mal à les supporter et pourtant elle le savait je n’allais pas m’arrêter à 15 cinglées et surtout la culotte était toujours en place et elle savait bien que ça finirait déculottée.
    « Tu sais que les filles désobéissantes ne mérites aucunement de garder leur culotte en place » dis je en saisissant l’élastique du petit sous-vêtement, et en le faisant glisser le long de ses cuisses.
    je reposa comme à mon habitude les lanières sur ses fesses, les décolla et l’abattit lourdement sur son derrière « tttttcccchhhlllaaaakkkk » retenti une première fois, puis une seconde fois très rapprochée, et les coups s’enchaînaient, les lanières venaient à présent meurtrirent une peau vierge de toute protection.
    Claire à chaque fois que le cuir lui cinglait les fesses tentait d’étouffer au maximum tous petits cris qui auraient pu sortir de sa bouche. Mais les mouvements de son corps sur l’accoudoir du canapé trahissait un inconfort notable, qui ne venait bien sur pas de la position très confortable sur ce gros accoudoir du canapé mais du traitement que ses fesses recevaient.
    Claire était fouetter à une bonne cadence, la répétition si méthodique des coups faisait que parfois elle ne pouvait reprendre sa respiration entre deux. Plus la fessée avançait moins les petits cris étaient étouffés et plus je sentais que chaque cinglée devenais un supplice pour elle.
    Elle avait l’habitude de discuter les sanctions au milieu même de leurs exécutions, mais ce coup-ci elle n’essayait pas elle savait que ça ne ferait qu’aggraver son cas de demander « grâce » et que ça ne servirait de plus à rien, j’étais très en colère j’irais jusqu’au bout.
    Ces fesses étaient zébrées de « milles » stries, et la couleur en disait long sur temps que Claire repenserait à cette correction lorsque qu’elle chercherait à s’assoir.
    Je mettais fin à ce qui était une des plus magistrale fessée qu’elle avait eu de sa vie. Quand elle vit que le martinet avait stopper son action elle ne bougea pas je la laissais de longues secondes ainsi sans rien lui dire.
    « la fessée est finie, tu vas aller réfléchir au coin à ton comportement et tu y restes une heure» elle se releva et alla au coin en prenant garde de ne pas me montrer son visage, elle ne voulait pas que je vois ses yeux.
    J’allai vaquer à mes occupations la laissant ainsi main sur la tête au coin.
    Quand je revins la durée était même passée mais elle n’avait pas bougé. « c’est bon ça fait une heure tu peux en sortir », elle s’approcha de moi sans dire mot, et me prit dans ses bras elle avait besoin de réconfort après une telle fessée, je mis quelques secondes et je la serra aussi en retour.
    elle bredouilla des excuses « vraiment je suis désolé, désolé de t’avoir déçu et de m’être comporter en égoïste, tu me pardonnes ?» , « là c’est un peu tôt je suis toujours très en colère de la situation dans laquelle tu nous as mise, mais je te pardonnerais si je vois que les prochains mois tu fais des efforts pour te gérer financièrement de meilleurs façons » Elle se blottissait contre moi et je la réconfortais, je savais que j’y avais été fort et que cette fessée l’avait marqué.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 années et 5 mois par Parisspanking.
    #64200
    CROCODELLE
    Participant


    Et bien elle dépensera moins la prochaine fois parce que le martinet ça pique et laisse des marques. Merci @parisspanking 😊

    #64580
    Parisspanking
    Participant


    Oui oui en effet!

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