CHU de Toulouse Purpan Chapitre 6

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    Chapitre 6 : le stage « 3 mois » au chalet

     

    Nous sommes samedi en fin d’après-midi et Murielle et moi nous préparons à partir pour le chalet de Laure pour vivre une semaine qui s’annonce particulière. Lors du premier séjour que j’avais fait avec Aude notamment nous étions replongées dans l’environnement de bébés de 18 mois. Cette semaine, nous allons plus loin dans la régression, car le programme prévoit cette fois-ci un retour à l’âge de 3 mois ce qui est particulièrement régressif. Paradoxalement je n’ai pas grand-chose à préparer, car presque tout se trouve sur place. Murielle me demande juste de prendre des vêtements de rechange pour le retour prévu le dimanche suivant. Elle reçoit un coup de fil de Lucie qui l’informe qu’elle et Aude sont prêtes également et qu’elles passent nous prendre pour faire voiture commune pour nous rendre dans les Pyrénées. Murielle comme à son habitude relève ma jupe et inspecte l’état de ma couche, qu’elle a pourtant changée il y a moins d’une heure. Je ne suis pas mouillée et donc prête à prendre la route. Quelques minutes plus tard, nous sommes en route avec Aude et Lucie. Il y a peu d’échanges pendant le trajet. Aude pourtant assez loquace d’habitude semble concentrée elle aussi sur le séjour qui nous attend et qu’elle doit un peu appréhender comme moi je suppose. La présence de Murielle et Aude nous intimide aussi un peu et nous empêche d’échanger sur nos sentiments respectifs. Le trajet passe cependant assez vite et déjà nous quittons l’autoroute et montons dans la montagne. Le chalet de Laure est maintenant en vue et c’est la maîtresse de maison qui nous accueille. Elle nous fait la bise et déjà nous entrons, car le fond de l’air est frais en ce début de soirée à cette altitude. Sans autres préliminaires Murielle me prend par le bras et me fait monter à l’étage, nous sommes suivis par Lucie et Aude. À l’étage, nous ne sommes pas dirigées vers la grande chambre du fond que nous connaissons, mais chacune vers une des portes latérales du couloir qui en compte quatre de chaque côté de couloir. Je rentre à la suite de Murielle par la troisième porte à gauche quand Lucie et Aude rentrent dans la pièce d’en face sur la droite du couloir. Murielle allume la lumière de la pièce et je me retrouve dans un environnement similaire à la grande chambre que je connaissais déjà. Un grand lit à barreau de taille adulte au centre de la pièce, un parc posé sur un tapis d’éveil avec à l’intérieur des jouets d’enfants, une commode constituent le mobilier. Il y a un mobile au-dessus du lit et des autocollants enfantins collés sur les murs blancs. La seule différence c’est qu’ici point de table/lit à langer comme celui sur lequel nous étions entravées pour les changes lors de notre premier séjour. Les volets de la fenêtre doivent être clos et un rideau occulte cette dernière.

    Depuis mes récentes découvertes au CHU, j’ai essayé, dans la mesure du possible de ne rien laisser paraître de mon trouble d’avoir compris que la totalité des jeunes infirmières de mon service portent comme Aude et moi des couches en permanence, semble-t-il. Nous qui nous pensions seules dans ce cas ! Je n’ai pas fait part de cette découverte à Aude même si l’envie était forte. Je ne sais pas comment elle aurait réagi et ensuite je veux en savoir plus sur ce jeu de rôle qui concerne tout de même une grande partie de l’effectif du bloc opératoire ou je travaille. Quand Lucie et Murielle nous ont annoncé le thème du séjour, à savoir un retour à l’âge de trois mois, j’ai compris que nous aurions une activité assez réduite et que nous dormirions plus encore que lors de notre premier séjour. J’ai aussi la conviction qu’au chalet je peux découvrir certainement des choses susceptibles de m’éclairer sur cette curieuse organisation mise en place par Laure et consoeur. Étant certaine que nos biberons allaient être pourvus de somnifère et autres laxatifs, je sais que je n’aurai qu’un faible créneau pour agir. J’ai donc pris les devants en buvant en cachette de Murielle juste avant le départ trois canettes de boissons énergisantes pour rester éveiller malgré les somnifères que ces dames ne vont pas manquer de nous faire boire à Aude et moi dès le premier biberon.

    Alors que nous sommes juste entrées, Murielle et moi dans ce qui va certainement être ma chambre pour ce séjour, Laure arrive elle aussi dans la pièce et indique à Murielle que Agathe aura certainement une petite demi-heure de retard, car elle a eu du monde sur la route. Elle ajoute à l’adresse de Murielle que nous pouvons du coup assister au démarrage d’Aude dont la nourrice est déjà, elle, arrivée. Je ne comprends pas tous les tenants et aboutissants de cette discussion, mais Murielle me fait signe de la suivre et nous gagnons la chambre d’en face qui est celle d’Aude. Cette dernière est en cours d’installation, déjà déshabillée et allongée en travers du large lit à barreaux dont les montants latéraux ont été baissés. Elle n’est plus vêtue que de sa couche. Déjà Lucie sa « maman » à déposer sur le lit une grenouillère, un body et plusieurs couches. Une autre jeune femme se trouve dans la pièce qui l’assiste. Elle a sensiblement le même âge que Lucie et Murielle, me semble-t-il, mais je ne la connais pas. Elle quitte un instant Lucie et Aude et vient nous saluer. Elle connaît manifestement Murielle et me fait la bise en se présentant. Elle s’appelle Coralie et sera la nourrice d’Aude pour le séjour. Déjà très excitée, semble-t-il, par la situation, elle repart assister Lucie auprès d’Aude en s’émerveillant de l’adorable bébé dont elle va s’occuper. Cette dernière à une sucette dans la bouche maintenue par un élastique autour du cou. Elle semble un peu tendue moins enthousiaste que d’habitude. C’est Coralie qui enlève d’ailleurs la couche d’Aude qui semble bien mouillée. Elle nous le confirme en interpellant Aude sur cette couche bien mouillée qu’il faut changer. Murielle qui est dans mon dos se rappelle aussi à mon bon souvenir en posant sa main gauche sur mon ventre et en glissant sa main droite sous ma jupe pour tâter ma couche et en connaître l’état.

    Murielle : »Toi aussi tu as besoin d’être changée mon bébé »,

    me glisse elle ensuite à l’oreille, ayant constaté en experte que ma couche est mouillée comme celle d’Aude. Coralie entre temps à préparer une large couche de nuit avec inserts à destination d’Aude et lui met sa couche avec dextérité signe d’une certaine habitude. Lucie avant cela avait enfilé un body à Aude qui n’attend plus que d’être fermé par les pressions à l’entrejambe. Je suis cependant surprise de voir que Coralie prépare une couche similaire. Elle fait lever les fesses d’Aude elle aussi surprise et fixe la seconde couche par-dessus la première. L’épaisseur est très importante, laissant Aude emprisonnée de ces couches de ouate et les jambes largement écartées par cette épaisse double couche. Le body est fermé et une grenouillère avec moufles et chaussons que nous connaissons est enfilée sur Aude puis boutonnée dans son dos et sur ses fesses proéminentes. Laure entre dans la chambre à ce moment-là et interpellant Murielle, lui indique que nous gagnerons du temps à ce que je sois changée lorsque Agathe arrivera. Murielle en convient et les deux femmes me font regagner ma chambre. Comme pour Aude, Laure et Murielle me déshabille puis m’enfile un body avant de me mettre une double couche identique à la sienne. Comme j’ai moi aussi une sucette dans la bouche, je ne peux demander d’explications sur la nécessité d’une telle couche. Les deux femmes terminent juste de me boutonner la grenouillère et de me remettre sur le dos allongée dans le lit lorsqu’une jeune femme fait son apparition dans la chambre. Je comprends que c’est la fameuse Agathe. Après avoir salué Laure et Murielle, elle s’approche du lit et se penche vers moi trouvant que je suis un adorable bébé de cette voix mièvre qu’utilisent les mamans vis-à-vis de leurs bébés. Il est déjà 20H00 me dit-elle, tu dois avoir faim et moi qui te fais attendre ma puce. Ne pouvant rien répondre, je la laisse dire. À ma grande surprise, elle quitte ses chaussures et grimpe dans le lit. Elle s’assoit contre les barreaux de la tête du lit et me relevant, elle m’attire contre elle. Je la vois déboutonner son chemisier et ouvrir son soutien-gorge laissant apparaître son sein gauche. Murielle s’est elle aussi rapprochée et aide Agathe à me positionner en travers de ses jambes. C’est l’heure de la tétée me dit Agathe me laissant pantoise et incrédule devant cette étrange situation. Déjà Murielle me retire la sucette de la bouche et approche ma tête du sein. J’ai un mouvement de recul, mais les deux femmes me plaquent le visage sur ce sein lourd et charnu. Agathe explique à Murielle que je vais forcément tâtonner un peu au début, la succion du téton étant différente de celle de la tétine d’un biberon. Pour ne pas être asphyxiée, j’ouvre la bouche et me retrouve avec le téton d’Agathe dedans. Celle-ci m’encourage à téter le sein de ma nourrice. Sentant que je n’aurai pas le loisir de m’y soustraire je commence timidement a téter ce sein ce qui est une sensation bien étrange. Le téton est dardé et à ma grande surprise du lait ne tarde pas à en couler. Par réflexe je cherche à retirer la tête, mais celle-ci est maintenue par Murielle qui veille tout en m’empêchant de faire opposition de mes moufles. Murielle me demande s’il faut me pincer le nez pour que je reprenne la tétée ce que je fais finalement de mauvaise grâce. Le goût dans ma bouche est très acre je trouve, mais je me force à déglutir. Je passe ensuite sur le sein droit et lorsque Agathe estime que j’ai tout bu, la sucette m’est remise dans la bouche. Agathe indique à Murielle qu’elle va préparer à la cuisine un biberon de complément. Je suis à nouveau allongée sur le lit pendant que Murielle rassemble mes vêtements, les met dans une panière et sort de la pièce. Les deux femmes reviennent dans la chambre quelques minutes plus tard, Agathe un large biberon de lait à la main. Je reprends un peu mes esprits et me rappelle que c’est certainement le moment crucial pour le plan que j’ai échafaudé. J’ai misé sur le fait que le biberon étant donné à l’heure du coucher, il serait largement dosé en somnifère. Je compte en boire le moins possible et faire semblant de m’endormir. Déjà Agathe se remet en position assise dans le lit et m’attire à elle pour me donner le biberon. Les vêtements que je porte, les moufles sur mes mains et la large couche à l’entrejambe rendent tous mes gestes gauches et c’est voulu, je pense. Murielle s’est assise à côté de nous sur le lit et me tient les mains pour prévenir toute tentative de ma part de repousser le biberon qui va m’être donné. Agathe retire ma sucette et m’enfourne directement la tétine dans la bouche. Je commence à boire le plus lentement possible comme si je n’avais plus faim ce qui est loin d’être le cas. Je me relâche et commence tout doucement à cligner des yeux puis à les fermer. Agathe vérifie la tétine pensant que je n’arrive pas à boire et la tourne dans ma bouche pour m’inciter à mieux téter. Malgré ses encouragements je bois très lentement jusqu’à ce qu’elle indique que je n’en ai bu que la moitié. Je fais semblant de dormir consciente que les deux femmes doivent m’observer. Agathe interroge Murielle pour lui demander si j’ai suffisamment bu du contenu du biberon. Cette dernière trouve que c’est un peu juste, mais que manifestement je devais être un peu fatiguée ce qui a accéléré l’effet du somnifère contenu dans le biberon. Je sens Agathe me repousser tout doucement et, aider de Murielle, elle quitte le lit, les deux femmes m’y allongeant sur le dos. Je les entends remettre les montants latéraux du lit à barreau. Murielle indique à Agathe que Aude a pris un peu d’avance et qu’elle doit déjà dormir. Agathe demande s’il y a des bébés de 18 mois dans la grande chambre, ce à quoi Murielle lui répond que le chalet accueille deux adorables bébés depuis ce matin. Tu pourras les découvrir Agathe, mais il est temps d’aller dîner, je pense que les filles nous attendent en bas. Sur ces paroles je les entends quitter la pièce, la porte se refermant derrière elles. Je reste immobile, les yeux clos encore quelques minutes au cas où elles auraient oublié quelque chose dans ma chambre et reviendraient sur leurs pas, mais il n’en est rien. Je finis par ouvrir les yeux et déjà je ressens une brusque fatigue certainement due au somnifère que j’ai bue dans le biberon. La boisson énergisante fait son effet, car je reste malgré tout éveillée. Je sais que je dispose de peu de temps. J’ai observé en arrivant que le lit à barreaux de cette chambre n’est pas du même modèle que ceux de la chambre dans laquelle j’avais séjourné lors de ma première venue. Je dois pouvoir du coup l’enjamber si jamais je n’arrive pas à l’ouvrir. Comme dans l’autre chambre, je n’ai aucun mal à voir mon environnement, car elle dispose de plusieurs veilleuses qui diffusent une lumière assez importante. Je me mets à genou et explore le système de fermeture des montants latéraux du lit. Ils se ferment par de simples loquets, mais les moufles rigides qui terminent les manches de ma grenouillère m’interdise de saisir le premier loquet, donc impossible de l’ouvrir. Je vais devoir enjamber la barrière ce qui ne va pas être aisé avec la grenouillère et la couche qui maintient mes jambes largement écartées. Avant de passer par-dessus la barrière je vérifie que je peux glisser mon pied entre les barreaux, car j’aurai besoin de prendre appui sur le seuil de lit au retour pour enjamber à nouveau la barrière. En effet le lit se trouve à environ 80 centimètres du sol. Non sans peine, car je n’ai pas de prise avec les mains j’arrive à escalader le lit et je bloquer mon moufle droit entre les barreaux pour me retenir avant de toucher le sol de mes pieds. J’avance avec prudence, car il y a un parquet qui glisse beaucoup au contact de l’éponge des chaussons de la grenouillère. Le très large miroir sur le mur latéral comme dans la grande chambre du fond qui en compte deux me renvoie une image bien pitoyable ainsi accoutrée avec une couche qui n’a jamais été aussi grosse sur mes fesses et à mon entrejambe. Je marche avec prudence et difficulté jusqu’à la porte. Heureusement celle-ci est pourvue d’une poignée plate sur laquelle je peux appuyer avec mon moufle. La porte n’est pas fermée à clef et je peux donc l’ouvrir. Je ne sais pas trop ce que je cherche ni d’ailleurs si je vais trouver quelques indices sur le fonctionnement du chalet, mais je tente ma chance. Pour être efficace, je néglige la porte du fond donnant sur la grande chambre. Je sais pour avoir surpris la discussion entre Agathe et Murielle qu’elle doit accueillir deux jeunes femmes en stade 18 mois. La porte qui fait face à la mienne est la chambre d’Aude qui doit déjà dormir profondément. Je décide donc d’explorer la pièce située entre ma chambre et la grande chambre du fond. J’ouvre prudemment la porte et rentre dans une pièce assez sombre. Mes yeux mettent quelques secondes à s’y habituer et je découvre que la pièce est faiblement éclairée par deux grandes fenêtres à gauche et à droite. Immédiatement je comprends qu’il s’agit de l’arrière du miroir de ma chambre à gauche et de celui de la grande chambre du fond à droite. En fait il s’agit manifestement de glaces sans tain et la pièce dans laquelle je me trouve permet d’observer à loisir ce qui se passe dans les deux chambres. En regardant par le miroir de droite, je redécouvre la grande chambre de mon premier séjour, largement éclairée par les veilleuses. Je distingue très bien deux corps allongés dans les deux lits à barreaux placés au centre de la pièce, j’aperçois aussi la fameuse table à langer sur la droite. Mes yeux maintenant habitués à l’obscurité et la pièce éclairée par les lumières des deux chambres je découvre également deux caméras montées sur pieds. L’une est braquée sur ma chambre, l’autre sur la grande chambre. Elles semblent toutes les deux éteintes ce qui me rassure. Par ma petite expédition, j’ai pu découvrir comment ont été prises les photos de moi que Murielle m’a confié à l’issue de mon premier séjour. Cette pièce est l’endroit parfait pour observer sans être vu. Je quitte la pièce et profite d’être dehors pour explorer la pièce d’en face. Je retrouve la même pièce assez étroite avec vue sur la grande chambre à gauche et sur la chambre d’Aude à droite. Je peux observer cette dernière au travers des barreaux de son lit qui dort profondément sur le ventre. Ici aussi deux caméras sur pieds chacune braquée sur une pièce au travers des miroirs sans tain. Je suis abasourdi par cette découverte, mais qui vient conforter mes doutes sur l’étrange organisation mise en place par Laure, Lucie Murielle et consoeurs. Je sens aussi que la fatigue me gagne et il est temps de regagner ma chambre avec qu’on se s’aperçoive que je ne dors pas. Je regagne prudemment ma chambre pour ne pas tomber sur le parquet glissant. Dans le couloir j’entends les bruits étouffés de conversations de ces dames qui dînent en bas. Une fois dans ma chambre, repasser la barrière du lit ne s’avère pas aisé, mais j’y parviens à la deuxième tentative. Finalement épuisée, je m’écroule dans mon lit et très vite m’endors.

    Le lendemain matin je me réveille avec un mal de crâne épouvantable certainement dû aux drogues que j’ai bu. J’ai aussi l’impression d’être sans force comme si mon corps et mes membres pesaient des tonnes, je suis quasiment incapable de bouger. Le montant gauche du lit est baissé et Agathe est assise à côté de moi m’observant et attendant manifestement mon réveil.

    Agathe : « On a fait un gros dodo mon bébé, c’est bien. Après une longue nuit tu dois avoir faim ma puce. ».

    Posant la main sur le devant de ma couche.

    Agathe : « Mais avant je vais te changer mon bébé, car tu dois avoir fait pipi dans la couche, Murielle m’a dit que tu faisais de gros pipis dans la couche. »

    Ayant la sucette dans la bouche je ne peux ni confirmer ni infirmer, de toute façon Agathe n’attend aucune réponse. Elle me fait rouler sur le côté pour que je sois sur le ventre et déboutonne ma grenouillère au niveau des fesses. Ceci fait manœuvre en sens inverse pour me remettre sur le dos, j’ai l’impression d’être un jouet entre ses mains. Elle enlève les jambes de la grenouillère et les poses sur mon buste me cachant partiellement au passage la vue sur l’énorme boucle couchent que je porte depuis hier. Se penchant vers moi :

    Agathe : « N’ait aucune crainte mon bébé, tes fesses sont bien protégées et tu n’auras pas de fuite, Maman sait bien s’occuper des jolies petites filles. »

    Elle ouvre la première couche et la retire puis ouvre la seconde qui est, elle, bien mouillée, je le sens. Elle me passe une lingette, puis une deuxième, me nettoyant avec application en insistant démesurément je trouve sur mon clitoris qui n’a pas été anesthésié par la crème habituelle depuis hier et qui commence à se réveiller lui aussi. Je suis maintenant crémée sur la vulve et autour puis talquée avant qu’Agathe me remettre une double couche comme hier soir. Elle me remet sur le ventre après m’avoir renfilé les jambes de la grenouillère et referme les boutons de celle-ci sur mes fesses. Quand je repasse sur le dos, Murielle fait son entrée dans la chambre avec un biberon de lait. Comme hier soir Agathe déboutonne son chemisier, dégrafe son soutien-gorge et avec l’aide de Murielle me positionne en travers de ses jambes. Je dois à nouveau téter les deux seins de cette femme qui m’encourage de sa voix douce sous le regard amusé de Murielle. C’est ensuite le biberon que je dois boire, mélange de lait et d’un peu de céréales, car je le trouve un peu épais. Cette fois si je le bois en intégralité, car j’ai faim et que j’ai pu découvrir déjà une partie de l’envers du décor hier soir. Je suis toujours très faible, sans aucune force, mais pas de sensation d’envie de dormir à l’horizon après avoir bu ce biberon. Les deux femmes me prennent maintenant par les bras et m’aident à descendre prudemment du lit pour me placer, allongée sur le dos sur le tapis d’éveil au centre du parc qui se trouve à côté de mon lit. Murielle positionne un mobile au-dessus de moi et me rapproche jouets et peluches.

    Murielle : « Amuse-toi bien ».

    Me dit-elle avant de quitter la chambre avec Agathe. À défaut de somnifère le biberon que je viens de boire devait être largement pourvu en diurétique, car il ne se passe pas longtemps avant que je n’inonde ma couche. Cela bien longtemps que cela ne me réveille pas la nuit, mais je m’aperçois que je perds de plus en plus le contrôle même en journée et même en dehors de cette semaine particulière au chalet. Je repense à Agathe et me demande si elle vient d’allaiter un enfant pour avoir toujours une lactation active. J’imagine du coup qu’Aude vit la même chose avec Coralie et je ne sais pas comment elle apprécie ou non la chose. Pour ma part la sensation est étrange. Je savais que le lait maternel n’a pas bon goût j’en ai la confirmation. C’est cependant étrange d’avoir le contact de ma bouche sur ces seins. En tout cas avec ce que j’ai découvert hier, en plus des résultats de mon enquête au CHU, je suis totalement dégrisé de ce jeu de rôle qui me voit transformée en bébé de 3 mois. Pourtant j’enrage, car tout, autour de moi, est là pour me rappeler à ma ridicule situation dont cette énorme couche qui me barre les jambes. Curieusement le fait de penser au sein d’Agathe et à cette situation particulière me donne des envies de féminité, de me sentir femme et non pas le bébé que ces femmes font de moi. La pression de la couche sur mon entrejambe couplée à l’absence de crème anesthésiante sur mon clitoris commence sérieusement à m’échauffer. J’ai beau porter mes moufles au contact de ma couche je sais malheureusement que je n’ai aucun effet à en attendre, cette dernière me privant totalement de tout contact avec mon sexe. J’essaie de penser à autre chose pour ne pas me frustrer davantage. Mes pensées reviennent vers les deux pièces que j’ai découvertes, la présence de glaces sans tain ainsi que les caméras. J’ai de la peine à le réaliser, mais je dois bien admettre que j’ai été certainement, en plus des photos, filmée pendant mon premier séjour et que je le suis peut être également en ce moment. Pire, le chalet accueille peut-être des personnes qui jouent aux voyeurs derrière les glaces sans tain des chambres. Cette pensée me fait froid dans le dos et me dégoûte sachant que ces personnes m’ont vue en bébé,  mais aussi nue pendant les changes, ils ou elles n’ont rien du manquer de mon anatomie. Ce qui commence sérieusement à m’inquiéter c’est le luxe de moyens utilisés par ces femmes. Il y a forcément un business de ventes de vidéos particulières pour amateur de régression pour disposer et mettre en œuvre de tels moyens techniques et d’avoir réaménagé le chalet spécifiquement pour cette activité. Je me dis qu’il ne doit pas y avoir que cela, que c’est un fétichisme trop confidentiel certainement pour en tirer de gros bénéfices. Bref je me perds en conjecture et le temps me paraît bien long, allongée sur le tapis d’éveil les membres engourdis par une drogue très certainement, mais dont j’ignorais l’existence même si avec le temps je retrouve, me semble-t-il, un peu de tonus et un poil plus de mobilité dans les membres. Les volets de la fenêtre et le rideau qui occultait cette dernière ont été ouverts et je peux donc distinguer un bout de ciel bleu, il semble faire beau dehors en cette fin décembre. Au bout d’un long moment, mais sans repères de temps je vois Agathe et Murielle refaire leur apparition dans ma chambre. Les deux femmes ouvrent la porte du parc et m’aident à regagner mon lit. Elles ne m’y allongent pas, mais m’installent assise dos aux barreaux de la tête de lit et laissant le montant gauche en position ouverte.  C’est maintenant Laure qui fait son apparition dans la chambre, elle détache le montant droit du lit et le baisse puis vient s’asseoir sur le lit à ma gauche quand Murielle fait de même à ma droite. Je blêmis, car à l’expression de leurs visages, je comprends immédiatement qu’elles savent que je suis sortie de ma chambre hier soir.

    C’est Murielle qui attaque :

    Murielle ; « Il faut que nous parlions jeune fille. Tu sais que je t’observe comme une maman attentive à sa petite fille. Tu as imperceptiblement changé Sylvie depuis quelque temps, plus soucieuse moins enjouée à l’idée de la régression, cela ne m’a pas échappé. Tu es parfois distraite, y compris dans le travail. »

    Je m’apprête à répondre en oubliant que j’ai la sucette dans la bouche.

    Murielle : « Tu es encore un bébé Sylvie et les bébés ne parlent pas ils gazouillent tout au plus »

    me dit-elle me ramenant à ma condition du moment.

    Murielle : « Tu es cependant un bébé perspicace, car bien entendu, tu as découvert que l’ensemble de tes collègues infirmières du bloc portent des couches comme Aude et toi ».

    Je suis stupéfaite par cette affirmation, moi qui croyais avoir été discrète lors de mon enquête.

    Murielle : « En plus d’être perspicace, tu es aussi Sylvie un bébé plutôt agile pour ton âge ».

    Joignant le geste à la parole, Murielle attrape une tablette qu’elle avait dû poser sous mon lit et la met en route. Elle me met sous les yeux une vidéo. Immédiatement je reconnais la chambre où nous nous trouvons. Les premières images sont prises au-dessus du lit où nous nous trouvons. Je lève du coup le regard et j’observe le lustre moderne au-dessus de ma tête qui doit receler une mini caméra. On me voit sur le film me relever et me mettre à genou avant de commencer à escalader le lit à barreaux. L’angle de vue change ensuite et je comprends que les images suivantes ont été prises depuis la glace sans tain, certainement par la caméra que j’ai découverte dans la pièce hier soir même si elle me paraissait éteinte. La vidéo se termine lorsque je quitte la chambre.

    Je dois rougir jusqu’aux oreilles et en même temps en mon for intérieur je me dis que j’ai bien fait d’essayer de percer le mystère qui m’entoure.

    C’est Laure qui prend le relais, la suite n’allait pas me décevoir.

    Laure : « Tu es ici Sylvie, car, malgré ton âge officiel et ton corps de jeune femme, tu restes avant tout une enfant qui a grandi trop vite. Comme beaucoup, on a cherché à te rendre propre trop tôt sans respecter ta vraie nature, juste pour que tu ailles à l’école dans les temps. En conséquence, tu n’as jamais été propre la nuit et tu souffres d’immaturité affective ce qui est bien normal quand on doit porter des couches toutes les nuits. Nous ne faisons ici que rattraper le temps perdu et te redonner du temps d’insouciance enfantine dont tu as manqué petite, rien de plus. Tu n’as pas été allaitée, du coup nous te choisissons une nourrice, Agathe, ici présente, pour que tu découvres cette sensation. Posant sa main sur ma couche. Je sais que tu trouves ta couche trop grosse et gênante, mais c’est l’exacte proportion de celle que portent les bébés. Et ne me dit pas que tu n’en as pas besoin, car je sais par Murielle que tu es souvent surprise par tes pipis couches en journée ».

    Là, même si je ne peux rien dire, je ne peux malheureusement que lui donner raison et ce phénomène n’est pas sans m’inquiéter d’ailleurs.

    Laure : « On va te désensibilisé ton petit bouton ma puce, ce qu’Agathe à oublié de faire ce matin pour que tu reprennes le cours de cette vie trépidante de bébé qui est la tienne ».

    À ma grande surprise, les explications s’arrêtent là. Je proteste dans ma sucette que je montre de mon moufle droit pour signifier que je veux parler.

    Laure : « Nous continuerons cet échange demain mon bébé, ne sois pas impatiente. Pour le moment, on te laisse te reposer après les émotions d’hier soir. Agathe va te changer ta couche ».

    Murielle et Laure quittent la pièce et Agathe déjà s’approche du lit et me fais m’allonger. Avant de me changer, elle se penche vers moi tout sourire.

    Agathe : « Alors mon bébé on fait le mur comme cela à ton âge ? Tu voulais rejoindre ton amie Aude ou bien découvrir les deux autres bébés qui sont dans la chambre du fond ? » feint-elle de m’interroger.

    Déjà elle me bascule sur le ventre pour déboutonner ma grenouillère, retire les jambes après m’avoir remise sur le dos. Elle détache la première couche puis la seconde qui est à nouveau mouillée. Elle la retire, la remplace par un propre puis me nettoie à la lingette. Cette fois-ci elle me met de la crème anesthésiant sur mon clitoris qui avait déjà repris toute sa sensibilité. La crème est froide et dans un réflexe, je porte ma main droite, ici plutôt ma moufle vers mon sexe. Agathe écarte ma main avec douceur et ce penchant vers moi :

    Agathe : « tu es décidément un bébé précoce Sylvie, normalement les bébés commencent à explorer leur minou que vers l’âge de 12 mois ».

    Je pousse un soupir mélange de frustration et d’agacement d’être perpétuellement ramenée à mon état de bébé, mais déjà Agathe referme la première couche puis met en place et ajuste la seconde. Dans la foulée la grenouillère est remise en place et boutonnée m’enfermant de son tissu éponge.

    Agathe son travail effectué s’assoit à côté de moi qui suis allongée dans le lit.

    Agathe : « Je suis là pour te nourrir, mais aussi pour te faire grandir mon bébé, mais il convient de ne pas aller trop vite cette fois-ci. Je te laisse te reposer et je reviens à midi pour la téter ».

    Elle quitte le lit et referme le montant latéral du lit avant de quitter ma chambre. Je reste donc seule avec plein d’émotions et d’interrogations qui m’assaillent. Déjà je me maudis de n’avoir pas été assez discrète dans mon enquête. J’aurais dû plus me méfier de la perspicacité de Murielle. Ensuite je me demande du coup si elles m’ont laissé volontairement explorer l’étage du chalet ou bien si elles ne se sont pas suffisamment méfiées et l’on découvert au travers de la vidéo après coup. Beaucoup de questions et pas de réponses pour le moment, il me faut prendre mon mal en patience, ce qui n’est pas mon fort. Je constate par contre que je retrouve de l’énergie, mes membres sont moins engourdis qu’ils ne l’étaient ce matin. Peut-être que mon biberon a été drogué différemment. Point de somnifère non plus, mais toujours du diurétique, car j’ai déjà à nouveau envie de faire pipi. Je n’ai toujours aucune notion du temps, car je ne dispose pas de montre ou de pendule dans ma chambre. Juste la lumière du jour qui m’indique la journée.

    J’imagine qu’il doit être environ midi lorsque je vois Agathe revenir dans ma chambre. Elle est seule cette fois-ci et déjà elle ouvre le lit à barreaux. J’ai dorénavant la force de me relever et de m’asseoir pendant qu’Agathe fait de même et se met en position.

    Agathe : « Je compte sur toi mon bébé pour être sage maintenant que tu es habituée au sein de maman ».

    Je ne peux m’empêcher d’émettre au travers de la tétine un grognement d’irritation dont Agathe me parle ainsi, mais elle n’en tient absolument pas compte. Elle m’aide à me mettre en travers de ses jambes et déjà écarte son chemisier et dégrafe son soutient gorge. Elle guide ma tête vers son sein gauche et la sensation m’est toujours aussi étrange. Moins abrutis par les drogues, mes sens sont plus en alerte. Je constate à nouveau que son téton est dardé et me demande si c’est normal ou bien si elle peut prendre du plaisir à cette tétée. Cette pensée soudaine me trouble et je n’arrive plus à penser que je tête le sein de cette femme, mais bien plus que je suis en train de lui sucer le téton. Agathe me maintient la tête de sa main gauche et a posé sa main droite sur mes fesses au début de l’entrejambe. Se faisant elle presse la garniture mouillée de ma couche sur mon sexe ce qui me fait réagir. Je tente de repousser sa main de mon moufle gauche sans succès.

    Agathe ; « C’est ta couche qui te gêne ma puce ? me fait-elle l’air faussement surprise

    Agathe « J’aurais dû commencer par te changer, c’est vrai que tu mouilles très régulièrement ta couche, Murielle n’avait pas exagéré. On reste concentrée sur la tétée ma puce et pas sur ton minou qui te travaille aussi je le sens bien ».

    La tétée est toujours en cours quand Lucie fait son apparition dans la chambre un biberon à la main. Elle le confie a Agathe et celle-ci m’enfourne la tétine à la suite de son téton droit que j’ai lui aussi longuement tété.

    Le biberon achevé, Agathe me change à nouveau la couche puis quitte la chambre emportant avec elle ma couche mouillée et le biberon achevé.

    Cette fois si un puissant somnifère a été incorporé au biberon, car quelques minutes après son départ je tombe de sommeil. C’est nouveau Agathe qui me réveille. Murielle est dans la pièce en train de fermer le volet sur un ciel déjà noir en ce début d’hivers. À nouveau je dois téter puis prendre mon biberon. Je suis changée avec cette fois-ci un caca couche qui ravit Agathe. Elle me précise qu’elle sera très attentive à toute irritation, car avec un régime alimentaire uniquement constitué de lait je vais avoir des selles très liquides.

    Agathe : « Tu n’auras pas à pousser dans ta couche, ma puce, cela sortira tout seul », me précise-t-elle.

    Sur cette phrase définitive, les deux femmes quittent la chambre et je tombe vite de sommeil.

    Nous sommes déjà lundi matin. Je reste toujours dans la frustration d’obtenir d’autres éléments d’explications, mais la matinée commence sur le même rythme avec un change de couche, une tétée et un biberon sans somnifère. Je suis installée dans le parc au pied de mon lit et la matinée me paraît interminable. Je ne sais trop que faire, mais je n’ai pas vraiment de marge de manœuvre dans la situation qui est la mienne de toute façon. Je suis plongée dans mes réflexions lorsque Murielle et Agathe font leur apparition. Elles m’aident à me lever et je peux sortir du parc sur mes deux jambes.

    Murielle m’indique que je suis attendue en bas dans la salle à manger. Enfin quelque chose qui casse la routine de mon début de séjour. Murielle me tient le bras pour ne pas que je glisse dans l’escalier à cause des chaussons de la grenouillère et nous arrivons dans la salle à manger du chalet. Autour de la table, Laure et Lucie sont déjà installées, Coralie arrive elle du salon. Murielle me fait asseoir au centre de la table, je suis entourée par Agathe et Coralie, Lucie Murielle et Laure me font face.

    L’instant semble solennel, je pense que cette fois-ci je vais avoir une vraie explication. Curieusement on ne m’a pas retiré la tétine de la bouche, je ne peux donc pas encore m’exprimer.

    Laure : « Mon bébé, nous avons décidé en équipe de faire une courte pause dans ton programme pour satisfaire à ta curiosité. Je dis bien mon bébé, car c’est bien ce que tu es Sylvie, aucune jeune femme de ton âge ne porterait des couches en permanence ainsi depuis plus de trois mois si elle n’en avait pas réellement besoin, que ce soit physiquement ou psychologiquement. Et ne proteste pas (voyant ma mine renfrognée), car tu ne te contrôles presque plus en journée, nous le savons. Comme tu es un bébé plutôt curieux et débrouillard, tu es en droit d’en savoir un peu plus sur l’organisation mise en place autour de toi, c’est le choix que nous avons fait. Pour que tu comprennes bien, il faut remonter un peu dans le temps. Nous travaillons ensemble au Bloc H2 de Purpan qui a été créé il y a plus de 25 ans. Tu as remarqué qu’il y a encore dans le service quelques anciennes infirmières qui ont inauguré ce bloc. Autres temps, autres usages, lorsqu’il a fallu renoulever l’équipe dont beaucoup partaient à la retraite, le CHU a recruté et Murielle, Lucie et moi entre autres avons fait partie de cette nouvelle vague. La différence c’est que, contrairement aux anciennes, nous n’avons pas accepté le comportement macho et sexiste des chirurgiens et autres anesthésistes. Hors de question de passer sous le bureau ou de céder à tous leurs caprices. Bref nous étions bien décidés à changer les mentalités. Cela a fonctionné, car nous étions assez nombreuses à le vouloir, mais nous ne voulions pas que nos efforts soient sabotés par quelques infirmières peu farouches qui céderaient aux avances de ses messieurs en espérant naïvement qu’ils iraient jusqu’à divorcer pour les épouser. La chance a voulu que la responsable du recrutement change également et que la nouvelle en poste, Astrid, que tu connais, partage totalement nos idées. Son aide allait nous être précieuse, mais nous ne savions pas au départ comment faire en sorte que les nouvelles intégrées partagent systématiquement notre philosophie. Le déclic est venu d’une banale discussion sur un bizutage en CHU. Une consoeur d’un autre service nous avoua un jour qu’elle avait dû porter des couches pendant tout son bizutage et qu’elle en gardait un souvenir cuisant. Elle avait rasé les murs pour ne pas que cela se remarque pendant sa semaine d’intégration dans son précédent CHU et évité toutes les mains baladeuses qui ne manquent pas dans le milieu. Tu as compris mon bébé que nous tenions là l’instrument pour rendre sage la plus excitée des infirmières. Mais faire porter des couches en permanence à une nouvelle infirmière semblait impossible. C’est Astrid qui trouva la solution en évoquant les candidatures qu’elle reçoit dans son service. Le dossier mentionne évidemment les données médicales et toute incontinence ou énurésie y figure. Il est certainement plus facile de mettre en couche une jeune femme qui a dû ou doit encore en porter sinon de jour, au moins la nuit. Devant la pénurie d’infirmières, on recrute le plus souvent de jeunes diplômées qui sont le plus souvent célibataires. Il fut donc décidé de choisir pour le BOH2 ce type de profil spécifiquement. Et pour mieux frustrer les médecins, il faut également que ces filles soient plutôt jolies, qu’ils aient encore plus de regrets qu’elles ne tombent pas sous leur charme.

    Nous avons donc commencé ce qui était juste notre petite croisade personnelle avec peu de moyens, mais dès la première tentative nous avons réussi à mettre en couche la dernière infirmière rentrée dans le service. Puis en échangeant avec la représentante d’Hartmann, un labo qui fournit des couches à l’hôpital, nous avons appris que le port des couches par des adultes était un fétichisme confidentiel, mais qui se développait depuis l’avènement d’internet. Nous avons du coup prospecté cette cible pour connaître leurs attentes et voir qu’elle était l’offre en termes de contenu, une véritable étude de marché grâce au mari d’une collègue qui est dans le web. Il a découvert beaucoup de sites avec des photos et des vidéos de filles en couches, mais le plus souvent des modèles et rien de réellement authentique. Nous avions mieux a proposé, mais impossible de diffuser ce type d’image en libre accès sur le net, sans le consentement qui plus est de nos chers bébés. Finalement, Marc a trouvé le moyen de diffuser sur le dark net l’information selon laquelle des images de femmes réellement en couches étaient disponibles et nous avons eu ainsi nos premiers clients ».

    Laure après cette longue explication marque une pause. Je suis stupéfaite par ses explications. Je ne peux toujours pas parler, mais je bouge un peu sur ma chaise, car la position assise est peu confortable avec la double couche que je porte. Agathe à mes côtés s’en inquiète et me demande si je suis en train de faire pipi dans ma couche. Je fais non de la tête passablement agacée par sa remarque.

    Laure : « Tu as vu que la plupart de tes jeunes consoeurs du service portent des couches Sylvie, mais pas toutes. 5 filles de la nouvelle génération nous ont rejoints après avoir elles aussi porté des couches. Ce sont les plus intelligentes, certainement, en tout cas celles qui comme toi ont été curieuses de découvrir l’envers du décor. Les infirmières d’autres services que tu as pu connaître lors de ton premier séjour ne font pas partie de notre organisation, mais nous les employons et les rémunérons pour nous occuper de vous. Voilà, mon bébé, de quoi t’éclairer sur notre petite entreprise. Si nous avons choisi de t’en parler c’est que nous pensons qu’à terme tu as les qualités pour faire une bonne infirmière de bloc pour le service, mais aussi que tu nous rejoindras, quand tu auras grandi, comme l’on déjà fait certaines de tes collègues ».

    Sur ce Laure fait un signe à Agathe qui me retire la sucette de la bouche non sans m’avoir glissé à l’oreille que si je me mets à crier ou insulter qui que ce soit, celle-ci me sera immédiatement remise.

    Le silence règne dans la pièce, comme si tout le monde était en attente de ma réaction. Je prends deux secondes pour me raisonner et ne pas les insulter comme m’en a prévenu Agathe puis déclare :

    Sylvie « Je veux arrêter immédiatement ce jeu et rentrer à Toulouse ».

    Agathe me remet la sucette dans la bouche, alors même qu’il me semble ne pas avoir transgressé ses recommandations.

    C’est Murielle qui prend la suite de Laure.

    Murielle : « Ce n’est pas possible pour le moment mon bébé, c’est bien trop tôt. Si nous te remettions une culotte, il ne se passerait pas deux heures avant que tu ne te fasses pipi dessus ce qui serait fort embarrassant. Au-delà de ça, je te rappelle que tu es consentent à ce jeu, comme tu dis. Tu nous l’as même confirmé par écrit dois je te le rappeler ? »

    Je tombe des nues devant cette affirmation, mais déjà Murielle quitte la pièce et revient quelques instants plus tard avec un dossier sous le bras. Elle ouvre la chemise et me tend une feuille.

    Murielle : « C’est une copie de ton contrat de modèle par lequel tu nous cèdes tes droits à l’image pour que nous commercialisions tes photos et tes vidéos ».

    Je ne prends pas la peine de lire le contrat, mais je remarque juste qu’il y a bien ma signature au bas du document et je secoue énergiquement la tête pour signifier que je n’ai jamais rien signé de tel.

    Murielle : » Après mon bébé tu es encore petite et on ne se souvient pas toujours de tout à ton âge, c’est pour cela que tu es représentée par une avocate, Maître Alicia Vergne qui s’occupe de gérer ton petit cochon. D’ailleurs, elle souhaite échanger avec toi sur le contrat en cours, nous allons l’avoir en visioconférence dans quelques minutes ».

    Dans un parfait synchronisme, Lucie, qui s’était absentée, revient avec un ordinateur portable connecté sur zoom. Elle le place en bout de table pour que tout le monde puisse voir l’écran.

    Quelques instants plus tard, une femme d’une quarantaine d’années je dirai, jolie brune aux traits fins apparaît en vidéo assise son bureau, des dossiers pleins les étagères derrière elle, soigneusement rangées.

    Maître Vergne : « Bonjour, Mesdames, bonjour, Sylvie, ravie de vous avoir en ligne. Sylvie, j’avais besoin de vous avoir pour le contrat de modèle que nous avons conclu ensemble avec la société de Laure. Lorsque je vous avais vu au chalet en octobre dernier, c’était assez rapide et vous étiez assez fatiguée par votre rôle Sylvie, mais je me dois d’attirer votre attention sur les clauses du contrat. Je vois que vous êtes certainement, vu votre tenue, en plein tournage donc je vais être rapide. Le contrat initial que vous avez signé est prévu pour une durée de 1 an renouvelable avec une période d’essai de trois mois pendant laquelle les deux parties peuvent renoncer sans frais ni dédommagement. Votre période d’essais se termine donc samedi prochain. Si vous souhaitiez pour une raison ou une autre y renoncer, vous devez impérativement m’en informer et passer à mon bureau pour signature. Voilà c’était juste ce rappel que je voulais vous faire. Nous n’avons pas eu le loisir d’échanger sur votre collaboration en cours avec la société de Laure, mais on aura certainement l’occasion de le faire. Bref si vous avez besoin de mes conseils je suis à votre disposition. Bonne continuation et au revoir, mesdames ».

    À l’écoute de cette conversation surréaliste, je ne peux m’empêcher de réagir et je proteste malgré la sucette qui me bâillonne.

    Laure narquoise me dit que si je n’ai pas de souvenir de la signature de ce contrat, mon avocate elle s’en souvient parfaitement manifestement.

    Comme pour calmer ma colère, Murielle me tend un autre document.

    Murielle « Voici Sylvie ne dernier extrait de compte bancaire que ton avocate nous a transmis. Il s’agit du compte qu’elle a ouvert pour toi afin de recueillir la rémunération du contrat qui nous lie ».

    Je suis cette fois plus attentive au document et je découvre un extrait de compte bancaire à mon nom et mon adresse au Crédit Mutuel avec un solde de 4.500 euros.

    Je dois avoir une expression de visage qui doit marquer la surprise ou l’incrédulité, car Laure me précise que pour mon rôle de bébé je touche une indemnité forfaitaire mensuelle de 1.500,00.

    Laure ; « C’est ce qui est noté noir sur blanc sur le contrat que tu as signé mon bébé, mais nous te fatiguons certainement avec ses considérations d’adultes, je vais tout de même te rassurer sur ce point financier important pour ton avenir, tu auras certainement besoin de sous plus tard pour ta vie de grande ».

    Laure prend son téléphone et compose un numéro puis met sur haut-parleur et pose son portable sur la table devant elle.

    « Camille Viguié Crédit Mutuel Bonjour ».

    Laure : Bonjour madame Viguié, ici Sylvie Lekorvec, nous ne nous connaissons pas, mais mon avocate, maître Alicia Vergne à ouvert un compte chez vous pour moi en septembre dernier.

    Camille Viguié : « Oui bien sûr mademoiselle Lekorvec, Maître Vergne a plusieurs clientes dans ce cas chez nous, ravies de faire votre connaissance et de vous avoir au téléphone, que puis je pour vous ? »

    Laure : « Je ne sais pas où j’ai mis mes codes pour aller sur votre site et consulter mon compte, je vais remettre la main dessus, mais j’avais besoin de connaître le solde de mon compte ».

    Camille Viguié : « C’est possible, mais j’ai besoin de vous demander votre numéro de compte, de me redonner votre adresse ainsi que votre date de naissance ».

    Après que Laure ait donné les informations nécessaires :

    Camille Viguié : « Parfait, votre compte présente un solde créditeur de 4.500 euros et vous avez un virement créditeur en cours de 1.500,00 qui portera votre solde à 6.000,00 euros ».

    Laure : « Et bien je vous remercie j’avais juste besoin de cette précision. Au revoir ».

    Laure raccroche et me dit très sérieuse qu’en plus de la douce régression que je vis, je double mon salaire d’infirmière débutante chaque mois.

    J’ai des réponses, mais plus encore de questions, il est clair que je n’ai pas signé de contrat lors de mon premier séjour au chalet, je m’en souviendrai. Comme si elle lisait dans mes pensées, Laure sort de sa poche un flacon contenant un liquide qu’elle pose sur la table devant moi. Un lisant l’étiquette je frémis et comprends immédiatement, j’y lis juste trois initiales tristement célèbres GHB. Tout devient clair à cet instant.

    Laure : « Nous t’avions un peu forcé la main lors de ton premier séjour Sylvie, mais tu en as convenu ensuite c’était pour ton bien. Ici il en est de même afin que tu aies le juste fruit de ta contribution à notre aventure commune. Un dernier point : nos clients sont exclusivement japonais saches le et très discrets, tu ne risques pas d’être découverte en couches par une personne que tu pourrais connaître ».

    Manifestement la séance explication prend fin, car ces dames se lèvent et Agathe m’aide à le faire. Elle me prend par le bras et m’entraîne à la faible lenteur que me permet mon accoutrement vers l’escalier. Je regagne ma chambre guidée par Agathe, mais l’esprit ailleurs. Je suis partagée entre le sentiment d’avoir et floué et trompé, mais aussi une compréhension pour le combat « féministe » de mes aînées. Lorsque nous sommes dans le couloir, Agathe curieusement ne s’approche pas de la porte de ma chambre, mais poursuit le couloir et me fait rentrer dans la pièce aux caméras située entre la chambre d’Aude et la grande chambre du font. Je ne peux pas l’interroger sur ce choix à cause de la sucette dans ma bouche, mais elle me glisse à l’oreille qu’elle veut me faire part d’un petit retour d’expérience. Agathe me positionne face à la chambre d’Aude derrière la caméra en me précisant de ben faire attention à ne pas me mettre dans le champ de celle-ci. Elle se positionne derrière moi et me chuchote à nouveau à l’oreille.

    Agathe : « Il est l’heure du déjeuner et tu vas pouvoir voir ton amie Aude avec sa nourrice Coralie ».

    Effectivement quelques minutes plus tard, Coralie fait son apparition dans la chambre. Aude semble encore dormir même si nous la voyons bouger dans son lit. Coralie descend le montant latéral du lit de notre côté et y monte tout en attirant Aude qui émerge péniblement à elle. Comme le fait Agathe, elle défait son chemisier et son soutien gorge et présente son sein gauche à la bouche d’Aude. Celle-ci happe le téton goulûment et commence à téter avec entrain sous les encouragements de Coralie. Le sein gauche terminé elle passe d’elle-même sur le sein droit, les yeux mi-clos, la mine réjouie.

    Agathe : « Tu vois Sylvie, Aude est totalement dans son monde, elle est totalement dans sa régression sans limites et juste axée sur ses sensations et cela se voit, se ressent et je pense que tu le constates comme moi ».

    Coralie tapote affectueusement la couche d’Aude qui n’en prend pas ombrage, la tétée finit, elle acquiesce lorsque Coralie lui indique qu’elle va lui changer la couche en attendant qu’on ne lui monte son biberon. J’assiste au change de mon amie, dont le clitoris est désensibilisé, mais qui ne semble nullement être gênée par la double couche qui lui est remise. Je constate cependant un détail, je vois une sorte de dessin sur le devant de sa couche, la première, celle qu’elle a largement mouillée d’ailleurs. Je ne peux interroger pour le moment Agathe sur ce point, mais je le garde en tête. C’est Lucie qui apporte le biberon que Coralie donne dans la foulée à son bébé. Elle la rallonge dans son lit, lui fait une bise sur la joue et quitte la pièce après avoir refermé le montant du lit. Agathe me montre un des écrans situés sur le mur du fond de la pièce. Il s’agit de l’écran de contrôle qui diffuse l’image de la caméra située au-dessus du lit d’Aude.

     

    Agathe : « Regarde, elle va dormir sur le ventre les bras et les jambes écartées, comme affalées sur le lit. La position n’est pas innocente Sylvie, un bébé écarte naturellement les jambes et c’est pour cela que la couche d’Aude même importante ne la gêne pas ».

    Posant sa main sur mes fesses elle ajoute.

    Agathe : « Alors que toi qui portes la même en position debout es forcément gênée par cette couche, il faut remettre les choses dans leur contexte. On apprend très vite aux filles de serrer leurs jambes, mais c’est une erreur. Quand tu auras réalisé que tu es entourée de filles bienveillantes a ton endroit tu n’auras plu aucune difficulté à ce que ta couche soit visible, car c’est tout à fait normal à ton âge. Quand tu seras plus grande et que tu commenceras à porter des jupes, ce sera la même chose. Il n’y a que certains adultes coincés pour ne pas supporter la vue d’une petite fille les jambes écartées la couche ou plus tard la culotte bien visible. Il en est de même pour ta minouchette Sylvie. Il est naturel que ta maman ou tout autre adulte puisse la voir et en prendre soin lors des changes ».

    Agathe me fait maintenant me retourner pour découvrir ce qui se passe dans la grande chambre du fond. Je connais très bien la pièce qui n’a pas changé depuis mon séjour si ce n’est qu’il n’y a que deux grands lits à barreaux au lieu des trois que j’ai connus et pour cause, il n’y a que deux pensionnaires en stage 18 mois. Malgré leur tenue et la sucette qui leur barre la bouche, je reconnais facilement les deux nouvelles infirmières qui viennent de rejoindre notre service, Fleur et Hombline. Je l’ai constaté avec la chambre d’Aude, la pièce où nous nous trouvons est sonorisée. D’ailleurs Agathe appuie sur un bouton et nous n’entendons plus la chambre d’Aude, mais la grande chambre du fond. Nous sommes physiquement à environ 5 mètres d’elles je dirai et les barreaux du lit nous cachent un peu la vue. Agathe m’indique les deux écrans de contrôle sur le mur qui correspondent aux caméras au-dessus des lits des deux jeunes filles. On les voit mieux ainsi Fleur est allongée sur le ventre et semble dormir ; Hombline est sur le dos, bien réveillée et essaie de tirer sur le tissu de sa grenouillère au niveau de l’entrejambe, manifestement gênée par sa couche. Nous entendons distinctement même au travers de la grenouillère le bruit de plastique froissé de la couche de cette dernière.

    Bien que nous n’ayons pas entendu de pas dans le couloir, nous voyons et entendons la porte de la chambre qui s’ouvre livrant passage à Laure, Murielle et Lucie. Agathe me dit à l’oreille que la pièce où nous trouvons est insonorisée par discrétion et que personne ne peut nous entendre. Ici aussi c’est l’heure du déjeuner. Je constate qu’à l’entrée des filles, Hombline a cessé de tirer sur sa grenouillère, mais semble toujours aussi contrariée. Déjà les deux lits à barreaux sont ouverts, Fleur est réveillée en douceur par Lucie pendant que Laure et Murielle sont penchées sur Hombline.

    Laure : « J’espère que bébé Hombline va être sage pour une fois ».

    Dit-elle d’une voix douce à la jeune femme. Déjà les deux femmes font basculer Hombline sur le ventre pour détacher les boutons de sa grenouillère sur ses fesses. Elles la retournent ensuite et la prend chacune par un poignet pour l’aider à descendre de son lit tout en la tenant fermement. Hombline semble peu coopérative et elle est plus traînée vers la table de change qu’autre chose. Avec expertise Laure et Murielle lui attache les poignets et déjà enlève les jambes de la grenouillère d’Hombline découvrant la couche qu’elle porte en dessous. Les deux chevilles sont à leur tour attachées, immobilisant Hombline sur la table de change.

    Laure : « J’ai du mal a comprendre que tu veuilles rester dans une couche mouillée ma puce, tu seras bien plus confortable une fois changée ».

    Effectivement malgré les mouvements d’Hombline pour essayer de se détacher sa couche est maintenant ouverte. J’assiste à la scène en direct, Agathe me montre juste un écran ou je vois Hombline filmée par une caméra située juste à la verticale de la table de change. Je ne manque rien de son anatomie intime, son sexe est parfaitement rasé ne présentant pas l’ombre d’un poil. Laure lui change sa couche et met ostensiblement une couche droite supplémentaire dans le change-complet d’Hombline, certainement pour lui signifier que son manque de coopération lui voudra une couche encore plus épaisse. La jeune femme changée et sa grenouillère remise en place c’est au tour de Fleur de l’être aussi. Cette dernière sans montrer d’enthousiasme débordant à l’être montre moins d’agacement et moins de résistance même si elle aussi est immobilisée sur la table de change. L’opération effectuée, les deux jeunes femmes sont escortées, manifestement en direction de la cuisine pour leur déjeuner.

    Agathe me dit d’attendre qu’elles soient passées pour que nous aussi allions me donner le déjeuner dans ma chambre. Nous quittons la pièce et regagnons ma chambre. Agathe s’installe dans le lit et m’aide à me mettre en position pour la téter. Je me sens plus détendue même si la matinée a été riche en émotions. Agathe me retire ma sucette et me guide vers son sein gauche. Je le téter sans doute pour la première fois plus sereinement. Agathe qui a certainement une grande sensibilité me félicite.

    Agathe : « Voilà un bébé qui est heureux de téter le sein de sa maman, j’en suis ravie ».

    Je tête avec entrain, mes efforts sont récompensés par un lait qui arrive par petits jets dans ma bouche et même le goût me semble plus acceptable.

    Je passe sur le sein droit et croise le regard attendri d’Agathe au passage.

    Je suis encore sur le sein droit lorsque j’entends la porte de la chambre s’ouvrir et Murielle qui vient apporter le biberon. J’ai les yeux mi-clos et cette dernière me caresse délicatement la joue me trouvant très épanouie au sein d’Agathe.

    Après le sein, j’enchaîne sur le biberon puis le change d’une couche à nouveau mouillée.

    Le change achevé je suis sur le ventre, car Agathe vient de refermer sur le haut de mes fesses les boutons de la grenouillère. Elle me prend le bras droit et l’écarte sur le lit, fait de même avec mon bras gauche, je me laisse faire. Elle écarte ensuite mes jambes largement, de la même façon. Elle se penche sur moi et me glisse à l’oreille.

    Agathe : « Dans cette position tu remarques mon bébé que la couche n’est plus un problème, car elle n’est pas compressée par tes jambes. Bien sûr tu ressens sa présence, mais juste pour te rassurer sur le fait que tu ne te réveilleras pas de la sieste dans un lit trempé. ».

    Elle se propose ensuite de me masser un peu le dos pour avoir un endormissement en toute quiétude. Agathe s’est donc assise à côté de moi et commence un doux massage sur mon dos. C’est agréable et relaxant et je ne tarde pas à m’endormir.

    À mon réveil de la sieste, ma couche est mouillée, mais je ne m’en soucie pas. J’apprécie à nouveau de téter les seins d’Agathe, étonnée moi-même par ce changement, comme quoi tout se joue dans la tête. Je suis cependant frustré de ne pas pouvoir lui parler, échangé avec elle, car j’ai toujours ma sucette en permanence dans la bouche. Au moment du change, Agathe m’indique que je vais être baignée. J’ai été jusqu’à présent surtout été très nettoyée a l’entrejambe et il est vrai que ce n’est pas mon activité physique qui m’a rendue sale, mais j’apprécie la perspective d’un bain. Murielle est venue assister Agathe, les deux femmes m’enlèvent la grenouillère puis le body me laissant nue comme un vers, mais cela ne m’affecte pas. Elles m’enfilent chacune sur les mains des moufles plastifiés sans doute pouvant supporter l’eau et c’est toujours avec la sucette dans la bouche et escortée des deux femmes  que je prends la direction du couloir. La dernière porte sur la droite donne accès à une vaste salle de bain avec une grande douche à l’italienne et une très grande baignoire. Celle-ci est déjà remplie d’eau chaude et d’objets de bébés, un petit bateau, un canard et autres jouets. Les deux femmes m’aident à monter dans la baignoire et m’y allonger. Agathe m’indique que je peux jouer un peu dans le bain et qu’elle revient ensuite pour me savonner. Le bain me fait du bien, mais pas facile ne serait-ce que d’attraper les jouets flottants avec les moufles, je comprends la frustration des bébés dans les mêmes circonstances.

    Agathe revient assez vite pour me laver les cheveux et le corps avant que l’eau ne refroidisse trop. Elle me sèche puis me ramène à ma chambre. Elle me remet en couche, body et grenouillère et me laisse jouer dans mon parc. Le soir venu, je suis à nouveau nourri et changé, Agathe m’indique qu’es les bébés ont besoin d’un rythme régulier dans leurs activités qui les rassure. Elle me pose un tendre bisou sur la joue avant de me quitter et d’éteindre la lumière derrière elle.

    Nous sommes déjà mardi, le temps passe vite avec les larges sommeils et les siestes. La journée se passe tranquillement aux doux soins d’Agathe et des autres filles qui sont très prévenantes avec moi. Il en est de même les jours suivants jusqu’au vendredi. Pendant toute la semaine, je n’ai pas croisé Aude, mais Agathe m’en a donné de bonnes nouvelles.

    Devançant les questions que je ne peux pas lui poser, elle m’indique que Fleur se fait petit à petit à sa nouvelle vie de bébé, mais qu’Hombline ne décolère pas et est toujours aussi peu coopérative. Elle ajoute comme pour ne pas m’inquiéter que l’équipe a bon espoir de garder les deux jeunes femmes en couches et au bloc à l’issue de leur séjour, les bébés les plus rebelles au départ n’étant pas parfois les moins motivés ensuite.

    En ce vendredi matin comme je l’ai été lundi, je suis invitée à rejoindre la salle à manger pour ce que j’ai nommé le « grand conseil ». Je suis à nouveau entourée de toute l’équipe. Les visages sont moins graves que lundi, très souriants même. Laure qui mène manifestement l’équipe me félicite pour les très bons retours qu’elle a d’Agathe sur notre relation.

    Laure : « Comme tu l’as compris Sylvie, nous allons t’accompagner sur une période initiale d’un an, mais la période d’essais de notre contrat expire demain. De notre côté nous sommes toutes très heureuses de t’avoir avec nous et de pouvoir te faire aussi une place dans l’équipe lorsque tu seras grande. Cependant le choix t’appartient et ton avocate tient à avoir ta confirmation eu égard à l’engagement que représente ce contrat. Pour ton information, elle sait que nous faisons des photos et vidéos fétichistes sur la régression, mais nullement que tu es en couches permanentes. Lorsqu’elle t’a vu pour la signature du contrat ici même tu étais en tenue de ville, elle ne t’a jamais vu en bébé sauf lundi dernier. Nous l’avons choisi, car c’est une avocate réputée de la place de Toulouse et nous avons une connaissance commune, mais elle ne fait pas partie de notre organisation. Elle veut un échange en visioconférence seule à seule avec toi pour que tu lui confirmes que tu continues notre collaboration. Nous allons donc faire une pause dans ta vie de bébé le temps de cette visioconférence, tu seras en direct, tu lui donneras ta position et nous accueillerons ton choix en le respectant. Agathe, peux-tu raccompagner Sylvie à sa chambre et l’aider à se changer ? ».

    Agathe : »volontiers ».

    Déjà nous remontons dans ma chambre ou une panière avec mes habits de rechange se trouve. Agathe m’aide à enlever grenouillère et body. Elle me précise que je dois garder ma couche, car elle ne veut pas que je me mouille en pleine vision. Elle me remet soutient gorge chemisier jupe et pull, des escarpins aux pieds et je redescends ainsi jusqu’au salon. Laure m’indique la bibliothèque et m’installe dans un fauteuil face à l’ordinateur posé sur une table basse. Elle me précise que la vision commence dans 15 minutes pour avoir encore un peu le temps de faire un choix.

    Beaucoup d’idées se bousculent dans ma tête, mais le sentiment qui prédomine c’est celui d’avoir été bien comprise et cernée par ces femmes qui sont aussi mes collègues. Si je suis objective avec moi-même c’est vrai que je suis encore pas plein de côtés très immatures, l’énurésie n’y étant certainement pas étrangère et que cela gâche considérablement ma vie. Là, avec elles, j’ai le sentiment d’être comprise et de pouvoir assumer ce retour à l’enfance malgré ces contraintes.

    J’en suis là de mes réflexions quand le visage de maître Alicia Vergne apparaît à l’écran.

    Maître Vergne : »Bonjour, Sylvie, comment allez-vous ? »

    Sylvie : « Bien maître merci ».

    Maître Vergne : « Merci d’avoir accepté ce rendez-vous. Vous savez que je défends les intérêts de plusieurs modèles comme vous qui collaborent avec l’entreprise de Laure. Je sais que c’est une personne sérieuse et de confiance, mais son business est tout de même assez particulier. Je n’ai pas de soucis à défendre vos intérêts, mais j’aurai eu plus de mal à être le conseil de l’entreprise je pense, enfin bref je tenais à vous avoir en ligne pour que vous me confirmiez que vous poursuivez votre contrat ».

    Sylvie : « Je comprends maître, mais je vais poursuivre ma collaboration avec Laure et son équipe ».

    Maître Vergne : « Très bien Sylvie. Le contrat est fait par tacite reconduction, je reviens vers vous un mois avant son échéance pour avoir votre avis sur sa reconduction et d’ici la bonne fête de fin d’année ».

    Sylvie : « Merci Maître à bientôt ».

    Je coupe la conversation et me lève pour rejoindre le salon. J’allais parler lorsque Laure met son doigt devant la bouche et déjà Agathe me remet la sucette dans la bouche. Je suis un peu vexée, mais Laure se justifie en me disant qu’on doit le moins possible m’embêter avec des choses de grande, mais que là c’était important. Elle me demande juste si je continue l’aventure et je hoche la tête pour lui dire oui.

    Laure ; « Merci pour ta confiance Sylvie nous sommes touchées, nous allons bien nous occuper de toi ».

    Elle fait ensuite un signe à Agathe qui me prend par le bras et me raccompagne à ma chambre. Je suis vite remise en tenue de bébé, mais plutôt que de me laisser jouer dans mon parc Agathe me propose de la suivre et m’aide à marcher jusqu’à ce que j’appelle les salles espions, en l’occurrence celle placée entre ma chambre et la grande chambre du fond ! Fleur et Hombline semblent dormir, mais Agathe me place devant les écrans de contrôle. Elle se place dans mon dos pour me parler à l’oreille.

    Agathe : »Je vais de montrer une petite séquence vidéo tournée hier soir après le dîner de Fleur et Hombline ».

    Effectivement je découvre à l’écran les images prises par la caméra au-dessus du lit d’Hombline, cette jolie brune qui affole déjà nombre de chirurgiens. En fois la lumière de la chambre éteinte et seule dans son lit cette dernière commence manifestement a tenter de se caresser au travers de la grenouillère et de la couche, la caméra capte parfaitement le bruissement de cette dernière malmenée. Des bruits parviennent aussi du second lit et la vidéo passe sur la caméra à la verticale du lit de Fleur qui est dans une manouevre similaire. On entend très distinctement les jurons étouffés par les sucettes et les efforts faits par les deux jeunes femmes pour parvenir sans succès à leurs fins.

    Me laissant regarder, gênée la vidéo, Agathe me commente les images.

    Agathe : « Comme toi je l’imagine mon bébé, Fleur et Hombline ont un rapport très contrasté avec les couches. Elles sont toutes les deux souffertes d’énurésie et ont du porter des couches la nuit depuis toutes petites. Fleur en porte encore quand Hombline n’en porte plus en permanence la nuit, mais épisodiquement lorsqu’elle est très fatiguée par sécurité. Donc pour elles les couches sont synonymes de contrainte, d’absence de séjours prolongés en dehors de la maison et de difficultés à fidéliser un petit copain notamment. C’est plus difficile encore pour Hombline d’en reporter quand elle a réussi à vaincre difficilement son énurésie.

    Cependant, c’est bien langé qu’elles ont toutes les deux commencé à se caresser le soir dans leur lit. Compliqué de découvrir ses sensations avec une couche en travers des jambes. Certaines peuvent donc associer leurs plaisirs naissants au port de couches, mais c’est assez rare. Souvent les jeunes filles culpabilisent de ses caresses intimes, craignent que leurs couches malmenées ne soient plus suffisamment ajustées et qu’elles aient des fuites le lendemain matin.

    Alors, comment interpréter l’attitude de Fleur et Hombline ? Et bien quand comme moi elles ont du lutter pour développer leur féminité malgré le côté régressif des couches qu’elles ont du porter, elles sont forcément très sensibles voir susceptibles sur le sujet. Quand, comme en ce moment, on les replonge dans cette régression, elles cherchent à résister et à garder tout ce qu’il a de femmes adultes en elles. Elles cherchent donc à se rassurer sur leur statut en recherchant leur plaisir de femmes. On a beau leur désensibilise le clitoris, elles essaient de projeter mentalement dans un univers adulte et sexué. Pour autant, elles ont grandi trop vite et restent très immatures sur beaucoup de plans ».

    Toujours dans mon dos Agathe pose sa main gauche sur ma poitrine et sa main droite sur le devant de ma couche. Toujours à mon oreille elle me dit :

    Agathe : « Nous aurons bien le temps de te faire découvrir les capacités de ton corps lorsque tu seras grande Sylvie, mais laisses toi le temps de cet apprentissage dont on t’a privé. Sache aussi que dans les premières filles qui sont entrées et restées dans le programme avec succès, elles ont toutes réussi à soigner leur énurésie et vivent désormais sans couches ».

    À ces mots je frissonne, car c’est vrai que c’est mon souhait ultime.

    Agathe : « Tu les connais d’ailleurs, ce sont tes collègues que tu n’as pas vu porter de couches au bloc. Je te fais cette confidence pour te conforter dans le choix courageux que tu viens de faire. Mais attention pour le moment on se focalise juste sur ces sensations mon bébé sinon rien ne se passera. Je hoche la tête pour l’approuver ».

    À ces mots je visualise tout de suite les 5 collègues en question et cela me fait un bien fou. Sur ces douces paroles. Agathe me ramène dans ma chambre et me laisse dans mon parc. Les mots d’Agathe ont été d’un grand réconfort et c’est vrai que je ne vois plus ma condition et les couches que je porte de la même façon. Sur ces conseils j’écarte plus largement les jambes et cela change déjà mes perceptions. La seule ombre au tableau c’est que nous sommes déjà vendredi et que je sais que nous devons rentrer à Toulouse dès dimanche.

    Nouvelle surprise, le vendredi soir, Laure et Murielle accompagnent Agathe et viennent me retrouver dans ma chambre. Elle me fait asseoir dans mon lit et m’informe qu’Aude a fait le même choix que moi. Pour le moment, elle a une attitude qui laisse à penser qu’elle pourra peut-être rejoindre l’organisation à terme, mais elle n’a en rien découvert les mêmes choses que moi. Il m’est du coup demandé de respecter son innocence et de ne pas l’en informe pour le moment. Je hoche la tête pour marquer mon approbation. Une autre surprise de taille m’attendait.

    Laure : « Tu te doutes Sylvie qu’une semaine c’est bien trop court pour retrouver pleinement ses sensations de bébés, mais suffisant pour faire un choix ce qu’Aude et toi avez fait. Vous resterez donc ici 5 semaines supplémentaires. Officiellement Astrid la DRH vous a envoyé en stage au CHU de Clermont-Ferrand, pour le reste Murielle et Lucie géreront vos mails et messages pour que vous ne soyez pas dérangées. Coralie et Agathe sont ravies de vous accompagner ».

    À ces mots je ne peux réprimer des larmes entre joie et émotions. Agathe me prend dans ses bras et me voyant tout ému propose de me calmer au sein. Laure et Murielle tout sourire se retirent de la chambre pendant qu’Agathe me guide vers son sein gauche.

    Agathe : « On est un peu chamboulée mon bébé c’est bien normal, mais tu vois au se donne le temps d’avoir un allaitement suffisamment long et c’est une chance, comme cela le sevrage se fera tout en douceur ».

    Comme si ce mot avait résonné en moi je tête de plus belle le sein d’Agathe. Cela la fait sourire.

    Agathe : « Ne t’inquiète pas mon bébé maman est encore là avec toi pour de longues semaines ».

    Après la tétée, sans doute un excès d’émotion, mais je m’endors finalement sur le biberon sans le souvenir d’avoir été changée.

    Le lendemain, Coralie et Agathe décident de nous faire faire chambre commune avec Aude. Mon lit est du coup installé dans la chambre de cette dernière qui est largement assez grande pour nous accueillir toutes les deux. Je retrouve avec plaisir Aude qui s’entend manifestement à merveille avec Coralie comme moi avec Agathe. Nous avons logiquement le même programme et pouvons jouer dans le parc ensemble dans la limite de notre faible dextérité à attraper quoi que ce soit. Aude est une fille très sensible et parfois les émotions la submergent et elle se met à pleurer, mais elle est vite réconfortée par Coralie qui la met au sein pour l’apaiser.

    Les journées défilent je ne sais plus d’ailleurs quel jour nous sommes. Lucie Laure et Murielle sont reparties pour Toulouse et trois autres infirmières du CHU ont pris leur relais. C’est parfois elles qui nous changent, nous baignent ou nous donnent le biberon pour soulager un peu Coralie et Agathe très sollicitées. Toutes mes réticences appréhensions et réserves sont tombées, je suis pleinement habituée à ma condition de bébé et suis presque angoissée dans le bain quand je ne sens pas la présence douce et rassurante de ma couche. Je n’ai plus, me semble-t-il, aucun contrôle sur ma vessie de jour comme de nuit, mais peu importe.

    Une nouvelle équipe d’infirmières rejoint le chalet dont Alix, qui est une des anciennes dans la jeune génération qui a rejoint le CHU. Elle est au bloc depuis 6 ans et fait partie de celles qui me semblait-il ne portaient pas de couches. J’en ai la confirmation avec sa venue.

    Aude est en train de prendre son bain du soir pendant que je rêvasse dans mon lit. Alix entre dans la chambre et vient me faire un brin de causette en attendant que cela soit mon tour d’occuper la salle de bain.

    Alix : « Bonsoir bébé Sylvie, je suis très heureuse de venir m’occuper de toi, tu sais . On s’est croisé dans le monde des grands, mais je te trouve bien plus épanouie ici. Je l’écoute ne pouvant échanger avec elle à cause de la sucette. Tu ne le sais peut-être pas, mais moi aussi j’ai passé ma deuxième enfance ici tout comme toi ».

    À ces mots je suis mi-surprise mi-intriguée d’avoir son retour d’expérience et fait tout mon possible pour marquer sur mon visage tout l’intérêt que je porte à ses paroles.

    Alix : » J’ai été prise en charge par Laure et toute son équipe déjà à l’époque. Je n’étais pas un bébé facile au début, paraît-il, mais tu vois il ne faut pas désespérer, car je suis devenue une jeune femme plutôt épanouie, je crois. Cela a pris du temps, sais-le j’ai mis deux ans avant d’être propre le jour et pouvoir mettre une culotte et un an de plus a être propre la nuit, mais finalement cela a été plus rapide que la première fois somme toute ».

    Avec naturelle Alix, soulève sa jupe et me dévoile une jolie culotte de dentelle blanche.

    Alix : « Tu vois maintenant je porte de jolies culottes sexy ».

    Elle est assise au bord du lit et me pose la main sur le devant de la couche moi qui suis toujours allongée sur le dos.

    Alix : « Je te dis cela, mais je sais que tu es bien habituée aux couches et qu’elles te sont nécessaires mon bébé c’est bien normal, juste pour que tu saches que tu seras grande aussi un jour comme moi. Je vais te préparer et on va aller prendre le bain ensemble que nous fassions un peu plus connaissance ».

    C’est donc Alix qui me baigne une fois Aude sortie du bain. Lorsque le bain est achevé, je regagne ma chambre. Aude a déjà tété et elle boit son biberon. Alix m’aide à monter dans mon lit ou Agathe m’attend pour la tétée. Elle reste assise au bord du lit pendant que je téter le sein d’Agathe et me caresse la joue.

    Alix : »c’est un adorable bébé ! »  fait-elle à Agathe

    Agathe : « Je te confirme Sylvie est très mignonne et absolument pas capricieuse, elle mange bien et facilement ».

    La tétée finie c’est Alix qui prend la place d’Agathe pour me donner le biberon. Celui-ci achevée, elle m’allonge sur le ventre, corrige la position de mes jambes en peu plus écartées puis remonte le monta du lit a barreaux non sans m’avoir posé un tendre bisou sur la joue.

    Alix : « Bonne nuit les puces » parlant collégialement a Aude et moi avant que quitter la chambre et d’éteindre la lumière.

    Les jours passent, c’est donc Alix et Agathe qui s’occupent de moi principalement. Pour Aude, Carolie est toujours sa nourrice et c’est une autre « jeune infirmière » Nathalie qui l’assiste.

    Ma seule véritable frustration c’est de ne pas pouvoir parler. Non pas que je sois extrêmement bavarde, mais là c’est zéro droit à la parole à l’identique d’un bébé certes, mais c’est assez compliqué pour les échanges. Cela suppose par contre de développer d’autres sens comme l’observation et l’écoute. J’ai cependant la nostalgie des soirées pyjama avec Aude ou nous papotions tard dans la nuit. La nous partageons la même chambre, mais impossible de se parler. Je la vois cependant heureuse et c’est déjà beaucoup.

    Le temps s’écoule et j’ai définitivement perdu le compte des jours.

    Un jour en début d’après-midi je vois revenir Laure, Murielle et Lucie dans notre chambre à la fin du déjeuner. Les trois femmes nous font la bise à Aude et moi et Laure indique à Alix, qui me donne le biberon de me faire ensuite descendre à la salle à manger.

    Pour moi l’évocation de la pièce signifie que je vais avoir des informations sur la suite et c’est impatiente que je descends prudemment les marches de l’escalier avec l’aide d’Alix. Je suis assise à ma place habituelle, face à moi, Lucie, Murielle et Laure. Alix et Agathe m’encadrent.

    Laure : « Nous sommes très heureuses de te retrouver en bonne forme mon bébé. Ton séjour prend fin dans trois jours, tu vas rentrer à Toulouse avec nous, officiellement tu es de retour de stage au CHU de Clermont-Ferrand. Par contre petit changement, ce n’est plus Murielle qui va s’occuper de toi, son rôle auprès de toi est terminé, mais tu vas être installée chez ta nouvelle maman ici présente Alix. Je crois que vous vous entendez bien et Alix a accepté de t’adopter pour te guider vers l’âge adulte. Elle te l’a dit, elle sait très bien ce que c’est pour l’avoir vécu elle-même et elle sait très bien s’occuper des bébés pour l’avoir déjà fait une première fois. Tu retrouveras ton poste au CHU, car tu dois continuer à apprendre ton métier de grande, mais se sera ta seule parenthèse adulte dans ton emploi du temps, pour le reste tu seras un adorable bébé puis une certainement très gentille petite fille. Tu auras l’occasion de nous voir régulièrement au travail et en dehors du travail. Alix te donnera toutes les informations nécessaires. Agathe, tu as trois jours pour sevrer Sylvie et la passer exclusivement au biberon, mais je sais que tu sais le gérer ».

    L’entretien est déjà terminé et toujours pas la possibilité de poser la moindre question. Déjà Alix se lève et m’entraîne vers l’étage. Dans la chambre Aude est sur pied et descend à son tour à la salle à manger.

    Alix me fait monter dans mon lit et allonger sur le dos. Tout sourire elle se penche vers moi.

    Alix : « Je suis très heureuse saches le mon bébé que Laure t’ait confié à moi. Tu verras je sais bien m’occuper des bébés, je viens de terminer l’éducation de Chloé que tu connais et qui travaille avec nous au bloc. Je crois pouvoir dire que tu as de la chance Sylvie, car je ne suis pas une maman célibataire, je vis avec mon amoureux Loïc qui sera un formidable papa pour toi mon bébé ».

    À ces mots je dois faire une tête étonnante qui fait sourire Alix.

    Alix : « Ne t’inquiète pas il est très au courant de ce que vous vivez, il m’a connu quand j’étais encore bébé, c’est un ami de Laure et de Murielle. Il m’a beaucoup aidé à devenir grande et c’est une vraie chance pour toi Alix d’avoir un papa et une maman, tu verras c’est très complémentaire. C’est un papa moderne qui sait donner le biberon et changer les couches, il viendra nous chercher samedi pour nous ramener à la maison, ta chambre est déjà prête ».

    Sur ces paroles étonnantes, Alix me fait une bise et me laisse pour la sieste. Comme je devais assister au conseil, mon biberon était certainement dépourvu de somnifère et je suis donc éveillée et allongée dans mon lit. Les dernières informations reçues m’ont encore prise au dépourvu, j’avoue que je ne m’y attendais pas. L’élément qui me perturbe le plus c’est la présence de ce Loïc qui m’est encore inconnu.

    Dans les jours qui suivent, je suis allaitée un repas sur deux par Agathe qui vient me dire au revoir le vendredi soir.

    Agathe : « J’ai été très heureuse de te nourrir et m’occuper de toi mon bébé, je te souhaite de bien grandir ».

    Sur ces paroles elle me bise tendrement et quitte la chambre.

    #84150
    Lily18
    Participant


    Trop pressé qui est une suite !

    #84231
    Victor
    Participant


    Dans la lignée des épisodes précédents, on continue de suivre la régression et les « malheurs » de Sylvie.

    Les infirmières menant la danse sont semble-t-il sans limites. Les verra-t-on se prendre une fessée dans la suite ? Ce serait sympa pour égayer un peu la vie des petites demoiselles sages en régression totale.

    Au plaisir !

    #87783
    PetitePeste
    Participant


    Par curiosité, j’ai lu en diagonal. Autant syntaxiquement parlant, y’a pas grand chose à redire, autant je suis la seule que ça choque l’utilisation excessive de drogue dont du GHB et la négation complète de la notion de consentement ?? C’est peut-être ouvert à débat, mais autant on est sur un forum 18+, autant les faits de cette fiction sont quand même vachement peu légaux et carrément glauque Oo

4 sujets de 1 à 4 (sur un total de 4)
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