CHU de Toulouse Purpan Chapitre 3
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Anonyme, le il y a 2 années et 4 mois.
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- 27 décembre 2022 à 12:13 #84110
Anonyme
InactifChapitre 3
La semaine s’écoule sur le même rythme jusqu’au samedi matin où nous préparons nos sacs pour partir dans les Pyrénées rejoindre Laure que Murielle m’a présentée dans la semaine à l’hôpital et quelques autres infirmières que je ne connais pas. J’observe Murielle faire sa valise et il me semble bien qu’elle n’ait pas pris de couches à mon intention dans ses affaires. Je me garde bien de lui en faire la remarque et j’en viens à espérer avoir l’occasion de faire un break avec les couches durant le week-end. Pourtant, comme de coutume, je suis à nouveau changée avant que nous ne prenions la route, étrange.
Le trajet pour rejoindre Luchon n’excède pas 2 heures, quasiment que de l’autoroute, nous grimpons maintenant dans la montagne sur une petite route puis prenons à gauche un chemin de terre. Je réalise qu’en hiver l’accès au chalet doit être particulièrement difficile. Nous arrivons finalement devant un grand et beau chalet de bois. Trois voitures sont déjà garées devant, nous ne serons pas seules. Laure nous attend sur le pas de la porte, nous fait la bise et nous invite à entrer je passe la première et sur les indications de Laure je prends le couloir en direction du salon. Lorsque j’arrive à l’entrée du vaste salon, le spectacle qui s’offre à moi est saisissant. Dans un réflexe je fais demi-tour pour regagner l’entrée, mais la porte s’est refermée sur Laure et Murielle tout heureuses de lire sur mon visage que leur surprise a parfaitement fonctionné.
Laure me prend par le bras et me ramène en direction du salon. Je vais te présenter Sylvie ne soit pas si timide, en plus nous sommes entre nous, car il n’y a ici que des infirmières du CHU. Effectivement, maintenant que Laure me l’a précisé, je reconnais dans les quatre femmes occupant la pièce deux d’entre elles qui travaillent dans mon service. Ma surprise ne tient pas en la présence de ces jeunes femmes dans ce chalet, mais plus à la tenue et la posture de deux d’entre elles. En effet, deux jeunes femmes, de mon âge je dirai, sont assises au centre de la pièce sur un vaste tapis. Elles sont habillées toutes les deux de grenouillères de coton rose pour l’une, mauve pour l’autre. Une large bosse à l’entrejambe et leurs jambes écartées ne laissent aucun doute sur le fait qu’elles portent chacune une large et épaisse couche sous leur grenouillère. Tous deux ont également une sucette dans la bouche maintenue par un élastique placé sur leur nuque.
Pour compléter le ridicule de la situation, le tapis est une sorte de grand tapis d’éveil pour enfants avec des dessins d’animaux et une large caisse de jeux pour enfants se trouve placée devant elles, ainsi que des livres et des cubes. Les deux autres femmes plus dans la trentaine comme Laure et Murielle, elles habillées tout à fait normalement, se lèvent de leurs fauteuils où elles étaient en train de discuter pour venir me faire la bise. Laure en parfaite maîtresse de maison fait donc les présentations. Les deux femmes s’appellent respectivement Lucie et Jeanne. Lucie travaille dans le même bloc que Murielle et moi, elle me présente toute fier, Aude son “bébé”, à savoir la jeune fille en grenouillère rose qui travaille aussi avec nous et que j’ai reconnue malgré son accoutrement. L’autre “bébé” s’appelle Marie et sa “maman” n’est autre que Laure.
Je reste interdite devant cette scène surréaliste, mais déjà Laure et Murielle, qui à récupérer dans la voiture mes affaires m’entraînent vers l’étage du chalet.
Laure me précède et Murielle me suit également accompagnée de Lucie qui s’est jointe à nous. Le couloir dessert manifestement de nombreuses pièces qui doivent être les chambres et salles de bain. Au bout de celui-ci Laure ouvre une porte et nous entrons dans une vaste pièce plongée dans l’obscurité. Lorsque Laure allume enfin la lumière, je reste sans voix. La pièce est immense, je dirai une bonne cinquantaine de m2, mais surtout entièrement meublée et décorée comme une chambre d’enfant à la différence que les meubles sont à taille adulte. Cette vaste pièce dispose ainsi de trois lits à barreau alignés les uns à côté des autres et un peu à l’écart d’un lit d’hôpital reconverti en table à langer “géante” si j’en juge par la desserte positionnée à côté et qui regorge de couches, de lingettes,
de crèmes et autres tubes. C’est proprement hallucinant, tout, dans les moindres détails a été récréé pour faire de cette pièce la réplique d’une véritable chambre de bébé.
Les trois jeunes femmes m’observent manifestement amusées de la surprise complète qui est la mienne. Mon regard se pose à nouveau vers les lits à barreau et je constate sur la rambarde de celui de droite qu’est posée une grenouillère identique à celle que portent Aude et Marie, mais de couleur jaune. Je me retourne vers Murielle et lui dis qu’il n’est pas question de continuer ce petit jeu ainsi, hors de question de me travestir moi aussi en bébé. Murielle très posément comme à son habitude, m’explique comprendre parfaitement mon attitude, mais que à nouveau je me posais des limites ridicules et que j’allais prendre beaucoup de plaisir à cette expérience. Laure enchaîna en m’expliquant que tout ici a été pensé pour retrouver cette période si agréable d’insouciance de l’enfance et que l’on s’occupera particulièrement bien de moi. Je ne suis pas du tout réceptive à cette idée et ces dames le sentant, sans plus me laisser d’alternative, Murielle et Laure m’attrapent par les bras et m’entraîne vers le curieux lit d’hôpital du fond de la pièce.
Je me débats tout en protestant, mais en vain, car je n’arrive tout juste qu’à freiner mon arrivée à destination. Lucie nous a précédés et actionne des leviers sur un pupitre de commande placé au pied du lit. Celui-ci si est électrique et Lucie commence par le baisser pour que Laure et Murielle puissent m’y allonger plus facilement. Elle actionne maintenant une autre manette et aux quatre coins du lit surgissent des sortes de potences munies de cordes dont les extrémités sont composées d’une attache destinée à emprisonner poignets ou chevilles. Je comprends vite que je vais être immobilisée sur ce drôle de lit, mais impossible d’échapper à la double emprise de Laure et Murielle qui me tiennent chacune par un bras et qui m’oblige maintenant à m’allonger sur le lit.
Lucie en fait le tour pour attacher chacun de mes poignets, puis revenant à son pupitre elle actionne une nouvelle manette qui tend les cordes, écartant ainsi mes bras largement. Ceci fait Laure et Murielle peut maintenant agripper chacune mes jambes afin de les immobiliser de la même façon. Elles me lâchent, lorsque Lucie ayant tendu les cordes reliées aux attaches des chevilles, c’est assuré de ma parfaite immobilisation, les bras et les jambes en croix et moi au milieu de ce large lit. J’essaie vainement de tirer sur mes liens, mais ceux-ci sont solides et je dois vite renoncer. Du coup, même si je sais que c’est en pure perte je demande à Murielle de renoncer et de me détacher. Celle-ci que mes appréhensions seront vite effacées et m’indique qu’elle reviendra me voir dans une heure pour voir si je me suis calmée. Ces mots me font enrager et je puise largement dans la liste de mes injures pour lui dire ce que je pense de la situation, mais imperturbables, les trois femmes quittent la pièce, me laissant seule attachée sur ce lit démoniaque.
Je m’en veux terriblement de n’avoir rien vu venir de tout cela et plus généralement d’avoir accepté l’offre de Murielle de m’installer chez elle. Il est vrai que c’était bien tentant, car je disposais d’un vaste appartement tout en pouvant porter mes couches la nuit sans en faire un secret. C’était presque trop beau et une semaine plus tard me voici dans un chalet au fond des Pyrénéennes, une couche sur les fesses (je l’avais presque oubliée) et attachée sur un lit étrange dans une chambre pour bébés adultes !!! Quel parcours !! Une heure plus tard, je pense, car je n’ai pas l’heure, mais cela m’a paru long, Laure et Murielle font à nouveau leur apparition dans la chambre. Elles observent que je suis bien toujours attachée au lit, mais le contraire aurait été surprenant et que dorénavant je ne me débats plus avec mes liens (lasse d’avoir essayé je dois bien le dire).
Murielle m’indique qu’elle ne m’en veut pas pour mon attitude (il ne manquerait plus que cela !), mais que je dois maintenant me montrer raisonnable pour ne pas rendre les choses plus compliquées. Tu as bien compris, me dit-elle, qu’il n’y a aucun moyen pour toi d’échapper à ta régression, profites-en donc pleinement ma chère Sylvie. Devant mon silence, elle poursuit sur un ton plus sec, que mon
confort dépendra aussi de ma docilité. Le propos est évasif, mais dans ma situation je comprends qu’il vaut mieux coopérer pour le moment en tout cas. Murielle me sentant résignée à mon sort m’explique que j’ai dorénavant 18 mois et que vais être préparée en conséquence. Tu as de la chance me dit-elle, car tu as de copines avec lesquelles tu vas pouvoir jouer et qui ont ton âge.
C’est vrai que toute à mes sombres pensées, j’ai complètement oublié Aude et Marie et je me demande bien comment elles aussi ont “atterris” ici et partage ma triste situation. Chaque chose en son temps. Murielle prépare les affaires qui me sont destinées. Elle commence par passer autour de la tête l’élastique tenant la sucette. Celle-ci est mise dans ma bouche, agissant comme un bâillon. Ceci-fait Laure actionne les commandes du lit afin de donner du mou sur les liens retenant mes jambes. Les deux femmes chacune sur une cheville me détachent. Murielle, placée au pied du lit se penche pour déboutonner mon pantalon, descendre ma fermeture éclair. Dans un parfait synchronisme les deux femmes tirent maintenant chacune une jambe du dit pantalon et me l’enlève prestement. Ma couche apparaît, son léger desserrement et l’effacement partiel des témoins d’humidité trahissent immédiatement aux yeux de ces deux expertes que je n’ai pas pu me retenir de faire pipi dedans. Murielle retrousse mon pull et mon chemisier puis détache ma couche et l’enlève. Je resserre instinctivement les jambes pour ne pas trop exposer mon intimité à la vue de Laure et Murielle, mais celle-ci me refait immédiatement ouvrir les jambes afin de nettoyer à la lingette mon minou encore fraîchement rasé par elle.
Pendant ce temps Laure a ouvert en grand les placards de la pièce me laissant ainsi, sûrement volontairement, découvrir des rayonnages entiers de couches!! Elle choisit une couche-culotte qui me semble être le modèle nuit dont j’ai maintenant l’habitude et plusieurs couches droites épaisses, il me semble en compter 3! Si c’est ce qui m’est destiné, je comprends qu’il faille une large grenouillère pour contenir tout cela. Effectivement elle place les inserts au centre de la couche-culotte dépliée sur le large lit à côté de moi. De façon surprenante, les deux femmes me rattachent les chevilles. Laure aux “manettes” tend les cordes dans un premier temps puis lève les potences de pieds de lit faisant ainsi monter mes jambes et mon bassin. Murielle peut ainsi glisser l’énorme couche sous mes fesses. Ceci fait Laure me redescend, il ne reste plus à Murielle qu’à me saupoudrer le talc le minou puis à fermer l’épaisse couche sur mon ventre et ajuster, comme elle sait le faire les six adhésifs.
Il s’agit manifestement bien d’une couche nuit, mais dans une taille supérieure à celle que j’ai déjà portée, car malgré l’épaisseur supplémentaire des couches droites, le change-complet remonte plus haut vers mon ventre, m’emprisonnant complètement de ces couches de ouates. J’ai à peine le temps de m’habituer à cette nouvelle sensation que l’on m’enlève à nouveau les attaches de chevilles afin de pouvoir m’enfiler, par les pieds, la grenouillère jaune que je dois porter. Celle-ci possède des chaussons et des moufles intégrés comme j’ai pu le constater sur celles, assurément identiques, que portes Aude et Marie. La grenouillère enfilée jusqu’à mi-cuisses, je suis à nouveau attachée aux chevilles, jambes maintenues tendues parles cordes. C’est maintenant au tour de mes poignets d’être libérés. Murielle du coup me fait asseoir temps bien que mal sur le lit, gêné que je sois par le port de cette couche. Les deux femmes m’enlèvent pull et chemisier puis dégrafe mon soutient gorge qui rejoins le reste de mes affaires dans une corbeille à linge au pied du lit. Elles m’enfilent maintenant les manches de la grenouillère et mes mains se trouvent ainsi prises dans les moufles qui les terminent.
Sans attendre, Murielle passe une à une la série de boutons courant le long du dos de la grenouillère dans les boutonnières afin de la refermer. Laure me détache ensuite les chevilles, afin que je sois finalement allongée sur le ventre pour que Murielle en termine le boutonnage par la partie de la grenouillère couvrant les fesses, celui-ci étant attaché par une autre série de 4 boutons positionnés horizontalement au bas du dos. Ceci permet donc, lors d’un change, de ne détacher que ces quatre boutons et ainsi de libérer les jambes de la grenouillère pour changer la couche sans avoir à déshabiller
entièrement le bébé de sa grenouillère. La grenouillère est presque juste et Murielle tire un peu dessus afin de pouvoir finir de boutonner. La sucette fichée dans la bouche et le nez dans le drap du lit, j’attends que l’opération d’habillage se termine.
Ceci fait, je suis autorisée à m’asseoir au bord du lit. Murielle prend une chaise et la positionne en face de moi, Laure s’excuse de nous quitter, mais indique qu’elle descend préparer le repas. Murielle me regarde sous toutes les coutures et semble très fière de son “oeuvre”. Tu fais un bébé très convainquant me dit-elle en préambule, mais de cela je n’ai jamais douté poursuit-elle. Je sens et je redoute que ce qui va suivre ne va pas forcément me plaire. Dans l’incapacité de m’exprimer autrement que par des grognements étouffés à cause de la sucette, je suis réduite au silence et donc condamnée à écouter Murielle sans pouvoir rien faire. Celle-ci m’assomme littéralement d’entrée en m’indiquant que je suis ici pour deux semaines consécutives, tout comme Aude et Marie qui sont arrivées respectivement hier après-midi et hier soir. C’est le temps nécessaire pour que tu t’imprègnes pleinement de ta nouvelle condition et que tu en profites.
Murielle d’une voix toujours très douce et très posée m’explique qu’elle a pris une semaine de congés pour être avec moi pour la première partie du séjour, comme l’a fait Laure, Lucie et Jeanne et que d’autres “mamans” prendraient leur relais pour la deuxième semaine. Quand à toi Sylvie et comme Aude et Marie, vous êtes en congés maladie, le nécessaire a bien sûr été fait vis-à-vis du CHU qui ne s’inquiétera pas de vos absences. Tu verras ma chère Sylvie que tout a été pensé et conçu pour reproduire le plus fidèlement possible la vie d’un bébé de 18 mois, mais je ne t’en dis pas plus pour te ménager les surprises au fur et à mesure de tes découvertes et de ta régression. Celle-ci est peut-être un peu rapide, mais tu t’y feras très bien j’en suis convaincue. Sur ce, tu dois avoir un petit creux comme moi, comme on dit, les émotions et l’altitude cela creuse !! Murielle se lève et m’aide à en faire autant. Ce n’est pas si évident à cause d’une part de l’épaisse couche, mais aussi des pieds de la grenouillère qui glissent sur le parquet de la chambre. En traversant celle-ci, je passe devant la très grande glace murale qui couvre la moitié d’un des pans de mur de la chambre. Je me vois pour la première fois ainsi vêtue et l’image que me renvoie cette glace n’est guère flatteuse pour mon ego ou ma féminité ! Lorsque j’arrive en bas, je retrouve Aude et Marie toujours assises sur leur tapis. Laure appelle tout le monde à la cuisine pour le déjeuner. Lucie et Jeanne aide les deux infortunées jeunes filles à se lever et sachant maintenant ce qu’elles portent comme couches je comprends leur démarche hésitante et leur dandinement pour rejoindre la cuisine ce que je fais aussi en les suivant.
La cuisine est très grande, moderne, avec un îlot central servant de table. Nous nous hissons sur des tabourets hauts devant lesquels sont placées trois assiettes à motifs Disney remplies de purée et de jambon mixé. Chaque “Maman” s’assoit à côté de son “bébé” afin de le faire manger, Jeanne remplaçant Laure affairée en cuisine. Murielle a mes côtés, ôte la sucette de ma bouche qui pend dorénavant à mon cou et commence à me faire manger. Les deux autres femmes font de même, enchaînant les cuillères à rythme soutenu. En guise de boisson, un biberon d’eau m’est proposé à mi-assiette, que j’accepte avec un certain dégoût, mais qui me désaltère. Une serviette a été mise autour de mon cou pour ne pas que je salisse ma grenouillère et c’est avec une cuillère de plastique que Murielle me fait manger, effectivement, tout rappelle l’enfance. L’assiette finie, j’ai le droit à une Danette au chocolat puis à nouveau au biberon d’eau.
Ceci fait, ma bouche est essuyée, la serviette enlevée et ma sucette est prestement remise dans ma bouche. Laure a préparé trois grands biberons de lait, elle nous indique que nous les prendrons dans nos lits, car il est l’heure de la sieste. Pendant le repas, je n’ai absolument pas pu ni parler ni communiquer avec mes deux camarades d’infortunes, mais j’ai pu les observer un peu à la volée entre deux cuillères et nos regards se sont croisés à plusieurs reprises. Elles doivent être tout aussi curieuses que je le suis de savoir comment elles ont atterri, comme moi, ici. Nous remontons donc dans la grande
chambre, accompagnées par les quatre femmes. Murielle me dirige vers le lit de droite qui m’est effectivement bien destiné. Elle détache la barrière latérale du lit afin que je puisse m’y hisser, car il est très haut par rapport au sol, 1,20 mètre environ. Une fois allongée sur le lit, elle m’ôte à nouveau ma tétine et me tend le biberon de lait, me donnant 3 minutes pour le boire. Je le saisis péniblement entre mes moufles et décide d’obtempérer, car j’ai encore faim après ce frugal repas.
Mon lit étant placé du côté de la table de change, je peux, en tournant la tête vers la gauche voir ce qui s’y passe tout en buvant mon biberon. C’est Aude qui s’y trouve déjà allongée. Au préalable on a dû lui déboutonner la grenouillère au niveau des fesses pour libérer les jambes de la grenouillère. Ses poignets sont immobilisés ainsi que ses chevilles, son épaisse couche apparaît nettement entre ses jambes même de là où je suis. C’est Lucie qui la change, pendant que Marie attend manifestement son tour en buvant son biberon, assise non loin de là sous le regard de Laure. Jeanne, elle est en tête de lit et a dû aider Lucie pour attacher Aude. Lucie justement tout en changeant Aude lui parle exactement comme elle le ferait à un bébé, la félicitant pour le gros pipi dans la couche, lui expliquant la nécessité de crémer et talquer ses petites fesses rose et de bien nettoyer à la lingette son petit minou. Aude changée, elle est détachée et rejoins son lit qui est au centre des trois donc voisin de mien.
De mon côté, mon biberon fini, Murielle m’a replacé la sucette dans la bouche et a refermé sur moi le côté du lit à barreaux. Les montants de ces lits sont si haut et ils sont si hauts perchés que sans atteindre le plafond, ils s’en approchent à maxi 40 cm à vue d’oeil ce qui interdit toute tentative d’escalade pour sortir du lit, ne disposant pas de la hauteur sous plafond nécessaire pour passer. Marie est changée à son tour. Elle a la tête tournée vers moi et nos regards se croisent. J’essaie de mettre un maximum de compassion dans le mien, je la vois plisser les yeux et frémir légèrement au moment où Laure lui nettoie méticuleusement l’entrejambe à la lingette. Une fois changée elle aussi elle regagne son lit. Laure ferme le volet de l’unique fenêtre et éteint la lumière en nous souhaitant une bonne sieste avant de quitter la pièce, précédée par les autres femmes allant déjeuner à leur tour.
La pièce n’est pas pour autant plongée dans l’obscurité, car plusieurs veilleuses diffusent une lumière bleutée. Je l’avais bien noté déjà, mais dans le silence de la pièce je mesure à quel point les couches que l’on nous met sont bruyantes, le froissement du plastique à chaque mouvement étant immédiatement perceptible. Je profite d’être enfin seule, en tout cas en dehors de la présence des “mamans” pour tester le degré de liberté de mouvement que me laissent les différents accessoires dont je suis affublée. Concernant la sucette, j’ai beau la frotter aux barreaux du lit, impossible de la sortir de ma bouche. Idem avec mes mains, car les moufles rigides ne permettent pas de prise “fine”, ni de se glisser sous l’élastique qui maintient fermement la sucette. Avec aussi peut d’agilité au niveau des mains, impossible d’espérer atteindre un tant soit peu ma couche au travers de la grenouillère et pourtant que j’aimerai pouvoir à défaut de l’enlever complètement au moins pouvoir tirer dessus pour desserrer un peu son emprise sur mes fesses et mes cuisses. Quand a déboutonné seule ma grenouillère, je sais bien la chose impossible.
Tous ces mouvements dans mon lit se sont accompagnés des bruissements de ma couche, me rappelant sans cesse l’humiliante situation dans laquelle je me trouve. Je ne suis pas la seule à bouger dans mon lit, car les mêmes bruits de couches me parviennent des deux autres lits. Un brusque coup de barre me prend et soudain fatiguée je sombre dans un profond sommeil. Je suis réveillée par des bruits de voix. J’ai du mal à émerger et une fois mes esprits repris je m’interroge tout de suite sur ce brusque accès de fatigue qui m’a vu sombrer rapidement tout à l’heure. Je me demande si un somnifère ne m’a pas été administré à mon insu, sentiment immédiatement renforcé lorsque je réalise que ma couche est mouillée et que cela ne m’a même pas réveillée dans mon sommeil. Je suis la dernière levée, car Marie est déjà debout et manifestement changée, car elle porte une nouvelle
grenouillère de couleur bleu pâle, Aude est en train de l’être et, à écouter les “compliments” de Lucie, elle aussi a mouillé sa couche pendant la sieste.
Murielle, à mes côtés a descendu le côté de mon lit et scrutant mon bas ventre, s’interroge à haute voix pour savoir si j’ai mouillé ma couche. Aucun mouvement de tête de ma part pour confirmer ou infirmer l’information, mais Murielle n’en a visiblement cure, car Aude changée, je suis dirigée par ses soins vers la table de change. Le lit électrique sophistiqué qui la constitue permet donc à une femme seule de changer très facilement son bébé sans que celui-ci ne puisse échapper à ce change. Murielle ne s’en prive pas et m’a déjà immobilisé les poignets lorsque les autres femmes quittent la pièce en compagnie d’Aude et de Marie. Laure indique juste à Murielle qu’elles nous attendent à la cuisine pour le goûter. Murielle lui indique que nous les rejoindrons directement à la salle télé. M’ayant retiré les jambes de la grenouillère, elle place celles-ci sur ma poitrine afin de bien libérer l’espace occupé par ma large couche. Murielle, tout sourire, me dit que je suis très belle ainsi en couches et que le les portes très bien. Je suis “ravie” du compliment et me demande, maintenant que je la connais un peu, où elle veut en venir.
Avant d’aller plus loin dans la conversation, elle défait ma couche, de sa voix douce, me félicite pour le beau pipi fait dans cette même couche. Elle l’enlève, m’attachent les chevilles, puis montent mes jambes pour glisser sous mes fesses une nouvelle couche toujours pourvue des trois inserts, cela semble être le minimum à ses yeux. Elle fois les fesses redescendues sur la nouvelle couche, elle ne la rabat pas, mais maintient les cordes tendues afin que mes jambes restent largement écartées. Allongée et maintenue attachée sur le lit je ne peux voir ce qu’elle fait ou compte faire, mais je suis surprise par cette “pause”. Murielle, debout au pied du lit, se penche légèrement vers moi et me dit qu’elle a fait l’inventaire de mon sac pendant la sieste. Sur ces paroles, elle quitte la pièce et revient quelques instants plus tard avec mon sac.
Il me semble moins plein que lorsque je l’ai préparé et effectivement Murielle me confirme qu’elle n’a gardé que les choses intéressantes. Elle en sort et me met sous les yeux les deux petites culottes que j’ai prises. Murielle amusée me demande si j’ai vraiment espéré un moment profiter de ce week-end chez une amie pour échapper aux couches et pouvoir mettre des dessous. Ne réagissant pas et toujours souriante, elle me demande si mes espoirs sont venus du fait qu’elle n’avait pas pris de changes dans ses propres bagages. Là je ne peux réprimer un grognement de frustration toujours étouffé par la sucette. Murielle, toujours taquine, me rappelle que la maison est largement pourvue et que nous ne devrions pas manquer de changes à mettre sur mes fesses durant le séjour. Fouillant dans le sac, elle m’indique avoir aussi découvert la petite poche intérieure, elle relève la tête du sac pour bien voir ma réaction et ce qu’elle lit sur mon visage la ravit manifestement. Elle poursuit en me disant que cette petite cachette lui avait permis de trouver le petit vibromasseur que j’avais emporté. Joignant le geste à la parole, elle place devant mon visage l’objet du délit.
Sans me voir, je dois pouvoir dire que je suis cramoisie de honte. Contournant le lit, Murielle vient s’asseoir dessus, à mon côté droit, tenant dans sa main droite mon vibré. Elle actionne le bouton de mise en marche et celui-ci se met à vibrer. Se tournant vers l’arrière elle le positionne au bas de ma cuisse droite et le fait remonté tout doucement le long de celle-ci. Tournant la tête vers moi, elle observe mes réactions, son visage toujours éclairé par ce sourire amusé. Le vibro est maintenant à la limite de mon sexe lorsqu’elle arrête son mouvement de remontée et arrête le vibro. Murielle m’explique avec le sérieux dont elle est capable qu’un tel instrument n’a pas d’utilité chez une petite fille de 18 mois. Par contre je ne peux pas ignorer ton âge réel sur ce plan-plan. Levant les yeux, elle semble réfléchir. Voyons 23 ans pour mademoiselle Sylvie LEKORVEC, Bretonne, issue d’une famille catholique pratiquante, tu as forcément fleureter voir tu es sortie avec quelques garçons rencontrés dans des fest-noz. Je dirai donc roulage de pelles dans le foin ou les buissons, des mains de garçons qui
glissent sous ton soutien-gorge sans doute même dans ta culotte, mais tu te préserves autant par crainte de l’inconnue que par conviction afin d’arriver vierge au mariage dont tu rêves depuis que tu es petite fille. Par contre, infirmière donc informée et draguée lors des stages par les médecins notamment, une libido qui se développe et qu’il faut assouvir parfois pour faire retomber la tension.
Une masturbation de temps en temps complétée par un petit vibré qui sert à stimuler tétons et clitoris. Joignant le geste à la parole, elle passe, tout en me fixant dans les yeux, le vibro éteint sur mon clitoris. Celui-ci, titiller par le frottement ininterrompu des couches depuis une semaine est très sensible et m’arrache un petit cri étouffé. N’ai-je pas raison? Murielle est décidément diabolique, je ne peux apporter aucune dénégation à sa description même un signe de tête négatif tellement je suis espantée (comme on dit à Toulouse) et puis tellement surtout elle est dans le vrai. Murielle toujours souriante et sûre de son effet m’indique que ce clitoris à fleur de peau ne saurait me gâcher ma régression. Elle va dorénavant à chaque change me passer sur le minou une crème anesthésiante qui me laissera en paix sur ce plan-là tout en me faisant profiter pleinement de mes sensations en couches.
Elle s’exécute immédiatement et applique une crème froide sur mon clito et autour avant de me rabattre la couche et la fermer. Je suis détachée et ma grenouillère refermée. Cette parenthèse elle aussi refermée, Murielle me parle à nouveau comme à un bébé, elle me demande de la suivre en bas et m’indique qu’elle me fera manger ma compote devant les dessins animés pour ne pas retarder Aude et Marie qui doivent être impatientes que cela ne débute. Après les dessins animés adaptés à notre âge (passionnants !!, nous dînons puis montons nous coucher. Malgré la sieste je suis fatiguée, il est clair que cette fatigue n’est pas très “naturelle” et que notre nourriture doit contenir quelques somnifères, mais comment y échapper et puis le temps paraît moins long en dormant.
À nouveau et une à une nous sommes changées puis nous prenons notre biberon du soir. Aude, qui semble mortifiée, est largement félicitée pour le gros pipo qu’elle a fait dans sa couche. Je réalise brutalement qu’ici point de pot et que pareille humiliation va m’être moi aussi imposée tôt ou tard. Pour ce soir ma couche n’est que mouillée, c’est un moindre mal. À nouveau je trouve le sommeil très rapidement. C’est le lendemain matin que moi aussi je souille ma couche pour la première fois, au grand bonheur de Murielle. Ce qui m’inquiète c’est, et je le mets sur le compte des somnifères, mon incapacité à être réveillée pendant la sieste par l’envie de faire pipi. La semaine se poursuit, rythmée par les repas, les changes et de longues périodes de sommeil et de sieste.
Un temps j’ai échafaudé un début de plan d’évasion, mais je ne vois aucune faille dans le dispositif mis en place par ces femmes me permettant de me soustraire à cette régression forcée. D’ailleurs au fur et à mesure, je me sens de plus en plus fatiguée et sans forces. Seul changement, en fin de première semaine une nouvelle “équipe” de Maman, elles aussi infirmières au CHU prennent le relais de Murielle, Laure Lucie et Jeanne reparties travailler. Rien ne change fondamentalement jusqu’au vendredi suivant qui voit le retour de la première équipe. Comme annoncé par Murielle, mon clitoris est régulièrement désensibilisé et au-delà de ça je ne peux pas dire que je suis gênée par une libido débordante.
Par contre, je suis de plus en plus proche d’un bébé de 18 mois effectivement, juste bonne à salir mes couches à intervalle régulier entre deux biberons ou bouillies. Murielle de retour m’indique que nous repartirons demain (samedi) matin pour Toulouse afin d’avoir le week-end pour reprendre un rythme plus “normal” avant de ré attaquer le travail lundi. Elle me prévient cependant qu’après ces quinze jours je risque d’avoir réellement besoin de mes couches en journée et qu’il conviendra pour moi de m’en souvenir au cas où des idées de rébellion me passeraient par la tête. Elle espère que j’ai apprécié mon séjour à sa juste mesure ce que mon regard se veut un démenti manifeste. Elle ne bronche pas,
mais avant de me libérer de ma sucette et de ma dernière grenouillère, elle tient à prendre une dernière précaution.
Nous avons fait quelques photos souvenirs de ton séjour ici, laisse-moi te les montrer Sylvie pour te montrer à quel point tu t’es identifiée à ton rôle de bébé. Et ce faisant, et à ma grande surprise, car je ne l’ai jamais vu un appareil photo en main, elle me montre plusieurs clichés où l’on me voit, telle que j’ai été pendant 15 jours, en parfait bébé. Le message est très clair et sachant ces photos existantes, je sais le risque de leur voir ressurgir si jamais je ne continue pas à jouer le jeu qui m’est imposé. Murielle a compris que j’ai compris et elle me propose de prendre une douche avant de partir. Cette perspective est une bénédiction, n’ayant été lavée qu’au gant de toilette, attachée sur la table à langer durant ces deux longues semaines!
Murielle m’accompagne jusqu’à une large salle de bain. Elle m’enlève ma sucette, puis ma grenouillère, enfin elle me détache ma couche qui lourdement tombe sur le carrelage à mes pieds. Elle reste présente dans la salle de bain pendant ma douche, mais j’y suis presque habituée, car elle a fait de même à Toulouse depuis mon installation me privant définitivement de toute intimité. Une fois douchée, c’est nue comme un vers que je regagne la chambre et m’allonge une nouvelle fois sur le lit de change pour que Murielle me mette une couche de “jour” cette fois-ci. Par réflexe conditionné par ces deux semaines passées, je pose mes bras de part et d’autre de ma tête, habituée que je suis à ce que ceux-ci soient attachés aux colonnes du lit.
Il n’en est rien cette fois-ci. La couche de jour me paraît très fine et légère en comparaison des couches que j’ai dû porter, mais, en me rhabillant avec mes vêtements “civil” que Murielle m’a rapportés, je mesure aussi que mon pantalon est lui aussi moins large que la grenouillère que je quitte. Nous repartons, après que je me sois habillée, vers Toulouse sans que je n’aie pu échanger le moindre mot avec Aude et Marie, elles aussi sur le départ. Une étrange ambiance règne dans la voiture, ni Murielle ni moi ne prenons la parole, finalement la fatigue me gagne très vite et nous n’avons pas encore rejoint l’autoroute que je dors déjà. Lorsque je me réveille, nous sommes déjà dans le parking souterrain de notre immeuble. Je suis un peu vaseuse. Nous prenons nos affaires dans le coffre de la voiture et nous montons à l’appartement.
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