Chapitre 6. Dans le lit du Duc

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    CoDée
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    Cela faisait maintenant une semaine que le duc s’était absenté.

    Lorsqu’il l’avait punie la dernière fois, le jeune seigneur avait prévenu Gabrielle de ne pas l’attendre,  qu’il ne passerait pas la nuit au château.

    Dès le lendemain l’un de ses amis était venu de sa part. Il avait demandé à Gabrielle de préparer pour son maître quelques affaires pour une semaine.

    Le jeune homme missionné par le duc était très gentil et discret, Gabrielle l’avait déjà croisé quelques fois.

    Il était là la première fois dans le petit salon, et aussi lors du dîner où elle avait reçu une fessée en public. Mais il n’en avait pas fait allusion.

    Il s’était montré envers elle très poli et respectueux.

    Aussi la jeune femme avait-elle osé timidement lui demander où était son maître.

    -Nous sommes à Alais, chez un ami de Louis. Je veux dire du Duc..

    -C’est pour savoir quel genre de vêtement je dois lui préparer, avait-elle ajouté rougissante.

    -Oui, je comprend. Mais je n’en sais pas plus. Du confortable je dirais, nous allons beaucoup être à cheval.

    -Pour vous, qu’avez-vous prévu ? Avait-elle osé demander en osant tout juste le regarder.

    Le jeune homme avait souri en haussant les épaules.

    -Oh je ne te serais pas bien utile, je n’ai pas les mêmes moyens que ton maître. Je suis le 4<sup>ème</sup> fils de ma famille. Mon frère est comte de Guînes. De mon côté je n’ai pas droit à grand-chose.

    -Oh, pardon, je.. J’ai été indiscrète.

    -Non, ne t’en fais pas. Je comprend que tu veuilles bien faire… l’avait-il rassurée en souriant avec gentillesse.

     

    Gabrielle se trouvait dans les cuisines quand elle aperçut le cheval du duc dans la cour du château. Le cœur de la jeune femme s’emballa.

    Aussitôt elle s’empressa de courir dans les appartements privés du maître.

    La porte dorée était ouverte. Elle la franchit en courant, essoufflée.

    Il était bien là, encore tout habillé, chaussé, chapeau sur la tête.

    Elle crut fondre sur place quand il se tourna vers elle et lui offrit son plus beau sourire.

    -Je t’ai manqué on dirait ?

    -Oui… Laissa-t-elle échapper dans un souffle.

    La jeune fille restait immobile à la porte, en le fixant amoureusement.

    -Tu vas venir m’aider à me dévêtir ou non ? La taquina-t-il gentiment.

    -Bien sûr maître, s’exclama-t-elle, rougissante.

    L’embarras dans lequel elle se trouvait semblait l’amuser beaucoup.

    -Cette semaine a été longue pour toi Gabrielle ?

    -Oh… oui, mais je vous assure que je ne suis pas restée sans rien faire !

    -C’est bien alors. Et t’es-tu bien comportée au moins ? Avait-il ajouté avec un petit sourire en coin. J’espère ne pas avoir à rattraper une semaine de punitions en une seule fois…

    La jeune femme avait fini de le débarrasser de sa veste, son chapeau, ses bottes…

    Il s’était installé nonchalamment sur un fauteuil devant le feu pendant qu’elle se tenait devant lui, les bras chargés.

    -Je vous assure maître que j’ai été digne de vous…

    -Vraiment ? La taquina-t-il.

    Elle rougit comme si elle avait quelque chose à se reprocher, alors que ce n’était absolument pas le cas.

    -Vraiment, je vous l’assure !

    -Tant mieux alors.

    Il souriait en se mordant la lèvre, pensif.

    Gabrielle frissonna. A quoi pensait-il ? Qu’il aurait bien aimé la punir quand même ?

    Elle alla ranger les affaires qu’elle tenait aux bras dans la garde-robe avant de revenir auprès de lui.

    Sans qu’il ne le demande elle lui apporta un verre de vin, ce qui sembla lui plaire beaucoup.

    -Tu sais pendant cette semaine personne n’a autant pris soin de moi que tu ne le fais. J’aime t’avoir près de moi, à mon service.

    La jeune femme rougit de plaisir en entendant ces mots.

    -Mais je vous suis dévouée, vous le savez…

    -Oui ? Dévouée, vraiment ? J’ai envie que tu fasses quelque chose pour moi.

    -Je vous écoute maître.

    -Amène-moi mon courrier et viens ensuite te mettre à genoux près de moi. Tu me tiendras mon verre pendant ma lecture.

    La jeune femme obéit, et après lui avoir donné ses lettres s’installa a ses pieds, le plus près possible, sans oser le toucher.

    Docile, elle lui tenait son verre pendant qu’il lisait, tout en guettant ses réactions pour voir à quel moment il aurait besoin d’elle.

    Après les avoir parcourus, il froissait les papiers un a un, visiblement peu intéressé.

    De temps en temps il récupérait son verre pour en boire une gorgée et le rendait à la jeune femme sans même la regarder…

     

    Gabrielle perdue dans ses pensées sursauta quand on frappa à la porte.

    Elle voulut se lever pour aller ouvrir mais le duc posa fermement  sa main sur son épaule pour l’en empêcher.

    -Entre ! Cria-t-il suffisamment fort pour que sa voix porte de l’autre côté de la porte.

    Celui qui entra était le gentil jeune homme qui était venu voir Gabrielle de sa part la dernière fois.

    Il sembla un peu étonné de la voir là, agenouillée devant son ami mais il la salua tout de même avec politesse.

    La jeune femme hocha timidement la tête en retour.

    -Viens t’asseoir Antoine, j’ai des choses à te dire.

    -Je te remercie mais je ne veux pas te déranger, après la route que nous avons faite tu dois être fatigué…

    -Mais viens je te dis. Assieds-toi en face de moi. Gabrielle, sers un verre de vin à mon ami Antoine.

    La jeune fille se leva et apporta un verre au jeune homme qui la remercia chaleureusement. Elle lui offrit un doux sourire en retour.

    Le duc d’Uzès tiqua un peu en voyant ce début de complicité entre eux deux, mais il n’en montra rien.

    Il se contenta de faire un signe à la jeune femme afin qu’elle reprenne sa place à ses pieds.

    -Revenons-en à la conversation de tout à l’heure Antoine.

    -Bien sûr, oui… Louis, je suis gêné quand même par ce que tu m’as proposé… Je ne voudrais pas abuser de ton hospitalité..

    Le duc secoua la tête et ajouta :

    -Balivernes. Je te le répète. Tu peux vivre ici autant de temps que tu le souhaiteras. Des années même si tu veux.

    -Mais je ne serais pas un poids pour toi? Tu en es sûr?

    -Jamais. Tu es le bienvenu chez moi. Et tant que je vivrais tu le seras toujours.

    Le jeune homme était embarrassé mais il semblait visiblement soulagé.

    -Louis, jamais je ne pourrais assez te remercier…

    Antoine ne pouvait s’empêcher de regarder Gabrielle en coin. Elle était si jolie, si gracieuse même dans cette position si particulière…

    -Allons c’est entendu ! S’exclama le duc, agacé que son ami porte tant d’attention à la jeune servante. Madame Henriette s’est chargée de préparer pour toi les appartements désormais inoccupés de ma sœur aînée. Ils sont à toi. Retrouve-la en cuisine, elle te montrera cela.

     

    Une fois son ami sorti, le Duc soupira et ferma les yeux en faisant glisser les mèches de cheveux de la jeune femme entre ses doigts.

    -Je suis épuisé tu sais, j’ai passé une semaine bien loin d’être reposante… Je vais rester enfermé ici plusieurs jours je crois bien…

    -Maître, voulez-vous que je vous fasse préparer un bain ? Cela vous ferait du bien je pense.

    -Oui. Bonne idée. Fais donc cela…

     

    Le bain était prêt, les vapeurs de l’eau chaude rendaient la pièce humide et étouffante.

    Quand la porte se fut refermée sur les deux valets qui étaient venus installer le bain, le duc se leva et fit signe à Gabrielle de s’approcher.

    La jeune femme entreprit de le déshabiller. Mais elle était si troublée qu’elle se montrait fort peu efficace.

    Les boutons lui glissaient entre les doigts et elle dut s’y reprendre à plusieurs fois.

    Il s’amusait visiblement de l’embarras dans lequel elle se trouvait.

    Malicieusement il lui dit :

    -Mais je te trouble Gabrielle ?

    La jeune femme leva les yeux vers lui, soulagée qu’il aie prononcé ses mots tant elle se sentait oppressée. Enfin elle pourrait lui livrer ce qui la perturbait tant.

    -Oui… répondit-elle timidement.

    -Qu’est-ce qui te trouble dis-moi?

    Elle se mordit les lèvres. Il la fixait avec un regard si intense qu’elle avait du mal à ordonner ses pensées

    Il y a quelque chose que je voudrais faire. Mais je ne sais pas si je peux…

    -Fais et tu verras bien…

    La jeune femme laissa échapper un soupir et son cœur s’emballa.

    Elle ressentait un désir si puissant pour lui que cela la dévorait tout entière.

    Les yeux baissés, sans oser le regarder  pour ne pas voir ses réactions elle s’approcha de lui jusqu’à coller son corps contre le sien. Il avait encore sa chemise et son caleçon. Elle effleura du bout des doigts sa poitrine, ses bras puissants, glissa sur son ventre, ses hanches, sous sa chemise…

    Il lui attrapa les poignets fermement.

    La jeune femme plongea un regard apeuré dans le sien.

    -C’est cela que tu voulais Gabrielle ? Tu avais envie de me toucher ?

    Elle ne répondit pas et, posant sa tête contre sa poitrine, se frotta contre lui, dévorée par une intense excitation.

    Son désir était d’autant plus puissant  que lui n’était clairement pas indifférent au contact de ce corps chaud tout contre le sien.

    Il lâcha les poignets de la jeune femme, curieux de savoir jusqu’où elle serait capable d’aller.

    -Vous allez me punir pour avoir osé cela? Demanda-t-elle en continuant ses caresses.

    Il se mordit les lèvres en soupirant langoureusement.

    -Pas pour cela non… Je ne suis pas un barbare quand même…

    Il n’était pas contre, elle le savait. Elle sentait la manifestation de son désir poindre contre son ventre, avec cette fermeté si caractéristique. Aussi alla-t-elle plus loin…

    -Vous en êtes sûr maître ? Même si je fais cela ? Susurra-t-elle en même temps qu’elle glissait sa main dans le caleçon qu’elle venait habilement de dénouer d’une seule main.

    Il eut un sursaut, quand elle entreprit de caresser son membre déjà bien dur.

    -Oh… Gabrielle… commença t-il dans un souffle…

    -Je sais maître, souffla-t-elle dans son cou. Je ne devrais pas… Mais ce n’est pas ma faute… Vous me rendez folle…

    Elle se frotta contre lui à nouveau, avec un soupir langoureux.

    N’y tenant plus il la souleva de terre pour la porter sur son lit.

    -Tu es une jeune fille bien téméraire Gabrielle… gronda-t-il doucement en se penchant vers elle.

    En soupirant de bonheur, elle répondit en s’accrochant à son cou :

    -Je sais maître mais c’est…

    Il l’avait interrompue, fermant sa bouche d’un baiser passionné. En même temps il relevait sa robe, laissant errer ses doigts le long des cuisses de la jeune fille, puis sur son ventre, puis…

    Elle ne put retenir un soupir de soulagement quand il pénétra enfin en elle.

    -C’est ça que tu voulais Gabrielle ? Lui demanda-t-il à l’oreille en allant et venant en elle avec douceur.

    -Tu me voulais ? Tu voulais que je te prenne ?

    Elle ne répondit pas mais le serra plus fort contre elle en gémissant.

    Il lui mordilla les lèvres et accéléra le mouvement.

    Gabrielle ondulait avec délice, c’était si bon de le sentir en elle enfin…

     

    Elle aurait voulu le garder en elle pendant des heures, aussi fut-elle frustrée quand elle le vit se crisper, accélérer ses mouvements avant de ralentir puis s’arrêter…

    Il resta quelques instants allongé sur elle. Elle sentait les battements rapides de son cœur s’apaiser petit à petit…

    La jeune femme le serra dans ses bras avec force, craignant qu’il ne lui échappe trop vite.

    Il se détacha pourtant avec douceur pour s’allonger sur le dos à côté d’elle. Elle revint à nouveau se blottir contre lui, heureuse de l’avoir pour elle comme cela.

    -Je dois avouer que je ne m’attendais pas à cela Gabrielle… lui dit-il avec un petit sourire.

    -Alors vous ne m’en voulez vraiment pas maître ? Minauda-t-elle.

    -Mmm… Te punir n’est pas du tout ce à quoi je pense maintenant…

    -Ah oui ? A quoi pensez-vous ?

    -Je pense… Je pense que je vais t’enlever cette robe…

    -Ah oui ? Vous saurez faire cela ?

    Il se redressa sur un coude et l’observa avec gourmandise.

    -Finalement je préfère que tu le fasses toi-même. Lève-toi et retire ta robe…

     

    Elle était debout devant le lit, entièrement nue. Lui se tenait devant elle, juste vêtu de sa chemise.

    Il se léchait les lèvres en la dévorant des yeux.

    -Je connaissais l’envers mais je dois dire que j’aime encore plus ce côté-là…

    Elle ne put s’empêcher de baisser les yeux, rougissante.

    Un frisson parcourut son corps.

    -Tu es venue à moi Gabrielle comme aucune autre n’avait jamais osé. J’ai aimé cela mais ne prend pas pour autant cette habitude…

    La jeune femme hocha silencieusement la tête.

    -J’aime l’idée de te savoir a ma disposition, si proche… Et de pouvoir te prendre quand je le voudrais comme je le voudrais.

    Mais peut-être regretteras-tu de t’être ainsi livrée à moi ?

    La jeune femme frissonna une nouvelle fois et plongea ses yeux dans les siens.

    -Je…

    -Attend… L’interrompit-il avec fermeté. Tiens toi mieux que cela. Bien droite et les mains dans le dos.

    Obéissante elle suivit aussitôt ses directives.

    -Bien… Je t’écoute maintenant..

    -Je ne le regretterais pas… Dit-elle timidement. J’ai voulu être vôtre depuis toujours…

    -Mais ce que tu ne sais pas, lui glissa-t-il à l’oreille, c’est que je suis exigeant avec les femmes que je désire. J’aime jouer avec mes prises, j’aime les savoir dévouées et prêtes à me satisfaire.

    -Je suis déjà cela vous le savez…

    -Oui je le pense. Mais je n’en suis pas sûr encore. Et il y a une chose que je n’aime pas. C’est forcer les femmes. Je n’en éprouve qu’aversion. Cela me déplaît profondément, parce que je les veux totalement dévouées et investies de leur plein gré dans la mission de me satisfaire…

    Gabrielle s’approcha pour lui prendre les mains, qu’elle baisa fiévreusement.

    -Je ne veux que cela, vous apporter plaisir et satisfaction…

    -Alors commence par mieux obéir… Lui souffla-t-il à l’oreille. Ne t’avais je pas demandé de rester immobile, droite et les mains dans le dos ?

    La jeune femme se mordit les lèvres et baissa la tête en reprenant aussitôt sa position.

    -Oh… Oui… Pardon je ne suis pas encore parfaite pour vous je suis désolée, mais je vous assure que…

    Il tournait autour d’elle, la faisant frémir de le sentir si proche.

    Du bout des doigts il effleura son cou, son dos, glissant le long de la colonne, caressant ses fesses, ses hanches, son ventre, ses seins dont il pinça la pointe…

    Gabrielle s’accrocha a son cou, à nouveau dévorée par un puissant désir.

    Il l’éloigna de lui, mécontent.

    -J’ai dit les mains dans le dos il me semble ?

    -Oui… Pardon…

    -Je ne te punirais pas aujourd’hui, j’ai d’autres projets pour toi… Mais à l’avenir prend garde !

    La jeune femme acquiesça avec silence.

    -Bien…

    Il s’approcha d’elle et la souleva aisément dans ses bras.

    Aux anges, Gabrielle se blottit contre lui, ravie.

    Avec douceur il entra dans le bain avec elle, la gardant collée contre lui.

    Gabrielle, lovée dans ses bras, fermait les yeux, pour mieux savourer ce délicieux moment où enfin elle devenait pleinement sienne…

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    #61727
    Gabrielle
    Participant


    Je veux être cette Gabrielle. Je veux trouver mon duc.
    merci DC se texte est magnifique

    je m y suis cru.

    je préfère masquée

    #61729
    Lou
    Participant


    Quelle douceur de se réveiller avec ces mots, ça donne très envie de se recoucher pour laisser voguer son imagination … Encore merci ?

    https://www.wattpad.com/story/315778778-mélange-étrange

    #61737
    CoDée
    Participant


    @ Gabrielle

    Merci ?

    Je te le souhaite !

    @ Lou

    Je suis contente d’avoir pu t’offrir ce réveil en douceur ?

    #61749
    Anonyme
    Inactif


    J’aime ce récit des aventures de Gabrielle et du Duc D’Uzès! Merci @corrigeedelivree.

    Est-ce normal que je trouve les chapitres de plus en plus courts ?

    Je trouve ce chapitre presque trop sage, tout en étant délicieux. Merci encore

    #61768
    Anonyme
    Inactif


    J’ai hâte, comme toujours, de connaitre la suite . Avec la richesse des possibilités que nous offre ce texte, milles ébauches de possibilités avec ce troisième personnage qui vient prendre place dans le récit, la pointe de…jalousie ? possessivité ? …que le Duc a laissé entrevoir, le début de complicité entre le “gentil” garçon et la servante…

    Messieurs se méfier des gentils garçons, ils sont redoutable. lol

    #61770
    CoDée
    Participant


    Ah Sombrelle que j’aime ton intérêt et l’analyse que tu portes à mon récit ?

    Il faut dire que même si la suite n’est pas encore écrite, je suis tout de même une trame parce que je sais déjà où je vais emmener Gabrielle et son Duc…

    Chaque nouveau chapitre est un pas supplémentaire vers ce que va devenir leur histoire, vers l’avenir que je souhaite leur donner.

    Jusqu’au jour où le point final sera posé parce que j’aurais terminé de raconter leur histoire, et que le moment sera venu pour moi de les laisser partir et passer à autre chose…

    #61772
    lunapower
    Participant


    il fait chaud ici pfiou !

    https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/

    #61786
    Miss Betty
    Participant


    J’adore ces récits roman.

    il fait chaud ici pfiou !

    Oui, je suis tout à fait d’accord, très chaud.

    Merci pour cette belle histoire et l’attente !!  J’ai hâte que tu nous livres la suite…. mais doucement hein  ! Je n’ai pas envie de lire la fin tout de suite ! lol – J’aime bien me plonger dans des histoires et imaginer et apprécier les suites.

     

    On a deux vies. La deuxième commence quand on se rend compte qu'on n'en a qu'une !

    #61796
    voroiguine
    Participant


    Merci pour ce texte.

    Pour une fessée..et bien plus encore!

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