Cerise, fruit défendu
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Étiqueté : assurance, bureau, Fessée, secrétaire
- Ce sujet contient 15 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
Rony, le il y a 1 année et 11 mois.
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- 13 mars 2023 à 15:55 #85868
Rony
Participant
Cerise, fruit défendu (partie 1)Monsieur Carson fulminait.
Il y avait peu de choses qu’il détestait plus que se faire rabrouer par sa hiérarchie. Et le coup de fil de ce matin avait été particulièrement humiliant : la branche centrale de la compagnie d’assurance pour qui il travaillait depuis maintenant presque trente ans l’avait prié poliment mais fermement de mettre de l’ordre dans son agence. Et vite.
En reposant le combiné de bakélite, Carson, la cinquantaine bien tassée, tentait de contenir sa colère. « Ta tension, mon vieux, ta tension » songeait-il en se préparant une tasse d’Earl Grey. Pendant que la bouilloire montait en pression (comme lui), il songeait à la cause de tout ce désagrément : une cerise.Cerise. Une jeune femme choisie parmi le personnel de la marque pour devenir égérie de la compagnie d’assurance. Elle représentait désormais la compagnie dans l’hexagone et sur tous les médias, avec sa célèbre robe blanche à pois verts et son sourire éclatant. Son statut de pseudo-starlette lui offrait bien évidemment, et au grand désarroi de monsieur Carson, des avantages et sauf-conduits en nombre. En attestaient les multiples boulettes de la demoiselle que la direction lui avait demandé de mettre sous le tapis.
Mais là, ça dépassait les bornes. Il allait falloir sévir.Carson, d’origine grand-bretonne, savait fort bien comment remettre une jeune personne dans le droit chemin. Au fil des années , il avait d’ailleurs eu l’occasion de mettre en pratique ses techniques d’éducation anglaise (sévère mais juste) sur quelques secrétaires et comptables étourdies qui ne s’en étaient pas plus mal portées. Mais jusqu’ici le statut d’icône de Cerise l’avait protégé de ce genre de conséquences. Le coup de fil des huiles avait confirmé que la bamboche était finie, Carson avait désormais carte blanche pour régler le problème comme il lui siérait.
Il vérifia dans une armoire tenue fermée à clef que son instrument de discipline fétiche était bien prêt. Et il l’était : une fine cane anglaise de rotin, souple et mordante. Il soupesa longtemps l’outil, la fit siffler dans les airs, sa délectant du son et retrouvant ses marques. Il visa dans le vide un derrière imaginaire. Cela faisait un petit moment qu’il n’avait pas administré de punition à une collaboratrice. Mais c’était assurément la preuve que sa méthode fonctionnait, non ?
Il posa la badine bien en vue en travers de son pupitre.
Puis, finissant sa tasse de thé désormais tiède, Monsieur Carson fit appeler Cerise dans son bureau.La jolie brune se présenta quasi instantanément. Carson, qui préférait les garçons, devait tout de même admettre qu’elle avait du chien. Des cheveux mi-longs, une fine silhouette, un visage juvénile et de grands yeux rieurs. Tout en Cerise était charmant, et elle portait comme de bien entendu sa robe à pois (elle y était tenue par contrat) qui lui donnait un air si féminin et un peu désuet. Elle se tenait debout, bien droite dans ses escarpins verts, les mains ramenées nerveusement dans le dos. Elle n’en menait pas large, c’était la première fois qu ‘elle était convoquée chez Monsieur Carson.
Comme une écolière prise en faute, songeait ce dernier en s’éclaircissant la voix._ « Cerise, je suppose que vous savez pourquoi je vous ai fait mander ? »
_ « Bander, monsieur Carson ?!?? » demanda la jeune femme, les yeux équarcillés
_ « Pourquoi je vous ai fait venir, enfin !!! » éructa un Carson de plus en plus excédé.
_ « Ah oui,le dossier Jacquet. Je suis désolée, ça ne se reproduira pas . Tout est arrangé, non ? »
_ « Hum… Oui, tout est en passe d’être arrangé, en effet. Grâce aux efforts combinés de vos collègues de l’agence et de l’office parisien. Vous nous avez fait perdre beaucoup de temps et d’énergie, Cerise, à défaut de perdre un très gros client »
_ « Je suis vraiment navrée, hein, je ferai attention, maintenant. Ce sera tout, Monsieur Carson ? »
_ « J’ai bien peur que non, mademoiselle. La direction m’a autorisé, j’aimerais même plutôt dire encouragé à faire passer le message suivant : vos incartades et manquements ne seront plus pardonnésni tolérés comme avant ; il faudra désormais répondre de vos actes, Cerise. »
Un long silence se fit dans la pièce.
Cerise le rompit
_ »Je… Je suis virée, c’est ça ? » demanda-t-elle, abattue
_ » Étonnamment, non. Je suppose que la direction veut ménager son image de marque. Mais je vais cependant devoir vous punir »
_ « Une retenue sur salaire ? » s’enquit Cerise
_ »Non, quelque chose de plus… marquant » répliqua Carson en s’écartant de son bureau. Cerise découvrit alors la cane anglaise qui trônait bien en évidence, sur le sous-main vert olive. Elle savait ce que c’était et avait déjà entendu des rumeurs au sujet de monsieur Carson.
Elle marqua une longue pause, fixant l’objet de discipline.
Elle déglutit.
_ « Vous allez me fouetter, monsieur Carson ? »
L’homme d’âge mur lui lança un sourire acide.
_ »Non, pas aujourd’hui, jeune fille. Moi, je vais me contenter de vous fesser »
Sur ces mots il s’assit sur un coin de son large bureau, saisit le poignet de Cerise et la bascula sans ménagement sur un genou.
_ « Tâchons de régler ça au plus vite, voulez-vous ? » dit-il en relevant la robe à pois au dessus des reins de Cerise. Cette dernière, totalement abasourdie, se laissait faire.
La robe remontée au dessus des hanches laissa apparaître un spectacle plutôt charmant. Cerise poussait en effet le perfectionnisme assez loin dans son personnage puisqu’elle portait un ensemble bas, porte-jarretelles et petite culottes marqué au célèbre motif à pois verts. Carson, touché, ne put qu’apprécier un tel sens du détail et le fit remarquer.
_ » Pour votre défense, je dois dire que vous portez fièrement les couleurs de la compagnie, mademoiselle ».
_ »Merci Monsieur Carson, it means a lot, coming from you » répliqua-t-elle dans la langue de Boris Johnson.
_ »La loyauté est une vertu appréciée, ici . Mais ne vous attendez pas à me voir faiblir, mon petit » répliqua-t-il en baissant la petite culotte de Cerise jusqu’à mi-cuisse, juste au dessus du liseret des bas blancs.
Il révéla ainsi un ravissant derrière, menu mais rond juste ce qu’il faut. Deux petits fruits juteux et mûrs. Mûrs pour une bonne fessée.
Carson avait beau être homosexuel, il n’en était pas moins un homme de goût amoureux des belles choses. Et le cul de Cerise était assurément une petite merveille. Pendant un court instant il admira donc ces deux globes, rebondis et insolents.
Puis il leva haut la main, qu’il avait large comme un battoir, et commença de corriger la bougresse.
Il y allait sans retenue aucune, car après tout il avait un message à faire passer.
Sa large paluche couvrait la quasi intégralité du petit cul de Cerise, les claques étaient portées à la verticale et avec une grande vigueur, selon un rythme très soutenu.
Cerise avait déjà reçu moult fessées durant son enfance et s’attendait donc à priori à s’en sortir tête haute. Mais là ce n’était pas la même limonade, comme aurait dit sa grand-mère qui lui avait pourtant souvent tanné les fesses au martinet jusqu’à sa majorité (pour sa plus grande honte). Il faut admette que Cerise avait toujours été une sale gamine dont l’effronterie et le joli derrière semblait former une combinaison parfaite pour des fessées déculottées amplement méritées.
Et en effet, plus tard, quelques amants légèrement plus audacieux que la moyenne lui avaient donné des petites claques sur les fesses au cours de leurs ébats. Mais rien de punitif ou comparable à la dégelée qui lui tombait sur le séant actuellement.
Le bureau résonnait en effet du bruit sec des claques et des cris de douleur de Cerise, qui n’arrivait plus à garder sa contenance et hurlait à chaque fessée. Par ailleurs, elle avait commencé à battre des jambes et Monsieur Carson avait bien du mal à la maintenir en place pour la suite de la correction.
Il faut dire que le charmant derrière de la demoiselle était maintenant totalement écarlate et brûlant, formant un beau contraste avec ses dessous chics.
Sentant qu’il n’arriverait plus à la faire tenir en place, Carson interrompit un instant la fessée de Cerise.
Lui tirant l’oreille comme une gamine désobéissante, il la remit debout et la guida vers le centre de la pièce. Il ordonna :
_ »A genoux »
Soumise, Cerise s’exécuta. A genoux, bouche entrouverte, elle entreprit d’entrouvrir avec habileté la braguette de Monsieur Carson.
_ « Vous n’y êtes pas, mon petit » dit-il en la coupant dans son initiative. Pressant fermement sur la nuque gracile de la jeune femme, il la mit lentement mais fermement en position de prière : le visage enfoui dans la moquette épaisse et le derrière, toujours nu, dressé vers le ciel.
Il prit ensuite position avec une agilité surprenante pour un homme de sa corpulence : une jambe de chaque côté des hanches de la jeune fille. Il la maintenait désormais fermement entre ses cuisses musclées, dans une position parfaitement humiliante, avec une vue imprenable sur son derrière et tous ses trésors cachés.
Le visage de Cerise était aussi rouge que son derrière.
_ » Ne vous inquiétez pas , jeune fille, comme je vous l’ai dit vous n’êtes pas ma tasse de thé » déclara-t-il calmement.
Sur ce, Carson, reprit la correction.
Dans cette posture, le derrière de Cerise offrait une cible parfaite et l’administrateur s’en donnait à coeur joie, utilisant maintenant ses deux mains puissantes selon une technique éprouvée.
Les claques tombaient sans pitié, les fesses bondissaient en tous sens, traversées de vibrations et d’ondes de choc. L’empreinte des paumes restait visible quelques instant à chaque nouvel impact.Cerise hurlait et demandait pardon, coincée dans l’étau implacable de son supérieur. Chaque claque lui arrachait maintenant un cri aigu et elle se sentait sur le point de fondre en larmes.Cependant, quand Monsieur Carson en venait à frapper avec ses grosse mains des zones sensibles (oh si sensibles) près de sa jolie chatte, la jeune femme ressentait des décharges électriques mêlant douleur et plaisir. Elle aurait bien aimé qu’il se concentre plus sur ces parties délicates, Cerise. Elle imaginait les gros doigts de Carson fourrés dans tous ses orifices offerts, explorant sans pitié sa chatte et son cul, tripotant son clito avec une précision diabolique et ricanant de la voir jouir sous ses caresses.
Elle n’en revenait pas d’être aussi dévergondée. Punie comme une gamine, humiliée par ce vieux british, elle trouvait encore le moyen de s’exciter. Rouge comme une pivoine, elle espérait juste que monsieur Carson ne se rendait pas compte de son trouble.
Carson, quant à lui, était en sueur. Appliquer une bonne fessée (nous le savons tous) est très physique et il commençait à accuser le poids des années. Quand le joli cul de Cerise fût donc proprement cramoisi et que ses mains commencèrent à lui cuire, il arrêta enfin la correction.Assurément une superbe fessée, songeait-il en relevant la pénitente. La tirant derechef par l’oreille, ll la conduisit ensuite dans un coin de son bureau.
_ »Vous resterez au coin, les mains sur la tête, jusqu’à nouvel ordre, compris ? » asséna-t-il d’un ton ferme et lançant une ultime claque sur le joli derrière.
_ »oui ,oui, Monsieur Carson, j’ai compris » hoqueta une Cerise matée et aux yeux brillants._ « Si je vous prends à rabattre votre robe, vous frotter les fesses ou à bouger, je recommencerai la fessée. On recommencera à zéro, vous comprenez ? » il lançait un regard noir à la jeune femme.
_ » Non, je serai sage. Je ne veux pas de nouvelle punition. »
_ « Ah, mais mon petit, vous n’y êtes pas. Votre punition n’est assurément pas terminée. Cependant ce n’est pas moi qui vous donnerai le reste de votre correction. Je me contenterai d’y assister ».
_ »Pardon ?? » Cerise, les mains toujours soigneusement sur la tête, se tourna vers son patron, interloquée.
_ »Oui, une idée de la direction » poursuivit calmement Carson, jetant un œil à sa montre.A SUIVRE
J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
13 mars 2023 à 16:20 #85869Anonyme
InactifPauvre Cerise de Groupama !
13 mars 2023 à 16:27 #85870Rony
ParticipantFranchement, je crois que beaucoup de gens seraient ravis de fesser la petite Cerise de Groupama.
Sans doute une vieille famille d’aristocrates ^^J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
13 mars 2023 à 22:21 #85887Sombrelle
ParticipantJ’adore cette histoire et la façon dont elle est écrite, belle idée!
J’ai lu comme on boit du petit lait.
Merci pour ce plaisir, j’ai hâte de découvrir la suite.https://sombressensuelle.blogspot.com/
14 mars 2023 à 00:05 #85890Linette
ParticipantTrès jolie récit, merci pour le partage ???? vivement la suite…
14 mars 2023 à 00:44 #85895Rony
ParticipantMerci Linette.
La suite ne devrait pas tarder. Cerise va continuer de se faire rougir les fesses ^^J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
14 mars 2023 à 00:51 #85897Linette
ParticipantHâte de lire la suite..j aime la première partie déjà,la jolie petite lecture du soir ????
15 mars 2023 à 16:12 #85938Rony
ParticipantJ’ai la flemme d’écrire la suite.
Je le ferai uniquement si je reçois des DM motivants de la part de ces dames ^^
Oui, je sais, je suis odieux.J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
18 mars 2023 à 11:10 #86024Sombrelle
ParticipantJ’ai la flemme d’écrire la suite. Je le ferai uniquement si je reçois des DM motivants de la part de ces dames ^^ Oui, je sais, je suis odieux.
Oh le méchant!!!
https://sombressensuelle.blogspot.com/
18 mars 2023 à 21:38 #86046Rony
ParticipantJ’ai la flemme d’écrire la suite. Je le ferai uniquement si je reçois des DM motivants de la part de ces dames ^^ Oui, je sais, je suis odieux.
Oh le méchant!!!
J’attends toujours le mot magique en DM ^^
J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
18 mars 2023 à 22:00 #86047Sombrelle
Participant19 mars 2023 à 00:03 #86057Rony
ParticipantMille excuses : un DM c’est un Direct Message.
Un message privé envoyé depuis le site, quoi 🙂J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
27 avril 2023 à 18:38 #86973Jérémie
ParticipantTout bonnement excellent, Rony ! 😉
Tu… “assures” ?
3 mai 2023 à 18:00 #87121Rony
ParticipantMerci Jérémie.
Faut vraiment que je trouve le temps d’écrire la suite. Dans mon esprit, c’était assez mordant.
Je vais essayer de faire ça.J'ai la faiblesse de croire que tout cul tendu mérite son dû.
5 mai 2023 à 02:25 #87151Sombrelle
ParticipantMerci Jérémie. Faut vraiment que je trouve le temps d’écrire la suite. Dans mon esprit, c’était assez mordant. Je vais essayer de faire ça.
ça tarde beaucoup, malgré le mot magique en DM. On va finir par l’oublier la petite Cerise!
https://sombressensuelle.blogspot.com/
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