Camille XX – La suite du WE

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    lunapower
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    La suite du week-end un peu plus coquine ^^

     

    Partie 2 – La surprise

    Le lendemain matin, Camille fût réveillée à 9h par le vingtième concerto pour piano de Mozart qui sortait de la chaîne-hifi. Surprise, elle regarda autour d’elle et s’aperçut qu’elle était seule. Elle trouva sur sa table de nuit un plateau avec un jus frais, des croissants et un thermos de café, ainsi qu’une enveloppe “Camille”. Elle sourit et l’ouvrit.

    “Bon anniversaire ma chérie, je t’attends en bas à 10h30, tes habits sont prêts. Jolie culotte 😉”

    Elle regarda sur le petit banc et vit sa nouvelle culotte accompagnée d’un soutien-gorge coordonné, de bas noirs, d’une robe patineuse vintage bleu roi et des mêmes ballerines que la veille.

    – “Bon choix!” s’exclama-t-elle.

    Elle déjeuna tranquillement, puis partit laver la vaisselle et ranger un peu l’appartement. Elle se dirigea ensuite vers la salle de bain pour prendre sa douche. Elle marqua une halte devant le miroir du couloir, baissa sa culotte de pyjama et constata que ses fesses étaient presque redevenues blanches comme neige. A 10h25, elle était prête. Elle mit une touche de Miss Dior et emporta le carnet au cas où! Elle descendit et trouva Nicolas qui l’attendait devant la voiture. Il lui déposa un bisou sur la joue et lui ouvrit la porte. Ils s’installèrent.

    – “Tu étais où? On va où?” demanda-t-elle sur un ton enjoué.

    – “Surprise et un achat à faire pour la route! Tiens!”

    Il lui tendit un petit paquet mauve, Camille l’ouvrit et y découvrit un œuf vibrant ainsi qu’un ruban en satin noir.

    – “Oooh” fit-elle d’un air faussement choqué.

    – “Mets-le, ça t’occupera un peu sur la route!”

    Camille rougit un peu, regarda autour d’elle et l’enfila dans sa culotte. Pendant ce temps Nicolas avait attrapé le ruban et s’affairait à lui bander les yeux.

    – “Heureusement que les vitres sont teintées” dit-elle en rigolant.

    – “Ok google, fais vibrer Camille”

    Elle poussa un cri de surprise.

    – “Ok google, moins fooort”

    – “Il ne répond qu’à son maître mon lapin, tu sais bien! Ok google stop vibrations Camille! Bon ça marche! On peut y aller!”

    Ils se mirent en route et discutèrent de tout et de rien. Au bout d’une cinquantaine de kilomètres, Nicolas prononça les mots magiques!

    – “Ok google fais vibrer Camille progressivement”

    – “Tu es vraiment trop vilain toi!”

    – “Moi?  mais nooon” dit-il en mettant le Boléro de Ravel pour accompagner l’onanisme forcé de sa belle.

    Sa respiration commença doucement à s’accélérer Elle se contorsionnait délicatement sur son siège s’agrippant à la poignée de plus en plus fort au fur et à mesure que l’intensité des vibrations augmentait. Privée de la vue et totalement absorbée par le plaisir que lui procurait cet œuf, elle n’avait pas remarqué qu’il s’était arrêté et qu’il la regardait. Alors qu’entraient les violons, ses ondulations se transformèrent en spasmes de plus en plus puissants et Camille se mit à jouir.

    – “Un spectacle dont je ne me lasserais jamais!” dit-il en lui caressant la joue.

    – “Tu t’es arrêté, coquin! Moi je suis vidéeee! Il est comment dire, pfioou ce jouet! IL faudra que tu mettes l’appli sur mon téléphone!”

    – “Et c’est moi le coquin, Mademoiselle Camille!”

    – “Un vrai couple de pervers!” répondit-elle hilare.

    Ils se remirent en route et Camille s’assoupit. Ils arrivèrent environ une heure après dans un petit village du Pays d’Auge, région qu’affectionnait particulièrement Camille qui y venait en vacances étant enfant.

    – “Réveille-toi, nous sommes arrivés” dit-il en lui tapotant doucement le bras.

    Il l’aida à sortir de la voiture, fit quelques pas en lui tenant la main et lui défit son bandeau.

    – “Ah bah ça c’est une belle surprise” dit-elle découvrant une maison caractéristique de ce pays qu’elle aimait tant.

    Elle l’embrassa tendrement et partit faire une petite inspection des lieux. Se rapprochant de la maison elle vit une camionnette de traiteur s’éloigner de la maison et Nicolas rentrer avec deux boîtes. Elle le rejoint dans la maison qui était décorée dans un style chic et sobre avec quelques meubles d’époques. Elle vit une valise ainsi que le sac qui contenait un martinet la veille et dont dépassait aujourd’hui, la cravache Hermès qu’elle lui avait offerte il y a quelques années.

    – “Tu es vraiment parfait!”

    – “Toi aussi, tu es parfaite” répondit-il en lui déposant un baiser sur le front.

    – “Dis, je peux enlever le jouet… je dois aller aux toilettes” dit-elle d’une petite voix.

    Il lui sourit, la prit par la main et la conduisit dans la salle de bain. Il souleva sa robe et descendit sa culotte jusqu’à ses chevilles.

    – “Et ben! Heureusement que tu avais mis une protection!” dit-il en la regardant dans les yeux.

    Camille devint rouge écarlate. Il retira doucement le jouet fiché dans son délicat abricot et lui mit une petite claque sur les fesses.

    – “J’arrête de t’embêter pour l’instant, je vais réchauffer le repas.”

    Il sortit de la pièce bientôt rejoint par sa belle. Ils déjeunèrent en évoquant des souvenirs d’enfance de Camille et ils découvrirent qu’ils auraient pu se croiser bien avant. Ils décidèrent d’aller faire une petite balade pour digérer. Camille se montra particulièrement espiègle et taquine comme elle savait le faire lorsqu’elle voulait gagner une fessée.

    – “Tu vas voir quand on va rentrer Camille, je vois que tu as déjà oublié ta fessée d’hier! Il va te falloir un petit rappel!”

    Elle baissa la tête et le reste de la promenade se fit calmement. De retour à la maison, Nicolas la saisit par la main et l’entraina vers la chambre. Il s’assit sur le lit et la bascula sur ses genoux.

    – “Te voilà encore dans une fâcheuse position, Camille!” Dit-il en lui tapotant les fesses.

    Camille qui était entrée dans sa bulle ne répondit pas et une première claque tomba sur sa robe. Il continua sur un rythme lent, fort et régulier. Le bruit de sa main sur le tissu rappelait un coup de fusil. Au bout d’une vingtaine de coups, il l’invita à se relever et la mit de dos. Il descendit la fermeture de sa robe et la fit tomber à ses pieds. Il se leva,  ramassa la robe et la déposa sur une chaise. Il courba ensuite Camille sur sous bras et se mit à lui caresser les fesses. Sa main glissa doucement vers son entrejambe pour lui frotter de manière appuyée le sexe. Il se remit à corriger ses fesses alternant claques douces et sévères, marquant des pauses pour s’occuper de nouveau de son minou, la faisant alors gémir légèrement. Il poursuivit ce ballet un long moment puis il baissa d’un coup sec sa culotte et commença à lui donner une véritable fessée. Il n’épargnait aucune zone, frappant en série plusieurs fois sur la même fesse avant de passer à l’autre, s’attardant sur le haut de ses cuisses. Camille se mit vite à entamer une sorte de danse, levant un pied; puis l’autre. Mais fermement maintenue elle n’avait aucun moyen d’échapper à la correction. Ses fesses étaient maintenant d’un rouge soutenu et la chaleur irradiait vers son bas ventre, laissant couler un peu de son nectar le long de sa cuisse. Nicolas termina la fessée par une série de claques données en plein centre de son fessier, augmentant encore son trouble. Les coups cessèrent et ils restèrent ainsi quelques instants. Nicolas glissa un doigt dans le sexe de sa belle et sourit satisfait. Il la déposa ensuite sur le lit, passa la main dans ses cheveux et la regarda amoureusement. Elle lui sourit. Il lui retira son soutien-gorge et sa culotte qui entravait ses chevilles. Il se mit à la caresser, remontant doucement de ses chevilles à sa nuque. Camille frissonnait. Il entreprit un léger mouvement de va-et-vient avec son index dans le sexe ruisselant de sa chérie l’amenant au bord de la jouissance, lui caressa la nuque et lui glissa à l’oreille :

    – “Je reviens.”

    Il resta à contempler un instant le corps de sa belle allongée, baigné dans un halo de lumière. Le rouge de ses fesses contrastant avec la pâleur se sa peau. Il aurait pu rester des heures ainsi, mais il se ressaisit et alla chercher la cravache… Il s’approcha d’elle, lui caressa la joue.

    – “Mets-toi à quatre pattes” lui murmura-t-il.

    Elle sourit et se mit en position. Il la tira légèrement afin que ses pieds dépassent du lit puis ôta délicatement ses ballerines. Il glissa la cravache entre ses cuisses et lui donna quelques légers coups afin qu’elle écarte les jambes. La cravache navigua ensuite lentement le long de ses jambes, lui donnant la chair de poule… Il tapa gentiment avec la claquette sur la plante des pieds de sa belle. Camille, qui adorait et détestait à la fois cette punition, tenta de dérober.

    Il lui retira alors ses bas et attacha ses jambes ensemble avec l’un, puis lui l’invita à s’allonger et noua ses mains avec l’autre. Il reprit alors son ballet avec la cravache, la faisant descendre le long de son corps pour retrouver ses pieds qu’il malmena tendrement la faisant gémir et se tortiller. Il s’attarda ensuite sur ses fesses, ravivant le brasier par d’habiles coups disséminés çà et là. Camille, d’abord surprise, poussa de petits cris qui se transformèrent rapidement en gémissements. Ses fesses ayant repris une belle couleur écarlate, il déposa la cravache sur ses reins et insinua sa main entre ses cuisses. Il s’affaira sur son petit bouton la poussant de nouveau au bord de la jouissance. Il la détacha puis la retourna. Il la tira ensuite au bord du lit,  leva ses jambes qu’il attacha à ses bras et lui banda les yeux avec le ruban de satin qu’il avait gardé dans sa poche. Il reprit la cravache et la fit se balader sur sa poitrine, titillant ses tétons. La respiration de Camille se faisait de plus en plus forte et son bassin ondulait légèrement, il décida alors de descendre la cravache sur son sexe offert et ruisselant. Il le tapota d’abord doucement puis alterna avec des coups un peu plus forts et Camille atteignit l’orgasme qu’il lui refusait précédemment. Il continua quelques instants ce petit jeu. Il lui retira enfin ses liens et lui fit l’amour tendrement. Il retira son bandeau et ils restèrent un long moment à se regarder, profitant de la plénitude du moment, en silence.

    – “Je te le redis tu es parfait” dit Camille qui avait un peu retrouvé ses esprits.

    – “Ne dis pas de bêtises, tu as les fesses assez rouges. Allez viens on va prendre une douche si l’on veut sortir dîner!”

    Camille se leva et l’accompagna dans la salle de bain admirant au passage la couleur de ses fesses. Ils sortirent ensuite dîner et le lendemain fût consacré à la balade et à l’achat de produits locaux. Ils rentrèrent à Paris plus amoureux que jamais.

    • Ce sujet a été modifié le il y a 3 années et 1 mois par lunapower.

    https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/

    #68587
    Yves
    Participant


    Très beau récit, très coquin, j’aime beaucoup…

    Mesdames, mesdemoiselles, mon propre plaisir passe par le vôtre

    Blog : histoires-jr33.blogspot.com

    #68616
    lunapower
    Participant


    Merci 🙂

    https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/

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