Camille & Désiré – Chapitre 9 – En courses
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28 décembre 2022 à 07:40 #84154VictorParticipant
Chapitre 9 – En courses
En descendant les escaliers, au rythme de mes pas, l’épais coton de mes nouveaux dessous massa affectueusement mon minou tout doux et mes fesses rougies. J’avançais béate, tenant la main de mon protecteur.
Arrivés dans la rue, nous passâmes devant l’entrée du restaurant. Daddy sortit une tétine de sa poche et me la montra sans se cacher du portier :
- Si tu es vilaine Camille, tu la porteras le reste de la journée. Et, pour prévenir certaines bêtises, je ferai comme avec les fessées. À un moment de la journée, tu la porteras en public, juste pour ne pas oublier que je décide et que toi, tu obéis.
Je hochai la tête pour approuver. Rien ne m’apparut pas insurmontable.
Surtout, il me parlait d’une voix douce. Il m’expliquait les règles au fur et à mesure. Son autorité naturelle me berçait. Et, plus il me posait de limites, plus j’envisageais de les franchir. J’aimais qu’il m’explique ce que je devais faire. J’aimais aussi qu’il m’explique pourquoi j’étais punie. Alors, pourquoi ne pas faire plus de bêtises pour avoir droit à plus d’explications ? En plus, je prenais goût à la fessée. Et par ailleurs, tout, depuis ses premières consignes, affolait ma libido. J’espérais donc qu’à un moment, il craque pour mon corps de déesse, ou qu’il me demande, ou voire encore, qu’il me contraigne à l’honorer. Je me serais bien vue à ses pieds, à genoux, à gober toute son énergie plutôt que ma tétine.
Je me repris et me renseignai, curieuse :
- Daddy, depuis quand as-tu tes habitudes dans ce restau ?
Son bras se tendit et nous reprîmes notre promenade. D’un air de fillette rebelle, portant un sweat placardé d’un « Daddy’s Girl », j’avançais, fière. Daddy me raconta son histoire :
- J’ai acheté le restaurant il y a 20 ans et les murs il y a 5 ans.
- Tout est à toi ?
- Oui, Camille.
- Et le personnel ? Comment savent-ils pour les fessées ?
- Ha ha ha. Tu es bien curieuse, ma puce.
- Tu gardes le secret Daddy ? lui demandai-je, avec un regard d’ange.
- Au départ, mon équipe ne connaissait pas mon penchant pour nos jeux. Le restau a vécu. Certains sont partis, d’autres sont restés et restent fidèles. Lorsque j’ai eu suffisamment confiance en eux et après avoir fait quelques allusions déplacées, j’ai converti l’une de mes aides de cuisine à la discipline. J’y suis allé très progressivement. Et un jour, je lui ai baissé sa culotte dans mon bureau. Elle a naturellement propagé la nouvelle. Personne n’a bronché. Et, elle est revenue me remercier. Elle a demandé si cela pouvait se reproduire en public. J’ai approuvé. Elle a ensuite convaincu Edgar d’assister à sa prochaine fessée. Et ensuite, personne n’a rien dit. Il n’y a pas eu de démission. L’équipe a accepté que mes petites manies disciplinaires intègrent le règlement intérieur. Toutes mes employées sont passées sur mes genoux. Les garçons aussi, à part Edgar. Mais il sait, qu’il m’est soumis. Les contrats ont été modifiés en ce sens. Et pour la régression, je les ai habitué petit à petit, jusqu’à les faire participer sans que cela ne les choque.
J’en restai bouche bée. J’avais bu ses incroyables paroles.
Je n’avais pas vu les boutiques défiler. Nous étions arrivés au magasin de peluches. Une petite voix résonnait dans ma tête. J’avais envie de prendre les devants. J’aurai bien accélérer le tempo pour de nouveau me faire gronder. Mais, je ne voulais pas faire de bêtises avant d’avoir mon doudou. Je décidai simplement de me tester et tentai de relever un défi. Je me lançai :
- Daddy ?
- Je peux avoir ma sucette ?
- Tu la gardes toute la journée ensuite, Camille.
- Oh non…Que dans le magasin. S’il te plaît. Pour essayer.
- On voit en sortant. Si ça va, tu la gardes.
- Ok Daddy !
Et j’ouvris la bouche pour recevoir l’accessoire quémandé. Mon cœur se mit à battre plus fort. Mon regard avait naturellement baissé. J’eus du mal à dire bonjour dans le magasin.
La vendeuse semblait connaître Daddy. Elle s’approcha de nous, lui fit une bise, m’approcha et me souleva le menton :
- Je m’appelle Claire. Tu as besoin d’une nouvelle peluche, jeune fille ?
- Oui…Madame.
- Tu es très mignonne avec ta sucette.
Honnêtement, son calme de professionnelle mêlé à ma honte de novice était un délice. Je crois bien que … enfin… vous avez compris. Ce n’était pas encore les chutes Victoria, un étage plus bas, mais on s’en rapprochait petit à petit.
Elle me prit par la main. Il y avait un autre homme dans le magasin avec une fillette. Ma sucette l’interpella. Et au fond, il y avait un ado de 16-17 ans, mignon comme tout qui cherchait un cadeau pour sa petite sœur. Tout mon look semblait l’intriguer. Il me salua d’un « Bonjour ». J’avais du mal à regarder autre chose que le sol.
Claire me fit essayer plusieurs textures de peluche. Des molles, des souples, des bien rembourrées de plumes ou en billes, des douces, des rêches. Mon regard s’arrêta sur un ours caramel souriant et sur une panthère tachetée. J’hésitai. Daddy le vit bien. Je lui fit les yeux doux. Il me mît discrètement une main aux fesses, et me chuchota : « Bon. Soyons « sport » : prends les deux. Mais, je te préviens : dernier caprice du jour Camille ! Au prochain, tu seras punie… ». Le débit des chutes crut. Vraiment. J’étais folle de joie. J’enlevai ma tétine et embrassais Daddy avant de me diriger vers la caisse avec mes deux nouveaux compagnons.
Daddy paya. Claire mît l’ours dans un sac qu’elle confia à Daddy. Elle me donna la panthère et Daddy me donna les consignes pour la suite :
- Tu gardes la tétine, et tu gardes ta panthère à la main. Tu en prends soin jusqu’à notre retour à la maison.
- D’accord. On va où maintenant ?
- Surprise ! Donne-moi la main.
Et nous saluâmes Claire.
Dans la rue, Daddy me lâcha la main pour la poser sur mes fesses. J’étais aux anges. Mon regard s’était affirmé. Je regardais droit devant malgré ma tenue de petite peste. Ma tétine en bouche et ma jolie peluche en main, je fis bien attention pour que sa queue ne traîne pas par terre.
Daddy ralentit un peu le pas et me dis que nous allions bientôt arriver au prochain magasin. Il serra ma fesse, me mît face a lui, m’enlaça et me chuchota :
- Surtout Camille, tu te tais. Je ne veux rien entendre de désagréable. Tu réponds aux questions et c’est tout. Tu restes calme et polie. Est-ce bien entendu ?
- Oui Daddy, murmurai-je, curieuse.
On entra. La boutique, aux allures de pharmacie, semblait spécialisée en incontinence vu l’approvisionnement des rayonnages. Je compris ce qui m’attendais. Je me crispai. Il me reprit par la main et força le pas. Un homme vêtu d’une blouse nous aborda. Personne d’autre n’occupait l’échoppe.
- Mademoiselle, Monsieur.
- Bonjour jeune homme.
- Puis-je vous aider ?
Je sentais mon sang frapper mes tempes. Mes carotides étaient visibles. Mes poignets pulsaient. Ma poitrine se faisait cogner de l’intérieur.
- Il arrive à ma fille d’avoir quelques difficultés, jour et nuit, pour se retenir de faire pipi.
Je broyai sa main et plantai dans le dos de sa main le peu d’ongles qui me restait. Il me regarda. Je le foudroyai. Il ne montra aucune gêne et me rendit la pareille. J’allai bientôt m’en ramasser une. Je venais de franchir un interdit. J’avais perdu mon calme.
Le vendeur me posa des questions.
- Vous avez une jolie tétine.
- Tutoyez la, elle s’appelle Camille. Camille, enlève ta tétine pour répondre au Monsieur.
J’obéis gentiment.
- Bien Camille, quelle taille fais tu en culotte : XS, S ?
- M, Monsieur.
- Tu as déjà mis des couches toute seule ?
- Non.
Une larme pointa le bout de son nez au coin de mon œil. Il le vit.
- Tu sais ce n’est pas grave. Des milliers de petites filles comme toi ne sont pas forcément propres.
Il se voulait rassurant. Mais son tutoiement et les termes infantilisants accentuèrent ma honte. La situation était un poil humiliante. Il continua :
- À quel âge as tu été propre ?
- 2 ans.
- Quel âge as-tu ?
- 29 ans, Monsieur.
- Tu es mouillée ?
- Non.
Daddy se montra très entreprenant et m’emmena dans un recoin du magasin :
- On va vérifier quand même Camille, osa-t-il.
Le vendeur nous avait suivi. Il regarda la suite des événements avec attention. Je n’eus pas le temps de protester que Daddy descendit ma culotte à mes chevilles et toucha le coton :
- Petite menteuse… Il va falloir mettre une couche, Mademoiselle, dit-il, en remontant ma culotte effectivement humide de cyprine.
Le vendeur avança dans le recoin et trouva un paquet de changes complet et un paquet de pull-ups.
- Alors, je vous conseille les pull-pus pour le jour : pour les petites pluies. Ça s’enfile comme une culotte. Et pour la nuit, les changes comme pour les bébés. Vous saurez faire, Monsieur ? Vous vous souvenez ?
- Ça devrait aller, jeune homme. Vous n’avez rien de plus rose par contre, ou de plus enfantin que ces couches blanches d’hôpital, demanda-t-il, avec un regard complice et un perceptible sourire.
Ça y est. Je venais de le démasquer. Un point pour moi. Ça tombait bien ! Il voulait jouer. J’allais entrer pleinement dans son jeu.
- Venez. Nous avons une petite clientèle pour ces produits atypiques.
Il nous guida vers l’arrière boutique et je découvris une pièce avec une table à langer au format adulte et des rayonnages de protections colorées, à motifs, à rayures. Il y avait des paquets ouverts, soigneusement rangés et des paquets neufs, prêts pour la vente.
- Les pull-ups à droite, et les changes complets ici, et les inserts, par ici.
J’étais stupéfaite par la variété des produits. Intimidée, je laissai traîner ma panthère au sol. J’avais remis ma tétine. Daddy choisit des pull-ups toutes roses avec un petit imprimé animalier. Bien décidée à ne pas totalement me laisser faire, je dégotais un paquet de changes avec l’alphabet de toutes les couleurs. Je le brandis en disant, sucette en bouche :
- Je veux celles-là !
Le vendeur nous tendit un échantillon de pull-ups. Daddy revint vers moi, baissa ma culotte, me l’enleva des chevilles, me regarda et remonta la fine couche sur mes fesses. Je lui fis un sourire en me tenant sur ses épaules. Il se releva et m’embrassa sur le front, malaxant ma couche.
Il prit un paquet d’inserts hyper épais, hyper absorbant. Le vendeur empaqueta le tout dans un cabas décoré d’un gentil loup et d’un grand lion avec en arrière plan un bel arc en ciel. Il glissa des échantillons de crème et de talc. Et il me le donna. J’étais un peu chargée avec en plus ma panthère sous le bras. Nous retournâmes dans le magasin. J’étais comme dopée, pleine d’énergie, survitaminée. Il y avait maintenant une vieille dame. J’hésitai un peu. Mais ma petite voix intérieure maléfique m’incita. Et, alors que Daddy tendait des billets de banque, je me laissais aller. Je savais très bien ce que je faisais. J’avais bien trop bu ce matin pour que l’absorbant résiste. Une petite flaque se forma. Et, pour couronner le tout, c’est la vieille dame qui remarqua l’accident en venant voir Daddy, trop occupé à parler avec son complice.
Elle lui chuchota que j’avais du avoir un petit souci.
Il me dévisagea. Fou de rage, il m’empoigna et me gronda. Je n’étais pas forcément à l’aise avec ma couche détrempée mais le voir rugir me plut beaucoup. Il me demanda si je n’avais pas honte. Il me dit que je n’étais qu’une sale gamine. Il m’indiqua publiquement que j’allais être sévèrement punie. Il demanda à pouvoir retourner dans la petite pièce pour changer ma pull-up par un épais change complet. Il me dit haut et fort que j’allais me prendre une fessée telle que je ne les avais jamais connues, que j’allais me retrouver au dodo pour le reste de la journée.
Je jubilais de cette déferlante de reproches en public. Ma couche s’épaissit même d’un peu de cyprine. Quel pied !
Je lui tint tête. Enfin… je soutenu son regard. Je voulais qu’il me prenne en main. Le vendeur rouvrit la porte dérobée. Daddy m’empoigna par le bras. Il me conduisit dans ce local où il me dénuda à toute vitesse. Il me projeta sur la table à langer, coupa les cotés de la couche, me leva les jambes comme pour la fessée ce matin et me nettoya les fesses et le minou avec des lingettes. Je profitais de l’instant et de son autorité.
Contrairement à ce matin, je n’eus même pas à tenir mes genoux, il s’en chargea et m’assena une cuisante punition sans oublier de claquer mes cuisses. Ce qu’il pouvait être dur ! Mais bon, je l’avais méritée. Il me laissa sur ma faim, attrapa un change complet Disney, hyper épais, ajouta deux inserts, me saupoudra l’entrejambe de talc, ferma la couche et la doubla. Enfin, il attrapa, de dessous la table, un body bleu et ferma les pressions sous mon change en deux temps trois mouvement. Il posa sa main sur mon gros paquet d’absorbant. Il appuya. Je sourris. J’aurai aimé qu’il continue. Raté…
- Maintenant, habille-toi Camille. Tu vas prendre une vraie fessée en rentrant.
Je me relevai avec difficultés. Les langes m’écartaient les cuisses. Je repassai mon pull. J’eus de sérieuses difficultés à fermer ma jupe sur ma taille gonflée de l’épaisseur des rabats de pvc. J’enfilai les bas puis les chaussures roses.
Je ne m’étais pas si mal débrouillée mais chaque pas me faisait marcher comme un canard. Le plastique de ma couche faisait un bruit terrible, et son rebond soulevait ma minijupe au point qu’elle ne cachât plus grand chose.
- Allez, fillette ! Tu vas aller t’excuser et avouer que tu as besoin d’une grosse fessée et que tu portes une jolie couche de petite.
- Nonnnnn !
- Camille !
- J’ai dit Non ! N-O-N !
- Tu va me faire perdre patience…
- Pffff…. T’as qu’à me coller une fessée Daddy, fis-je, en pointant mes fesses molletonnées.
- Amuse-toi…
- Cool !!!
Et une gifle, sortit de nulle part, s’abattît sur ma joue.
- C’est pas juste ! T’es pas gentil !
Oui, j’abusais clairement.
Il m’empoigna et me fit dégager le plancher.
- Je te préviens, Camille, un mot de travers et tu passes le repas avec la couche et un lavement dans le ventre après ta fessée. Et il n’y aura pas qu’un petit verre d’eau.
J’avais vu ses instruments de torture, hier soir, près du lit et j’avais retenu l’indication de volume : « 2L ». Non mais ! Qui pouvait retenir autant d’eau comme ça ? Soudainement, je fermai ma bouche et arrêtai de faire l’imbécile. J’allais me prendre une bonne correction et j’avais déjà une honteuse mission à accomplir. Daddy me remit la tétine entre les lèvres et nous sortîmes près du comptoir. Le vendeur avait nettoyé mes bêtises et il y avait désormais deux personnes de plus dans la boutique. Le vendeur prit une minute pour nous et vint à ma rencontre :
- Ça va, vous avez trouvé ce qu’il vous fallait ?
- …,
- Allez, Camille. Un petit effort ou ce sera le lavement !
Quoi ?! Il avait osé. Les gens nous regardaient interloqués.
- Monsieur…
- Oui, Camille.
Je me décomposai. La marche était un peu haute. La honte m’avait envahie. Daddy me relança :
- Allez, Camille. Un peu de courage ! Enlève ta sucette.
Je la pris en main, relevai doucement mon visage vers ce monsieur et commençai :
- Je vous prie de m’excuser, Monsieur, pour mon comportement de vilaine fille…
Quelques larmes de honte douchèrent mes joues. Daddy me chuchota :
- C’est insuffisant. Tu vas avoir un lavement, je crois.
Je repris :
- J’ai besoin d’une bonne fessée…
Mon visage était complètement rouge. Daddy me suggéra tout bas :
- Pour avoir volontairement fait pipi dans le magasin…
Je tournai la tête vers Daddy sans dire un mot. Il me regarda bien amusé et je n’attendis pas qu’il me propose une nouvelle punition. Je reniflais.
- J’ai besoin d’une bonne fessée parce que j’ai fait pipi dans le magasin sans me retenir…
Je soufflai et repris mes esprits :
- Et je vous remercie, je porte maintenant une grosse couche de bébé.
- Oh, ce sont de bien jolies excuses. Je crois que je vais les accepter.
- Merci Matt, lui dit Daddy.
- Merci à vous, Monsieur. Passez une bonne journée et ne martyrisez pas trop ses petites fesses.
Il avait le chic pour connaître tout le monde. J’avais été loin dans la provocation. Il m’avait rendu la monnaie de ma pièce.
- Allez ! Maintenant, donne-moi la main, on rentre à la maison, tu vas avoir une vraie punition et tu seras privée de repas.
Décidément, j’étais folle de son autorité. Il avait les mots justes et la bonne intonation pour me faire perdre pied. Je venais d’avoir la honte de ma vie et pourtant je le suivais toujours, sucette en bouche, peluche et couches à la main, couches aux fesses, et tenue enfantine sur les épaules.
Etais-je folle ? En tous cas, je prenais mon pied !
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