Camille & Désiré – Chapitre 4 – Au lit

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    Victor
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    Chapitre 4 – Au lit

    Daddy ouvrit la porte de l’appartement et nous traversâmes un couloir. Au bout, sous les pentes, je découvris une chambre décorée pour deux jeunes filles. Sous une fenêtre de toit, on trouvait deux lits individuels avec leur petite table de nuit. Les draps avaient été imprimés avec des motifs enfantins : Mini sur fond rose d’un côté, et de l’autre les Aristochats. Sur les tables de nuit : des thermomètres à mercure, des tubes d’arnica, des tubes de vaseline. Aux pieds des lits, sur les montants, il y avait trois jeux de serviettes et juste à côté sur un support à perfusion pendaient des bocks à lavement. Entre les deux lits, étrangement, je distinguais ce qui ressemblait à un mini bar d’hôtel. Le papier peint était blanc avec des pois couleur pastel. Au sol, il y avait un beau plancher massif, craquant. 

    • Au coin, Elisabeth. Et toi, Camille, viens devant, me dit-il en s’asseyant sur le lit Disney.

    Il rabaissa ma jupe, se leva, défit mon chemisier, et finit par me mettre toute nue. Je me laissais faire. Il avait dit qu’il ne me fesserait pas plus. Il me prit par la main et m’emmena à la salle de bain attenante. Un bon bain chaud m’attendait. Il m’y fit assoir, se munit d’une éponge et me savonna. Je lui ouvris volontiers mes cuisses et appréciai ses massages. Il s’occupa de mes seins, de mon dos et de ma petite frimousse. Il était calme, doux et attentionné. Il me fit presque jouir, mais cessa ses caresses avant que je ne m’emballe. Il me lava les cheveux, les démêla. Un vrai Daddy. 

    Il m’accueillit à la sortie du bain avec une cape de bain aux motifs Dingo. Il me sécha tout le corps, me prit dans ses bras et peigna mes cheveux. Il me les sécha, m’ôta la cape et je repris sa main pour retourner dans la chambre. Je marchais un petit pas derrière lui, toute nue. Dans un placard, il dégota une culotte couvrante, blanche avec des petites licornes et un pyjama composé d’un pantalon à motifs écossais à dominante rose et d’une chemise à manches longues assortie portant la mention « Daddy’s girl ». 

    Il s’accroupit, me fit passer la culotte puis le pantalon et la chemise qu’il boutonna sur ma poitrine. Il me prit dans ses bras et me chuchota, portant une main sur ma joue :

    • Demain Camille, on s’occupera des poils sous ta ceinture. Je te les laisse pour ce soir, mais c’est tout,.
    • D’accord Daddy. 
    • Et maintenant, ma petite puce, je vais te prendre la température, te crémer les fesses et te mettre des suppositoires pour faire un bon dodo. 

    Il descendit sa main sur mes fesses et attendit que je lui murmure timidement : « oui Daddy ». Il recula, m’embrassa et me dit que ça allait bien se passer. 

    Il prit dans le réfrigérateur une plaquette de suppositoires, et tout ce qu’il y avait sur la table de nuit. Il me déculotta et me guida sur ses genoux. D’abord, il déposa une généreuse noix d’arnica sur mes fesses et me créma en me massant délicatement. Il prit le tube de vaseline, m’écarta une fesse et déposa aussi une petite dose sur mon petit trou serré. Cela faisait bien 15 ans qu’on ne m’avait pas pris la température dans les fesses, comme à une gamine. C’était froid, mais j’avais envie de toute cette attention et de ce lâcher-prise. Je sursautai un peu, mais il retint mon soubresaut. Avec un doigt, il enduisit ma peau. J’aimai ça. Puis, je sentis le thermomètre me pénétrer. Il joua avec l’instrument pendant quelques minutes tout en me touchant les fesses et en me massant le bas du dos. 

    • 36,6, Camille. Tout va bien !

    Et, je l’entendis extraire une puis deux dragées de la plaquette métallisée. Je le sentis bien positionner le médicament puis je pris conscience qu’il m’avait mis tout son doigt entre les fesses. J’adorai. Et il m’en mit encore deux avant de m’essuyer les fesses et de remonter ma culotte avec mon pyjama. Il me leva et me proposa de maintenant regarder la fessée d’Elisabeth. Il me donna même une ChupaChups que j’engouffrai dans ma bouche. 

    Sur mon lit, assise en tailleur, impatiente, voyeuse, à m’imbiber les papilles de parfum fruité, je la voyais, elle, cul nu, une racine plantée dans le cul, au coin, mains sur la tête, cambrée, tremblante, « brûlée » par le gingembre. 

    Elle, par contre, devait avoir de la température…

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