Camille & Désiré – Chapitre 15 — Le jour des enfants
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31 mars 2023 à 21:10 #86472VictorParticipant
Chapitre 15 — Le jour des enfants
Je me réveillai gentiment, gardant mes yeux clos. Je remuai les jambes. Je m’étirai. J’avais chaud sous mon pyjama et mon body. « Drôle » de sensation sous mes fesses. J’avais aussi une envie pressante. Je ne réfrénai pas plus ma vessie. Je ne risquais rien. Je gémis de soulagement. Ma peau se réchauffa. Joie. Puis la ouate absorba tout. Tristesse — passagère. J’ouvris mes paupières. Daddy me contemplait. Joie, de nouveau.
- Tu as bien dormi, ma petite puce ?
Ma tétine étouffa ma réponse. Il posa sa main sur mon bas ventre et constata un net gonflement. Il m’aida à me relever et m’ordonna de passer à quatre pattes. La gravité me fit comprendre la réalité. J’avais certainement dû mouiller mes langes cette nuit.
J’aimai cette découverte.
Il me mit en marche, toujours bâillonnée, tétine en bouche. Il me suivit. Vu les dégâts, j’avançai doucement, jambes écartées. Et je me pris au jeu. Je fis d’élégants pas de jolie petite chatte séductrice. Je balançais mes hanches. Je me cambrai exagérément dans mon pyjama de gamine. Lorsque j’arrivai au salon, Liz me sourit comme jamais. Germaine ouvrit le parc à barreau de bois dans lequel mon amie, ou devrais-je dire ma nouvelle cousine, jouait avec des peluches, des cubes, et des livres. J’y entrai en majesté. Daddy referma et cadenassa l’enclos. Ils nous demandèrent d’approcher et remplacèrent nos bâillons par de simples tétines. Liz porta sa main sous ma couche puis prit ma paume pour que je soupèse la sienne. Je la serrai. Elle sourit. Je la pétris. Elle plaqua un peu plus sa main. Joie. Je prolongeai cet échange en lui massant l’entrecuisse au travers de sa couche trempée.
Germaine s’échappa, laissant Daddy préparer le petit déjeuner. Au bar, il mixa des fruits frais, et remplit des biberons de lait. Nous voyant nous masturber, il haussa le ton :
- Eh les filles ! Une fessée ?
- Mais Tonton, t’avais pas dit non ! bougonna Liz, sans ôter sa sucette.
- Tu en veux vraiment une Liz ? gronda-t-il un peu plus fort.
Tension. Je pris un album, m’allongeai sur le ventre, sur une énorme peluche, le cul en l’air, et commençais la lecture à voix haute, pour Liz. Elle me pelotait les fesses au travers de ma couche saturée. Je dégustais ses palpations. Elle rit de ses « bêtises » et de l’histoire que je racontais. Daddy nous rejoignit, nous sépara gentiment et s’installa entre nous. Nous nous retrouvâmes équipées d’un bavoir en éponge, chacune la nuque en appui sur une de ses cuisses. Il nous enfourna les biberons de lait entre les lèvres et nous les tétâmes docilement. Je voulus tenir le mien, mais je reçus un avertissement : « Non, non, petite Camille. Tu es trop petite ». Alors je reposai mes mains sur mon bas ventre et je me massais en douce. Je le regardais béate, en prenant mon petit déjeuner. Mon épaisse couche ne me préoccupait plus. Il abandonna les biberons, posa ses doigts sur nos estomacs et nous embrassa sur le front. Le temps était suspendu. Il demanda à Liz de se mettre à quatre pattes et de lui montrer ses fesses. Il soupesa son body. Moi, je profitai de voir son gros paquet gonflé sous son pyjama Stitch.
- Joue avec tes peluches, Élisabeth. Je donne les fruits à Camille, après ce sera ton tour.
Il prit une cuillère de purée et me donna à manger. Je me laissais faire sans rien dire. C’était sans compter sur l’impatience de ma petite cousine d’adoption… Liz vint malaxer ma couche pour essayer de me déstabiliser. Elle se fit gronder, mais continua. Je ne parvins plus à capter la cuillère correctement. La moitié de la nourriture finissait sur mon menton ou mes joues et un tiers s’écrasait directement contre mon bavoir. Disputée, Liz voulut me chatouiller. Je me tortillai. Je ne me contrôlai plus. Je mis un coup de genou dans le bol de fruits qui virevolta dans les airs avant de se déverser sur la cuisse de Daddy. Elle ricana. Moi j’essayais de calmer mes tremblements craignant une vraie fessée punitive.
- Ça suffit, Élisabeth !
- Mais !
- Tu as vu l’état de mon pantalon ?
Il me débarbouilla, m’enfourna une sucette en bouche, m’embrassa et m’indiqua qu’il reviendrait me changer rapidement. Il saisit Liz par le bras et la traina hors du parc qu’il referma. Elle piétinait et s’exclamait.
- Non ! Tonton ! Tu vas pas… ?
- Te punir ?!…
- Non ?
- Si !
- Mais Tonton… T’es pas drôle !!
- Tu vas te prendre une bonne fessée, ma belle.
- Mais j’ai plus 5 ans !
- Tu vas moins rire, Mademoiselle la peste ! Même avec ta petite cousine, tu ne sais pas rester calme. Vilaine !
- Mais Tonton, osa-t-elle mi-penaude, mi-narquoise.
- Quoi encore !
- Mais, j’ai pas fait exprès.
Elle en rajoutait — des tonnes ! Elle allait trouver ce qu’elle cherchait.
Daddy la propulsa sur la serviette à langer qu’il avait prévue sur la grande table du salon. Il lui arracha presque son pyjama, releva son body au-dessus de sa couche et l’ouvrit. Compte tenu de l’étendue des dégâts, il la nettoya méticuleusement : d’abord grossièrement avec les changes usagés, puis avec des lingettes. Bien malicieuse, cette sale gosse profita de l’instant et de la fraicheur du tamponnage de son minou. Elle écarta ses cuisses à outrance et donna même des coups de bassin pour chercher les lingettes. Elle se touchait la poitrine et se pinçait les aréoles au travers de son body. Daddy la ramena à la réalité en lui serrant, visiblement très fort, ses grandes lèvres :
- Hé ! Tu crois que je vais te caresser ?!
Elle hocha la tête tout sourire pour se payer la sienne. Mais une fois qu’elle eut le cul propre, il la leva par une oreille, fit un arrêt à la cuisine et prit la plus grosse cuillère en olivier qu’il trouva. Intéressant !
Il s’assit sur le canapé, face à moi, elle, couché sur un de ses genoux. Je voyais sa petite chatte rose fendue, son petit trou brun serré, et ses deux fesses blanches rebondies. Il maintenait son dos sous un coude. Moi je réorganisai les peluches contre les barreaux du parc et je me bâtis un cocon de douceur. Je m’y blottis un doudou en main, et mes phalanges se promenant sur mon corps… enfin… sur mon pyjama. J’allais certainement me faire des caresses, et Daddy, ne pouvant se diviser en deux, serait obligé de me laisser faire pour me punir plus tard. Il remonta ses manches. Que d’allure ! Il prit la cuillère et la leva :
- Et donc, un short, couleur grenadine, pour ma nièce chérie !
Je massais mes seins et malaxais ma couche mouillée devant cette fessée qu’elle n’avait pas volée. J’appuyais aussi fort que possible pour me faire de l’effet. Je contemplais son châtiment. D’abord, il y eut des couinements, puis des gémissements étouffés par sa sucette. Rapidement, des cris s’échappèrent de sa bouche alors que sa tétine quitta ses lèvres. J’admirai son cul se parer de vives auréoles rouges. Daddy la marqua. Il luit rosit les cuisses, mais lui marqua les fesses. Sa chatte se couvrit d’un voile brillant. Il la frappa si fort ! Les « arrete » côtoyèrent les « non », les grognements, les « c’est pas juste », mais elle encaissa. Puis les cris se turent. Sa peau tannée sembla devenir insensible. Elle recommença à gémir et sa respiration devint bruyante puis incontrôlable. Et, il poursuivit bien plus fort. Les gémissements se muèrent en pleurs. Des lésions poignirent. Certaines auréoles prirent une jolie teinte bleutée. Puis ses jambes tendues devinrent flasques comme si elle avait trouvé le repos. Il s’arrêta et promena le bois sur toute sa croupe. Avec le manche, il explora sa chatte. Liz apparut… ouverte et disponible. Il la traita de « vilaine », la releva par les cheveux et la mit à genoux, tête au sol, pour mon plus grand plaisir. Dans mon « bain » de Teddy Bears géants, j’accélérai les palpations. Je perçai le regard de Daddy avec, moi aussi, des manières de petite peste insupportable, l’air de dire : « c’est quand mon tour ? ».
Il sortit d’un guéridon un thermomètre en verre qu’il plongea sans mal dans son œillet maintenant détendu et lui ordonna de le pointer vers le ciel pendant trente minutes.
Il se rassit, bras croisés. Il me regarda. Je le fixai, les yeux grand ouverts, les lèvres pincées. Je jouis. Si fort ! Il claqua ses mains sur ses cuisses, se leva :
- À ton tour, Camille !
1 avril 2023 à 12:09 #86476louviereParticipant
Vivement la suite ,très cher
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