Camille & Désiré — Chapitre 15 bis — Le jour des enfants… la suite

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    Victor
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    Chapitre 15 bis — Le jour des enfants… la suite

    Il avançait vers moi. D’ici-bas, je le contemplais. Il me paraissait si grand et si déterminé : on aurait dit un géant. Je lui souriais, espiègle, mais surtout heureuse — heureuse qu’il s’intéresse enfin à mon cas. Son aura m’attira, comme un aimant. Sous emprise, ou plutôt pleine de désir, je tombai à quatre pattes m’extirpant ainsi de mon cocon de peluches. J’approchai alors des barreaux du parc, impatiente. D’un seul geste, il ouvrit la porte de mon enclos, et me leva soudainement par les cheveux. Il claqua mon pyjama et je ressentis la lourde masse de coton se plaquer contre mes fesses. Curieuse sensation… Arrivée près de la table à langer, il m’y projeta sans autre forme de procès. Que d’entreprise ! Je ressentis ce drôle de mélange contre ma peau. Quelle intéressante découverte que l’usage de ces suppositoires ! 

    Allongée, j’en profitai pour lâcher un dernier p’tit pipi… Joueuse, Camille… Trop joueuse même ! Cette fois, le flot eut raison des inserts et une auréole se forma sur ma grenouillère. Oups !

    • Je savais bien que tu étais un vrai bébé, ma petite Camille. Mais un drôle de bébé… qui se masturbe devant les fessées de sa cousine… Tu ne perds rien pour attendre ! me dit-il, pervers, en malaxant mon entrejambe gonflé et trempé.

    Il me retourna sur le ventre et ouvrit mon pyjama. Il pétrit encore ma couche au travers de mon body et me renversa sur le dos pour finir de m’enlever ma combinaison, défaire les pressions de mon « sous-vêtement » et enfin ouvrir ma lourde culotte de sale gosse. Même si c’était la première fois que le change prenait de telles proportions, je n’avais pas honte. Je le regardais, béate. Il écarta puis leva mes jambes et me nettoya. Il prit le temps de me rafraîchir. Je dégustais les caresses des lingettes sur mon sexe. Je l’admirais, méticuleux. Son charme me faisait rêver. Il se pencha sur moi, me fit les gros yeux, me sortit de mes songes, m’attrapa par une oreille et me releva promptement. Il me traina dans la salle de bain, alors que je lui criai ma douleur. Il y trouva une lourde brosse à cheveux et nous revînmes auprès de Liz. Ce qu’elle était belle avec ses fesses rouges ! Elle ne bronchait pas et observait sa pénitence, silencieuse. 

    Comme elle, il m’allongea sur ses genoux et m’immobilisa avec ses jambes et son coude. J’avais les fesses et le sexe ouverts aux quatre vents. J’avais bien tenté de gesticuler pour lui donner du fil à retordre, mais il avait su écourter mon caprice. Il me demanda si je savais pourquoi j’allais être punie et je lui rétorquai, tout sourire :

    • Parce que t’es qu’un vieux ronchon, Daddy !

    Liz eut du mal à se contenir. Elle trembla un peu et se mordit les lèvres pour ne pas rire. Il le vit et réagit aussi sec :

    • Toi, Liz, reste calme ou demain tu travailleras avec un lavement dans le ventre.

    Il nous avait déjà menacées avec ça. Je me demandais bien quel sentiment ce traitement pourrait bien procurer, en public, lorsqu’il faudrait le retenir pour éviter l’humiliation totale. Alors, curieuse, j’accentuai, à pas de velours, un peu plus mes ennuis :

    • Daddy… il est vrai… que ce serait mieux… de nous mettre le thermomètre après un bon lavement !

    Et sans attendre, il gratifia ma cuisse froide d’un énorme coup de brosse. Je hurlai de surprise. Bon… d’accord, je l’avais bien cherché celui-là. Il reprit : 

    • Tu disais, Camille ?
    • Que le vieux ronchon ferait bien de nous laver l’cul avant…

    Je n’eus pas le temps de finir ma phrase. Une volée de coups de brosse martela mes fesses blanches. Ils me piquèrent tous intensément. Malgré la chaleur de la punition, jambes écartées, je pouvais ressentir un petit courant d’air frais sur mon minou et mon petit trou. Cela m’excitait et me permettait de mieux tolérer la violence de la punition. Du coup, j’insistai :

    • Daddy… tu ronchonnes encore ?
    • Tu veux jouer Camille… Ainsi soit-il !

    Et il m’assena enfin une vraie bonne fessée. Il n’épargna ni mon cul ni mes cuisses. Il me frappa aussi fort qu’il le put. Tous les coups me firent mal. Pas un ne m’effleura. Il me chauffa la peau et imprima sur mon cuir la marque de sa colère. Je ne me soumis pas non plus à sa nouvelle demande :

    • Ça va aller, Camille, avec ça ?!
    • Oh ! j’sais pas… j’ai froid aux fesses, Daddy…

    Alors, il poursuivit, en frappant mon cul. Il ne retint plus aucun de ses coups et même, il accéléra. Et puis, il s’arrêta et me caressa les reins et même… la lune, du bout des doigts. Je frissonnai. Il me chuchota tout bas qu’on « lave toujours le cul des sales gamines avant de sortir au parc ». Il me releva donc manu militari en me reprenant fermement par une oreille tandis qu’il demanda à Liz de se relever et de lui tenir la main pour aller mettre une nouvelle couche. 

    Dans la chambre, il l’allongea sur le lit et lui donna son doudou. Il me mit au coin, paumes sur la tête, ouvrit deux bouteilles et les vida dans une poche à lavement. 

    Surcroît de pression.

    Il trouva un tube de lubrifiant, m’écarta les fesses et m’enfonça la canule jusqu’à ce qu’une excroissance vienne l’immobiliser entre mes sphincters. J’appréhendais, mais je n’eus pas le temps de plus analyser la situation. De l’eau me remplit et bientôt, mon ventre gonfla, comme une vulgaire baudruche. Il m’abandonna en m’ordonnant de rester sage pendant qu’il changeait Liz. 

    Je ne pensais plus qu’au liquide qui coulait en moi. Le feu sur mon cul n’avait plus d’importance. Et, je commençais à me dandiner et j’étouffais des gémissements d’inconfort. À quelques mètres de là, Liz se faisait dorloter. J’entendis les pressions de son body, l’annonce d’une jupe et d’un sweat. Je pus distinguer le bruit de la brosse sur ses cheveux et celui des scratches de ses baskets. Une fois prête, Daddy la laissa lire dans son lit et revint me malmener et caresser mon ventre affermi. 

    Horrible tension dans mes entrailles. 

    Il me claqua de nouveau le cul puis retira le tube. Il m’humilia un peu plus en me demandant de passer à quatre pattes. J’eus du mal à obéir tellement j’étais pleine. Je craignais la fuite. Je serrai les fesses de toutes mes forces et ne me focalisais plus que sur ma continence. Il resta debout sans dire un mot. Puis, il farfouilla avant de s’exclamer : « J’ai trouvé ! Avec ça, pas de fuite pendant deux heures ! » Et il revint, se mit à genoux derrière moi et m’enfonça quelque chose de froid dans le cul. De peur, je résistai. Il m’en dissuada : « Force encore, je te donne 100 coups de canne et tu n’auras pas intérêt à laisser l’eau s’échapper ! » Je m’avouai vaincue et lui permis donc le passage. 

    • Avec ce fusible étanche, tu pourras vaquer tranquille et l’eau restera dans ton p’tit bidon. Par contre, quand il aura fondu sous l’effet de ta température, tu n’auras plus que tes yeux pour pleurer, ma petite puce. 

    Je me relevai péniblement et découvris alors mon amie avec ses couettes, un sweat Mini gris, une mini jupe rose et une tétine en bouche. Trop mimi ! Elle me sourit et me regarda me diriger vers mon lit ou m’attendait déjà un curieux empilement de protections. Daddy m’aida à m’allonger. Il referma sur mon minou : deux inserts, puis deux épaisses couches, puis encore une culotte de plastique rose très bruyante. Il m’habilla ensuite comme elle : body, minijupe grise, sweat rose, baskets à scratches, couettes sur la tête et tétine en bouche. J’eus du mal à me relever tellement la pression était forte.

    Il prépara nos sacs à dos, les remplit de changes, lingettes, drap, biberon de jus de fruits et nous les mit sur les épaules. Nous partîmes ainsi en promenade, tous les trois, main dans la main, avec de quoi nous changer « juste au cas où »…

    Sadique !

    Les épaisseurs entre mes jambes m’obligeaient à les écarter. J’aurais mille fois préféré marcher à quatre pattes. Au moment de passer la porte, je m’immobilisai, craintive. Daddy me chuchota :

    • Camille, tu as été une très vilaine petite fille. Tu es punie. Viens ou ce sera pareil demain…

    Ce « vilaine » et cette menace ravivèrent mon excitation. Je me mis en marche tant bien que mal. Mais, plus j’avançais, plus mon p’tit bidon se tordait. Des larmes coulèrent silencieusement lorsque nous arrivâmes au parc. Nous nous promenions depuis près de deux heures déjà qu’un filet d’eau s’échappa de mes fesses. Mon ventre gargouillait. J’avais trop mal. Il y avait du monde de partout. Je m’arrêtai tout de même et fermai les yeux.

    Quelle torture ! 

    Le bouchon étanche avait fondu et je n’eus pas la force de me retenir plus longtemps. Je me rendis à l’évidence et acceptai la punition. Je me relâchai. Un torrent mouilla toute ma « culotte ». L’eau traversa les inserts, imbiba toute ma couche et envahit la seconde. L’humidité remonta sur ma peau, sur le haut de mes fesses, sur mes hanches, sur mes reins, sur mon minou, mon pubis, mon ventre, et enfin l’eau déborda même un peu sur mes cuisses dans la culotte de plastique. 

    Ouf ! Pas plus de fuites. Daddy avait assuré !

    Je me jetai a son cou, en pleurs et m’excusai pour mon comportement de sale gamine. Il malaxa ma couche et m’indiqua qu’il allait me changer sur l’herbe avec l’aide de Liz. Je le suivis, obéissante — inutile de chercher plus d’ennuis ici en public pour parfaire le tableau… Il installa un drap et m’y coucha délicatement. Lorsque j’arrivai au le sol, je sentis l’eau onduler sur la peau. C’était si bon !

    Il avait tout prévu. Il me fit lever les fesses et glissa une serviette hospitalière hyper absorbante. Il releva ma jupe. Liz surveillait les alentours. Lorsqu’il ouvrit la culotte de plastique, le trop-plein s’écoula sur l’absorbant. Il ouvrit les couches en toute sécurité et me tamponna avec une autre serviette éponge. Il me releva les jambes pour bien me sécher, me crémer et me talquer avant de me mettre un nouveau change complet. Personne ne vint. J’étais à la fois honteuse d’avoir été si sévèrement punie, soulagée que ce soit fini et qu’il n’y ait pas eu de fuite et honteuse et excitée en même temps d’être ainsi changée au beau milieu d’un jardin public. Il me releva et me prit dans ses bras.

    Au loin, j’aperçus Germaine. Elle se joignit à nous, prit Liz dans ses bras, s’assit à côté de Daddy et ils nous allongèrent pour nous donner nos biberons de jus de fruits.

     

    • Alors cette matinée, Désiré ?
    • Et bien !
    • Intense ?
    • Ces deux petites vilaines…
    • Ah oui… Vilaines ?!
    • Si tu savais !
    • Vas-y, raconte-moi ! J’adore les histoires…
    • Et bien, d’abord…

    Et Daddy commença le récit de nos aventures tandis que nous buvions gentiment nos jus de fruits. Ainsi, leurs palabres toutes aussi humiliantes qu’excitantes nous bercèrent alors que leurs mains libres et perverses avaient migré sur nos poitrines de femmes pour peloter nos seins cachés, sous les imprimés des oreilles de Mickey et Mini qui ornaient nos sweats de petites filles ingérables. 

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