Camille & Désiré – Chapitre 10 — La vraie correction — 1/2
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30 décembre 2022 à 22:35 #84227VictorParticipant
Chapitre 10 — La vraie correction — 1/2
12 h 30. On rentra par le restaurant. D’abord, les marches du perron. Nous étions suivis par un couple. Aucun doute, ils allaient déjeuner ici. La dame, d’un certain âge, qui n’avait pas vu mon visage, crut confesser à voix basse à son mari : « Tu as vu mon chéri ? Cette pauvre fille doit avoir de gros soucis. Tu as vu la taille de sa couche ? ».
Honte !
Daddy avait entendu. Il se retourna et moi avec :
- C’est simplement une vilaine fille. Elle est punie.
Mégahonte ! Je serrai sa main de toutes mes forces. Il s’amusait. Nous continuâmes de monter. Le portier nous salua sur le perron :
- Monsieur Santor, Mademoiselle Camille.
Nous déambulâmes dans le hall, sur le marbre, en damier noir et blanc. Les portiers de la salle de restaurant nous saluèrent. J’avais du mal à leur décrocher un sourire vu les dernières paroles de Daddy. Les clients qui passaient me dévisageaient. Ma démarche pouvait paraître louche, mais c’était surtout mon port de tétine qui les étonnait.
Au bout du hall, nous prîmes le grand escalier. Deux frangines de moins de 20 ans nous suivaient pour aller au rooftop. Elles rigolaient et se moquaient ouvertement de ma couche qui dépassait un peu de mon body. Je sentis même une pression sous mes fesses. Je n’osai me retourner pour exprimer mon mécontentement vis à vis de leurs mains baladeuses. Elles continuèrent de grimper dans les étages alors que nous nous arrêtâmes devant l’entrée principale de l’appartement de Daddy. Il accentua mon malaise :
- J’espère que tu as honte.
Je ne sus répondre. Et vint une voix féminine :
- Voici donc notre insolente du jour !?
Je reconnus la voix de Germaine et levai les yeux.
- Tu ferais mieux de regarder le sol, vilaine fille ! M’envoya-t-elle sans détour.
Elle vint à ma rencontre et mit sa main sous moi.
- Alors, comme ça, tu t’amuses bien trop avec les pull-ups ?
Elle malaxa ma couche, me souleva le menton et continua de m’intimider :
- Tu seras mignonne au travail avec cette tenue et cette nouvelle culotte.
Elle venait d’activer une corde sensible. Je rêvais secrètement d’inavouables fantasmes à réaliser dans le cadre de mon travail. Mon cœur balançait. Honte-plaisir-humiliation-plaisir… tout se mélangeait. Elle reprit la main sur ma correction, me sortit de mes songes et fit allusion à mes bêtises. Elle me gifla sans que je visse venir sa main.
- Tu crois que tu peux tout te permettre ?
Elle me tourna autour et me claqua les fesses à travers mon attirail de fillette. Je ne ressentis aucune douleur, mais un terrible sentiment de soumission. Daddy me regardait. Germaine me commanda :
- Déshabille-toi maintenant ! Et dépêche-toi.
Mes doigts tremblaient. Ils hésitaient à attraper les vêtements. Je me retrouvai tout de même en body. Elle me somma de me dépêcher.
J’arrachai les pressions de mon body. Mes langes s’affaissèrent un peu. Pourtant, je n’avais rien fait. Je n’avais pas eu envie de plus aggraver mon cas.
Mon dernier rempart fût donc cette double couche quadruple épaisseur.
J’allais en prendre une bien sévère, je crois.
Germaine continua de me tourner autour :
- Mais c’est qu’elle est toute mimi notre gamine avec sa culotte de fillette ! Et elle n’ose plus faire pipi maintenant ? Elle veut retourner sur le pot ? Comme une grande ?
Elle me faisait ravaler ma fierté et me ridiculisait. Je ne dominais plus rien du tout. J’essayais de me concentrer sur la fessée à venir, mais son ton moqueur m’en empêchait. Lui se mit face à moi, mi debout, mi assis sur le rebord d’une table, bras croisés :
- Mains sur la tête, Camille… J’hésite encore. Je ne sais pas. Est-ce que je t’enlève ça tout de suite et je m’occupe de te marquer les fesses ? Est-ce que je t’abandonne à Germaine ? Est-ce que je te fais boire quelques biberons et j’attends ? Cela me plairait bien ! Mais, tu as eu un tel comportement ce matin… Surtout que je t’ai acheté deux doudous. Ou alors… Ah oui… Voilà ! Je sais. Je vais être très sport pour cette fois. Je vais t’expliquer comment se passera la prochaine fois…
Lui aussi jouait avec ma petite tête, avec mes pensées. Je ne parvenais pas à me concentrer pour éviter de l’écouter. Comme avec Germaine, à chaque phrase, je divaguais. Chaque mot éveillait une pensée lubrique, perverse, masochiste, infantilisante, humiliante, jouissive. Ils avaient le don de manipuler mon esprit comme dans mes rêves les plus fous. Comment était-ce possible ?
Ma pauvre couche devait commencer à souffrir de ce mélange de pensées trop excitantes.
- La prochaine fois, Camille, je testerai ta patience. Et même ton endurance. Je me régalerai de tes tressaillements. J’abuserai de ma position dominante. Tu pourras résister. Mais, tôt ou tard, tu craqueras. Naturellement que tu craqueras. Je traverserai ton armure. Tu ne pourras éternellement contenir dix biberons de jus de pomme. Et quand tu en auras laissé s’échapper quelques-uns dans ta jolie culotte rose, nous nous chargerons de bien te réhydrater. Mais… tu vas me dire que tu aurais froid. Pendant ton supplice, je ne te priverai pas de chaleur. Si j’invite Germaine, je lui demanderai de te réchauffer les cuisses. À la badine ? Un peu violent peut-être… Au fouet ? Ah terrible… Non ! Au grand paddle de bois ?… Mmm… Sonore ! Non ! Au martinet : tout simplement ! Et quand tous les biberons auront fait leur chemin, nous pourrons enfin découvrir ton petit cul de vilaine petite fille désobéissante et insolente incapable de se tenir plus d’une heure sans faire la moindre bêtise. Je crois que je prendrais le temps de passer quelques lingettes sur ta peau mouillée. Je l’assècherais. Et, je vérifierai ensuite si elle reste à l’abri de l’humidité. Je m’occuperai de ton adorable paire de fesses. Je te la ferai rougir. Je ne te ménagerai pas. Tu auras mal. Tu t’en voudras. Tu me demanderas certainement d’arrêter. Je ne m’arrêterai pas. Tu auras des marques. Tu auras la peau rouge. Tu auras de belles auréoles. Je te laisserai un souvenir pour quelques jours. Tu dégusteras toute ma collection d’instruments. Tu ne sauras plus quoi faire pour retenir tes soubresauts. Tu iras ensuite au coin comme une enfant, punie par sa maîtresse. Tu comprends ?
Quel adorable salaud ! J’ai du mal à l’avouer, mais je mouillais. Je ne serais pas vulgaire au point de dire que je ressemblais à une fontaine, mais vous comprenez l’idée. Il avait mis le doigt sur mes faiblesses émotionnelles, s’en était emparé et prenait un malin plaisir à me déstabiliser. J’avais fermé les yeux pour me concentrer sur ses mots.
J’avais de plus en plus de mal à tenir mes mains sur ma tête.
Il se déplaça. Je rouvris les yeux. Il n’était plus là. J’entendis son souffle à mon oreille. Je sentis son doigt parcourir ma colonne vertébrale. Il tira mes cheveux en arrière. Il claqua ma couche. Et me chuchota :
- À nous deux, vilaine !
Devant moi, Germaine ouvrit un placard duquel elle sortit un cheval à roulettes. Il était pourvu d’une multitude de sangles. Elle l’immobilisa en activant les quatre freins.
Daddy caressait ma couche. Quel pervers ce Daddy !
Elle ouvrit les sangles sur la partie horizontale. Il dégrafa les scotchs de ma première culotte. Elle ouvrit les lanières des jambes. Il pétrit l’épaisseur encore en place, bien assuré. Elle déboucla le cuir de maintien des bras. Il ôta ma seconde culotte. Elle tomba. Il me toucha :
- La fessée ! C’est tout ce que tu mérites, petite Camille.
Ce « petite » emballa mon petit cœur.
Il me fit avancer jusqu’au cheval. Des tremblements s’emparèrent de moi lorsque mes jambes vinrent en appui de ce meuble d’infortune. Je ne voulais pas m’échapper. J’eus des bracelets de chevilles. On me relia à la structure par deux courtes chaînettes. Ils me sanglèrent les mollets puis le bas des cuisses. Lorsqu’ils ajustèrent le serrage, naturellement, je perdis l’équilibre. Je tombai à la renverse. Je me rattrapai sur le support ventral. Germaine m’accompagna. Il me sangla le bas du dos, puis derrière la poitrine. On me lia les mains à l’aide de confortables menottes de cuir et on m’attacha aux madriers avant. On me sangla les bras.
J’étais pour ainsi dire sans défense, à la merci de cette petite famille.
Daddy s’en alla en direction du placard d’où provenait le cheval. Toute une collection d’instruments pendait devant moi. Mes palpitations étaient incontrôlables. Germaine vint à ma rencontre, elle souleva mon menton et capta mon regard inquiet, mais mêlé d’envies. Je vis Daddy prendre un très long martinet qu’il brandit devant moi pour l’essayer. Il le posa sur ses épaules. Je ne voyais que son dos. Il essaya sur sa main quelques cravaches. Il sélectionna la plus fine.
Germaine quitta les lieux et baissa la lumière. Daddy s’approcha et s’accroupit.
Il m’enleva ma tétine. Il me regarda et m’embrassa sur le front. Il me saisit les cheveux et me murmura encore :
- Tu vas être punie, vilaine petite Camille…
Il déposa son martinet sur mon dos. Il posa sa cravache contre ma jambe droite. Il disparut un instant et déposa sur le sol, sous mes yeux, mes deux doudous et ma tétine. Il s’éclipsa encore. Il me saisit la fesse gauche à pleine main, et se pencha sur moi, me reprenant par les cheveux et m’étirant la nuque :
- Tu feras un câlin à tes peluches après, petite insolente…
Et sans prévenir, un doigt visiteur explora furtivement ma petite fente exposée.
Je ne sentis plus la cravache sur ma peau. Le martinet glissa sur la peau de mon dos, entre mes fesses, caressa mon petit trou, chuta lourdement au sol et remonta à toute vitesse sur ma chatte mouillée. Cinq coups fouettèrent ma peau si sensible. Mon excitation apaisait la vivacité de la frappe.
Et, il se rapprocha. Je ne pouvais plus que l’entendre. Pas de miroir pour le chercher du regard. Je serrai les poings. J’ondulais entre les sangles et le matelas du chevalet. Le mont de Vénus disait : stop. Mon cul disait : encore !
Sa cravache parcourut mes jambes, mes cuisses, mes grandes lèvres et… Impact ! Oui ! Encore ici !! Il les frappa. L’une après l’autre. Puis ensemble. Il veilla à espacer les premiers coups. Il marcha, préservant un contact entre mon corps et sa cravache. Il l’avait posée sur mon dos et me tournait autour. Puis… rupture du contact. Et soudain, cet instrument équestre s’abattit sur mes cuisses froides. Encore. Encore. Et encore ! Et plus fort !
Je me tendis entre les liens de cuir, le bois, et les capitons. Les chaînettes, à mes pieds et à mes mains, teintaient. Le cuir des sangles s’enfonçait dans ma chair. Je m’exclamai à chaque impact. Je me débattis : parfois plus, parfois moins.
Ce maître n’avait toujours pas commencé à me fesser à proprement parler. Et pourtant, je bouillonnais. Il me perdait. Je voulais lui demander de me fesser. Il ne m’en laissa pas la possibilité. Il s’occupa encore de mes cuisses, de ma chatte. Il remontait progressivement vers mes fesses, mais ne les effleurait même pas. J’avais chaud. Il s’arrêta. Il s’accroupit face à moi. Il posa ses lèvres sur mon front. Et calmement, il me dit :
- Je t’écoute, Camille.
- Je suis une vilaine petite fille qui mérite une fessée.
J’étais folle. Folle de désir. Folle de lui. Folle de ses manières. J’étais prête à recevoir ma punition. De toute façon, à cet instant, Daddy aurait pu faire de moi tout ce qu’il voulait. Je crois qu’il aurait pu me baiser attachée sur ce cheval de torture. Je crois que je l’aurai accueilli par… mmm… je crois que je l’aurai accueilli entre mes lèvres, entre mes cuisses ou entre mes fesses. Je l’aurai laissé s’immiscer par ici, par là ou encore ici. J’aurai bu son plaisir pour prendre le mien et satisfaire mon désir. Germaine aurait pu être là. Edgar aussi. Et Elisabeth aussi. Chaque seconde qui passait me rendait dingue. J’étais folle. Folle de lui !
Puis, plus rien. Silence. Plus de contact. Le chêne se tut. Il ne craquait plus sous ses pas.
Et le martinet tomba sur mon cul…
31 décembre 2022 à 10:42 #84236louviereParticipant
Intriguant,magnifique, et en effet ,elle mérite camille.
Louviere
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