Au petit secret… (Suite et Fin !)

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  • #86138
    LucieVanessi
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    Le premier service touchant à sa fin, elle encaisse puis remercie les premiers clients qui partent (en lui souriant et la remerciant poliment pour le joli spectacle), tandis ce que de nouveaux arrivent.

    La plupart des clients connaissent ce restaurant, et ne sont aucunement surpris de se voir servi par une jeune femme nue aux fesses déjà striées de rouge, ils sont d’ailleurs, pour la plupart, là pour ça. Quelques autres sont pourtant nouveaux et peu familiers du concept, mais seulement très peu partent, la plupart sont ravis de se faire servir par cette charmante demoiselle.

    C’est ainsi que la soirée continue, certains des nouveaux clients, aussi curieux que malicieux, s’amusent à faire de grosses commandes, à les changer, à mal prononcer le nom des plats, pour emmêler les pinceaux de la demoiselle. La jeune punie a de plus en plus de mal à suivre le rythme, surtout sans son calepin. Et arrive ce qui doit finalement arriver, elle se trompe de sauce, puis de plats, enfin de commandes toutes entières. Les clients, loin d’être réellement mécontents, font appel à Charlie en leur précisant la faute faite. C’est ainsi qu’encore une fois, allongée sur une table au milieu de la salle, la jeune femme reçoit à nouveau 20 coups de martinet. Elle se relève ensuite, prête à continuer son service, au bord des larmes, lorsque Charlie l’arrête dans son élan en l’attrapant fermement par le bras.

    « J’espère que tu te souviens demoiselle, de ce que je t’ai dit tout à l’heure ? Oui ? Dans ce cas, peux-tu le redire à voix haute, la plupart des clients ici n’étaient pas là… »

    « Ce sont les clients qui pourront utiliser le martinet… » répond-t-elle timidement de sa voix la plus claire.

    « En effet. A la fin de ton service, pendant que j’encaisserai les clients, tu te pencheras sur une chaise à côté de la porte de sortie, les fesses tendues et le martinet sur ton dos. Chaque client à qui tu as servi le mauvais plat pourra s’en saisir et te donner 5 coups. Et si tu ne veux pas être attachée, tu ne devras pas bouger, est-ce que c’est clair ? »

    « Oui… »

    Charlie lui fait ensuite signe d’attendre avant de reprendre le service. Il part en cuisine. Il revient deux minutes après avec à la main une racine de gingembre épluchée. La jeune femme ne comprend pas ce qu’il se passe, sous ses ordres, elle se penche, dos à la salle, les mains sur ses chevilles. Lorsque soudain elle sent entrer en elle, cette racine fraîchement brûlante. Il pousse celle-ci au plus profond d’elle, puis relève la jeune femme.

    « Tu garderas ceci également jusqu’à la fin de ton service ».

    Soudain, elle sent à l’intérieur d’elle, une douleur qui irradie. Elle comprend enfin. Elle devra alors terminer son service ainsi, les fesses brûlante à l’extérieur comme à l’intérieur, tout en restant appliquée à se tromper le moins possible dans les commandes, sous peine de recevoir encore de nombreux coups de martinet.

    Son regard se trouble, elle commence à douter, ne sachant pas si elle sera capable de terminer cette journée. Elle commence même à songer à poser sa démission. Peut-être n’est-elle pas faite pour ça ? Quelle idée d’avoir postulé ici ! Quelle idée d’avoir accepté les termes de ce contrat !

    Mais au fond elle sait pourquoi elle l’a fait, pourquoi elle a accepté, pourquoi elle est venue aujourd’hui. Elle aurait pu prendre n’importe quel autre travail, mais elle a choisit celui-ci.

    Quelque part, sans qu’elle ne sache pourquoi, cela fait résonner quelque chose en elle, réchauffe son ventre, fait frissonner son dos, dresse ses poils, fait couler son entre-cuisse. Quelque chose d’insaisissable, une curiosité profonde, une envie de dépasser ses propres limites.

    Mais c’est à ce moment que tout devient difficile. Le courage commence à lui manquer.

    Elle tourne alors la tête vers Charlie, qui pour la première fois de la journée, quitte un instant son regard sévère et lui offre un sourire rassurant souligné de ses yeux qui, en clin d’œil, disent « j’ai confiance, tu vas y arriver ! ».

    Alors, rassurée, elle sourit. Saluant ce moment de complicité, elle retourne travailler, étrangement plus apaisée, malgré sa honte et la douleur qui sublime encore ses fesses rougeoyantes.

    Elle termine ainsi son service, non pas sans se tromper encore sur quelques commandes.

    A la fin, une file d’attente se forme devant Charlie qui commence à encaisser les clients ayant attendu jusque là, juste pour avoir l’opportunité de fouetter la belle femme.

    Cette dernière, courageuse, a respecté les consignes à la lettre et attend sa sentence, à côté de la porte, les fesses tendues, déterminée.

    Les premiers client arrivent près d’elle.

    Elle sent le martinet délicatement quitter son dos.

    A peine le temps d’entendre un léger « Voilà les conséquences de tes étourderies ! » que soudain, claque un premier coup. Il semble moins fort que ceux donnés par Charlie, les clients ont peut-être peur de lui faire trop mal.

    Mais les coups s’enchaînent. 5 coups, plus 5 coups, encore 5 coups… La douleur remonte vite, elle peine à garder sa position. Elle a fait tant d’erreurs ?

    Certains clients se plaignent même qu’elle s’est trompée sur plusieurs plats d’une même commande, et sont donc autorisés à donner 10 coups. Bien évidemment, Charlie surveille du coin de l’œil qu’il n’y ait pas de débordement et que chaque client respecte le nombre de coups autorisés. En plus des coups, elle peut entendre certains commentaires,

    « être nue ne devrait pas l’empêcher de faire un service correct… »,

    « Ses fesses sont aussi rouges et piquantes que la sauce qu’elle a oublié de m’apporter ! »,

    « elle mérite amplement sa punition »…

    suivis même parfois de quelques remerciement pour ce joli spectacle quelle aura au moins pu bien servir.

    Après une 60aine de coups, enfin tous les clients sont partis et Charlie peut commencer la fermeture.

    La jeune femme se relève, les fesses, et les cuisses entièrement striées de rouge. La douleur la pique, surtout lorsqu’elle se relève, elle peut sentir la chaleur qui en émane.

    Charlie lui demande de se remettre en position, pour qu’il puisse délicatement enlever le gingembre qui se niche encore en elle.

    Enfin, il l’aide à se relever.

    La punie sent en elle un mélange de soulagement, due à la fin de cette journée et d’appréhension, la semaine n’est pas terminée, ce premier jour ayant déjà été compliqué, elle ne sait si ses fesses supporteront les punitions de demain. Elle a tout intérêt à s’améliorer. Mais au fond, elle sent que cette punition lui a fait du bien, elle se sent même presque apaisée. Mais surtout épuisée. La jeune demoiselle sent ses larmes monter, sans trop savoir pourquoi, peut-être un trop plein d’émotions. Et enfin elle se laisse pleurer. Charlie la prend alors dans ses bras, et la félicite pour son courage. Un instant de tendresse après cette rude soirée.

    Pour terminer, la jeune femme doit se coller au ménage… Elle frotte le sol, toujours nue, les fesses marquées et sublimées par la lueur du soir qui met leur rougeur en valeur.

    C’est sous le regard attentif de Charlie qu’elle s’applique, à terminer sa punition pour aujourd’hui, sans se rendre compte qu’elle est également visible de l’extérieur : la vitre l’exposant aux regards de quelques passants, qui s’arrêtent dans la rue intrigués et ravis de voir cette belle jeune femme aux fesses rougies.

    Sûrement, se disent-ils, qu’ils passeront dans la semaine, manger dans ce petit restaurant sympathique..

     

    Fin ! :p

    #86140
    Anonyme
    Inactif


    Il doit y avoir foule pour venir dîner dans ce restaurant…

    #86151
    Sim
    Participant


    Pas mal le coup de la “racine de gingembre épluchée” 🙂 super idée !

    #86378
    Fessochix
    Participant


    J’avais vu sur ARTE, chaîne culturelle si il en est  une courte séquence de ce genre de fessée tournée dans un restaurant de New-York, “la nouvelle Justine”. Ce qui m’avait étonné c’était la quasi  indifférence des clients qui continuaient de dîner comme si de rien n’était ; si par ailleurs c’est fessée non stop on comprend, aussi.

    Je vais rechercher le ou les épisodes précédents de ce récit de @lucieinthesky ou Lucie Vanessi ; nouveau sur ce site, très bien fourni, j’ai un peu de mal à m’y retrouver. C’est bien écrit,  lecture agréable et qui compense de ne pas être déterminé à  aller à New-York.

    On dit parfois une "bonne" fessée : mais c'est normalement toujours bon ! Et pour les deux...

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