Au petit secret… (service noté 5 étoiles !)

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    LucieVanessi
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    C’est un petit restaurant situé au bout de la rue, dans le fond d’un petit village du sud de la France. Pas grand monde ne le connaît, il a pourtant une clientèle très fidèle. Personne ne prononce réellement son nom, mais toutes les premières semaines du mois il est plein à craquer.

    Quel est son secret ?

    Sa particularité est que chaque mois, au lieu d’élire le/la meilleur(e) employé(e) du mois, celui-ci élit le/la pire employé(e).

    Ce mois-ci c’est elle qui est élue. C’est la première fois. Elle a peur, mais elle sait, c’est elle qui a accepté le termes du contrat, et ne peut pas démissionner, elle a trop de fierté pour ça. La jeune femme a malheureusement raté une journée de travail, mais également fait tomber quelques assiettes et un plateau entier durant le mois. Autant dire que tout a été comptabilisé, et sans surprise, elle s’est retrouvée pour son deuxième mois ici, déjà élue la pire employée. Et un traîtement spécial va alors lui être réservé.

    Comme prévu, la jeune femme arrive alors le premier lundi du mois en avance. Elle voit la lumière allumée à l’intérieur du restaurant, mais la porte est encore fermée. La punie sait pourtant ce qu’elle doit faire avant que celle-ci ne s’ouvre. Elle regarde autour d’elle, il est encore tôt dans la soirée, pourtant quelques passants profitent de cette belle journée pour se balader. A ce moment, elle maudit tout ces promeneurs et joggers qui n’ont même pas la moindre idée de ce qui est en train de se jouer en elle. Elle attend que tout le monde soit passé, et profite d’une minute seule dans cette rue pour se lancer. La jeune femme commence par enlever ses chaussures, puis ses chaussettes. Regardant une dernière fois derrière elle pour s’assurer que personne ne passe, elle commence à déboutonner sa chemise et faire glisser son pantalon le long de ses cuisses. Le froid la réveille soudain, la motivant à rapidement terminer sa tâche. Elle s’empresse alors d’enlever les derniers remparts de sa pudeur, la chemise tombe au sol bientôt suivit du soutient gorge et, dans un courage pris avec ses deux mains, la culotte les rejoint. Elle plie ses vêtements et toque enfin à la porte.

    C’est la cheffe qui vient lui ouvrir, la félicitant pour son courage mais lui souhaitant de le garder durant toute la semaine, qui s’apprête à être longue. La femme nue entre se réchauffer, mais très vite elle est amenée à aider en cuisine et à la mise en place du premier service. C’est sans surprise qu’elle se fait déjà remarquer par la petite équipe en cuisine, qui sourient sans dire un mot. Elle aperçoit du coin de l’œil, posé sur le comptoir, un martinet noir aux lanières longues et fines. Faisant mine de ne pas le voir (sûrement pour nier son existence), la punie s’applique aux tâches données. Vers 19h, Charlie arrive. C’est son collègue, et s’il devait y avoir un meilleur employé du mois, ce serait lui. Elle a d’ailleurs, secrètement au fond elle, un petit beguin pour cet homme. C’est la raison principale pour laquelle, l’entendant arriver, elle panique et s’empresse d’aller se cacher dans les toilettes.

    Elle avait oublié qu’il devait rentrer de congés cette semaine !

    Après de longues minutes, la cheffe la retrouve et la menace de prolonger sa semaine de punition si elle ne sort pas tout de suite des toilettes. La jeune femme dévêtue se décide finalement à se montrer. Elle sort, mais c’est Charlie qui l’attend devant les toilettes, surprise, elle lève une main pour couvrir ses seins et couvre son sexe de l’autre. Elle entend la cheffe plus loin « eh bien, on a perdu le courage de ce matin ? Enlève vite tes mains si tu ne veux pas avoir à faire le service du jour avec les mains attachées dans le dos ! ».

    Aussi tôt la punie retire ses mains et se dévoile entièrement nue devant lui.

    « C’est Charlie qui te prendra en charge aujourd’hui. Tu as intérêt à faire un service nickel ! ».

    L’homme la regarde lentement avec insistance, s’amusant à lui montrer qu’il y prend du plaisir, tandis qu’elle, fait tout pour tenter de cacher son excitation, mais ses joues rougissantes la trahissent.

    Il attrape alors le fin martinet encore sur le comptoir, joue avec, et précise sur un ton de plaisanterie « Attention, il va falloir bien te tenir aujourd’hui, sinon il n’y aura pas que tes joues qui rougiront… »

    A cette phrase, elle sent un frisson parcourir son échine, redressant ses poils, un mélange subtil de peur et d’excitation.

    Dès 19h30, les premiers clients arrivent. Bien évidemment, Charlie indique à la jeune femme d’aller s’occuper d’eux, prétendant faussement qu’il est trop occupé pour le faire. Elle s’avance vers la première table où est assis un couple d’habitués qu’elle a déjà vu. Loin d’être rassurée, elle prend un calepin, mais est tout de suite arrêtée par son collègue qui le lui reprend « Tu n’as pas besoin de ça, tu vas devoir faire travailler ta mémoire aujourd’hui. Mais fais bien attention, si un client est mécontent, tu sais ce qui t’attend…», précise-t-il en regardant le martinet du coin de l’œil, toujours disposé à la vue de tous. La jeune punie arrive près de la table. Les regards se posent sur son corps, comme une caresse, elle se sent ainsi exposée.

    « Alors, c’est toi qui est la pire employée du mois cette fois-ci ? C’est la première fois pour toi il me semble non ? ».

    Rougissant, elle acquiesce timidement, sentant les regards insistants sur ses seins, remarquants leurs pointes qui se tend. Elle prend les commandes, faisant tout répéter 3 fois aux clients, pour être sûre de ne rien oublier, ce qui amuse le couple qui fait faussement mine d’être agacé. Retournant en cuisine pour transmettre la commande, la demoiselle serre les cuisses en marchant, de peur que quelqu’un s’aperçoive de ce qui s’écoule dans la profondeur de ses émois.

    Au fil du temps qui passe, elle s’habitue à cette nudité, jusqu’à ce que la cheffe lui propose d’aller prendre une pause. S’attendant à devoir se rhabiller, la jeune femme cherche des yeux ses habits, mais finit rapidement par comprendre. Elle devra prendre sa pause nue dehors, face à la porte d’entrée, les mains posées sur la tête, comme un enfant que l’on mettrait au coin. Peut-être même qu’ainsi elle attirera de nouveaux clients ?

    La pause qui d’habitude lui paraît trop courte, lui paraît aujourd’hui si longue. Elle comprend desormais à quoi ressemblera sa pénible semaine. Après 5 minutes, la jeune femme rentre en frissonnant, de froid ou de peur elle ne saurait le dire. Charlie le remarque et s’en amuse « Tu sais, si tu as froid, je connais un instrument qui réchauffe très bien ! ». Bien évidemment, les clients ayant tous entendus, donnent à la jeune femme envie de se cacher, rougissant, elle ose à peine répondre avant de se remettre au travail. « Quoique, tu semble t’être déjà réchauffée… » continue son collègue voyant ses joues rouges.

    Le service continue, les clients entrent peu à peu dans le restaurant, tandis ce que la punie doit se concentrer pour ne rien oublier, ne rien renverser. Appliquée malgré sa condition, elle fini presque par oublier qu’elle se trouve nue devant tout le monde et commence à prendre ses aises.

    Bien évidemment cela ne dure qu’un court moment.

    Lorsqu’elle arrive pour servir le dessert au premier couple, elle fait tomber une cuillère au sol. Au début rassurée que ce ne soit que l’histoire d’une cuillère, elle comprend bien vite qu’elle va devoir se pencher pour la ramasser, laissant à la vue de tous, surtout celle du couple, une large vue sur son intimité. Elle hésite un instant, mais reste statique. C’est Charlie qui la rejoint, et d’une main dans le dos, l’invite à se pencher pour ramasser la cuillère. Cette dernière refuse.

    Lentement, il s’éloigne, place une chaise derrière elle. Il s’assoit et l’invite à approcher. La jeune femme ne bouge pas d’un poil.

    Le silence se fait peu à peu dans la salle, comme un spectacle qui commence.

    Soudain Charlie se lève, la tire vers lui d’un coup sec et encercle sa taille de son bras avant de la pencher aux yeux de tous, expliquant sévèrement : « désormais ce n’est pas seulement la vue de ton sexe que tu vas offrir à ces gens, mais également celle de tes fesses rougissantes… Je t’avais prévenue jeune fille… !».

    Un bruit de claquement résonne dans toute la pièce désormais complètement silencieuse.

    Les clients, ravis du spectacle qui se déroule sous leurs yeux, lâchent leurs fourchettes pour observer la scène.

    Immédiatement, la jeune femme sent la brûlure irradier, mais elle sait que ce n’est que le début. Tentant de garder les cuisses sérrées au maximum, elle ne tient pas longtemps avant de gigoter dans tous les sens sous la pluie de claques douloureuses qui s’abattent fermement sur son postérieur.

    Elle commence par gémir, puis crier, mais la punition continue, elle sent qu’il a le contrôle et que c’est lui qui décidera quand la punition sera terminée. Elle finit alors par lâcher prise, se détendre, prisonnière des claques qui tombent toujours. La douleur et l’humiliation lui mettent les larmes aux yeux. Mais elle se promet de ne pas pleurer. Enfin, Charlie relâche sa prise. La jeune punie ose à peine se relever, redoutant le regard du public l’ayant ainsi vue se faire punir… Et peut-être même un peu aimer ça…

    Charlie s’en va, mais au bruit qui se fait entendre, elle commence à comprendre. Il revient le martinet en main. Il lui fait signe de débarrasser une table sur laquelle des clients sont encore assiégés.

    Redoutant une punition plus sévère, la jeune femme s’exécute, le regard baissé n’osant regarder l’assemblée. D’un ton ferme, Charlie lui indique de se pencher sur la table, à la vue des clients, les seins contre le bois froid. Timidement, elle prend la position demandée.

    « Tu recevras 20 coups de martinet, tu ne devras pas bouger. Après ça tu reprendras le service. Et la prochaine fois qu’il y aura quelque chose à redire sur ton service, ce seront les clients qui utiliseront ce martinet. Est-ce bien compris ? ».

    Un timide oui se fait entendre juste avant le sifflement de l’air, suivi d’un claquement qui résonne dans toute la pièce.

    « Je veux que tu comptes à voix haute que toute la salle puisse t’entendre ».

    Un !

    Deux…

    Trois…

    …Quatre…

    « Je n’ai pas entendu demoiselle… et je pense que les autres personnes dans la salle non plus… Nous allons recommencer. »

    Non, cinq ! Désolée !

    « trop tard demoiselle » continue-t-il, avec un nouveau claquement.

    Un…

    Deux…

    Arpès 5 coups, elle commence à avoir du mal à tenir sa position…

    Après 10 elle a le souffle court…

    A 15 elle craque presque mais se retient au dernier moment de se relever…

    Les 5 derniers coups sont les plus forts, et finissent presque par lui arracher une larme.

    A la fin, il lui est demandé de remercier Charlie pour les coups et de s’excuser auprès des clients pour cette interruption, avant de se remmettre au travail. Essuyant les larmes naissantes, elle s’execute immédiatement et reprend son travail en étant le plus appliquée possible. Elle rammasse la petite cuillère tombée, offrant une vue bien prenante sur son entrecuisse et ses fesses srtiées.

    Elle pense alors à ce moment avoir déjà vécu le pire de sa journée. Mais cette dernière n’est pas terminée…

     

    A suivre !

    #85755
    Paulparis
    Participant


    Je commanderai bien un whisky pour commencer moi !

    #85756
    Anonyme
    Inactif


    Où peut-on réserver pour dîner dans ce sympathique restaurant?

    #85789
    Dyonisos
    Participant


    un whisky oui, mais un pur malt dans ces circonstances o:)

    Dans la vie, mieux vaut avoir des remords que des regrets !

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