Au club libertin avec Agathe
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Fanny Cordeba, le il y a 1 année et 1 mois.
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- 19 mars 2024 à 20:50 #94310
Droopy
ParticipantCela faisait donc quelques mois que je connaissais Agathe. Nous faisions régulièrement du vélo ensemble et on se confiait beaucoup sur nos envies et fantasmes. L’expérience troublante dans le Borie nous restait, et le trouble que nous avions vécu lors de la dernière fessée chez elle me donnait l’envie de beaucoup plus. Bien sûr il y a aussi Suzon, et la sensation du travail inachevé. Bref, Mère, Fille… Suzon, Agathe ? Je me perdais moi-même dans mes sentiments.
C’est au détour d’un virage en pleine montée, qu’Agathe me demanda :
- Tu veux bien m’accompagner dans un club libertin ?
Je rate ma trajectoire, je bute sur une racine, et bloquais dans mes pédales je m’écroule parterre. En fait sa demande m’a tellement surpris que je me suis laissé distraire. En plus, vu la chaleur son maillot était largement ouvert et son profil laissé apparaitre son décolleté… Bref après mettre remis sur mon vélo je suis revenu à sa hauteur.
- Alors ? Dit-elle avec son petit sourire
- Oui ce serait avec plaisir, cela fait partie aussi de mes envies
- Samedi il y a une soirée couple dans un club avec piscine.
Parfait pour cette fin de mois de juin. Nous décidons d’y aller le weekend prochain
- Je passe te chercher.
- Tu as fait réparer ta voiture ?
- Heu Oui oui… Me répondit-elle avant d’accélérer.
Vendredi soir, veille de notre sortie, Agathe m’appelle.
- Salut ça va ?
- Oui bien et toi ?
- Heu oui oui…
A sa voix ça puait le mensonge
- Finalement tu peux venir me chercher ?
- Ok si tu veux
J’allais encore galérer avec mon Pick up dans la ville. C’est une voiture pour la campagne, pas pour faire le bobo en ville. Ça aurait été plus simple avec sa Mini.
19h00 samedi soir je viens au pied de son appart. Agathe sort de l’entrée de son immeuble. Talon haut, mini-jupe noire, petit top blanc qui laissait son nombril apparent. Son piercing était orné d’une petite pierre brillante. Les pointes de ses seins étaient très visibles à travers le fin tissu. On pouvait donc facilement imaginer son excitation. Une petite veste en cuir venait couvrir ses épaules. Et un petit sac à main en bandoulière. Deux jeunes qui jouaient les caïds la regarde impunément. Elle leur adresse un bonjour accompagné d’un sourire. Aussitôt leurs visages s’empourprent. Arrivée à ma portière elle s’acharne sur la poignée.
- Arrête de me déshabiller du regard et ouvre-moi la porte !
J’étais tellement subjugué que j’en ai oublié toutes formes de politesses. Même pas ouvert la portière, pas déverrouillé la voiture, et un sourire idiot affiché sur mon visage.
Le voyage se passe sans encombre. Certes un peu distrait par les jambes d’Agathe qui se croisent et se décroisent. Parfois les yeux qui se perdent dans son décolleté. Heureusement les piétons sont prudents.
Arrivé devant le club je gare le Pick-Up dans la rue. Je descends et me précipite sur la portière d’Agathe pour l’aider à descendre. Petit coup d’œil au passage pour admirer sa culotte blanche, elle me fit un sourire et un bisou sur la joue en guise de remerciement. A l’entrée de l’établissement un homme seul négociait son entrée, mais peu de chance pour lui, la soirée est réservée aux couples et femmes seules. C’est sans difficultés que nous entrons. Il faut dire que quand vous arrivez dans ce genre d’établissement au bras d’une femme comme Agathe les portes s’ouvrent facilement et les sourires vous accueillent.
Après être passé aux vestiaires et laissé nos portables, nous nous sommes promenés dans l’établissement. A l’extérieur, il y avait une terrasse et une piscine. Quelques couples en tenue d’Eve se baignaient, d’autres discutaient un verre à la main. Dans le bâtiment on pouvait trouver des petits salons individuels. Quelques couples étaient assis sur des canapés moelleux. Des mains baladeuses s’employaient à déshabiller de charmantes femmes. Un couple avait même entamé les festivités sous les regards envieux de quelques personnes. Nous avons aussi croisé un couple de femme-très belle- qui ont adressé leur plus beau sourire à Agathe. Après avoir pris un cocktail, nous nous sommes installés dans une alcôve, sur un canapé moelleux. Les verres posés sur la table basse. On discutait du club de ce que nous venions de voir. Puis notre discussion est partie sur des choses plus générales
- Tu m’as dit il y a un mois que je devais prendre rendez-vous avec mon garagiste pour changer la courroie de rétribution
- Distribution ! lui répondis-je
- Oui enfin comme tu veux. Ben elle a cassé…
- Quoi ? Mais le moteur est foutu.
Inutile de vous dire que ma main me démangeait.
- Je t’avais pourtant bien prévenu. Tu m’as dit que mes conseils étaient précieux. Que tu as besoin de moi pour te conseiller
- Ben je pensais que c’était un conseil de merde, que tu étais incompétent.
Là c’en était trop. Je la bascule sur mes genoux, relève sa jupe et lui administre une belle fessée. Son string ne protège que peu ses fesses qui deviennent rapidement rose.
- Aie dit-elle. C’est moi qui aie merdé Suis désolée.
Pour toute réponse je lui baisse le string aux genoux. Je reprends une longue série. Parfois je m’arrête un instant pour lui chuchoter à l’oreille de toujours bien écouter mes conseils. A la fin de la série, quelques couples se sont approchés. Il faut dire que malgré la musique, le bruit des claques avait dû être entendus. Un homme avait le sourire aux lèvres. Sa femme, elle avait sa main devant la bouche et les yeux écarquillés. Une jeune femme rousse chuchotait à l’oreille de son mari.
Agathe se relève en poussant un petit gémissement. Son string fini par tomber par terre. Je me penche et le mets dans ma poche. Le couple lesbien s’approche alors d’Agathe et me dédaignant, l’aide à se déplacer. Alors qu’elle s’éloigne encerclée et soutenue par les deux femmes, le cul à l’air, l’homme souriant s’approche de moi. Sa femme toujours son air horrifié se tenait droite derrière lui. Elle paraissait très timide, malgré sa tenue provocante.
- Monsieur commence-t-il, Je viens d’assister à la fessée que vous avez administré à votre amie. Je ne sais pas pourquoi, mais j’imagine que sa bêtise était à la hauteur de sa punition. Et il se trouve que ma femme m’a menti et je voudrais une punition à la hauteur de son mensonge.
L’homme d’une quarantaine d’année, un peu ventru me regardait d’un air interrogateur.
- Et bien qu’a-t-elle fait de si grave ?
- Voilà la semaine dernière nous avons fait installer la fibre à la maison. Du coup elle s’est promené toute la journée en nuisette et culotte devant le technicien. Et à la fin de l’intervention elle a baisé avec lui.
- Mais vous êtes dans un club échangistes. Vous avez donc des envies ?
- Oui mais là, elle l’a fait sans me le dire. Je n’étais pas présent. Et le soir elle a fait comme si rien ne s’était passé. Ce n’est que quelques jours plus tard qu’elle m’a avoué sa faute
Je regarde donc la jolie brune. Pour elle la soirée avait bien commencé. Elle n’avait plus que ses bas, porte jarretelle, un string noir à dentelle et son soutien-gorge. Sa taille était fine et sa poitrine vraiment généreuse. Son visage était exquis. Plus jeune que son mari elle était très mignonne.
Je lui fais signe de s’approcher
- Il fallait bien le remercier dit-elle timidement dans un souffle.
Je tapote sur mes genoux. Elle comprend et s’exécute. Allongée sur mes genoux je lui administre quelques claques bien fortes et qui résonne dans la pièce. Malgré la musique le bruit est bien présent. Je ne m’en étais pas rendu compte pour Agathe. Je continuais ma série. Puis je lui descendis son string. Elle ne protesta pas. Son mari vient s’assoir en face de moi sur un pouf. Il lui tenait la main afin de la soutenir dans son épreuve.
Je repris ma besogne. Les claques pleuvaient Elle me répondait par des ouilles, Aie. Après une vingtaine je m’arrête. Reprend mon verre à la main. Déguste mon cocktail. La jeune femme regardait son amant en lui assurant qu’elle ne recommencerait plus sans lui. Monsieur toujours intransigeant me demande encore une dizaine de claques. A la fin, Monsieur me demande de vérifier si l’excitation de sa compagne nécessite des soins particuliers. Je passe donc ma main dans l’entrejambe de la jolie brune. Son sexe parfaitement épilé ruisselé de son excitation.
- Elle est vraiment parfaite ! dis-je
Sans un mot la jeune femme se relève. Son homme la soutenant par un bras, l’accompagne vers la piscine. Son cul débarrassé de son string était rougeoyant. Nul doute qu’il faudra plusieurs personnes pour l’aider à soulager sa douleur. Je ramasse donc le string et le mettant dans la poche je me dis que je retrouverais la propriétaire pour lui rendre. La rousse qui chuchotait à l’oreille de son homme, s’approche alors vers moi
- Monsieur dit-elle, je suis une vilaine fille.
- Ha bon ? Pourquoi ?
- J’aime trop le sexe !
- Et c’est si mal que ça ?
- Je veux baiser tout le temps. Je mérite une fessée
Tout en parlant je me suis levé. Mon pantalon formé une grosse bosse. Il est certain qu’à force de donner des fessées je ne pouvais que bander fort, et ça se voyait. Je fis le tour de la jolie rousse. Cela me permettait de bien observer son corps parfait. Voyant notre manège quelques personnes se sont approchés autour de nous.
- Pose tes mains sur la table
- Oui monsieur, Dit-elle en s’exécutant
Je me positionnais sur le côté. Son cul était ainsi à ma merci. Ses talons hauts augmentaient la courbure de ses reins. Les jambes bien tendues. Le string rouge ne formait qu’un mince rempart. Ma main est venue frapper ce cul divin. La claque était forte, puissante et un peu théâtrale. Elle attendait la seconde. Je pris mon temps. Je me déplace de l’autre côté sans quitter des yeux ce cul. La seconde tomba, aussi forte, avec la même intensité. Ses yeux étaient fermés, la bouche légèrement ouverte, la tête en arrière. Je lui en administre deux, coup sur coup. Petit gémissement… Je me positionne derrière elle. De mes deux mains je descends son string. Lentement. Le fond du tissu était très humide. Était-ce l’excitation de la fessée, ou l’excitation d’être exhibée ? Peut-être les deux. Les spectateurs ne perdaient pas une miette du spectacle. Homme et femme regardaient ma victime. Elle enleva complètement son string que je mis dans ma poche. Je ne suis pas fétichiste, mais de savoir cette collection de string dans la poche me faisait sourire. Je repris mon rôle de fesseur. Toujours aussi puissante. Je pense même que je n’avais jamais claqué aussi fort un cul. La peau blanche de ma victime était maintenant très rouge. On pouvait voir des traces qui débordaient sur ses cuisses. Mes doigts avaient laissé des marques supplémentaires. Entre deux séries je profitais de caresser cette peau si douce. Je m’égarais aussi entre ses cuisses pour caresser son sexe. Il était très humide et ouvert. Les lèvres épaisses cachaient un trésor que j’aurais volontiers savouré. Après cette belle correction, son homme s’approcha d’elle par derrière il sorti son sexe en érection et la pénétra. Elle poussa un gémissement à la hauteur de son plaisir. Un autre homme s’approcha et elle lui fit une fellation. Pour ma part, je me suis écarté, et je suis sorti de la pièce, suivi du regard par quelques couples. Certains regards de femmes me déshabillaient du regard, ce qui je l’avoue me fit un peu rougir.
Je m’éclipsais donc de cette pièce laissant ma douce victime aux mains de ses amants. En déambulant dans le club, je retrouvais la brune timide qui chevauchait une queue bien dure. Elle était au-dessus d’un homme. Ses fesses rebondissaient à chaque fois qu’elle retombait sur son amant, enfonçant un peu plus la bite de son amant. Son mari était assis en face et semblait visiblement apprécier le spectacle. Je me suis dit que ce n’était pas le moment de lui rendre son string.
A l’extérieur la température était clémente. La nuit était tombée. Quelques couples discutaient sur des canapés de jardins. Je cherchais toujours Agathe des yeux, lorsque mes yeux s’arrêtèrent sur un canapé un peu à l’écart de la piscine. Trois corps étaient allongés et visiblement actif. Mes yeux qui commençaient à s’habituer à la pénombre me font voir que ce sont trois femmes. L’une était allongé sur le dos pendant que les deux autres s’occupaient de ses seins et de sa chatte. Au sol proche du canapé j’ai pu distinguer une jupe noire et un top blanc. Je compris très vite que c’était Agathe qui était aux mains du couple lesbien. Ne voulant pas la déranger je me dirige donc vers le bar. Je pris un whisky, j’ajoute un peu de coca pour faire passer le gout rugueux et bas de gamme du breuvage. Après dix bonnes minutes, j’entendis mon nom. C’était Agathe qui m’appelait de la piscine. Elle était nue dans l’eau. Les cheveux mouillés et les yeux pétillants de malice. Elle m’implorait de venir me baigner. C’est donc sous ses yeux rieurs que j’ai dû me dévêtir et sauter dans l’eau !
19 mars 2024 à 21:23 #94312Fanny Cordeba
ParticipantUne bien bonne soirée ! Très joli récit!
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