Art et érotisme

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    A. Thibaud
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    Chapitre 1

    Nathalie

     

    Frantz et Valentine étaient arrivés chez leurs amis, Jean et Hortense, dans la nuit. C’est autour de la table du petit-déjeuner qu’eurent lieu les présentations. Frantz se trouva des amis communs avec plusieurs des autres invités et l’atmosphère était confiante et détendue entre ces gens jeunes, beaux venus pour profiter du soleil et de la mer. Les hommes étaient en pantalons et chemises certaines femmes aussi, d’autres, la plupart, portaient un cache-maillots de bain dont la transparence laissait percevoir leur peau bronzée. En entendant leurs propos qui révélaient des personnalités affirmées de femmes actives, Frantz se demandait ce que pourrait-être l’érotisme du Week-end auquel on l’avait invité en en précisant le caractère.

    Une dernière chaise vide attendait son occupant qui se révéla être une jeune femme âgée sans doute de moins de trente ans. Elle faisait très jeune, plus jeune que ses amies, un peu plus âgée que Valentine qui avait dépassé de peu la vingtaine d’années. Des cheveux châtain clair mi-longs entouraient un visage un peu poupin aux yeux marrons, au regard direct. Elle était accueillie joyeusement et cordialement quand une de ses amies, une grande brune aux yeux verts lui demanda en riant :

    – As-tu bien dormi, Natalie, tes fesses ne t’ont pas brulée ?

    – Non répondit-elle en riant également. D’ailleurs, regarde, il n’en reste plus de traces.

    Et joignant le geste à la parole, elle remonta l’arrière de sa jupe découvrant deux jolies fesses bien rondes que le string ne cachait pas.

    – Au fait, je te présente Frantz et Valentine, ajouta malicieusement la grande femme brune aux yeux verts qui s’était adressée à Natalie.

    Découvrant les deux inconnus nouvellement arrivés, Natalie rabattit rapidement sa jupe, rouge jusqu’au bout des oreilles et complètement décontenancée elle leur tendit la main

    – Excusez-moi dit-elle, je ne vous avais pas vus, j’espère ne pas vous avoir choquée ajouta-t-elle en regardant Valentine.

               – Non, répondit Valentine, en souriant, d’ailleurs elles sont très jolies.

               – Vous aimez les femmes, reprit la nommée Natalie, reprenant son air malicieux ?

             – Oui, bien sûr, à l’occasion.

               – Eh bien, les Filles, vous démarrez vite. Dit l’un des hommes. Valentine doit se demander où elle est tombée.

               – Ne vous inquiétez pas, reprit Valentine, très à l’aise, Frantz m’a prévenue qu’il s’agissait d’un week-end érotique.

             – Et cela ne vous fait pas peur ?

             – Non, je suis sûre que Frantz m’amène parmi des gens de qualité et dans ce cas, on ne risque rien. Je trouve même que cela commence pas mal, mais je suis intriguée par ce qui est arrivé à cette pauvre Natalie.

             – Je vais vous raconter l’aventure reprit la grande fille brune aux yeux verts qui se nommait Jessie : Hier au dîner, Natalie n’a pas arrêté d’attaquer Pierre. Je ne sais pourquoi.

             – Moi je le sais, dit Albane, une jolie blonde aux yeux bleus et à la figure douce. C’est l’air de domination de Pierre sur les femmes qui l’a agacée, d’autant plus que Pierre a couché avec la meilleure amie de Natalie. Jalousie ou dépit ?

             – Ce n’est pas vrai, s’exclama Natalie, je me fiche avec qui couche Catherine.

             – Bon, bon on en discutera plus tard, repris Jessie en riant. Quoiqu’il en soit, il faut reconnaitre que Natalie a été odieuse avec Pierre et tellement insupportable que tout le monde pouvait avoir envie de lui flanquer une bonne fessée sans penser que cela put se réaliser. Après dîner, Pierre et Arthur, le mari de Natalie, jouèrent au poker. Ils sont très amis. Arthur perdait. Natalie continuait son manège et exaspérait tout le monde. Au bout d’un moment, Pierre demanda à Arthur s’il voulait récupérer son argent et proposa :

             – Nous refaisons une partie. Si je perds je te rembourse tout. Si je gagne, j’administre à ta femme la fessée qu’elle mérite.

             – Je veux bien, s’amusa Arthur, mais crois-tu qu’elle acceptera ?

             – À toi de l’en décider. Ou de me la tenir.

             – C’est ça, les mecs, essayez toujours et vous verrez.

             – Mais Nathalie, tu es odieuse. Reconnais quand tu as tort.

             – Il s’agit de punition ou de récupération de ton argent grippe sous.

             – Des deux. Continua Arthur amusé. Es-tu bien sûre qu’une fessée publique soit si déplaisant. On dit que c’est ce dont rêve 20% des femmes.

              – Et tu penses que je fais partie des 20% ?

             – Es-tu d’accord que tu l’as méritée

             -…ôui

             – Nous, nous sommes d’accord, tu l’as-bien méritée, renchérirent Albane et moi- même.

             – Et qu’en penserait Nadya ? Demanda Natalie. Nadya est l’épouse de Pierre.          – Moi ? Dit Nadya, je suis tellement d’accord que je suis prête à te l’administrer.

    Nous avions tous et toutes un peu trop bu, la fessée de Nathalie devint un jeu dans lequel Nathalie, malgré ses dénégations, entra. Sans doute aussi que beaucoup d’entre nous commençaient à être excités par cette perspective à laquelle personne ne croyait au départ.

             – Votons, proposai-je. Tout le monde vota pour, même Nathalie, sauf Albane, je ne sais pourquoi.

             – Attendez, dit Nathalie en riant, Arthur peut encore gagner, vous n’avez pas encore vu mes fesses.

    Personne ne pensait qu’Arthur put gagner alors qu’il avait perdu toute la soirée et, en effet, il perdit.

    Pierre s’assit sur le canapé.

             – Tu es toujours d’accord pour que je fesse ta femme ?

             – Oui, dit Arthur regardant Natalie en riant ne sachant pas encore très bien ce qu’il y avait de sérieux dans tout cela.

             – Chiche dit Natalie le regardant avec un air provocateur, pensant peut- être exciter sa jalousie, et se tournant vers Pierre. Qu’est-ce que je fais demanda -t-elle ?

             – Tu commences par enlever ta culotte.

    À la surprise de tous Natalie obéit sans protester faisant glisser sa culotte sous sa jupe qu’elle ôta quand Pierre le lui dit. Sans que Pierre le lui demandât, nue jusqu’à la ceinture, elle ne portait qu’un boléro qui s’arrêtait assez haut pour le plaisir de tous, elle alla s’allonger sur ses genoux et se laissa corriger. Je ne crois pas avoir besoin de vous décrire la scène. Les fesses de Natalie étaient bien rouges quand elle se releva.

             – Il donne bien les fessées, dit Albane qui ne s’était pas manifestée, alors que Natalie remettais sa culotte. Il doit avoir l’habitude d’en donner. En reçois-tu souvent Nadya ?

    Nadya s’abstint de répondre, Pierres sourit et nous n’en savons pas d’avantage pour le moment dit en riant Jessie terminant son récit.

             – Mais il parait que Frantz les donne aussi très bien. Intervint Nadya.

    Frantz avait remarqué l’insistance avec laquelle Nadya le dévisageait.

             – Comment le savez-vous, dit Frantz surpris. D’où me vient cette réputation ?  Je ne crois pas avoir jamais eu l’occasion de me mal conduire avec vous ni même de vous avoir rencontré.

             – Non, mais moi je vous connais car j’étais une grande amie de Svéa.

             – Vous connaissiez Svéa?

             – Oui, et quand elle est repartie en Ukraine je l’ai accompagnée. J’y ai passé mes vacances.

     

    #96886
    Paulparis
    Participant


    Une histoire avec pleins de tiroirs qui ne demandent qu’à s’ouvrir pour laisser apparaître de nombreuses paires de fesses trop blanches pour le rester ! Bravo !

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