Art et Erotisme Chapitre 2
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17 juillet 2024 à 07:44 #96898A. ThibaudParticipant
Chapitre 2
La soirée de Svéa
– Vous devriez nous raconter l’histoire de votre fameuse soirée. Reprit Nadya
– Quelle soirée ?
– Ne faites pas l’innocent, Frantz, je ne pense pas que vous en ayez eu beaucoup comme celle que m’a racontée Svéa. Je le regrette d’ailleurs pour vous.
– Chère Nadya, j’aurais peut-être pu raconter mon histoire de façon anonyme mais je ne suis pas autorisé à raconter la vie privée de Svéa.
– Je peux vous assurer que vous pouvez le faire, Svéa assurait totalement sa sexualité et elle nous a raconté votre aventure au cours d’un dîner d’amies.
– Jusqu’à la fin ?
– Si, comme je le suppose, la fin est ce qui s’est passé revenus chez vous, oui jusqu’à la fin. Elle nous l’a raconté pour nous prouver que l’on pouvait se livrer à un fantasme que l’on ne croyait pas possible.
– Racontez, reprirent en cœur les assistants.
– Et bien voilà, si j’en laisse lâchement la responsabilité à Nadya :
<i>Avant de rencontrer Virginie, je sortais avec une amie nommée Svéa dont la mère était ukrainienne et le père français. Elle avait été élevée en Ukraine. C’était une fille très sérieuse qui était venue en France pour compléter ses études de biologie. Elle était grande, très mince, ses cheveux mi-longs étaient toujours tirés en arrière, chignon ou pas, ce qui lui donnait un visage clair et lisse avec deux grands yeux d’un bleu limpide. Svéa avait toujours l’air de vous dévisager, quand vous étiez un homme, avec un peu d’ironie et de moquerie comme si elle s’amusait des envies de mâle qu’elle était sûre de susciter en vous. Pendant l’amour elle gardait son petit sourire jusqu’à ce qu’elle crie de plaisir. Je dois ajouter dans l’intérêt de ce qui va suivre que, sans être prude, Svéa était pudique et je l’ai rarement vue évoluer nue autrement que lorsqu’elle quittait le lit pour la salle de bain.</i>
<i>Nous avion été invités à dîner par un ami que j’avais retrouvé après l’avoir longtemps perdu de vue et avec lequel j’avais fait quelques frasques du temps où j’étais étudiant. Il venait de se marier et était content de faire connaitre, à mon amie et à moi, Anne, sa jeune femme. Elle était en effet nettement plus jeune que lui, une vingtaine d’année peut-être. Jolie brune avec de longs cheveux, de grands yeux noirs très rieurs. Jolies jambes, jolie silhouette.</i>
<i>Nous prenions l’apéritif en devisant gaiement de chose et d’autre, quand mon ami, qui s’appelait Marc, réclama un supplément de glaçons à son épouse qui s’excusa de ne pouvoir les lui donner ayant oublié de remettre les casiers dans le congélateur. La chose ne semblait pas très grave en soi mais Marc fronçant les sourcils et mimant la sévérité lui dit : </i>
<i>- Anne, c’est la troisième fois que tu oublies, viens à la cuisine. </i>
<i>- Tu veux vraiment demanda Anne, l’air surpris.</i>
<i>- Oui, tout à fait. </i>
<i>Ils s’absentèrent quelques instants, laissant la porte de la cuisine ouverte, nous entendîmes quelques paroles indistinctes et un bruit, comme celui de trois claques. Svéa me regarda l’air interrogateur mais je n’eus pas à répondre car très naturellement Marc et son épouse revinrent. Comme Svéa me le confirma par la suite, elle, comme moi, ne donna pas à ce que nous avions entendu une explication qui nous semblait par trop incongrue. </i>
<i>Nous passâmes à table et continuâmes une conversation gaie et légère, échangeant plaisanteries et moqueries jusqu’à ce qu’une réflexion de Anne semblât irriter Marc qui se levant lui dit </i>
<i>- Anne, tu dépasses les bornes, viens.</i>
<i>Anne se leva s’excusant de nous quitter un instant et suivit son mari à la cuisine dont la porte resta, cette fois encore, ouverte. Nous entendîmes alors une suite de bruit de claques puis la voix d’Anne : </i>
<i> – S’il te plais, arrête maintenant, je ne recommencerai plus.</i>
<i>J’étais très gêné de la situation, surtout en présence de Svéa, me demandant comment cette fille sérieuse, féministe et que je pensais un peu puritaine, allait prendre la chose, mais elle me regarda de ses grands yeux bleus, l’air surpris et amusé et quand Anne et son mari revinrent : </i>
<i>- Vous êtes souvent fessée ? demanda-t-elle avec un sourire à la jeune femme qui avait quelques larmes aux yeux.</i>
<i> – Pas, très. Répondit celle-ci l’air gêné.</i>
<i>- </i><i>Vous êtes choquée ? Demanda Marc qui venait de nous rejoindre.</i>
<i>- Non, pas du tout. J’ai des amies qui aiment se faire fesser, je trouve que c’est un sujet intéressant. Quel est le message érotique ? La position, les claques, la soumission ?</i>
<i>Nous commençâmes à en discuter quand, à une réflexion de Anne, Marc sembla se fâcher de nouveau.</i>
<i>- </i><i>Anne, encore une fois tu dépasses les bornes, lui dit-il, ôte ta jupe et baisse ta culotte, puisque nos amis sont maintenant au courant, tu vas être fessée devant eux, s’ils le permettent. </i>
<i>- Non pas ça, s’il te plait, Marc. </i>
<i>Marc nous regarda : </i>
<i>- Ce sera la première fois qu’Anne est fessée en public, elle m’a toujours supplié de n’en rien faire, mais cette fois, avec vous je crois qu’elle le mérite et que c’est la bonne occasion.</i>
<i>Je ne dis rien, Svéa hocha la tête avec son même sourire. </i>
<i>- Enlève ta jupe et ta culotte Anne. Et penche-toi sur la desserte.</i>
<i>Anne obéit et, moitié nue, alla s’appuyer sur la desserte. Elle le fit l’air un peu gêné mais avec un naturel qui nous fit nous demander, par la suite, si cette correction publique était bien la première. Quoiqu’il en fût, le physique d’Anne, ses longues cuisses et ses jolies petites fesses rondes étaient un tel plaisir à regarder que nous ne nous posâmes pas de question. Je regardais Svéa, elle avait les yeux brillants comme je ne les avais jamais vus et elle se leva pour mieux profiter du spectacle. </i>
<i>- Vous êtes vraiment très jolie. L’entendis-je dire, et je me suis alors demandé si elle n’aimait pas autant les filles que les garçons, sans avoir, d’ailleurs, de réponse. </i>
– Nadya devrait pouvoir vous répondre. Intervint, en regardant Nadya, la jeune femme qui avait évoqué la possibilité que Pierre eut appris l’art de la fessée sur son épouse, mais Nadya eut, comme alors, le même sourire énigmatique et répondit par une question.
– Est-il nécessaire d’être lesbienne ou bi pour trouver jolies les fesses d’une femme ?
– Il y a façon et façon de trouver jolie une femme nue, mais il serait trop long d’en discuter maintenant, laissons Frantz continuer son histoire.
– <i>Marc, reprit Frantz, appliqua calmement, un bon nombre de claques au postérieur de sa jolie compagne jusqu’à ce que celle-ci commença à pleurer véritablement. Elle lui demanda alors la permission de se rhabiller ce qu’il lui accorda après avoir semblé hésiter. A la fin de la soirée, nous allions prendre congé quand Svéa me regarda. </i>
<i>- Tu pourrais faire un cadeau de remerciement à tes amis, me dit-elle, et se tournant vers Marc et Anne, je vais prendre une douche devant vous, je vais vous offrir ma nudité.</i>
<i>Svéa que je connaissais si pudique, tout naturellement commença à se déshabiller dans le salon, elle le fit avec un grand naturel, sans exhibition ni précaution comme si elle avait été seule.</i>
<i>- Conduisez-moi à la salle de bains, Marc, dit-elle quand elle fut nue.</i>
<i>Je peux affirmer que le spectacle de Svéa traversant, nue, l’appartement puis de sa douche fut un régal pour les trois assistants. Elle était belle, elle nous livra toute sa nudité, nous suivions ses longues mains qui savonnèrent même les endroits les plus intimes de son corps. C’était la première fois, et la seule d’ailleurs, que la femme que j’aimais offrait la vue de son corps en ma présence, elle le fit tellement naturellement et c’était tellement excitant que je n’éprouvais aucune jalousie.</i>
<i>Svéa séchée et rhabillée la soirée ne se prolongea pas et nous nous quittâmes de façon très mondaine. </i>
<i>- Je crois qu’il t’on trouvée très jolie, dis-je à Svéa, pour faire durer mon émotion et ne sachant, maintenant que nous étions en tête à tête, comment reprendre la conversation ni quelle serait sa réaction. </i>
<i>- Quand nous serons arrivés, tu me fesseras, me répondit Svéa. Une vraie fessée, forte. </i>
<i>Dans l’obscurité de la voiture, je la sentis se cambrer à côté de moi, sous sa jupe ses mains cherchèrent sa culotte dont elle dégagea ses jambes avant de me la tendre. </i>
– C’est exactement ce que m’a raconté Svéa, ajouta Nadya.
17 juillet 2024 à 12:25 #96919Ame.masculineParticipant
Un récit bien agréable à lire …
Un grand merci
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