Apprentissage de l’obéissance pour la gamine
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- 31 août 2021 à 15:23 #69365AnonymeInactif
Voici la suite, et non la fin de “Fessée comme une gamine” . Je remercie encore Monsieur qui m’a autorisé à publier cet écrit comme le précédent.
Bonne lecture à tous
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Au retour de ce que je dois bien appeler une punition, la douleur intense de mes fesses a été difficilement supportable. J’ai vu mes fesses bien rouges dans le miroir de ma salle de bain et ai tenté d’en adoucir la douleur en les enduisant de Biafine. Après avoir fermé les volets, je suis restée nue pendant tout le reste de la journée, laissant ainsi mes fesses douloureuses à l’air libre. Je mis du temps à m’endormir, étant hantée par le souvenir de ce qui s’était passé. Je ressentais un fort sentiment de honte à l’idée de m’être laissé faire aussi docilement. Comment en étais-je arrivée là ? Lorsque j’arrivais à penser que cela ne s’était pas produit, le simple contact de mes fesses sur le drap du lit me rappelais pourtant que cela avait été. Je m’endormis finalement tard dans la nuit extrêmement lasse.
En milieu de matinée du jour suivant, je fus réveillé par la sonnerie de mon téléphone. Je m’en saisis et ouvre son clapet ,un peu endormie encore. J’entends alors une voix féminine au bout de la ligne, sans pour autant avoir accepté l’appel.
– Bonjour vilaine fille, comment vas-tu ce matin ?
Je reconnais cette voix comme étant celle de la femme qui m’a fessé la veille. Mais je suis surprise, car je ne lui ai jamais donné mon téléphone et encore plus surprise lorsque jetant un regard sur l’écran de mon téléphone je vois Madame. Je n’ai jamais enregistré ce numéro. Comment est-il arrivé là ?
– Tu pourrais répondre tout de même !!!
– Oui, Bonjour Madame, dis-je d’une voix surprise
– Ah, tout de même, tu sais répondre convenablement !!! J’ai craint un moment que ce qui s’est passé hier ne t’ai pas suffi.
– Excusez-moi Madame.
– Toujours des excuses avec toi. Cela commence à me fatiguer fillette. Ce n’est tout de même pas compliquer de dire bonjour Madame lorsque tu prends mon appel. J’espère ne pas avoir à te le répéter.
– Oui Madame
– J’espère… Je t’appelais pour prendre de tes nouvelles et savoir si tout va bien pour toi aujourd’hui.
– Je vais bien Madame merci
– C’est bien de me répondre ainsi.
– Merci Madame.
Un silence s’installe. Je me sens étrangement troublée au téléphone avec cette femme dans l’intimité de mon appartement, répondant placidement à ses questions.
– Je perçois que tu es surprise par mon appel, n’est-ce pas gamine ?
– Oui effectivement Madame.
– Ne le sois pas. Lorsque hier tu étais au coin, intégralement nue et attachée au sapin par tes poignets, j’ai fouillé ton sac et pris ton téléphone. J’ai ainsi eu ton numéro de téléphone.
– Je comprends Madame, mais…
– Ne m’interrompt pas quand je parle !! En ce qui concerne l’enregistrement de mon numéro sur ton téléphone, ce n’est pas très compliqué pour une personne telle que moi mais serait totalement incompréhensible à une gamine comme toi. Sache seulement qu’il t’est totalement impossible d’y accéder et donc de le supprimer. Tu ne peux pas plus en filtrer les appels. J’ai donc l’entier pouvoir de t’appeler où et quand je veux. J’espère que tu en es contente car j’ai senti hier que tu prenais plaisir au pouvoir que j’exerçais sur toi.
– Oui Madame, dis-je d’une voix étrange, très troublée par cette nouvelle situation qui s’impose à moi.
– Je vais te laisser fillette et te rappellerais dans la semaine. Tiens-toi sage et soigne bien tes fesses. A bientôt gamine.
Elle raccroche me laissant incrédule. Je regarde dans l’historique des appels et ne retrouve pas celui de Madame. De même, en regardant dans les contacts du téléphone je ne retrouve pas celui de Madame. Comme elle vient de me le dire je ne pourrais donc rien faire si elle m’appelle ou me laisse des messages. Si ce n’est, évidemment de ne pas y répondre. En prendrais-je le risque ?
Une heure environ après son appel un texto s’affiche sur mon portable : Au fait gamine, tu dois toujours répondre à mes messages et à mes appels. N’essaie même pas de les éviter en n’y répondant pas car alors tes fesses s’en repentiront de façon cuisante. Réponds à ce message par oui Madame.
Et docilement, presque malgré moi je tape sur le clavier le message attendu par Madame.
Mon attitude me surprend. Comment est-elle arrivé à me manipuler ainsi ? Oui, certes la situation vécue hier dans son jardin a été dure à vivre et je m’étais alors laissé faire. Mais là, maintenant, chez moi, dans mon intimité comment cela est-il possible ? Elle ne peut pas avoir autant de pouvoir sur moi et influer sur ma vie maintenant. L’épisode d’hier doit rester un épisode à oublier tout comme les premiers épisodes des nouvelles séries sur Netflix que je peux regarder parfois. Il faut absolument que je redevienne maitresse de ma vie. Elle me prend vraiment pour une débile si elle croit que je ne peux rien faire pour éviter ses appels et messages.
Je reprends donc mon téléphone portable et cherche dans l’historique des messages. Aucune trace de celui reçu ni de celui envoyé. Intriguée je regarde dans les paramètres de mon téléphone, et là je ne trouve rien. Je suis bien forcée de reconnaître que je suis une bille vis-à-vis de l’informatique et de toutes ces nouvelles technologies.
D’ailleurs un nouveau message de Madame s’affiche sur mon écran : Je t’avais dit que tu ne pouvais rien faire contre mes appels et messages. Alors cesses de farfouiller dans ton portable ou l’avenir de tes fesses va être plus cuisant encore que tu ne penses. Réponds à ce message.
Et docilement je réponds : Oui Madame.
Cette emprise de cette femme me surprend et me trouble énormément. Cela me gêne un peu, mais je sens monter en moi un bien-être étonnant, un sentiment de plaisir. Il y a bien longtemps que quelqu’un ne s’est pas préoccupé de moi en quelque matière que ce soit. Alors, oui cette femme, Madame, n’est certes pas la personne que j’avais espéré voir entrer dans ma vie. Mais j’avoue que son interaction avec moi depuis hier me va malgré tout.
La journée du dimanche s’écoule tranquillement. Je reste chez moi, entièrement nue sous ma chemise blanche. Mes fesses rouges sont douloureuses et le moindre contact avec un tissu me fais grimacer de douleur. Je m’installe aussi à plat ventre sur mon lit, les volets clos, entièrement nue, les fesses surélevées par un coussin sous le bas du ventre, pour lire. Je songe aussi à demain, lundi, où je vais devoir aller au travailler à la boutique de fripes que je tiens dans la rue derrière chez moi. J’espère que la douleur se sera atténuée d’ici là.
Vers 22h je reçois un appel de Madame. Je décroche, un peu fébrile.
– Bonsoir Madame
– Bonsoir gamine. As-tu passé une bonne journée ?
– Oui Madame
– Bien !! Je vois que tu as enfin arrêté de farfouiller dans ton portable. C’est bien.
– Merci Madame.
– C’est de toute façon mieux pour toi de comprendre qu’il te faut suivre mes directives, sans quoi tu risques de t’en souvenir de manière cuisante. Et je saurais te le rappeler à l’occasion. Mais d’ici là passe une bonne nuit et sois sage.
– Bonne nuit Madame.
– Bonne nuit gamine.
Elle raccroche. Je me couche, nue sur mon lit, et m’endors en songeant à tout ce qui s’est passé depuis la veille, réalisant que cela m’excite un peu.
Le réveil sonne à 6h30. Je n’ai semble-t-il pas bougé de la nuit, me réveillant sur le ventre. Je m’étais enduite les fesses de Biafine avant de dormir, espérant ainsi que la douleur sera moins forte au matin. Le résultat de cette nuit ne correspond pas vraiment à ce que j’espérais. Mes fesses me font encore mal. J’espère que la douleur va s’amenuir peu à peu durant la journée et la semaine.
J’enfile une culotte blanche en faisant la grimace et enfile une robe ample d’été. Le soleil se lève et la chaleur de ce matin de fin août est agréable. Je quitte mon domicile après avoir pris mon petit déjeuner, debout dans la cuisine.
Je rentre dans la boutique par la porte de service, à l’arrière. Normalement, je l’ouvre à 10h le lundi matin, mais le week-end ayant été quelque peu perturbé, je n’ai pas eu le temps de finir ma comptabilité ni d’arranger la boutique avec les quelques plantes que j’avais acheté chez Truffaut. Aussi, je décide de ne l’ouvrir qu’à 14h, cet après-midi. J’affiche donc cette information sur la devanture avant de m’atteler à la lourde tâche de la comptabilité, assise au comptoir de la boutique.
Un message de Madame vient me surprendre dans ma concentration : Je vois gamine que tu es au travail. Je te rappelle plus tard.
Je relis ce message incrédule. Comment sait-elle que je suis au travail ? Je regarde autour de moi et mes yeux ne tombent que sur les portants de la nouvelle collection automne-hiver et sur les étagères chargées de pulls qui se vendront très facilement lorsque les températures baisseront. Je me remets à ma compta, essayant de me concentrer au mieux dans mon travail. Mais un nouveau message vient m’interrompre : Je constate que tu es une très vilaine fille qui ne sait pas écrire un simple oui Madame ou merci Madame à mon message. Vraiment, tu me déçois beaucoup gamine.
Je tape sur mon portable, presque malgré moi : Oui Madame. Pardon Madame.
Elle me répond quelques instants après : Toujours des excuses gamine. Je suis fatiguée de les entendre. Je saurais t’apprendre la correction que tu dois avoir à mon encontre fillette.
Je tape docilement la réponse attendue par Madame sur mon écran : Oui Madame.
Il est déjà 10h30 du matin et j’ai encore beaucoup de travail à faire avant l’ouverture de la boutique. Je sens cependant ma concentration faiblir. J’opte pour me focaliser sur l’agencement de la boutique et de sa vitrine que je veux agrémenter des plantes achetées durant le week-end. La manipulation de la verdure que je mets en vitrine et à quelques endroits de la boutique finie par me faire du bien, et me permet d’oublier un temps mon trouble intérieur.
Lorsque sonne midi, ma boutique a fière allure avec sa nouvelle décoration et je respire d’avoir pu l’agencer comme je le souhaitais. Le résultat me plait énormément. Je me replonge dans ma compta, sachant qu’il me reste peu de temps pour la finir. Fort heureusement, je finie largement dans les temps, et peut me permettre de souffler quelques minutes avant l’ouverture de la boutique.
Afin que je perde le moins de temps possible, je remonte le rideau métallique laissant entrer la lumière du jour dans la boutique. Et ayant un peu faim, je me décide pour aller prendre un sandwich à la brasserie de l’autre coté de la rue. J’ouvre et referme la porte de ma boutique et me dirige vers la brasserie. Plusieurs personnes sont installées en terrasse mais mon attention n’est pas portée dessus. Je vais au comptoir et commande un sandwich et un café. Je discute un peu avec le garçon de café qui m’a servi et que je connais bien, venant au café très régulièrement.
– Tu n’as pas ouvert ta boutique ce matin Léa, j’ai vu.
– Oui mon week-end a été quelque peu perturbé et j’avais encore la compta à faire.
– Je comprends. La femme que tu peux voir installée à l’angle de la terrasse est là depuis le début de la matinée et semble attendre l’ouverture de ta boutique, d’après les propos qu’elle a tenue.
Je pose mon sandwich sur le comptoir et tourne mon regard vers l’endroit que m’indique le garçon de café. Je manque de m’étouffer lorsque je constate que cette femme n’est personne d’autre que Madame. Elle me sourit et m’indique la chaise restée libre à sa table. Un étrange frisson parcourt mon dos.
– Je la connais et vais la rejoindre, dis-je discrètement en me levant
– Je te porte ta consommation et offre à toi et à ton amie un autre café.
Je me dirige vers Madame souriante alors qu’un sentiment étrange nait au plus profond de moi.
– Bonjour Madame, dis-je d’une petite voix, puis-je me joindre à vous ?
– Mais bien sûr dit-elle en m’invitant à m’assoir.
Au même moment le garçon de café arrive avec ma consommation et les deux cafés offerts par la maison. Il s’éloigne, nous laissant seules, entourées d’autres tables occupées par des personnes seules ou accompagnées prises dans leur conversation et portant, à l’évidence peu d’attention aux autres.
– Je vois que tu prends tout de même quelques temps pour le repas.
– Oui, j’avais faim et n’ai plus beaucoup de temps avant l’ouverture de la boutique.
– Effectivement.
Je reprends mon sandwich et la regarde tout en mangeant. Elle me sourit. Mon repas fini et le café bu je me lève devant la boutique d’ici quelques minutes. Madame se lève aussi et me dit :
– Je serais heureuse de venir voir ta boutique maintenant.
– Avec plaisir dis-je en me dirigeant vers elle.
J’ouvre de nouveau la porte et la referme derrière Madame. La boutique, simplement éclairée par la lumière extérieure dégage un sentiment de bien-être normalement que je retrouve peu actuellement. Madame parcourt la boutique du regard.
– Je vois que cette boutique est joliment agencée et que quelques articles pourraient m’intéressés, notamment cette jupe plissée écossaise. Je suis sûr qu’elle t’irait à merveille gamine.
– Oui Madame, dis-je troublée au plus haut point.
– Donne m’en une à ta taille ainsi qu’un petit chemisier blanc comme celui-ci accroché sur le portant du fond.
– Oui Madame, et je me dirige, tel un automate dirigé par des fils invisibles vers les deux articles demandés. Je les plis soigneusement après avoir enlevé anti-vol et prix. Je les mets dans un sac en tissu jaune et le donne à Madame.
– Garde ce sac sous ton comptoir gamine. Je reviens à la fermeture pour l’essayage. Passe une bonne après-midi gamine.
Je range le sac sous le comptoir et vais ouvrir la porte de la boutique. Madame sort sans un regard vers moi. Des clientes arrivent me permettant de me concentrer sur mon travail même si la perspective d’une soirée différente de celle escomptée ce matin encore, fait naitre en moi un trouble particulier. Plus le temps passe et plus je deviens fébrile commettant ainsi quelques étourderies : pulls mal rangés, erreur de prix… La vue du sac jaune sous le comptoir me rappelle que ma journée n’est pas encore finie. L’heure de la fermeture approche, et je vois Madame pénétrer de nouveau dans la boutique. J’encaisse le dernier article vendu, ouvre et referme la porte à ma cliente et me retrouve seule en présence de Madame.
– Ferme la porte à clef et le rideau de la boutique vilaine, dit-elle en prenant place sur l’unique fauteuil en velours rouge de l’espace vente.
J’obéis faisant ces gestes de façon automatique.
– Bien vilaine gamine. Apporte-moi le sac contenant les articles que je t’ai pris ce matin.
– Oui Madame, dis-je d’une voix résignée, espérant cependant que rien de particulier ne m’arrivera ici et maintenant.
Elle sort la jupe écossaise plissée et le chemisier blanc au tissu extrêmement léger et transparent. Elle les regarde souriante.
– Tu sais que les vilaines gamines ayant besoin d’être éduquées portent de telles tenues ?
– Non Madame, dis-je troublée par cette idée.
– Mais si, voyons, tu dois bien t’en douter n’est-ce pas ?
– Oui Madame, dis-je d’une voix faible.
– Tu oses donc me mentir vilaine fille. Cela est inacceptable. Je ne tolère pas un tel comportement à mon encontre alors que je prends du temps pour toi !!!
– Pardon Madame, dis-je en baissant la tête.
– J’en ai plus qu’assez de tes excuse vilaine gamine !!! Viens t’allonger sur mes genoux !!!
– Pitié Madame
– Je t’interdis de parler et encore plus de me répondre. Viens et ne discute pas !!!
Je me dirige vers elle, tête baissée, tel un animal allant à l’abattoir. Je m’allonge sur ses genoux, bras ballant, mes pieds touchant à peine le sol. Madame pose ses mains sur mon fessier encore recouvert du tissu de ma robe et de ma culotte. Elle les caresse faisant renaître une certaine douleur. Elle remonte le tissu de ma robe laissant paraître à ses yeux mes fesses uniquement couverte de ma culotte. Elle y donne quelques légers coups et dénude peu à peu mes fesses.
– Je vois qu’elles sont encore marquées des coups que tu as reçus samedi. C’est normal. Ils sont la marque de ta personnalité première, celle d’une vilaine gamine.
Elle me donne quelques petites tapes, relativement légères par rapport à celles reçues samedi, mais elles réactivent chaleur ressentie alors. Je gémis sans pour autant chercher à me débattre, présument, probablement à juste raison, que toute tentative sera très certainement et sévèrement châtiée.
– Je vois que cette vilaine fille accepte sa position de jouet entre mes mains, me dit-elle en m’invitant à me relever.
Je me retrouve debout devant elle, ma culotte à mes pieds dans ma boutique. Ce lieu si riche à mon cœur, car il m’a fallut du temps et de l’énergie pour l’ouvrir, est maintenant aussi marqué par ma régression.
– Tu as, j’imagine, ta comptabilité à tenir maintenant, gamine.
– Oui Madame
– Tu vas le faire nue, ne portant sur toi que ce chemisier ouvert. Va vite te mettre en tenue dans la cabine d’essayage que je vois au fond de ta boutique, me dit-elle en me tendant le dit chemisier. Il est bien évident que tu laisses le rideau ouvert.
Je prends le chemisier et vais dans la cabine d’essayage, ma culotte en bas de mes chevilles. Je laisse le rideau vert grenat ouvert et ôte ma culotte, ma robe et mon soutien-gorge. Je mets le chemisier que je laisse bien ouvert, laissant paraître aux yeux de Madame ma nudité signe de ma régression. Le reflet que je vois dans le miroir de la cabine me confirme mon statut.
Je reviens vers le comptoir, encore plus troublée par mon reflet que j’aperçois dans le grand miroir qui orne une partie du mur de l’espace de vente. Je prends place sur la chaise. J’entend Madame déplacer le fauteuil afin d’avoir une meilleure vision sur ma nudité et donc ma condition de vilaine gamine. Je me force à me concentrer sur mon travail. Cependant, je l’accompli difficilement ressentant au plus profond de moi ma régression. Tant bien que mal, ma compta est finie à 22h. Je range les livres de compta dans le tiroir du comptoir et me lève.
– J’ai fini ma compta Madame
– Bien gamine, va te rhabiller décemment et rapporte-moi le chemisier.
Je retourne à la cabine d’essayage. J’ôte le chemisier, remet sous-vêtements et robe. Je reviens vers Madame avec le chemisier.
– Prends ton sac et va m’attendre dans les réserves.
J’obéis, docile.
Elle me rejoint rapidement dans les réserves. J’ouvre la porte de service et nous nous retrouvons dans la rue qui est encore animée pour une soirée de fin août. Madame prend ses clefs de voiture dans sa poche et avant de me quitter me dis :
– Je te laisse rentrer seule chez toi vilaine. Repose-toi bien car il va falloir que tu sois bien reposée ces prochains jours. Je suis sûr que tes fesses et ta tête sauront te le rappeler. Passe une bonne soirée gamine.
– Bonne soirée Madame.
Elle me quitta se dirigeant vers sa voiture pendant que je marchais vers mon domicile. Arrivée chez moi, je m’écroulais, épuisée sur le lit, pleurant de honte.
31 août 2021 à 20:48 #69393AnonymeInactifMerci Soumemma et également Merci à Monsieur qui nous permet de profiter de ce délicieux récit bien construit et bien écrit.
victorine
1 septembre 2021 à 11:52 #69421AnonymeInactifJ’aime beaucoup cette histoire qui me parle, bravo.
1 septembre 2021 à 13:03 #69423salamboflaubert75Participant
J’ai beaucoup apprécié le début et la suite de cette histoire, elle est troublante et excitante.Les deux rôles me parlent et me touchent pour différentes raisons, je m’imagine aisément dans le rôle de Madame mais aussi dans celui de “la gamine” qui fait l’apprentissage de l’obéissance.
C’est bien écrit et les ressentis particulièrement bien décrits…
- Cette réponse a été modifiée le il y a 3 années et 3 mois par salamboflaubert75.
Sal
1 septembre 2021 à 13:12 #69425Fesseur83ParticipantEncore une trés belle histoire, vive l’apprentissage. Lol
Pratique la fessée depuis plus de 30ans, recherche rencontres, amitiés
5 septembre 2021 à 13:25 #69561AnonymeInactifQuel délicieux récit. je l’ai pris en cours de route et je me suis empressée de lire le premier épisode.
Merci Soumena, continuez, cette histoire me parle en tant que fesseuse qui reçoit aussi de temps en temps la fessée comme une gamine.
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