Alexia (1/3) : Un nouveau départ?
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Léonora, le il y a 5 années et 6 mois.
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- 16 août 2019 à 17:34 #39333
Léonora
ParticipantAlexia se redressa brusquement. Puis, après avoir jeté un coup d’œil au réveil, qui indiquait «02h30», se laissa retomber dans son lit. Encore un cauchemar. Elle devrait y être habituée depuis le temps. Ce n’était pas comme si les cauchemars étaient inhabituels. Bien au contraire, ils étaient devenus ses compagnons de nuit. Inlassablement, ils étaient fidèles au poste, au grand damne de la jeune femme.
Depuis quand n’avait-elle pas passé une nuit sans cauchemar? Ne s’était-elle pas réveillée en sueur, les larmes aux yeux ? Alexia avait arrêté de compter. Elle le savait très bien cependant, depuis que «lui» était partit. Depuis environ treize mois, les cauchemars lui tenaient compagnie. Depuis treize mois, sa vie avait rejoint l’obscurité, pour en sortir seulement de temps à autres.
«Non, tu exagères là!» pensa la jeune femme, quand ses yeux se posèrent sur le petit interphone blanc. Elle avait vécu de bons moments. Seulement, elle aurait voulu les vivres avec «lui», elle aurait dut les vivres avec lui. Tout cela était injuste, un acharnement du destin. Elle qui avait enfin trouvé le bonheur, il lui avait été arraché de la plus douloureuse des manières. «STOP Alexia, stop ! Tu sais très bien, où va te mener ces pensées. Et non, il ne faut pas » se dit la jeune femme.
Sachant qu’elle ne pourrait pas retrouver le sommeil avant un long moment, elle décida de se lever.
Il faisait frais à cette heure-ci et Alex mis sa longue robe de chambre. Ses yeux se posèrent de nouveau sur le petit interphone blanc. Elle sortit de sa chambre et marcha à pas de loup dans le couloir, pour éviter de faire grincer le parquet flottant. Franchement, mais quelle idée de mettre du parquet flottant dans un couloir?!
Alex s’arrêta devant la porte blanche et rose. Elle ne put s’empêcher de sourire, au gros ourson sympathique, collé sur la porte. Elle ouvrit doucement la porte et entra. La pièce avec ses couleurs rose pâle et crème, donnait l’impression d’entrer dans un monde de douceur et de tendresse. Évidemment, cela n’avait pas été fait par hasard. Alex tenait à ce que cette sensation ressorte de la chambre.
La lumière douce de la veilleuse, rendait la chambre encore plus accueillante. La jeune femme se rapprocha doucement du berceau trônant au milieu de la pièce. Elle posa délicatement sa main, sur la petite fille endormie. Son bébé, sa petite fille, son ange, son Aline.
L’enfant dormait paisiblement, les gestes légers d’Alexia, ne la réveillèrent pas. Heureusement d’ailleurs, car la fréquence de ce genre de visite, lui aurait donné de très mauvaises habitudes. Au bout d’un certain temps, Alexia releva les yeux et regarda la petite horloge. Celle-ci indiquait «03h00». Si sa fille gardait ses horaires, elle devrait se réveiller d‘ici une petite heure pour son biberon.
Alexia ressortie doucement de la chambre. Elle se dirigea vers la salle de bain et fit couler la douche. Cela était devenu un rituel après un cauchemar. Tout d’abord, elle allait voir si la petite allait bien. Ensuite, elle allait prendre une douche bien chaude et broyer du noir sous celle-ci. Après, elle descendait se préparer un thé et le biberon d’Aline. Puis, vers les quatre heures du matin, la petite se mettait à pleurer pour son biberon. Enfin, Alexia nourrissait la petite, la berçait jusqu’à ce qu’elle se rendorme. Et après tout cela, elle retournait se coucher.
Ça c’était le quotidien des nuits de la jeune fille. En journée, elle s’occupait d’Aline et travaillait pour une entreprise sur différents projets informatique. Cela lui permettait de rester à la maison. Concernant sa vie sociale, celle-ci était quasiment inexistante. A part ses deux meilleurs amis, elle ne voyait plus grand monde. Un jour, alors qu’elle était en train de changer la petite, on sonna à la porte.
• J’arrive ! Une petite minute ! Cria la jeune femme
Elle termina d’habiller la petite et descendit ouvrir la porte. Elle se retrouva devant un homme d’environ 35 ans avec un uniforme qu’elle n’avait pas revu depuis longtemps.
• Alexia FOLKS?
• Oui. A qui ai-je l’honneur ?
• Je me présente, je suis le Capitaine John BARLAU.
• Enchantée de vous rencontrer Capitaine. Pourrais-je vous poser une question ?
• Oui, bien sûr.
• Pourquoi êtes-vous ici ?
• Mon nom ne vous rappelle rien ?
• Non, pourquoi le devrait-il ?
• Frédéric était mon meilleur ami.
La jeune femme resserra son étreinte autour de la petite fille. Elle était sous le choc. Elle ne s’attendait pas à ça.
Elle se reprit et invita le Capitaine à rentrer. Elle avait effectivement déjà entendu parler de cet homme. Elle savait qu’il avait fait ses études avec son compagnon, puis suivi le même cursus, mais sur des terrains différents. A la mort de Fred, le capitaine Barlau se trouvait à l’autre bout du monde pour une durée de deux ans si elle ne se trompait pas. Il n’avait pas pu revenir pour son enterrement. Apparemment, son affectation était finie.
• Capitaine, puis-je vous demander ce que vous faîtes ici ?
• Je vous en prie, appelez-moi John. Mon affectation hors métropole est terminée. Je suis affecté dans cette ville. Et puis, je ne pouvais pas revenir au pays, sans venir vous voir.
• S’il vous plaît tutoyez-moi. Je comprends que vous ayez besoin de vous rendre sur sa tombe. Et me concernant, je m’en sors très bien. (remarquant le regard curieux de John envers sa fille) Il y a un problème ?
• Cette petite fille… Elle me fait penser à….
• Il n’y a rien d’anormal à cela
• Mais attendait, vous voulez dire que cette e n f a n t est….
• Oui. Elle est sa fille et la mienne.
Sa réaction n’étonnait guère Alexia. Après tout, cela avait été la réaction de tout le monde. Lorsqu’elle avait appris qu’elle était enceinte, elle avait été folle de joie. Frédéric aussi d’ailleurs. Mais, ils se devaient d’être prudents car la grossesse pouvait être problématique. C’était la raison pour laquelle personne n’avait été mis dans la confidence. Et à la mort de Fred, la jeune femme ne pensait pas être capable de mener sa grossesse à terme. Et pourtant, elle avait réussi et avait donné la vie à ce petit ange.
• Il ne m’a rien dit …
• Non, nous n’avons rien dit à personne. C’était une grossesse à risque et le taux de perte était assez élevé.
• Je vois … Donc vous … tu es actuellement en congés maternité.
• Non. Je travaille depuis mon ordinateur, comme ça, pas besoin de quitter la maison. Et puis, Aline à déjà 6 mois.
La discussion tourna autour de beaucoup de sujet. La jeune femme appris que John vivait dans une chambre sur base depuis son retour. Tout naturellement, elle lui proposa la chambre d’ami. La maison était assez vaste pour trois. Et puis qu’elle cuisine pour un ou pour deux, elle ne verrait pas la différence. John accepta sous condition qu’il participe aux frais quotidien et de la maison.
Cela faisait un mois que John s’était installé chez la jeune femme. La cohabitation se passait bien, chacun avait trouvé son rythme. Il avait fallut presque une quinzaine de jours pour cela. Effectivement, il avait fallut du temps à Aline pour comprendre que John avait beau être grand et impressionnant, il ne lui ferait aucun mal. Au contraire, il adorait cette petite. Mais au départ, la petite pleurait à chaudes larmes à chaque fois qu’elle se retrouvait seule avec lui. Une véritable alarme. Maintenant, c’était plus grand sourire et éclat de rire.
Nous étions un vendredi après-midi et Alex venait de déposer sa fille chez ses grands-parents. Ils adoraient avoir leur petite fille chez eux, histoire de pouvoir la gâter à souhait le temps d’un week-end. Alex savait déjà qu’il faudrait un sac de plus lorsqu’elle irait rechercher sa fille le dimanche midi. Mais, cela ne la dérangeait pas, c’était la vie.
Elle était plongée sur son dernier projet, quand son téléphone portable sonna.
• Oui, allô ?
• Bonjour, Mlle SLIDER au téléphone, vous êtes bien Mme FOLKS ?
• Oui, que puis-je faire pour vous ?
• Voilà, je vous appelle pour vous prévenir que nous avons une place dans notre crèche et qu’elle est réservée pour votre fille.
• Une place à votre crèche ? Mais je n’ai jamais rien demandé de tel ?! Et même si cela avait été le cas, ce ne serait pas tous les jours et pas des journées complètes…
• Tous cela a été pris en comptes Madame, le Capitaine BARLAU nous a tout expliqués.
• L’espèce de….
• J’ai l’impression que j’ai fait une erreur en vous appelant.
• Non, vous avez très bien fait mademoiselle. J’aimerai seulement avoir une discussion avec le Capitaine Barlau avant de vous répondre, est-ce possible ?
• Oui, bien sûr mais ne tardez pas trop.
• Je vous rappelle Lundi pour vous donner ma réponse.
• Très bien. Dans ce cas, je ne vous dérange pas plus longtemps. Au revoir.
• Merci, bonne fin de journée à vous.
Alexia n’en revenait pas, mais pour qui se prenait-il ?! Ce n’est pas une discussion qu’ils allaient avoir, elle allait le massacrer. John rentra vers 17h30. Il trouva une Alexia bouillonnante de rage l’attendant de pied ferme.
• Bonsoir ta journée c’est bien passée ?
• Très bien, jusqu’à ce que je reçoive un coup de fil d’une certaine Mlle SLIDER. Cela ne te dis rien ?
• Je vois, la crèche t’as appelé pour confirmer la disponibilité de la place.
• Tu imagines ma surprise. Tu n’avais aucun droit de faire ça !!
• Si et je le fais pour ton bien.
• Pour mon bien ?! Non, mais dites-moi que je rêve !!!!!
La colère d’Alexia était grandissante, si elle ne se retenait pas, elle allait lui sauter à la gorge. Le pire, c’est que John était parfaitement calme et sérieux. Il n’avait pas l’intention d’en démordre. Un véritable alpha…
• Non tu ne rêves pas. Et cela ne sert à rien de t’énerver. Je l’ai fait parce que c’était nécessaire.
• Nécessaire ? De me retirer ma fille ?!! On ne vit pas dans le même monde tous les deux !
• N’exagère pas Alexia. Tu as raison, on ne vit pas dans le même monde. Tu vis dans le passé !
• Je ne veux plus rien entendre.
• Tu ne peux pas toujours éviter cette discussion. ALEX !
Elle savait qu’il avait raison sur ce point. Mais elle n’était pas prête, c’était trop tôt. Elle ne voulait pas s’ouvrir au monde, elle voulait pouvoir profiter encore un peu de ce cocon moelleux dans lequel elle s’était enfermée.
• Le sujet est clos !
• Ne fait pas l’e n f a n t Alexia. Tu sais aussi bien que moi que j’ai raison.
• J’ai dit stop !!!
• Non ! Cela fait un mois que nous vivons sous le même toit. Durant cette période, les seules sorties que je t’ai vu faire, sont celles pour aller au parc avec Aline. Tu vis dans le passé avec l’espoir insensé qu’il te revienne !!
• Arrête ! Tais-toi !!
• Il est mort Alex. Tu l’as toi-même enterré. Il ne reviendra pas !
• CA SUFFIT !!!!
Et Alexia gifla John en prononçant ces paroles. Elle était en pleurs. Elle ne réalisa pas de suite ce qu’elle venait de faire, mais lui SI.
Il avait garder son sang-froid jusque là. Il s’était attendu à toutes les réactions sauf celle-ci. C’était une réaction de gamine qui ne supportait pas de voir la réalité. Lui en tout cas, il voyait rouge.
Alexia, réalisa soudain qu’elle avait giflé John. Elle ne l’avait pas voulu, sa main était partie toute seule. Elle essaya de s’excuser quand John l’attrapa par le bras et l’amena au canapé. Il s’assit dessus et la coucha sur ses genoux. Alexia était tellement surprise qu’elle n’eut aucune réaction. John parla d’un ton glacial.
• Je m’attendais à toutes les réactions sauf à celle-ci.
• Je … Je suis désolée… Je… je ne voulais pas….
• C’est une réaction de gamine qui ne sait pas réagir autrement que par la violence !
• Je ne l’ai pas fait exprès, ma main est partie toute seule lui répondit Alex d’une petite voix.
• Tu vas apprendre à contrôler tes impulsions, ma belle. Tu veux avoir le comportement d’une gamine, parfait ! Mais je vais te traiter en tant que tel !
• Non, attends ! S’il te plaît !
• Attendre quoi ? Nous avons essayés des dizaines de fois d’avoir une discussion sur ce sujet mais tu es toujours restée hermétiquement fermée. Tant pis pour toi. Maintenant, tu vas recevoir ce que tu mérites.
• Non…
Alexia n’eut pas le temps de protester outre mesure. La première claque tomba. Elle ne lui fis pas vraiment mal, mais la surpris. Puis les claques s’enchaînèrent, à un rythme régulier. Alexia commença à s’agiter. Ses fesses commençaient à lui chauffer sérieusement.
Elle n’arrivait pas à croire ce qui lui arrivait. Elle était en train de recevoir une fessée, comme une gamine désobéissante. « tu la mérites un peu » se dit la jeune femme « et puis, ce n’est pas si terrible. Il ne restera plus rien dans une heure ». Après cinq minutes de fessée, la main de John se fit caresse. Alexia pensa que John allait la libérer, que sa colère était retombée. Tous ses espoirs partirent en fumée quand John prononça cette phrase.
• Il est temps de passer aux choses sérieuses.
Elle sentit les mains de John s’attaquait au bouton de son pantalon. Elle essaya de se relever. Elle ne voulait pas être déculottée. Sa réaction lui coûta une dizaine de claques très fortes. Elle se mit aussitôt à pleurer. John en profita pour lui descendre pantalon et culotte aux chevilles. Alexia était morte de honte. Elle était couchée en travers des genoux de John, la culotte aux chevilles en train de recevoir la plus belle fessée de sa vie.
John repris la punition avec plus de vigueur. Alex sentait la douleur de ses fesses s’accroître de minutes en minutes. Ses fesses n’étaient plus qu’un brasier. Pourtant, plus les minutes de cette t o r t u r e passée et plus elle avait envie de lui laisser la main. Il avait raison, elle méritait amplement cette fessée. Et elle n’arriverait pas à passer ce cap seule. Au bout de ce qui lui sembla une éternité, la main de John se fit douceur et caressa ses fesses endolories.
• Maintenant, tu vas te lever et aller au coin réfléchir à ton comportement.
• Non … Je ne veux pas aller au coin ! J’ai passé l’âge.
• Très bien (coinçant les jambes d’Alex avec les siennes) C’est toi qui décide !
La fessée repris avec plus de puissance encore. Les fesses d’Alexia était déjà d’un joli rouge écarlate, mais il était hors de question pour John que ce soit lui qui cède. Sinon, tout cela n’aurait servi à rien. Il adorait cette femme, mais elle était t o r t u r é e et ne s’en sortirait pas seule. Il l’aiderait quitte à la punir tous les jours de cette manière si c’était nécessaire. Il voulait qu’elle s’en sorte, qu’elle se remette à vivre.
De son côté, Alexia essayait d’échapper aux coups, mais cela était impossible. Elle ne pouvait pas gagner à ce jeu-là. Le voulait-elle encore, elle ne savait plus. Après une vingtaine de claques bien appuyées, Alexia promis qu’elle irait au coin. Tout ce qu’il voulait tant que la fessée s’arrêtait. John la libéra et elle se mit au coin. Il corrigea sa position en lui faisant mettre les mains sur la tête.
Dans la tête d’Alexia, c’était le bazar. John l’avait traitée comme une gamine mais c’était justifié. Et puis, elle avait très mal aux fesses. Cependant, cette fessée ne l’avait pas laissée indifférente. Elle se demanda si il en était de même du côté de John mais elle chassa très vite cette idée de sa tête. De son côté, John avait aussi remarqué la tâche sur son pantalon, mais il ne la prit pas en considération. Il n’avait eu aucun plaisir à la punir, malgré le fait de la voir gesticuler sur ses genoux l’avait mise en valeur.
Au bout de cinq longues minutes, Alex fut autorisée à sortir du coin et à se rhabiller. Une fois cela fait, Alexia au bord des larmes, hésita deux minutes avant de se jeter dans les bras de John.
• Je suis désolée. Je t’en prie pardonne-moi !
• Tu es toute pardonnée, lui répondit-il en lui donnant un baiser sur le front
• Je ne recommencerai plus….
• Il vaudrait mieux pour toi et pour tes fesses. Car je n’hésiterai pas à recommencer. (en l’entraînant vers sa chambre) Viens, il faut mettre de la crème sur tes fesses.
Alexia s’allongea sur son lit, et laissa John s’occupait de son pauvre séant martyrisé. Elle s’endormit au bout de quelques minutes. Cependant, les événements qui venaient de se passer, allaient amener de grands changements dans la vie de la jeune femme.
Effectivement, John commençait doucement à tomber sous le charme de la jeune femme endormie sur lit. Il passa délicatement sa main dans la chevelure brune d’Alexia. Il voulait l’aider à s’en sortir, la voir heureuse et vivre sa vie. Et si il pouvait rester à ses côtés, il ne s’en plaindrait pas. Mais tout cela viendrait en son temps.
Pour le moment, il ressorti de la chambre et se décida à cuisiner. Il se doutait que ce serait un peu le bazar dans la tête de la jeune femme lors de son réveil. Mais elle devrait s’y habituer, car la leçon qu’elle venait de recevoir était la première mais pas la dernière.
Moi, joueuse et provocante?! Non, Naturelle! 😀
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16 août 2019 à 20:20 #39349Anonyme
InactifSuperbe texte j’ai adoré le lire impatiente de lire la suite
16 août 2019 à 20:40 #39353Lee Funambule
ParticipantAlors là je suis carrément scotchée … et “mordiou” que je suis exigeante sur les récits mais là… chose rare… Je suis assez bluffée je dois dire…
D’un côté on ressent toute la détresse de cette jeune femme, le désarroi dans lequel elle s’est enfermée. On à presque l’impression que c’est du vécu même si je n’espère pas pour vous @Léonora… Plus je lisais, plus j’avais le coeur fendu qu’elle ait perdu l’amour de sa vie… Et d’un autre côté on à cette fessée qui tombe, et au départ j’aurais presque trouvé cela trop sévère étant donné la situation… mais en même temps on sent ce poids qui se déleste de ses épaules, et que finalement ça lui fait du bien…
Je regrette que deux petites choses: la première c’est que John soit dès le premier chapitre attiré par la jeune femme, c’est un peu cousu de fil blanc… Et cette fessée qui finalement est très simple.. mais d’un autre côté ça met l’eau à la bouche, et on se doute bien que le plus croustillant reste à venir…
En tous cas merci, vivement la suite ! Je suis impatiente 😉 !! un vrai régal !
17 août 2019 à 09:10 #39357Léonora
ParticipantMerci à toutes les deux pour ces commentaires sympathiques 🙂 et ses encouragements.
@leefunambule: Heureuse que mon texte ai passé tes critères de sélection. Oui, il retourne le coeur, y compris le mien! lolMoi, joueuse et provocante?! Non, Naturelle! 😀
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