A propos de la ponctualité
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Étiqueté : domination, épilation, Fessée, humiliation, ponctualité, préparation, punition, retard
- Ce sujet contient 1 réponse, 2 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Sade73, le il y a 4 mois.
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2 juin 2024 à 10:24 #95850VictorParticipant
A propos de la ponctualité
Le carillon retentit. 15 h 01 sur l’horloge. Joie ! Cette fois, je la tiens !
J’ouvre. Elle me sourit, innocemment, inconsciente de son retard, encore une fois et ignorante de la foudre qui va s’abattre sur elle. Je la rejoins dans la rue, la prends par le bras et claque le portillon. Demi-tour ! Et j’attaque :
– La ponctualité : ça te parle un peu ou tu t’en fous ?!
Elle s’étonne, regarde sa montre et rit. Moi, non — pas du tout même. Et elle enchaîne, impertinente :
– Oh, pour une minute… Tu ne vas pas me punir, flemmard que tu es ! Et puis, tu vas te luxer le poignet à force de me taper !
Excédé, je lui claque les fesses, ici, dans l’espace public. Elle ne l’a pas volé ! Au toucher, je découvre, blasé, qu’elle ne porte toujours pas de culotte digne de ce nom. Depuis notre première rencontre, cette petite vilaine me nargue avec ses tangas de soi-disant gentille fille. Qui plus est, elle ose se vanter de quand même faire l’effort d’éviter les strings. Je m’étouffe et me retiens de ne pas lui retourner une gifle en pleine rue. Dans moins d’une heure, elle ne saura plus où se mettre. Soyons patients…
Nous arrivons au centre commercial le plus proche. La tension monte. Je l’ai prévenue et elle devine la suite. À se payer ma tête en plus de ne pas être à l’heure, elle va bénéficier d’un festival de sanctions.
Premier arrêt à la pharmacie. Elle se dirige dans les rayons et tente de me semer. Je la rattrape et la réoriente vers le comptoir. Sa fougue s’estompe lorsque je requiers un thermomètre rectal et que je confirme à mon interlocuteur qu’il nous en faut un pour adultes et non pour enfants. Ses yeux plongent alors dans le sol et ses lèvres se figent. Je règle, récupère mon achat dans un sachet et le lui confie. Elle rougit.
Étrangement, le calme semble la reconquérir. Elle parait comme tétanisée à la sortie de l’officine en se demandant bien dans quelle position je la mettrais pour lui prendre sa température. À quatre pattes ? Oui, mais sur le tapis tout doux ? Ou sur le plan de travail en granite froid ? Ou couchée sur un lit moelleux ? Ou plutôt sur mes genoux chaleureux ? Mais, j’imagine surtout qu’elle pense à l’observatrice que sera ma compagne avec ses petits commentaires moqueurs lorsque nous serons de retour à la maison, et ce pour sa plus grande honte.
Une pression sur son épaule et nous voilà repartis pour le supermarché. Sa « déchéance » point. Je l’interroge sur sa taille de sous-vêtement. Elle reste mutique. Qu’à cela ne tienne ! Je l’emmène dans les cabines et réitère la question. Silence — encore ! Je soulève sa robe et lui abaisse son tanga. Elle n’oppose aucune résistance et me dévoile sa toison dont je me ferai bientôt le plaisir d’éliminer. L’étiquette m’apporte enfin la réponse : « S ». Je glisse ce léger bout de tissus dans ma poche, puis nous nous rendons au rayon des dessous féminins. Je prends mon temps pour trouver le coin des culottes, blanches, en coton, couvrantes, éventuellement à taille haute… et il y a du choix. J’hésite. Je fais durer le plaisir. Elle s’impatiente et me provoque un peu plus en décrochant un string en dentelle pourpre. Je m’agace de ses pitreries. Elle le voit bien. Je lui ordonne de reposer cette culotte pour adulte inadaptée à ses mœurs de sale gosse et en sélectionne une plus en ligne avec son niveau de sagesse. La pression s’élève à nouveau d’un cran lorsque je la lui confie en lui disant :
– Celle-ci t’ira à ravir, vilaine. En attendant, tu vas rester nue sous ta robe.
Aux fruits et légumes, elle recouvre un semblant de bonheur lorsque je brandis de jolies racines de gingembre que je lui fais peser. En revanche aux abords du rayon hygiène, son sourire s’évapore. Je la tire par la main et l’oblige. Je la presse de choisir un rasoir et un tube de mousse. Elle tente de négocier et me propose, goguenarde, un flacon de crème de jour pour l’entretien de ma peau. Quelle peste ! Je vais prendre mon temps tout à l’heure. Elle ne sera pas déçue du voyage. Je la menace alors de retourner chez le pharmacien pour acheter une tablette de suppositoires. Elle s’offusque et saisit nonchalamment ce que j’ai prescrit.
À la caisse, elle hésite entre honte et joie. Un rictus la trahit. Moi, je jubile devant notre charmante sélection. La trempe à la badine et au paddle ne sera qu’une formalité à côté des autres supplices à venir.
Sur le chemin du retour, dans une rue déserte, je la débarrasse de son sac de courses et lui tends sa nouvelle culotte.
– Allez, sois gentille et couvre donc tes petites fesses blanches ! Tu vas finir par attraper froid… (à suivre).
- Ce sujet a été modifié le il y a 4 mois par Victor.
2 juin 2024 à 11:56 #95855Sade73Participant
J’attends la suite avec impatience et j’espère que ses fesses ne vont pas rester blanche longtemps…. le respect de la ponctualité est primordiale pour moi…je réprimande dès la minute de retard ( ou l’avance supérieure à 5 minutes ) car aujourd’hui c’est 1 minute puis 2 , puis 3 etc…
Vas y victor fais lui regretter son retard et elle hesitera avant de recommencer…
Tolérance zéro…
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