Répondre à : petites fessées au jour le jour
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En voiture
Nous avions l’ habitude de nous retrouver dans un restaurant en ville avant de rentrer chez elle ou chez moi. Ce soir de fin décembre il faisait un froid de canard bien humide , le marché de noël avait fermé ses portes, les touristes presque partis. Pour oublier cette grisaille, j’avais choisi une petite winstub traditionnelle dont l’intérieur était aussi chaleureux qu’accueillant.
Ce soir, comme à son habitude elle était venue habillée de son uniforme: jeans, converse, cashmere. Ce qui me déplût et comme à chaque fois m’énervait au plus haut point. Je n’arrivais pas à m’y faire. C’ était devenu un jeu entre elle et moi. Elle me provoquait et elle le savait. Je m’énervais sans faire l’effort de me contrôler. Le repas se passa agréablement, malgré la tension qui s’était installée dès notre rencontre sur les quais, où je ne manquais pas de lui donner une bonne claque sur ses fesses. Le ton de la soirée était donné.
L’exigüité du restaurant était propice aux caresses sous la table et nous ne nous sommes pas privés de commencer des explorations mutuelles très poussées. D’autant plus faciles à dissimuler que la nappe de la tables débordait largement. La tension montait au fur et à mesure du repas si bien que nous nous sommes privés de dessert. L’excitation devenait de plus en plus perceptible et nous nous sommes vite retirés du restaurant. L’urgence du désir ne pouvait attendre.
Nous sommes retrouvés dans ma voiture tout en continuant nos petits jeux. Je démarre et là elle me dit gare toi un peu plus loin, il y a une rue calme, je n’en peux plus d’attendre, j’ai envie.
Je connaissais bien cette rue cossue. Je trouvais facilement une place et je me garais. La rue était calme, faiblement éclairée par des lampadaires. Il faisait vraiment trop froid pour sortir. Nous sommes retrouvés à l’arrière de la voiture je ne sais trop comment et j’a commencé à la fesser dans l’habitacle. D’abord doucement puis de plus en plus fort. Elle descendit son jean pour mieux sentir mes claques. Et c’est là que j’ ai aperçu l’éclat du rosebud qu’elle portait toute la soirée. Je redoublais mes claques et au bout d’un moment je remplaçais le rosebud par mon membre viril, dur comme le bois. Je la besognais comme à mon habitude, longtemps, très longtemps. Ses cris envahissais l’habitacle et je la menais de jouissance en jouissance. Les vitres étaient couvertes de buée et l’extérieur faiblement éclairé était de plus en plus flou. La voiture tanguait suivait les vagues de nos corps. Quand nous nous somme arrêtés, repus de plaisir, nous préféré sortir pour regagner les place à l’avant.
Et c’est là que nous avons vu un groupe d’étudiants à une dizaine de mètres. Avaient ils vu quelque chose ? Entendu ? J’ai démarré en quatrième vitesse pour nous ramener et pour continuer ce que nous avions si bien commencé. Elle me dit :
“viens chez moi j’ai des fraises, je mettrai la robe fourreau, j’ai envie de goûter au martinet que je t’ai offert pour Noël”.