Répondre à : Raconte-moi la punition qui te fait fantasmer aujourd'hui…
Accueil › Forums › Discussions générales › Causons fessée › Raconte-moi la punition qui te fait fantasmer aujourd'hui… › Répondre à : Raconte-moi la punition qui te fait fantasmer aujourd'hui…
Là, tout de suite, maintenant, j’ai envie de me blottir contre tes cuisses, ma tête posée sur tes genoux, simplement pour sentir la caresse de ta main dans mes cheveux.
Je veux sentir les frissons me parcourir de ce simple geste tendre, fermer les yeux et me laisser porter par ce doux va-et vient…jusqu’à ce que la prise se raffermisse. Mes lèvres qui s’entrouvrent alors de surprise, avant de se fendre d’un discret sourire.
Tu ne dis rien et je n’en ai pas besoin, ta main me guide doucement, mais fermement en travers de tes cuisses. Je ne résiste pas et m’installe docilement, le dos légèrement cambré. Ta main ne quitte pas mes cheveux, tandis que l’autre glisse avec lenteur le long de mon dos jusqu’à mes fesses. Tu t’y attardes, caressant ce bout de tissu vert émeraude qui sépare ta main de mon cul.
Ta main caresse, glisse sur mes cuisses, mais retourne inlassablement sur mes fesses, puis s’en préavis une première claque tombe, sèche. Je sursaute, laissant échapper un petit gémissement. Ta main retombe posément et reprend ses caresses comme-ci de rien n’était.
Tes doigts se referment un peu plus fort et tirent lentement ma tête en arrière, une deuxième claque, sèche.
Le temps est comme suspendu à ta main, tu prends ton temps laissant de longue seconde s’écouler avant d’apposer à nouveau ta main..pour des caresses.
La pression s’accentue, mon visage se retrouve enfoui dans le canapé, les claques montent en intensité avec une lenteur extrême, la tension monte. De discrets soupirs et gémissements accompagnent les claques et caresses. Mon souffle se fait plus court, ce petit jeu perdure encore, encore et encore… Je meurs d’envie de lui dire « S’il te plaît, plus Fort ! », mais les mots ne franchiront jamais mes lèvres.
Sa main attrape le bord en dentelle de ma culotte, il marque à nouveau un temps d’arrêt, mon bassin est déjà relevé pour l’aider à faire glisser ce qu’il me reste de protection. Je sens son sourire s’étirer devant cette docilité enrobée d’impatience. Ses deux mains se saisissent de ce fin bout de tissu pour le faire glisser jusqu’à mes chevilles. Sa main reprend sa place sur mon cul, tandis que l’autre se pose fermement sur le haut de mes reins. J’adore la chaleur qui se dégage de sa main qui me maintient, bien que je n’ai nullement l’intention de m’échapper cette fois… Ce geste est comme une promesse de la suite à venir, je savoure ce moment.
Monsieur reprend son petit jeu, une douce torture, alternance de claques sèches et de caresses, sans possibilités d’anticiper ses actions.
La frustration augmente douloureusement, je m’agite, j’en veux plus, beaucoup plus…
La réaction ne se fait pas attendre, sa main s’imprime sur mes cuisses ce qui me fait immédiatement mettre mes mains sur la zone endolorie.
Il ne me laisse pas ce luxe et les bloque dans mon dos, les claques deviennent de plus en plus sèches, la fesse gauche, la fesse droite, les cuisses, le pli fessier, les deux fesses en même temps. Ça ne s’arrête plus, l’intensité augmente à chaque claque.
J’en perds le souffle, c’est impossible ça ne peut pas être encore plus fort…Il fait tout pour m’en détromper, le son des claques mêlées à mes gémissements de douleurs sont les seuls sons qui résonnent dans la pièce.
J’ai du mal à résister à cet assaut qui s’arrête aussi soudainement qu’il a commencé. Je reprends mon souffle, les cheveux en bataille, mon corps est en fusion, mes fesses sont le brasier qui alimente ce feu si délicieux.
Perdue dans mes pensées, le clic des menottes me fait revenir à la réalité…trop tard.
Tout juste le temps de tester la fermeté de mes entraves, mes jambes se retrouvent coincées entre ses cuisses, mon buste bascule dans le vide, mes fesses et le haut de mes cuisses tendues et exposées.
Je le sens qui m’observe, savourant ma perte de contrôle, ses doigts glissent sur ma peau rougie déclenchant des frissons que je ne peux maîtriser. Puis, je sens une traction sur mes mains menottées. Sa main quitte mes fesses pour s’abattre nonchalamment sur le haut de mes cuisses. Je grogne, il rit, et reprend de plus belle. Je me cambre… je ne peux rien faire…il me le fait bien comprendre. La peau est si tendue, je sens chacun de ses doigts rougir mon fessier et mes cuisses. La douleur et la contrainte me plongent dans cette douce torpeur masochiste.
Encore, plus fort, encore…s’il te plaît fais moi mal, je veux en jouir.