Répondre à : Une semaine chez lui ( suite )
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[SUITE]
Les quelques jours suivants se sont passés à l’image de lundi avec quelques variantes, toutefois. Nous sommes jeudi soir, j’ai un peu poussé Monsieur dans ses retranchements et il m’a promis une sacrée correction pour dans la soirée. Nous ne sommes que l’après-midi et j’y pense déjà, non sans une certaine crainte et envie à la fois. Mais je sais que je vais passer un sale quart d’heure. Enfin, en attendant, je Lui prépare un super bon repas en espérant l’amadouer un peu, vu les bêtises commises. J’ai peur que ce soit inefficace, qui ne tente rien…
Nous dînons. Nous parlons de choses et d’autres, sauf de ma punition. Pourtant, ça me démange de poser la question. Dessert, on débarrasse la table et nous installons por un moment devant la télé. Il s’absente quelques secondes et revient avec des objets que j’avais déjà vu sans y goûter toutefois. Une cuillère en bois, et deux cannes en acrylique, une courte et une plus longue. J’avoue que je n’en mène pas large. Il me fait me pencher sur l’accoudoir du canapé, tenant dans mes bras mon coussin, désormais habituel. Monsieur baisse ma culotte fermement mais sans brutalité. Les premières claques à la main tombent, puissantes, douloureuses, ça pique et je bouge un peu. Et en plus, cela dure. Cela commence à chauffer. Il vise les points sensibles et je le sens passer. Au bout d’un (trop) long moment, il s’arrête, mais me défend de bouger. Je sens que les choses vraiment sérieuses vont commencer, et ça ne loupe pas. Il attaque avec la cuillère en bois, et j’ai vraiment du mal à supporter les impacts de ce truc. Je mets ma main, immédiatement bloquée fermement dans mes reins. Je gémis un peu sous les coups répétés. Puis il s’arrête et change d’outils. Il me prévient que ça va faire mal. Il a raison. La canne courte est un objet redoutable. Toutefois, par chance pour moi (ou par pitié de sa part), cela ne dure pas longtemps. Il change pour la canne longue. Evidemment, c’est pire et je bouge franchemment en poussant des petit cris de douleurs, ça pique dur ! Là encore, il est clément, et cela ne dure pas longtemps. Après m’avoir massé un peu les fesses, il me libère. Ouf ! Je reconnais que cette punition, je l’aurai senti passer. Il me prends dans ses bras pour me câliner et me réconforter. Un vrai bonheur de pouvoir rester un peu ainsi dans ses bras.
Nous partimes nous coucher, chacun dans notre lit, et je m’endors satisfaite et sereine, dans le calme de la nuit.
[A SUIVRE]
Je vis mes fantasmes et je les assume.