Répondre à : Fessée et infantilisation
Accueil › Forums › Discussions générales › Causons fessée › Fessée et infantilisation › Répondre à : Fessée et infantilisation
Gestionnaire de contenus
Cela part du postulat que la demoiselle est avant tout une adulte et que le positionnement de Little introduit l’aspect régressif. Mais si l’on prend le problème dans l’autre sens, à savoir que le statut, l’état d’esprit prédominant, est celui de Little et que c’est le passage dans le « mode adulte » qui devient la contrainte, l’aspect infantilisation perd tout son sens non ?
Certes mais, comme je l’indiquais dans mon message initial, je ne parle pas ici des relations « ageplay », qui obéissent bien évidemment à une dynamique très différente. Le terme « Little » ne fait pas partie de mon vocabulaire : je veille sur des femmes, parfois des jeunes femmes, mais pas sur des femmes-enfants.
Un autre grand classique de la punition, réactive, relevant presque de la « réaction primale » est la célèbre paire de claque, la bonne gifle, directe, implacable qui sanctionne l’impertinence, la réaction incongrue et l’effronterie manifeste et qui remet la gamine à sa juste place.
Pour le coup, je n’associe absolument pas la gifle à l’infantilisation. Dans mon esprit, elle n’évoque que les violences conjugales et ne m’inspire rien de positif. Je comprends parfaitement, cependant, que l’on ait un point de vue différent sur la chose. Tant que tout se passe entre adultes consentants…
D coup, Mr No, sauf le respect qui vous est dû, le titre du fil de discussion n’aurait il pas été plus pertinent avec « Punitions et infantilisation » ?
Oui, vous avez raison, ce titre eut été plus pertinent. 🙂
Et soudain, je ressens le besoin d’une voix ferme mais confiante, d’une énergie stricte et relaxante et d’un cœur compatissant. Une personne qui n’a pas besoin de demander, sait quoi faire. Quelqu’un qui ne vous dit pas simplement que tout ira bien, car il sait qu’à un certain moment, les mots sont inutiles, les gestes et les actions le font. Quelqu’un qui ne vous jugera pas, ne fera que vous tenir responsable, puis vous pardonnera et vous pourrez réinitialiser le compteur. Quelqu’un qui laissera juste la fille sortir pendant un moment, jusqu’à ce que la femme revienne.”
J’aime beaucoup tout le texte que vous citez, mais ce dernier paragraphe est magnifique. Je pense qu’il résume à la perfection ce que j’ai toujours essayé d’offrir à mes protégées.
Je suis un tuteur strict, qui ne laisse rien passer et entend faire des jeunes femmes placées sous son autorité des demoiselles exemplaires. Je punis sévèrement, ne mettant un terme à la correction qu’une fois certain que la leçon a été pleinement retenue. Lorsque c’est le cas, en revanche, toutes les fautes sont effacées, et je n’ai plus qu’à entourer la demoiselle de tendresse et de douceur. Elle peut s’abandonner pleinement, libérée de tout ce qui pouvait entraver sa sérénité. Cela aussi fait partie intégrante du rôle du tuteur, et c’est l’un des aspects les plus beaux de cette relation. 🙂