Répondre à : N’autre Diam de Loirette
Je viens de retrouver mes lunettes (qui a dit celles des toilettes ?), tant pis pour vous…
Chaque jouir est une victoire, ce matin encore. J’enfile un Djinn (j’espère que cela ne lui fera pas mâle) et je pars au goulot bouleau.
Un lever de soleil à Amboise, clair et lacté comme les yeux de Mathilde, me prend par la main, tandis que de l’autre (main ! suis un peu, s’il te plaît), je t’écris. Suivez la Loire quai des Violettes, prenez la donc, puisque vous êtes sur le quai. Navire des mâts à feuilles qui ne manque de vent, devant qui te transporte ainsi que les sourires de Patricia jusqu’OK de Camille, jusqu’au quai de l’émoi.
Passez l’impasse de l’Île d’Amour, toupie or not toupie, à girer avoue m’aime. Tournez à France Intense, vers rue du Rocher des Violettes, plaisir à votre vue, point du jour à mon aube, c’est l’endroit de l’instant qui perle à vos yeux et l’envers du décoeur à ce qu’il faux par être.
Une jeune femme vous attendrit, une jeune fleur vous attendra, dans le bouquet de son habit, avec son nez à elle et ses yeux de voyage.
Née le 153ème jour, je l’ai vu sur son laisser-passion qu’Ovide.
Son habitation troglodytes-moi de ne pas m’éveiller : un NIDéal pour vos mielAncolies, de celles qu’on ne partage qu’àDiEUX les jours de pluie au cœur de l’intime.
J’ai pris congé après avoir festons compliment, elle avait quelque rose en joues, pas celles d’armes, l’or est compris. Soyeux d’ailleurs certains que j’oublierai guerre.
Comprenez c’est ville de l’armes, mais aussi de tant de resjois, où j’ai baptisé de mes mains, en secret à l’eau du fleuve, cette enfant que Dieu me confie, et ta larme de ce jour-là, partie dans les eaux de Loire, inscrite dans les eaux delà, cool son tour du m’ondes pour l’éternité.
Toi qui si bien me reçois, toi qui si bien me reçois.
Amboise la Belle, c’est joie de travailler avec Toi, je te déclare ma flemme. Olympique un peu pourquoi pas. Comme j’ai des fuites au crâne, et ne suis pas Charlot VIII, dcd un sept avril, je porte casquette de sécurité, en plus de casque en plomb, certains lendemains de qu’8.
T’aîné dans la Lune et je suis toute à Toi, à vouloir un Rhin beau* de ton encre, un rainbow de son ancre à vous Loire : ce coucher de soleil sur L’OiRe, langues de feu en GabriElle, qui incendient le fleuve jusqu’à l’estuaire.
Pasca*Lou