Répondre à : DENIer DU CULte, méat cool pas
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Je vous remercie, Sombrelle, pour ce Merci, sans merci je l’espère. Ne soyez pas triste, c’est une renaissance, même si cela appuie vos souvenirs où ça fait mal. Il ne restera de nous que l’amour donné et reçu. C’est du vécu, excepté Mathilde, tout de ces récits m’a été donné à vivre. Sorti du ventre maternel, c’est l’école jusqu’à l’Amort.
Voyez peut être le regard des enfants, lorsqu’ils s’excusent de la bêtise (tiens, un bonnet d’âne sur le e) de leurs parents, un point de bêtailles parfois si évident.
J’étais un enfant merveilleux, j’ai sauvé ma vie déjà, sublimant la douleur des coups en y trouvant de la sensualité. C’est cela qui m’a sauvé, depuis mon plus jeune âge. Je serais mort sinon.
Je n’ai pas conté la nuit de noces de Nogueye, ni ce que m’a dit le déporté (que je n’ai lu dans aucun livre, et pour cause). Comme j’aimerais parfois sortir de ma mémoire, si tu pouvais, si vous pouviez, me faire pleurer toute cette Loire…
Ya un iguane à moitié nu, en devanture chez Monsieur Méchant, et je ne l’ai m’aime pas dénoncé. Saluez les chats grains qui s’en vont et SOURIreS qui s’en viennent. Ainsi, je fais l’andouille, riez, bon sang, riez. Sentez vos chaussettes de la veille qui seront plus parFumées demain. Mettez vous la tête à l’envers dans tous les bons endroits. Autorisez vous à être gauche, de travers et parfois, fêtes Kafka dans votre froc, c’est rigolo et ça blesse pas.
Breizh Pascual !
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Le tiers payant ou l’envers c’est les autres
ne vous approchez pas trop, j’ai la fidèle gastro :
Ne dis pas “on ne sait jamais”
pensant “on sait que jamais”
comme tout au fond de soie
c’est se M’ENTIèRE d’abord
c’est savoir se mentir
mais savoir se l’avouer
Perdus dans le catalogue
à force de choisir
finis par me tromper
Papillon desciBelles
Abeille croque monsieur
si tu posais tes ailes
si tu prenais le temps :
ces vieux main dans la main
ces vieux ruent dans ta rue
“c’est la faute à l’époque”
me lave de tout cela
Tu veux bien recevoir
je sais bien “re” se voir
mais pas encore donner
en corps moins pardonner
donner c’est autre cause
donner, c’est bien plus vaste
et puis la peur m’arrange
et cette peur te range
endormis en ces drogues
quand tu as peur de toi
dans ma peur des autres
phobie sociale dis tue.
La peur m’a pasniqué
la peur t’a pasniquée
mais c’est elle entre nous
dire : ” l’un contre l’autre”
d’unis, sommes pUnis.
Tu cherches aux ombres d’autrui
en coi a-t-il merdé
ce coït allers reTours
entre mon cœur
et mon corps bien léché
je ne vois rien en moi
à mes yeux d’ivoire noir
ainsi ma propre f ‘8
quoique.
Des charenTaisent, oui
et des orties dedans
pousser le chariot en rimes
jusqu’à supermarcher.
S’engager sans gager
vivement renaître aveugles
en confiance et conscience
nus comme premier jour
Tu cherches la moindre faille
prouve que, pas d’exception
ainsi confirme ma règle
Et pourtant c’est temps temps
perdu jusques aux rides
et pourtant c’est tentant
autant que fesses
tendues aux claques
au calquecule d’hésiter
au calcul d’exister
Au jeu 100 coup fait rire
que vos yeux brillent de
“peinture fraîche”
d’étoiles même à votre neige
jusqu’au PAR VIeS de l’Ankou
Quand tu nais pas vain cœur
quand je ne suis pas vain cul
L’or l’aïe, LOUp y es tu
mais tu neuve pas le croire
qui roule aussi pour les autres
au point que n’imagines pas
depuis que “sang” les yeux des autres
sait bien qu’île n’existe pas
Fait la pute à l’informatique
puisqu’il faut en passér parlà
comme toi ramasse les miettes
ou les bouquets quand Iyéna
Si cela m’indiquait la fièvre
où tu aimerais te risquer
fleur, juste enfin t’ouvrir
et crever d’apprendre à vivre
S’INcSERe T à rien ?
des fois je me demande
chair liberté, Chère Liberté