Répondre à : La ceinture.
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La ceinture est sans conteste mon instrument favori. Le terme d’« instrument » lui va d’ailleurs à ravir car, avec elle, tout est musique.
J’aime le chuintement qu’elle produit en coulissant dans les passants, accroissant la nervosité de la demoiselle que je m’apprête à corriger, et qui est déjà en position d’attente sur le canapé ou le lit…
J’aime le son sec et intense qu’elle émet lorsque je la plie en deux et la fais claquer, avertissant loyalement ladite demoiselle qu’il ne s’agit pas d’une vulgaire ceinture en matière plastique mais bien d’un épais ceinturon de cuir, un authentique instrument disciplinaire…
J’aime le sifflement sourd qui accompagne son déplacement en direction du fessier de la jeune femme, annonçant l’impact avec quelques centièmes de seconde d’avance, délai suffisant pour accroître l’impact psychologique du coup mais bien trop court pour que la demoiselle soit tentée de faire quoi que ce soit de dangereux…
J’aime enfin le son grave et puissant qu’elle produit lorsqu’elle entre en contact avec le fessier de la jeune femme, son auquel succède presque instantanément la plainte que cette dernière ne manque jamais d’émettre…
… car oui : la ceinture est un instrument très sévère ! Quelques coups bien assénés suffisent à arracher des larmes à la plus endurcie des impertinentes, raison pour laquelle je ne l’emploie qu’en châtiment des fautes les plus graves. (Je veille d’ailleurs à annoncer par avance le nombre de coups qui seront donnés, et à exiger que mademoiselle les compte.)
Deux variantes intéressantes à explorer :
1. Exiger que la demoiselle défasse elle-même la ceinture qui entoure les hanches de celui qui va la punir, avant de la lui présenter respectueusement en demandant à ce qu’on emploie ledit instrument pour la corriger.
2. L’obliger à embrasser cette ceinture une fois la correction terminée, en remerciant humblement l’homme qui aura pris la peine de la punir de la sorte.
Vous m’en direz des nouvelles… 🙂